Situé au centre du Pays de Cocagne, le restaurant Cuq en Terrasses vous propose un séjour gastronomique inédit dans un cadre rustique et chic. Le restaurant vous séduira par sa vue panoramique ainsi que son cadre bucolique. Optant pour le vintage, le décor apporte une touche sensible et esthétique à toute la salle. A l’extérieur, la grande véranda donne sur la plaine du Lauragais.
« Menu unique, endroit unique »
Adeptes du Slow Food, Philippe Gallice et Andonis Vassalos optent pour la formule du menu unique. Chaque soir (sauf le mercredi), ils proposent à leurs convives un menu composé d’amuses bouches, d’une entrée, d’un plat, d’un assortiment de fromages et de dessert. En s’inspirant de ses grands voyages et des plats classiques, le chef Andonis doit se surpasser tous les jours pour trouver le menu parfait. Créatif, il n’hésite pas à explorer les différentes saveurs et textures pour transporter ses convives entre les frontières du goût. Pour le chef, la réussite de ses recettes repose surtout sur la qualité des produits qu’il utilise. Ainsi, il n’use que de produits frais issus de son potager ou du marché local. De même pour les vins que l’établissement collectionne depuis ses dix-sept années d’existence et qui sont exclusivement issus des meilleurs vignobles de la région. Des produits soigneusement sélectionnés donc, pour offrir des plats d’une grande qualité. Autant de rigueur et d’exigence récemment récompensées par Le Guide Michelin qui a attribué à l’établissement le titre de « l’assiette Michelin ».
Outre sa cuisine, le restaurant sort du lot par sa qualité d’accueil. En effet, Philippe se charge lui-même de recevoir ses clients. Il ne se contente pas de présenter le menu mais prend le temps d’expliquer la composition de chaque plat. Il parvient ainsi à transformer cette étape qui parait futile en un vrai moment d’échange. Entre un bon plat et une ambiance conviviale, tout est ici réuni pour que le diner devienne une expérience inoubliable.
Un cadre idyllique en Midi-Pyrénées
Cuq en Terrasses est une ancienne maison de maitre du 18ème siècle entièrement rénovée. Actuellement, elle propose cinq chambres d’hôtes dont le caractère vous charmera. Chaque chambre reflète le souci du détail des propriétaires : décoration raffinée et personnalisée dans le ton de l’établissement, une vue imprenable sur la campagne et un service aux petits soins. Pour ceux qui veulent plus d’intimité et d’autonomie, l’établissement propose deux appartements équipés. Elégants et raffinés, tout est fait pour que ces appartements répondent parfaitement aux attentes des voyageurs les plus exigeants. Et pour les passionnés de la nature, sachez que la demeure possède un magnifique jardin de 12.000m2 qui expose près de 300 espèces de plantes rares et d’arbustes. D’ailleurs, plusieurs fruits n’attendent qu’à être cueillis par les gourmands explorateurs.
Cuq en Terrasses jouit aussi de la richesse et de la grande diversité du patrimoine de la région Midi-Pyrénées. Les voyageurs sont conviés à découvrir les paysages variés de la région qui regorgent de plusieurs trésors naturels et architecturaux avec les nombreux sites préhistoriques ainsi que les joyaux culturels et gastronomiques. Etant placé en plein centre de la région, Cuq en Terrasses donne l’accès à plusieurs sites touristiques dans un rayon de 100km dont le château de Loubens (9km), le château de Magrin (12km), le lac de Saint Ferreol (19km), le parcours de golf de 18 trous FIAC à 22 km, la petite ville artisanale de Durfort à 24km, le cité médiévale de Carcassonne à 63 km pour ne citer que ces exemples.
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Deux étoiles au guide Michelin, ce restaurant perché au plein cœur du vignoble suisse est une adresse de référence internationale pour les gastronomes depuis près de trente ans. Travailler dur pour réaliser son rêve. C’est l’histoire du chef genevois Philippe Chevrier, qui anime les fourneaux de ce charmant site champêtre situé à Satigny, une des plus grande commune viticole suisse.
Un chef qui prône la simplicité
A sept ans, Philippe Chevrier le savait déjà : il sera un jour cuisinier. Bosseur né, adolescent, il entre par la petite porte, en commençant par la plonge et en enchaînant avec des stages en boulangerie et en confiserie/pâtisserie. Quelques années plus tard, il devient l’élève des cuisiniers renommés Louis Outhier et Frédy Girardet. A 29 ans, il devient propriétaire du magnifique domaine de Châteauvieux. C’est dans sa première maison qu’il affirme ses talents culinaires. Aujourd’hui, cet alchimiste des produits du terroir est multi-restaurateur et fourmille d’idées pour créer de nouveaux concepts. Et Châteauvieux reste sa plus belle réussite. Avec son 19/20 Gault&Millau, ses deux macarons Michelin, membre de Relais&Châteaux, des Grandes Tables du Monde et des Grandes Tables de Suisse, le château cumule les titres prestigieux. Il est devenu un emblème de la gastronomie suisse autant qu’un lieu d’évasion couru, puisqu'on peut aussi séjourner dans cette magnifique bâtisse datant du XVI ième siècle.
Produits de qualité et amour des saisons
Accompagné du talentueux Damien Coche, Philippe Chevrier y concote une cuisine généreuse et cultive un amour inconditionnel de la convivialité. A Châteauvieux, ce sont ne sont pas les effets de mode, mais les saisons et leur temporalité naturelle qui sont au cœur de l’art culinaire. Dans cette ancienne ferme vigneronne superbement rénovée, le cadre fait la part belle à la chaleur des matériaux simples comme les pierres et poutres apparentes. L’écrin est rustique mais cosy et chic. Les tables blanches nappées et espacées, le bois, la cheminée : tout est là pour appeler à la détente et la sérénité. La terrasse, espace privilégié a la belle saison, offre une vue imprenable sur les vignes et le Rhône. Le jardin des plantes et le potager sont un véritable vivier d’inspiration avec les aromates, plantes, fruits et légumes de saison. Sous les couteaux des chefs, sont travaillés des produits de qualité pour révéler les arômes et les saveurs de matières généreuses. Viandes et volailles, poissons et crustacés sont à l’honneur des formules. Les menus subliment des aliments nobles comme le homard, le bœuf suisse des Alpages ou encore la truffe noire en hiver. On retient à la carte, la truffe noire de la Drôme cuite entière en chausson au foie gras, l’aile de raie bouclée poêlée a la farine de châtaigne ou encore le cœur de filet et petits farcis de bœuf des alpages suisse. En salle, c’est Esteban Valle qui met en scène les desserts avec des flambages et des découpages dont il a une parfaite maîtrise .Proposant près de 800 crus, la carte des vins, elle, est à tomber. A Châteauvieux, le voyage est des plus savoureux, loin du tumulte de la ville et idéal pour une pause nature hautement gastronomique. Le must : On peut même fumer des cigares dans le "fumoir" du domaine en savourant la digestion dans un fauteuil en cuir. Une escale d’exception et une invitation au rêve pour tous les amoureux de la campagne, de la simplicité et du bien manger.
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Fondé en 2008, Satsuki est une épicerie important 90% de ses produits du Japon, le reste provenant de l’Europe. Exclusivement en ligne à ses débuts, l’enseigne compte depuis 2012, un point de vente physique à Lyon.
Une offre complète et diversifiée
Satsuki dispose d’une offre comprenant 3000 références, sans oublier les conseils prodigués. On retrouve tous les ingrédients nécessaires à la préparation du sushi, de l’algue au riz, en passant par les graines de sésames, le gingembre et l’huile de soja. Les nouilles et les soupes figurent aussi en bonne place en matière de nourriture proposée. Tout comme les boissons, qu’elles soient alcoolisées ou non : le Ramuné (limonade), le célèbre Saké ou encore du Whisky (le seul parvenant à rivaliser avec le scotch).
Outre l’alimentaire, l’épicerie japonaise propose de la vaisselle et des ustensiles, en bois, en céramique ou encore en mélamine. Il y a également un large choix d’encens, des sels de bains, des patches chauffants, des produits de beauté et de bien-être, des poupées Kokeshi, de l’origami, des boites Bento (utilisés pour les repas), des figurines et des livres.
Des gammes spécialisées de thé vert biologique
Satsuki importe du thé vert biologique du Japon, grâce à deux grandes familles japonaises : les Hayashi et les Morimoto. La famille Hayashi produit du thé, cultivé sans pesticides, à Kirishima dans le sud du Japon depuis 1897. Le temps d’augmenter le nombre d’espèces de théier comme l’Asatsuyu, le Yabukita, le Kanaya Midori et le Zairaishu (tiré de plantes à graines de thé).
Dans la ville de Miyazaki, se trouve l’ile de Kyûshû et les jardins de thé vert biologique de la famille Morimoto. Cette dernière cultive sept variétés d’arbustes : le Yabukita, le Kanaya Midori, l’Oku Midori, l’Oku Yutaka, le Minimi Sayaka, le Sakimidori et l'hybride Assamica Benifuki.
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Isolée au beau milieu de la forêt domaniale de Mormal, le plus grand massif forestier du Nord, l’Auberge du Croisil offre une cuisine traditionnelle, avec des spécialités régionales. Dans ce sens, l’établissement met en avant les gibiers dès que la saison le lui permet. Le Croisil détient deux titres prestigieux : Qualité tourisme et Artisan en’or. Ce sont les gages d’un service de qualité en matière d’accueil, de savoir-faire, d’hygiène et de confort, et d’une cuisine fait-maison, avec des produits provenant du Nord-Pas de Calais.
Une véritable destination touristique
Le temps semble s’être arrêté dans ce petit manoir traditionnel de la forêt de Mormal. On y ressent l’âme d’une auberge d’antan, avec une décoration simple et sans superflu. Le ton naturel du bois prédomine la salle, des chaises au bar et même au niveau des murs. Tout cela fournit chaleur et confort au restaurant. Toutefois, certains seront plus à l’aise sur la terrasse ombragée, si le temps n’est pas trop capricieux. Le plaisir de la pureté de l’air et des chants d’oiseaux leur fera oublier les agitations et chahuts de la ville. Bref, c’est un lieu convivial pour se retrouver en famille et savourer la cuisine régionale.
Ce lieu se complète efficacement avec les sites touristiques aux alentours. Le plus près est le parc naturel régional de l’Avesnois avec ses arbres têtards, cours d’eau, ruisseaux, vergers en fleurs et rivières sinueuses. Tout un patrimoine qui lui vaut sa place parmi les 48 parcs naturels régionaux de France. L’ancien Jardin de Roseraie, appelé aujourd’hui Zoo de Maubeuge expose plus d’une cinquantaine d’espèces différentes qui attireront petits et grands. Pour les plus curieux, il existe un site archéologique de 2,5 hectares à Bavay dédié à la découverte de la cité antique de Bagacum. Le village de Maroilles qui fournit le fromage du même nom, fièrement présenté à la carte de l’Auberge du Croisil, est également un site touristique et historique à part entière.
Une cuisine traditionnelle régionale
L’équipe de l’Auberge du Croisil, dirigée par Edgar et Nathalie, accueille les convives avec une gentillesse caractéristique à la campagne. La carte du restaurant propose un peu de tout, mais elle met en valeur les produits du terroir. Le fromage Maroilles y est le meilleur ambassadeur de l’Avesnois, avec la flamiche au Maroilles et le filet de truite saumonée sauce crème Maroilles en entrée chaude. En outre, les gens y viennent pour le cassoulet ou encore la terrine du chef.
La maison est reconnue depuis près d’un an en tant qu’ « Artisan en’or » pour sa cuisine fait maison. C’est également la marque du savoir-faire culinaire dans le Nord-Pas de Calais, la maison étant spécialisée dans les gibiers. Effectivement, du mois d’octobre jusqu’en mars, le Croisil suggère à leur carte des terrines de gibier fait-maison, de la fricassée d’abats de gibier à l’Affligem ou encore un mijoté de biche à la forestière. Des saveurs à remonter avec du vin, issu des 82 références inscrites à la carte.
Une salle de réception pour différents évènements
La salle de l’Auberge du Croisil est apte à recevoir jusqu’à 80 personnes en formule assise pour divers évènements familiaux, ceux qui veulent un mariage champêtre ne seront pas déçus. Cela n’exclut pas les repas d’entreprises et autres évènements professionnels et privés. La terrasse reste également à disposition selon les besoins.
Il est toutefois à noter que ce service est indissociable avec les spécialités régionales en cuisine. Une proposition qui n’est pas du tout déplaisante lorsqu’on voit les 4 choix de menu en semaine et 4 en weekend.
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Brasserie typique du Nord, Le Passage Rihour, tenu par Françoise et Philippe, est une halte gourmande incontournable à Lille. On se laisse volontiers tenter par ses plats régionaux et traditionnels, sans pour autant payer le prix fort. Dans un cadre agréable et décontracté mettant l’accent sur l’accueil et l’efficacité du service, ce restaurant sis en centre-ville propose une carte éclectique faite pour plaire aux plus gourmands.
Des moules-frites et des produits frais
Avec sa spécialité maison, les moules-frites, Le Passage Rihour sait combler les papilles de ses clients. Ce plat bien apprécié du Nord y est servi à toutes les sauces : crème d’ail, marinière, maroilles, curry et autres. Proposant une cuisine traditionnelle et régionale, l’établissement mise également sur les produits frais avec ses plats à base de poissons pêchés la veille au niveau des côtes bretonnes et servis en quantité généreuse (400 g la portion). Turbos, lottes, soles, coquilles Saint-Jacques et autres produits de la mer sont préparés nature ou rôtis, avec de la sauce. Ces produits frais, arrivés tôt depuis la criée, se retrouvent justement sur le plat emblématique de la brasserie lilloise, qui répond au nom de La marée du Matin. Accompagné d’un risotto et d’une sauce, le poisson y est rôti. Et pour que l’on apprécie mieux les saveurs de ce dernier, le restaurant choisit volontairement de le servir séparément de sa sauce.
Des plats destinés aux adeptes de viande
Le Passage Rihour, c’est aussi des plats à base de viande bouchère. On y retrouve alors une intéressante sélection de burgers, mais aussi une carte de viande permettant de déguster du jarret de porc en grande quantité, de la carbonade flamande typiquement régionale, du potjevleesch, cette fameuse spécialité flamande signifiant littéralement petit pot de viande, ou encore du welsh, spécialité galloise préparée avec du cheddar fondu, et tout cela, fait maison.
Une brasserie classique à l’excellent rapport qualité-prix
Dans une démarche économique, la brasserie propose aussi en option une formule complète comprenant entrée, plat et dessert. Par ailleurs, elle met logiquement à disposition de ses visiteurs une sélection de vins issus de toutes les régions viticoles du pays au meilleur prix mais accompagnant merveilleusement les plats proposés. Et évidemment, comme toute brasserie qui se respecte, la sélection de bières est à ne pas rater (à consommer toujours avec modération).
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Tout commence en 2015, lorsque la famille Hiaut décide de reprendre une ancienne maison datant de 1869 située à cinq minutes des grottes de Lascaux. Le jeune couple met une année à rénover la bâtisse en apportant un vent de modernité à l’architecture construite en grande partie de pierre ancienne. Aujourd’hui, L’Évidence fait guise de chambres d'hôtes et ferme-auberge. Elle a la chance également d’abriter une ferme et un potager garantissant la fraîcheur des plats proposés dans le restaurant.
Un délice en pleine nature
Situé en plein milieu des bois, le domaine de la famille Hiaut est déjà très réputé pour sa bonne cuisine et son service, malgré son jeune âge. Le restaurant comprend une terrasse de 30 couverts et une salle intérieure de 30 couverts, où les convives peuvent apprécier dans un calme extraordinaire les plats concoctés avec amour par le chef de famille, Alexandre Hiaut tout juste âgé de 26 ans. Ce dernier qui a penchant pour le foie gras, le travaille en toute simplicité. À vrai dire, Alexandre n'hésitera pas à vous faire partager sa passion . En salle, la maîtresse de maison, Marion Chevallier, vous accueille avec son joli sourire et sa gentillesse. Chaque assiette que le couple suggère dans la carte a son petit secret, mais la signature du restaurant reste la fameuse tourtière de canard (confit de canard émietté, sauce tomate, pâte feuilletée) accompagnée d’une bonne salade. Pour le dessert, les fruits issus de l’exploitation agricole familiale sont servis frais tous les jours. Un des desserts préférés des habitués du restaurant est la Gaufre à l’ancienne, recette qu’Alexandre Hiaut a hérité de son grand-père.
Une maison où il fait bon vivre
L’Évidence sait ce que les gens veulent, et le partage avec plaisir à travers le savoir-faire familial. Il faut tout de même rappeler que le restaurant n’ouvre que le soir, ce qui n’empêche pas aux amateurs de cuisine de terroir, d’apprécier le charme de la verdure surplombant le domaine. Il est possible d’y passer tout un week-end, quatre chambres y sont disponibles toute l’année, avec l’accès à un spa (ouvert aux non-résidents). Des soirées à thème sont souvent organisées pour marquer les grandes occasions, avec, bien sûr, des plats adaptés à tous les budgets et pour tous les âges. Il est toujours conseillé d’y réserver sa place, même pour un simple dîner. Une chose est sûre, la famille Hiaut aussi jeune soit-elle, sait et saura prendre soin de chaque personne !
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Un vignoble inspiré et des vins enchanteurs
Elevés sous l’appellation AOC et certifiés "Agriculture Biologique", les vins du domaine mûrissent dans l’intimité de caves troglodytes, caractéristiques de la région. Avant cette étape, les exploitants cultivent avec soin leurs cépages de Cabernet Franc, de Chardonnay et de Chenin. Travail manuel, traditionnel et technologies s’accordent naturellement sur une terre respectée, du sol aux fruits. Les caves du domaine abritent des cuvées de rouges ronds et affirmés (élevées en AOP Saumur-Puy-Notre-Dame), de blancs fruités et peuvent aussi tirer fierté de leurs "Pétillants naturels", dont les bulles fines se libèrent dans une expansion de fraîcheur et de notes fruitées. Les portes de l’Enchantoir se poussent sur rendez-vous, le temps d'une visite et d'une dégustation savoureuse.
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Situé en plein cœur de Paris, dans le 20e arrondissement, le restaurant Abyssinia est une invitation à la découverte d’un pays envoûtant qu’est l’Éthiopie. Les gérants, chaleureux et toujours prêts à vous servir, vous invitent à partager des plats exotiques amoureusement mitonnés par Tesfaye Kidane.
Pouvant accueillir quarante couverts, la salle est ornée de peintures et de masques africains. Dans des tons de marron et de blanc, elle offre un contraste parfait entre modernité et tradition. Masenqo, krar et kissar (des instruments de musique éthiopiens) peaufinent cette décoration atypique. Voyage hors frontière garanti !
Des plats hautement recommandés…
Ici, tout le monde y trouve son compte. Les plats aux noms énigmatiques émerveilleront vos papilles. Les épices, une valeur sûre dans la cuisine éthiopienne, promettent saveur et authenticité. Vous pouvez avoir une confiance aveugle en l’équipe qui vous aiguillera dans vos choix. Parmi les suggestions avancées par la maison, figurent par exemple le samoussa ou l’azifa (purée de pois chiche) en entrée, le Key Wot (ragoût de bœuf) ou le dorowot (poulet mariné) en plat de résistance et le baklava éthiopien (une sorte de mille-feuille trempé dans du miel) en dessert. Veillez à bien vous nettoyer les mains avant, car « ici, on mange avec les doigts », précise Monsieur Kidane, le propriétaire. Le concept est simple et unique : chacun commande son plat puis le tout est rassemblé sur un grand plateau pour cinq personnes dans lequel tout le monde pioche ici et là pour goûter aux plats des autres.
Des avis enthousiastes…
La maison se préoccupe particulièrement de la satisfaction de ses clients. Ces derniers ressortent de l’établissement avec le sourire aux lèvres et des souvenirs plein la tête. Ceux qui sont déjà venus reviennent avec entrain et conseillent l’enseigne aux amateurs de gastronomie tropicale… « Dans notre restaurant, vous découvrirez un petit bout de l’Éthiopie », déclare notre interlocuteur.
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Aménagée à cheval sur le Minervois et La Livinière, l’exploitation est dans la famille Mignard depuis les années 50. Le petit-fils Christian a repris une partie des parcelles en 2002, pour en faire un domaine répondant à la vision inspirée par l’un de ses mentors à l’école de viticulture : petit, autonome et prônant la qualité, celle du terroir en particulier.
Minervois La Livinière, les singularités d’un terroir
Tombé petit dans les traditions viticoles et ayant eu à cœur de parfaire ses connaissances via un parcours Viticulture –Œnologie, Christian Mignard gère son domaine de 22 hectares avec une remarquable précision. Il sait parfaitement tirer profit des variations pluviométriques et thermiques dont jouissent ses vignes, perchées entre 130 et 200 m sur les flancs de Siran. Ses cépages poussant sur des sols argilo-calcaires font, depuis 2012, l’objet d’un entretien respectant les exigences de l’agriculture biologique. Le vigneron distille des opus sur les créneaux AOC Minervois et Cru La Livinière et ce, à travers des processus de vinification bio.
Les vins du Château Mignan : bio et attachés au terroir
Dans le chai du Château Mignan, la sélection des cépages et la composition des gammes de vin constituent des affaires très sérieuses. « […] un blanc d’appellation est toujours constitué de trois à quatre cépages de blanc, si on veut faire quelque chose de bien, de bon, de régulier », précise d’emblée Christian Mignard. Le Minervois blanc produit sur son domaine est un mariage d’équilibre entre Marsanne, Roussane, Vermentino et Grenache blanc. La gamme inclut, de temps en temps du rosé, ainsi que la cuvée tradition Pech Quisou rouge à coté de laquelle on retrouve la cuvée Aurus, une édition de haut de gamme. En Cru La Livinière, L’Œil du Temps se révèle comme une interprétation unique de son terroir. Le mariage de Syrah et de Grenache s’entoure d’exceptionnels arômes de fruits rouges, de réglisse et d’aubépine. Cette grande cuvée persiste longuement en bouche avec son corps structuré fait de souplesse et de raffinement.
Château Mignan, des vins à la carte de restaurants étoilés Michelin
A Narbonne, le restaurant de Lionel Giraud, La Table de la Maison Saint-Crescent (2 étoiles Michelin) affiche fidèlement les crus de la Maison Mignard à sa carte des vins. Le Château Mignan fait également l’objet de sélections rigoureuses du Meilleur jeune sommelier de France, Albert Malongo. Ultime reconnaissance, à Fontjoncouse, à la table du 3 étoilés Michelin de Gilles Goujon, L'Auberge du Vieux Puits où l'on retrouve l'Oeil du Temps. Bref, des vins fortement appréciés dans les meilleurs restaurants de l'hexagone mais également en Suisse, Allemagne, Belgique, Chine, Japon, Thaïlande, Russie, Qatar et bientôt chez vous en commandant cette fois-ci sans intermédiare et en direct à la Propriété de Christian Mignard.
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Lancée par la coopérative vinicole de Colombé-le-Sec et ses environs, la marque Charles Clément travaille sur un vignoble s’étendant sur 120 ha selon un encépagement à majorité de pinot noir. Les champagnes sont issus d’un sol argilo-calcaire, très fertile et qui a la particularité de bénéficier d’un ensoleillement généreux.
Un savoir-faire unique
Afin de produire des champagnes de grande qualité, la marque Charles Clément mise avant tout sur le respect du savoir-faire traditionnel et la maîtrise de tout le processus d’élaboration du champagne. Pour cela, elle n’hésite pas à utiliser des équipements à la fois modernes et performants tels que des pressoirs pneumatiques, des celliers de stockage climatisé, des cuveries en inox…Chaque étape est réalisée avec minutie. Par ailleurs, les cuvées atteignent leur plein équilibre au terme d’une très lente maturation en cave. Ceci vaut en particulier pour les millésimes.
Les spécialités de la maison
La cuvée tradition, la cuvée blanc de noir, la cuvée spéciale et la cuvée nature figurent parmi les incontournables de la maison Charles Clément. Élaborée avec 50 % de pinot noir, 30 % de chardonnay et 20 % de pinot Meunier, la cuvée tradition est typique du terroir. Elle présente des arômes de fleurs blanches accompagnés d’une palette d’arômes lactés. Cette cuvée revêt une robe brillante avec des reflets dorés. L’attaque en bouche est franche et donne une sensation croustillante. À déguster à l’apéritif mais également pour accompagner des viandes blanches ou des plats légers. Ensuite la cuvée blanc de noir, élaborée exclusivement à partir de pinot noir, est sans doute la plus représentative. « Nous avons 80% du vignoble qui est en pinot noir, donc c’est un produit incontournable chez nous », explique M. Loïc LEFEVRE, le responsable commercial. Puis, la cuvée spéciale qui fait partie des cuvées haut de gamme est élaborée avec 70 % de chardonnay dont 25 % de vin de réserve et 30 % de pinot noir. D’une grande finesse et légèreté, ce champagne s’habille d’une robe dorée et éclatante. Cette cuvée enveloppe des arômes de melon et de fruits blancs (poire) agrémentés d’une touche épicée. En bouche, celle-ci est structurée et charnue. Enfin, dernière-née de la marque Charles Clément, la cuvée Millésime 2007« Natura » est issue d’un assemblage de 42 % de chardonnay, de 36 % de pinot noir et de 22 % de pinot meunier. « Il s’agit d’un brut nature, sans aucun dosage ni rajout à la fin », précise Loïc LEFEVRE.
Un site, un label
La maison Charles Clément ouvre toute l’année et organise régulièrement des visites et des dégustations gratuites. « Nous avons une cave labélisée Vignoble et découverte qui est un véritable atout au niveau œnotouristique », souligne fièrement notre interlocuteur. Concernant les événements, deux randonnées figurent au programme de cette année et auront lieu respectivement le 27 juillet et le 10 août 2018. Enfin, la maison lance « le vendangeur d’un jour », un concept nouveau où les touristes sont invités à rejoindre les vignes pour faire de la vendange. Une visite et une dégustation viendront clôturer en beauté cette singulière expérience.
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Situé dans l’aire d’appellation de Bordeaux et de Côtes-de-Bordeaux, le Château du Garde est né en 1925 sous l’impulsion d’Antonio Subra. L’agriculteur d’origine espagnole a pratiqué toutes sortes d’activités agraires sur son exploitation avant de se consacrer exclusivement à la vigne. Aujourd’hui, Jean-Benoît Subra a repris les rênes avec pour objectif de produire des crus de haute volée qui rendent hommage à leur appellation.
Place à l’agrobiologie
Les 35 hectares du Château du Garde bénéficient de toutes les conditions requises pour assurer le développement du merlot, du cabernet franc, du cabernet sauvignon, du sémillon et du sauvignon gris. Les sols argilo-limoneux présentant des traces de graves disposent des substances nutritives essentielles à la création de vins de terroir notamment grâce à un traitement qui se veut plus respectueux de l’environnement. Le Château du Garde certifié Haute Valeur Environnementale 3 a toujours tenu à cultiver ses terres selon une démarche de développement durable.
Un grand vin de Bordeaux
Proposant une vaste gamme de vins en rouge, en blanc et en clairet (vin rouge clair, historiquement inventé par les anglais), le domaine a sorti en 2015 une nouvelle cuvée qui fait sa fierté. Le « Château Rauzé Lafargue » est un vin solaire en AOP Côtes de Bordeaux, issu d’un assemblage de merlot, de cabernet franc et de cabernet sauvignon. Ce rouge à la robe rubis profonde et veloutée dévoile des arômes frais et fruités. En bouche, il éveille les palais avec sa belle structure et sa sucrosité avec une finale soyeuse et enrobée.
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Au départ de l’aventure, le Vélo du Soir parcourt les rues de Paris avec son triporteur pour proposer aux salariés des entreprises des paniers à cuisiner pour l’apéritif ou le diner. Quelques années plus tard, fort de son succès, la start-up continue de proposer des produits de qualité, modernes et originaux, à des tarifs compétitifs mais s’est spécialisée dans l’organisation d’événements de petites ou de grandes entreprises. Vous pourrez faire appel à ses services pour des petits-déjeuners, des apéritifs, des cocktails ou des buffets.
Le concept du Vélo du Soir
Le Vélo du Soir a développé un nouveau concept de traiteur événementiel en privilégiant les circuits courts et la collaboration avec de petits producteurs ou des artisans soigneusement sélectionnés.
Ainsi lors de vos buffets ou vos cocktails, vous pourrez déguster des créations simples et modernes, confectionnées à partir de produits du terroir, de produits frais, de produits de qualité. Aucun produit industriel ni aucun produit surgelé.
Vous pourrez savourer des compositions culinaires savoureuses respectant les saveurs authentiques des produits bruts qui sont mis à l'honneur : rillettes de thon et de saumon de la conserverie familiale Furic, olives Kalamata de la maison Kalios, jambon de Bayonne de la Ferme Elizaldia, Médaille d'Or du Concours Général, mozzarella, pesto et porchetta issus de coopératives italiennes. Au niveau boisson, vous pourrez gouter à des jus de fruits frais, à des bières produites par des microbrasseries, des thés issus d’une start-up ou encore du champagne Marquis de Pomereuil du Domaine familial des Riceys, dont le Vélo du Soir est le seul distributeur dans Paris intra-muros.
Vous pouvez donc composer votre buffet avec de nombreux produits choisis dans la palette variée de ceux proposés.
Le Vélo du Soir vous fait bénéficier de tarifs performants, avec possibilité de location de vaisselle, de verrerie, de nappes, voire de compositions florales. Le service par des serveurs compétents et professionnels est également proposé par la start-up.
Le vélo triporteur des débuts est toujours le symbole de l’entreprise, il participe à de nombreux événements en tant qu’animation.
Avec le Vélo du Soir, vous êtes sûrs de savourer des produits dont la fraicheur et le gout seront au-rendez-vous, dans des ambiances conviviales.
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Avec des caractéristiques de bière très spécifiques, la Brasserie artisanale du Sud a forgé sa réputation sur un mode de brassage très particulier qui la distingue des autres brasseries. « Nous faisons partie des rares brasseries artisanales à produire des bières de garde en France », affirme Fabienne Delorme, responsable commerciale. Ces bières de garde se distinguent surtout par leur finesse et leur fluidité, avec un processus de fermentation secondaire qui affine les arômes à froid (0 °C) durant 3 ou 4 semaines.
Elles sont 100 % naturelles, sans aucun adjuvant, et sont principalement composées des matières premières fondamentales de la bière qui sont l’eau, les céréales, le houblon et les levures.
Des bières aux noms évocateurs
« C’est à partir des points caractéristiques qui lui sont propres que notre brasseries a développé une gamme de bières classées selon leurs moments de consommation et non selon leurs couleurs comme c’est souvent le cas dans le domaine de la bière », précise Fabienne Delorme.
C’est ainsi que sont nées plusieurs familles de boissons aux noms évocateurs. Pour apaiser une grande soif, les bières de désaltération appelées aussi les Mange-Soif, déclinées en blonde et blanche, sont à l’honneur. En soirée ou lors d’un apéritif, les bières de convivialité appelées les Songe-Fête, avec des notes aromatiques marquées, sont idéales. Les bières de dégustation nommées Chante-Saveurs, des brunes, légères, sans sucre ajoutée, aux notes aromatiques de café et de caramel, font le bonheur des épicuriens.
L’enseigne brasse également une deuxième bière de dégustation de 7° lancée à l’occasion de son 7e anniversaire, qui est d’inspiration abbaye.
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Installé en plein centre de Saint-Étienne, non loin de l’intersection de la rue Léon Nautin et celle des Martyrs-de-Vingré, l’Absinthe Café est le lieu d’une cuisine moderne, originale, aux inspirations thaïlandaises et japonaises. Le propriétaire des lieux David Durand, et son associé et chef Thomas Jacoud, ont fait de ce café de quartier piéton, une adresse de dégustation gastronomique attirant du beau monde.Les convives de passage profitent ici de plats revisités aussi succulents les uns que les autres.
Des plats originaux et variés
Dans cet univers culinaire, les hôtes prennent placent à des tables, n’attendant plus que les douceurs élaborées aux fourneaux par Thomas Jacoud. Ce chef qui est passé par une école hôtelière traditionnelle, des stages dans de belles maisons gastronomiques et restaurants étoilés, orchestre avec soin une cuisine originale qui change au fil des saisons, avec mise en avant des produits du terroir stéphanois.
La maison propose à cet effet, des plats signatures tels que la tarte fine de morilles au parmesan et à l’huile de truffes comme entrée, ou encore le filet de bœuf français et son jus, pommes dauphines maison comme plat principal. Ce dernier est une interprétation du classique bœuf bourguignon. Il est fait à base de bœuf mijoté longtemps à feu doux pour donner une viande compotée à la texture effilochée, tendre et fondante en bouche, accompagnée de lardons et d’oignons. Des bouchées revisitées sous la forme de makis de bœuf bourguignon. Pour la garniture, en guise d’algues qui rappellent l’inspiration du chef pour la cuisine japonaise, des spaghettis de carotte. La composition forme un ensemble original avec au centre du hachis de bœuf accompagné de lardons et d’oignons. Des makis servis avec des pommes dauphines.
Parmi les desserts signatures, le « croustillant de marron meringué ». Ce dessert est orchestré à partir d’une pâte à langue de chat très fine dans laquelle on met une mousse de marron. Le biscuit est ensuite roulé dans la meringue italienne, puis dans un craquant au praliné.
Les clients apprécient d’autres délices comme « La minute de saumon » qui est un plat du midi reflétant l’identité de l’Absinthe Café. Ce dernier est élaboré avec un saumon levé et finement découpé comme un carpaccio qu’on étale dans une assiette, puis passé au four quelques minutes pour être mi-cuit. Le tout est recouvert d’une sauce beurre d’aromate composée à partir d’échalotes, de citron vert, de sauce soja et beurre noisette.
Egalement à la carte, des recettes asiatiques comme le tataki, ou encore le dashi qui est un potage japonais.
Une carte des vins raffinée
L’absinthe est la boisson phare de cette généreuse adresse aux allures de bar, et à l’ambiance décontractée. Plusieurs variétés de ce spiritueux y sont servies, toujours de manière classique à l’aide de grandes et magnifiques fontaines, dans des verres traditionnels accompagnés d’une cuillère et de sucre. Les convives peuvent ainsi profiter d’une dégustation d’absinthe classique, de grande absinthe, d’absinthe parisienne, fait Suisse, et même à la française pour ceux qui exige la qualité. A cet effet, nous avons des noms tels que la Fée XS Suisse, l’Absinthe Pernod, et la Fée Parisienne.
Egalement des vins rouges à la carte avec l’AOC Gigondas Saint-Joseph, qui se marie bien avec le filet de bœuf français et son jus, pommes dauphines maison. L’élaboration de celui-ci passe par un encépagement au Syrah, roussanne ou marsanne. Équilibré et élégant, c’est un vin fin à la robe pourpre soutenue, dégageant des senteurs de cassis et framboise évoluant vers une note de réglisse et de cuir.
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Une nouvelle aventure au cœur de la Provence verte
Avec une branche de sa famille en Bourgogne, Harry avait déjà un pied dans le monde du vin. Il a pourtant fait toute sa carrière dans l’univers de la finance et de la programmation informatique. Tout juste sorti d’une société éditrice de solutions logicielles, qu'il avait créée à destination des traders sur les marchés financiers, il achète un domaine viticole en Provence. « Avant de me jeter corps et âme dans le monde du vin, j’ai travaillé une quinzaine d’années sur les marchés financiers entre Londres, Paris, New York et Bruxelles, puis une quinzaine d'années dans le monde des logiciels. Il y a de nombreux parallèles à faire entre ma première vie et la vigne. Par exemple, même si l'on ne maîtrise pas tous les paramètres, il faut réussir à mettre en place certaines méthodologies pour créer quelque chose qui soit nouveau et, dans le cadre du vin, séduisant pour le consommateur. »
Toute sa vie, il a cherché de nouveaux challenges, préférant la complexité à la facilité, explorant au cours de sa carrière des univers qui lui étaient inconnus. « Ce récent bouleversement vient d’une volonté de changer complètement de rythme de vie. Je voulais travailler avec Céline sur un projet concret, très local. » Au lieu de défendre l’économie numérique française, il s’emploie aujourd’hui avec son équipe à protéger le patrimoine agricole et viticole de sa région d’adoption.
« On ne touche que très peu nos vins »
Situées à flanc de coteau sur un sol principalement argilo-calcaire exposé plein nord, à l’exception de quelques parcelles plus limoneuses en pied de vallée, les vignes du jeune viticulteur jouissent d’une belle exposition au soleil tout en profitant de la fraîcheur du mistral qui balaie cette région du sud de la France.
L’ancien propriétaire avait, avant de se séparer de son domaine, replanté l’intégralité des cépages et travaillait depuis ses débuts la terre manuellement. Bien avant la certification Agriculture biologique ( AB ), que le domaine a obtenue en 2014, les syrah, grenache et sauvignon s’épanouissaient déjà sur une terre vierge de tout intrant chimique. La Mongestine travaille aujourd’hui avec une douzaine de cépages, principalement des AOP coteaux-d’aix, plantés à flanc de colline et à l’orée de la forêt qui domine la vallée. Harry a gardé les bonnes méthodes de son prédécesseur et la même équipe pour continuer à s’occuper des vignes. Cette conduite du plant très rigoureuse se note visuellement lors d’une visite du domaine : au lieu de pieds plus sauvages, une caractéristique des plantations biologiques classiques, les trente hectares plantés sur les 120 ha du domaine affichent des rangées bien droites, très alignées. En cave, Harry ne travaille qu’avec des levures indigènes, permettant à chaque cépage d’exprimer librement toute sa palette. Les jus sont très peu sulfités et du coup beaucoup plus ouverts, plus expressifs. Ces conditions donnent des vins aux degrés alcooliques stables, autour de 13°. Grâce à une fermentation poussée, ils gardent une très bonne tension et une jolie structure et, particulièrement sur les rosés, une rondeur presque soyeuse. « On essaie de travailler à la limite de ce que le terroir peut exprimer des cépages et sans prendre trop de risque en termes de transport et conservation. Par exemple, on arrive à avoir sur des rosés, qui font souvent moins variés que des rouges ou des blancs, des vins qui sont justement différents et qui peuvent exprimer pleinement ce terroir provençal. »
Une nouvelle cuvée surprenante
Le domaine de la Mongestine a récolté en 2017 sa première cuvée IGP coteaux-du-verdon. Vinifié en mono-cépage dans trois couleurs (roussanne, pinot noir, merlot) et destiné à être commercialisé en entrée de gamme, le millésime s’est montré particulièrement expressif et très aromatique, au-délà des espéran...
Les mots ne seront jamais suffisants pour décrire toute la splendeur de cet endroit qui, ne serait-ce qu’au regard, vous aide à atteindre le « nirvana ». Imaginez un déjeuner sur une terrasse bordée par une rivière, la valse de ce ruissellement qui vous berce pendant que vous vous régalez de la truite au bleu du vivier.
Une cuisine du terroir
Il est de coutume chez les Arcé que l’homme soit aux fourneaux et la femme à la réception. Pascal et Christine travaillent donc de concert pour faire tourner cet établissement. Installée à la place de l’ancien trinquet, la table du restaurant présente des plats colorés et ce n’est pas qu’une simple façon de parler. Les cuisiniers aiment chouchouter les plats en soignant le visuel.
La cuisine du chef s’inspire des saisons et met en valeur les produits du terroir. Ainsi, il se lie de partenariat avec les habitants de la vallée pour l’acquisition des truites. Lors d’une commande, cette dernière est capturée dans la Nive des Aldudes, devant le regard émerveillé du client. Moins spectaculaire mais aussi succulente, la truite de Banka commandée auprès de la célèbre pisciculture Goicoechea saura enchanter vos papilles. Elle est cuisinée sous plusieurs formes : en carpaccio, en tartare, cuite… Autre spécialité de la maison : « l’Agneau de lait en fricassée, artichauts violets à la barigoule, pomme de terre vitelotte, jus réduit au thym » qui fera le bonheur des gourmands et gourmets. Et en dessert, savourez le « Praliné Bayonne-Baïgorry, choux crème au praliné, glace et tuile aux amandes ». Ce menu est surement celui qui reflète le mieux la cuisine typique du terroir basque.
Une nature paradisiaque qui offre mille et une activités
Qui ne désire pas s’évader du rythme infernal des métropoles, de la pollution urbaine ? Vous avez longtemps cherché un endroit qui soit à la hauteur de vos attentes, celui-ci sort tout droit de vos rêves. Dans un décor de carte postale ou de fond d’écran pour les plus jeunes, la maison Arcé se présente comme un havre de paix. Le dépaysement est assuré, surtout si vous optez pour un séjour.
Ce vaste espace est idéal pour une virée en amoureux, entre amis ou une réunion de famille. Plusieurs activités sont proposées à l’intérieur comme à l’extérieur du domaine Arcé.
En plus de la piscine chauffée et du terrain de pétanque, cet environnement authentique de Saint-Étienne-de-Baïgorry offre différentes possibilités en matière d’activités ludiques et sportives. Le relief est particulièrement propice à la randonnée pédestre ou équestre et Christine Arcé aura le plaisir de vous expliquer les différentes balades pouvant s’enchainer entre le pic du Jara, le mont Hautza, l’Oilarandoy avec la chapelle Notre-Dame, le col d’Ispéguy et autres sites aussi extraordinaires les uns que les autres. Vous découvrirez lors de vos promenades les porcs pies noirs en montagne ou encore les pottoks, petits chevaux sauvages du Pays Basque. Pour les plus courageux, il est tout à fait possible de faire du VTT, de la trottinette tout terrain, du tandem mais également un baptême de parapente au Baïgura, à Hélette.
Vous pouvez également faire une halte à Biarritz ou à Saint-Sébastian pour visiter leurs musées de la Mer. De nombreuses autres activités existent, comme le karting à Briscous, le spectacle de vaches landaises à Saint-Jean-le-Vieux, l’initiation à la pêche à la mouche... Bref, il y en a pour tous les âges et pour tous les gouts. Vous aurez donc une journée bien remplie, voire plus, et gagnerez en sérénité et en bien-être.
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Installée dans les anciens Haras nationaux, datant de l'époque de Louis XV, La Brasserie Les Haras fait actuellement la fierté de tout Strasbourg. Ouverte depuis 2013, elle s’est construite une réputation qui n'est plus à faire que ce soit au niveau national qu’international. En effet, l'établissement a remporté en 2014 le prix du meilleur design de restaurant au monde. En 2015, il a été sacré "meilleure brasserie" par le célèbre critique gastronomique Gilles Pudlowski dans son Pudlo Alsace 2015. Et au début de cette année 2016, la qualité de sa cuisine a valu une assiette auprès du Guide Michelin. A la tête de ce succès, le chef à trois étoiles Marc Haeberlin supervise une équipe gagnante composée du brillant Maxime Muller comme directeur d'exploitation, le surprenant chef François Baur en cuisine appuyé par la créative Tinh Tran, la maestro de la pâtisserie et enfin, Guillaume Zehnacker, le magicien des cocktails.
Un endroit qui éblouit les yeux...
Une fois la porte franchie, un univers qui fascine et qui enivre en même temps se dessine. Dans ce décor rustico-chic signé Patrick Jouin et Sanjit Manku de l'agence Jouin Manku, un luxe inspiré par la sobriété du monde équestre est mis en avant. Dès l'entrée, la convivialité et le partage sont à l'honneur. Au milieu de la salle, un bar sympathique et un espace Lounge avec fauteuils en cuir et quelques tables pour servir les apéritifs ont été installés. Au fond, une cuisine circulaire ouverte offre un spectacle des plus réjouissants. Mais, l'élément le plus impressionnant dans ce décor est l'imposant escalier circulaire qui se dresse au milieu de la salle, à quelques pas du bar. Véritable pièce maitresse de l'établissement, il semble être suspendu dans les airs ou en apesanteur. En empruntant ce fleuron architectural, on accède à l'arène du service au premier étage. Tout comme le rez-de-chaussée, la décoration démontre le parfait mariage du traditionnel et de la modernité. L'ambiance est toujours aussi chaleureuse et la lumière tamisée apporte une petite touche de douceur à l'ensemble. Sur les deux niveaux, La Brasserie peut accueillir jusqu'à 150 personnes dont 20 places dans la salle privée Yourte. Et durant l'été, la terrasse propose 110 couverts dans la paisible cour intérieure de ce monument classé historique depuis 1992.
Une cuisine qui ravit les papilles...
Tout cet esthétisme se découvre également au travers des plats. A la tête de la brigade, le chef François Baur veille à ce que chaque met soit digne de la beauté des lieux. Doté de ses plusieurs années d’expériences auprès de grands établissements gastronomiques, il a su affiner son empreinte culinaire. Aujourd’hui, c’est auprès de La Brasserie Les Haras qu’il exploite son talent en proposant des plats savoureux et originaux. Fidèle à « l’esprit brasserie », il reprend les grands classiques de la cuisine française tout comme les spécialités alsaciennes en y apportant une petite touche de modernité. Etant un aventurier, il n’hésite pas à s’inspirer de la cuisine du monde pour proposer des plats aussi créatifs que savoureux.
A la carte, les convives découvrent le nouveau goût du foie gras de canard Haeberlin au chutney mangue aigre-doux avec une brioche tiède en entrée, du fameux burger d’agneau épicé aux épices d’orient ou du tronçon de lotte cuit dans un beurre blanc au rhum et quinoa à la pomme de granny smith, pour ceux qui préfèrent les poissons, en plat de résistance et le succulent tiramisu pomme vanille en dessert.
Le midi, les convives pourront opter pour le menu du jour allant de 31 € à 36 €. Pour accompagner dignement les plats, la carte de vins recèle quelques pépites. Signée Serge Dubs, le célèbre sommelier, elle présente environ 120 références. Le tout servi par un personnel chaleureux et sympathique sous la supervision de Philippe Schmermesser.
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Tout commence en 1945, année où René Lacave plante ses premières vignes. Par la même occasion, il se spécialise dans le greffage et la multiplication de plants de vigne et devient pépiniériste viticole. Trois générations plus tard, c’est toujours avec la même passion que la famille Lacave travaille ses terres et ses vignes. La gestion du domaine est aujourd’hui confiée à Sonia et à son frère Jérôme. Et leurs parents Francis et Michelle sont là pour apporter leur savoir-faire et leur expérience. Ici, la vigne est une affaire de famille et il n’y a aucune raison que cela change !
Honneur aux cépages locaux
Le domaine de Lartigue travaille sur un vignoble d’une superficie de 51 hectares, réparti sur deux sites différents. Une partie profite des coteaux ensoleillés du Bas-Armagnac, reposant sur un sol à dominante boulbène (limon et sable), tandis que l’autre pousse sur des sols argilo-calcaires de l’Armagnac-Ténarèze. « Nous disposons de terroirs qui se prêtent particulièrement bien aux cépages locaux », précise Sonia.
En effet, l’encépagement est constitué à 80 % de cépages blancs typiques de la région, tels que le colombard qui procure aux vins des côtes de Gascogne leur côté fruité et aromatique, le baco (cépage hybride unique au monde, né du croisement entre la folle blanche et le noah), l’ugni blanc, le petit manseng, le gros manseng ainsi que le chardonnay, le pinot gris et le sauvignon blanc. Les 20 % restants sont dédiés aux cépages rouges : marselan, merlot, tannat, cabernet-sauvignon et syrah.
Du plant de vigne au vin
Étant à la fois producteur de plants de vigne et viticulteur-récoltant, le domaine de Lartigue maitrise parfaitement toute la chaine de production. Le travail de la vigne se fait dans le respect des traditions mais aussi de l’environnement.
Depuis quelques années, la famille Lacave applique une viticulture raisonnée qui donne naissance à des raisins sains et de qualité, reflétant toute la typicité du terroir. Apport d’engrais organiques, effeuillage, enherbement, techniques de piégeages appuyés par des données météorologiques fiables pour éviter l’usage d’insecticide… Le domaine ne lésine pas sur les moyens afin d’assurer une production qualitative. Certaines parcelles font même l’objet d’une expérimentation pour le moins originale. Afin d’aider les vignes à lutter contre les maladies, on diffuse tout bonnement au niveau de ces parcelles de la musique classique à des horaires bien précis. « Grâce aux effets des vibrations produites par la musique, la vigne développe une résistance face aux maladies comme l’esca qui ravage les vignobles gersois depuis une dizaine d’années », nous révèle-t-on.
Côté vinification, la même rigueur et le même souci de la qualité ont poussé le domaine à combiner savoir-faire ancestral et technologie moderne. Avant d’atteindre leur pleine maturité, les baies font systématiquement l’objet d’une analyse gustative poussée. Une fois récoltés, les raisins passent par un schéma classique de vinification : d’abord une macération pelliculaire puis un pressurage pneumatique avant le débourbage, la stabulation à froid (de 10 à 12 jours), la fermentation à basse température afin de préserver la finesse des arômes. Et pour terminer, un élevage sur lies donnant lieu à des vins complexes et bien structurés.
Une large gamme de produits
Le domaine présente une riche gamme de produits, incluant des vins des côtes de Gascogne, des flocs de Gascogne et des armagnacs qui font la fierté de la maison. Fruités et légers, les vins de Gascogne se déclinent en blanc, rosé et rouge.
Moins connu mais tout aussi savoureux, le floc de Gascogne est, quant à lui, élaboré à partir d’un mélange subtil de jus de raisin et d’armagnac. En blanc ou en rosé, celui-ci reste un produit authentique, qui fait l’objet d’une appellation d’origine contrôlée.
Enfin, la maison garde le meilleur pour la fin et dévoile ses armagnacs, et surtout une collection exceptionnelle de vieux millésimés...
Champignon Capricieux et ruisseau nonchalant
Si l'homme cultive la vigne aux quatre coins du Globe, il est un phénomène unique au Monde qu'il ne peut domestiquer : le développement sur les raisins du champignon Botrytis Cinerea responsable de la Pourriture Noble des vins liquoreux de Sauternes.
Pour que ce champignon capricieux se développe harmonieusement sur des raisins mûrs, il lui faut une alternance de matinées automnales humides et d'après-midi ensoleillés. Sans la présence de la première, le champignon ne se déploie pas et il se transforme en vulgaire pourriture grise sans l'assistance du second.
A Sauternes, les conditions de développement du Botrytis Cinerea sont assurées par le Ciron, un affluent nonchalant de la Garonne qui enveloppe, à l'approche des vendanges, le vignoble de brumes matinales.
Le champignon s'accroit alors et crée de nombreuses microfissures dans la paroi de la baie : cette dernière devient le siège de processus enzymatiques qui vont baisser l'acidité du moût et élaborer des arômes propres à la Pourriture Noble. En fin de matinée le brouillard cède sa place au soleil qui sèche les raisins et interrompt le développement du champignon. Les microfissures laissent s'évaporer l'eau contenue dans le raisin dont le volume diminue et la concentration en sucre et en arômes augmentent naturellement. Le lendemain le soleil succèdera à nouveau aux brumes matinales...
La Pourriture Noble au Château Grillon
Pour que l'alchimie soit parfaite, il convient non seulement que les raisins soient parfaitement mûrs avant que ne se développe le Botrytis mais aussi que les brouillards matinaux soient le plus intenses possible à l'approche des vendanges.
Or, le château Grillon est idéalement situé au faîte du plateau Calcaire de Barsac en son extrémité Nord : cette élévation et la texture du sol assurent un drainage naturel idéal pour la maturation des raisins.
De Plus, c'est au Nord du plateau que circule le Ciron, à moins de 200 m des premières parcelles du château.
A Grillon, la Pourriture Noble a trouvé sa terre promise !
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Situé à 1,5 kilomètre d’un tronçon de la Loire classé « Patrimoine Mondial de l’Unesco », et à quelques minutes seulement du centre-ville d’Angers, le restaurant Les Bateliers est un établissement proposant une cuisine traditionnelle revisitée. Cuisine orchestrée par le chef Dominique Lepage, également un des deux propriétaires des lieux avec Didier Salmon. Ceux-ci tiennent le restaurant depuis 11 ans, et bénéficient d’une situation idéale entre vignobles et lieux touristiques.
Cuisine du terroir, cuisine régionale
L’établissement met tout d’abord en avant une cuisine traditionnelle basée sur les produits de saison. Et donc, la carte change chaque mois, et le produit le plus en vue est toujours mis en valeur dans les plats. Plus récemment, était à l’honneur un produit phare, l’asperge. La carte valorise la fraîcheur des produits des pays de la Loire.
Aux fourneaux, Dominique et son équipe élaborent de jolis dressages en assiette, et des plats toujours variés. Celui-ci a été chef de partie dans de belles tables parisiennes, puis second de cuisine à l’Auberge d’Eventard, qui est l’un des plus grands restaurants gastronomiques de la région de la Loire. Par la suite, il s’est associé avec Didier Salmon pour créer le restaurant Les Bateliers.
A la carte, des entrées signatures à l’instar du foie gras poêlé au citron confit, coppa grillée et pommes de terre nouvelles au lard. Autre entrée, le trio de tomates grappe pelées à vif et sa farce fine à la chair de tourteau et mesclun, coulis de tomates mentholé à l’huile d’Argan.
Comme plat principal, pintade entière désossée avec sauce au foie gras et aux truffes, et en dessert, mille-feuille craquant sauce framboise ou glace au lait d’amande.
C’est une cuisine généreuse et pleine de saveurs à laquelle toute l’équipe en cuisine participe, pour mettre au rang de vedette les produits de la région, mais aussi le terroir du Pays de la Loire.
Une carte des vins raffinée
Le restaurant propose une carte des vins étoffée, raffinée, et conférant des accords mets-vins des plus subtils. L’établissement étant tout d’abord situé sur la route des vignobles et au cœur de celui d’Angevin, il met en avant de belles bouteilles de propriétés de la région, se mariant admirablement aux plats orchestrés en cuisine.
Pour les entrées à base de poissons, elles sont servies avec un Coteaux-de-l’Aubance. C’est un vin à la robe intense jaune or et reflets verts, dénotant des senteurs florales de fruits à chair blanches, dissimulant un équilibre par sa richesse gourmande et sa fraîcheur prononcée en bouche. Egalement indiqué pour les foies gras poêlés ou en terrine, la cuisine exotique et les charcuteries fines, cet AOC de la région de la Loire est une bouteille au mono-cépage Chenin.
Le Saumur-Champigny est, lui, bien indiqué pour les entrées. Ce vin à la robe rouge grenat et lumineuse, dégage des senteurs épicées de fruits rouges et fleurs. Riche et corpulent sur la longueur en bouche, il finit avec un équilibre et une douce fraîcheur embaumant le palais.
En accompagnement de la pintade entière désossée avec sauce au foie gras et aux truffes, un Château de Principe, qui permet de souligner la tendance gibier de la viande domestique.
Le dessert mille-feuille craquant, sauce framboise, peut être servi avec tout vin effervescent à bulle de la Loire. Idéalement, un Saumur, vin rouge à la robe lumineuse couleur rouge rubis, doté d’un nez fin et léger accompagné de fruits, violettes et iris. Souple en bouche et parfois dense, ce vin est composé des cépages Cabernet Franc, Cabernet Sauvignon, et Pineau d’Aunis.
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Le Retour à la Terre Rive Droite
Véritable pionnier dans le XIe arrondissement de Paris, Biocoop Le Retour à la Terre Rive droite a été créé il y a bientôt dix ans. Comme pour les deux autres magasins, Rive droite fourmille de produits en tout genre qui étonnent et séduisent par leur originalité et leur diversité. On peut y découvrir un festival de fruits et de légumes oubliés, dont certains en provenance de notre verger conservatoire de Normandie, un bar à vrac de 150 références (céréales, pâtes, légumes et fruits secs, biscuits, cafés), des produits de petits producteurs que nous aimons faire découvrir, des produits originaux que l’on ne trouve nulle part ailleurs, comme le beurre de lait de chèvre ou de brebis. Nous mettons aussi l’accent sur les produits sous mentions Nature & Progrès, Demeter, ou issus du commerce équitable nord/sud (bananes, cafés, chocolats) ou nord/nord (produits Ensemble). On y trouve aussi des cosmétiques et des compléments alimentaires, des produits d’entretien écologiques, des jouets pour enfants et des livres. Un grand espace traiteur à l’entrée offre un large choix de pains (avec ou sans gluten), une grande variété de fromages, des tartes salées et sucrées, des desserts vegan ou non, des œufs extra-frais à la pièce, etc.
Horaires : du lundi au samedi de 10 h à 20 h sans interruption. Nocturnes les lundis, jeudis et vendredis soir jusqu’à 20 h 30.
Le Retour à la Terre Rive Gauche
Ouvert il y a six ans dans le quartier de la Sorbonne, Biocoop Le Retour à la Terre Rive gauche se caractérise par une grande verrière qui lui confère un cachet tout particulier. Dans ce cadre magnifique, nos équipes ont à cœur de vous proposer ce qu’il y a de meilleur. À l’espace traiteur, choisissez parmi un large choix de pains (avec ou sans gluten), de fromages à la coupe, de charcuteries, de pâtisseries, de thés, de cafés et de super-aliments en vrac. Comme sur les deux autres magasins, vous trouverez une sélection exceptionnelle de fruits et de légumes exclusivement de saison, dont la très grande majorité provient de France. L’accent est mis sur les produits sous mentions Nature & Progrès, Demeter, ou issus du commerce équitable nord/sud (bananes, cafés, chocolats) ou nord/nord (produits Ensemble). On y trouve également un florilège de miels, de chocolats, de vins, de jus, de confitures ainsi qu’un choix exceptionnel de produits en vrac (céréales, fruits secs, pâtes, riz, etc.). La particularité de notre magasin Rive gauche est son espace dédié « beauté-santé » où le client est conseillé par nos équipier(e)s formé(e)s en naturopathie ou herboristerie.
Horaires : du lundi au samedi de 10 h à 20 h sans interruption. Nocturnes les lundis et vendredis soir jusqu’à 20 h 30.
Le Retour à la Terre Les Champs
À deux pas des Champs-Élysées, notre magasin Le Retour à la Terre Les Champs offre (comme les deux premiers) un choix exceptionnel de produits bio : fruits et légumes, pains frais avec ou sans gluten, viandes, spécialités laitières/vegan/crues, vins et bières, miels, chocolats, cosmétiques et compléments alimentaires, produits d’entretien écologiques. Son rayon vrac est imposant, avec 150 variétés : céréales, fruits secs, mélanges de graines, biscuits, etc. Au rayon traiteur, on trouve de la charcuterie d’excellence, des fromages de brebis, de vache ou de chèvre, des pâtisseries (vegan ou non).La particularité, c’est son espace « Café » où vous pourrez consommer sur place des salades composées, des quiches maison, des soupes cuisinées avec les légumes du magasin, le tout accompagné de jus de fruits frais, de café ou de thé équitable. Nous proposons également de délicieuses glaces artisanales aux saveurs originales.
Horaires : du lundi au samedi de 11 h à 21 h sans interruption. L’espace café ouvre ses portes dès 9 h.
Attaché à nos valeurs, Biocoop le Retour à la Terre est la première enseigne de Paris à ne proposer aucun produit alimentaire contenant de l’huile de palme.
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Avec ses vieilles pierres et poutres apparentes, le P’tit Cageot est un endroit fort sympathique où l’on vous propose de savourer une cuisine raffinée en toute convivialité.
Cadre typiquement vieil Antibois
A l’intérieur, l’esprit récup donne le ton à la décoration. Des cageots placés ici et là, des luminaires réalisés avec des bocaux ont fini par donner un charme particulier à l’endroit. Dans une ambiance digne d’une maison de campagne Provençal, la convivialité est ici au rendez-vous. Arnaud et Roxane ont voulu avant tout miser sur un endroit qui leur ressemble. Au quotidien, quiétude et détente font partie de leur leitmotiv.
Une cuisine inspirée des saisons
Bien installé derrière le fourneau, Arnaud excelle dans l’art de magnifier la simplicité. En cuisine, ça sent la fraicheur du marché. Noblesse oblige, vous ne trouverez pas de produits aussi frais qu’au P’tit cageot. Tout juste auréolé de son titre de Maître-Restaurateur, le chef se doit de respecter un cahier des charges rigoureux incluant une trentaine de critères comme la qualité de service et d’accueil, produits frais et de saison, cuisine faite maison… Pas de quoi inquiéter Arnaud qui se permet même quelques fantaisies. Mis à part la carte qui change deux fois par saison, la maison propose tous les jours un menu surprise (entrée-plat-dessert). Une formule qui a visiblement la côte auprès des invités. A chaque fois, ces derniers restent bluffés par une cuisine aussi originale que savoureuse.
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L’oignon de Roscoff est une appellation d’origine contrôlée depuis 2009 et protégée depuis 2013, délimitée dans la zone littorale nord du Finistère, gérée et contrôlée par le « syndicat oignon de Roscoff » qui a son siège au sein de la ville de Saint-Pol-de-Léon.
Dans le respect des traditions
Cette variété d’oignon issue de l’espèce Allium Cepa a été apportée pour la première fois au XVIIe par des moines capucins portugais. Son nom fait référence à son berceau historique qu’est la ville de Roscoff. Cru, cuit, en salade ou tout simplement confit, cette plante à bulbe se démarque des autres par son gout unique. « Doux, juteux et croquant, avec des arômes fruités, elle porte énormément d’atouts gustatifs » explique Robert Jézéquel, le président du syndicat de l'AOP oignon de Roscoff.
Un temps délaissé car supportant mal la culture intensive, cet oignon rosé a joui de la ferveur et de la passion d’un groupe d’irréductibles producteurs qui veulent en assurer la valorisation. Ils s'attachent à fournir aux amateurs de nourriture de qualité les quantités nécessaires au marché devenu porteur. Le cahier des charges de cette appellation impose un calibre compris entre trente et quatre-vingt millimètres de diamètre et un conditionnement laissant au moins 5 cm de queue pour favoriser la conservation naturelle permettant d’éviter le traitement antigerminatif. La conservation « est naturelle, ceci afin de ne pas dénaturer son gout » toujours selon Robert.
La Fête de l’Oignon de Roscoff
Tous les ans durant l'avant-dernier week-end du mois d’août, a lieu dans la ville de Roscoff la Fête de l’Oignon. Drainant près de trente-mille personnes, « il est possible de s’y approprier et déguster les premiers oignons de la saison » note Robert Jézéquel.
A ne pas manquer également : la découverte de « La maison des Johnnies et de l’oignon de Roscoff » qui relate l’histoire de cette culture et des Johnnies, ces marchands qui vendaient leurs produits en Grande-Bretagne.
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Saint-Graal est une création originale d’Alexis Briol, élu meilleur brasseur de l’année 2012 en Belgique. Elle est brassée par la brasserie Saint Feuillien, une référence et une icône en la matière en Belgique, réputée pour la qualité exceptionnelle de ses produits.
Une bière blonde authentique
La Saint-Graal est une bière blonde dite de triple fermentation conçue pour la dégustation. Sa robe est blond pâle, légèrement voilée. Ses bulles sont fines et sa mousse à flocons moyens tient bien, tout en offrant une légère texture crémeuse au centre. Au nez, elle propose des arômes donnant sur des fruits exotiques (pamplemousse et agrume) et floraux conférés par le houblon SAAZ. En bouche, elle est ronde, souple et maltée, avec des arômes orientés sur les épices. A la dégustation, elle offre une amertume fine et délicate qui se marie harmonieusement avec son goût très prononcé sur les fruits. Cette sublime complexité lui a valu une médaille de bronze France lors du dernier World Beer Awards.
Un packaging pour sortir de l’ordinaire
La bière Saint-Graal est conditionnée dans une bouteille classique de 33 centilitres, mais ce qui en fait sa particularité, à part ses saveurs spécifiques bien entendu, est son conditionnement très original. En effet, elle est présentée sous forme de coffret prestige « édition limitée » comprenant quatre bouteilles accompagnées d’un verre en bois du type calice, spécialement conçu pour sa dégustation. Elle est également disponible en cagette de bois composée de huit bouteilles. La bière Saint-Graal est disponible à la vente dans 120 points en France ainsi qu’en ligne sur le site minutevin.fr.
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