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sélection des meilleurs spiritueux whisky vodka rhum cognac calvados

Gastronomie
Spiritourisme-oenotourisme
Les Costières de Pomerols : des vignerons unis autour de l’excellence

Dans l’Hérault, entre terre et mer, les vignes des Costières de Pomerols s’épanouissent sur 2500 hectares. Depuis 1932, cette coopérative de vignerons signe des vins d’excellence, aujourd’hui exportés à travers le monde. Un succès légitime, où savoir-faire, passion du terroir et mutualisation des moyens, sont les maîtres mots.

Gastronomie
Spiritourisme-oenotourisme
Armagnacs Pichon-Longueville : Des instants rares à déguster

Situé à Mauvezin D’Armagnac, dans les Landes, le domaine du Baron Pichon Longueville défend avec ferveur le caractère exceptionnel de l’Armagnac. Fruit d’une attention profonde et d’un terroir écouté, cet alcool chéri a de quoi surprendre et ravir les amateurs d’authenticité.

Gastronomie
Spiritourisme-oenotourisme
Cognac Frapin : fief du cognac haute-couture

Grâce à un terroir généreux couplé à un savoir-faire séculaire, la maison Frapin signe son authenticité dans le cercle fermé cognaçais en maîtrisant toute sa chaine de production de A à Z, allant de la culture de la vigne jusqu’à la mise en bouteille. Résultat : des cognacs qui révèlent toute leur plénitude. Incursion dans l’intimité de ce domaine familial. ...

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Gastronomie
Vins-Alcools-Domaine
Private Whisky Society : passionnément whisky

Private Whisky Society, l'expert whisky sur internet vous fait découvrir le whisky avec l’aide de deux passionnés avides de partager leurs connaissances. Slainte !

distillerie-artisanale-leisen-a-petite-hettange-des-produits-de-qualite
Gastronomie
Spiritourisme-oenotourisme
Distillerie Leisen : un savoir-faire artisanal transmis de père en fils

À Petite-Hettange (Moselle), la distillerie Leisen s’illustre dans la fabrication d’eaux-de-vie, de whiskies et des cidres, des produits maintes fois primés.

Top 10 des spiritueux et alcools fins en France et ailleurs

Les costières de pomerols
POMEROLS
Les Costières de Pomerols
Les Costières de Pomerols : des vignerons unis autour de l’excellence
Armagnacs pichon-longueville
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Mauvezin-d'Armagnac
Armagnacs Pichon-Longueville
Armagnacs Pichon-Longueville : Des instants rares à déguster
Cognac frapin
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Segonzac
Cognac Frapin
Cognac Frapin : fief du cognac haute-couture
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Boulogne Billancourt
Private Whisky Society
Private Whisky Society : passionnément whisky
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Malling
Distillerie Leisen
Distillerie Leisen : un savoir-faire artisanal transmis de père en fils
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Dieffenbach-au-Val
Distillerie Massenez
Distillerie Massenez : 150 ans de savoir-faire
Grandes distilleries peureux
Fougerolles
Grandes Distilleries Peureux
Grandes Distilleries Peureux :
l’art de l’excellence
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Distillerie O’Baptiste : On reconnaît un lion à sa griffe
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Montlouis-sur-Loire
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Cognac Dobbé
Un symbole du luxe et du raffinement
à la Française
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Saint-Pierre
Distillerie Depaz
Depaz, le Rhum Agricole grand cru
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Cognac
Distillerie Tessendier
un savoir-faire traditionnel et familial au service de la création de spiritueux
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Espace Avèze 
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Château de Tracy :
du sauvignon de gastronomie

Le Château de Tracy n’a jamais quitté le giron familial depuis le XIVe siècle. Aujourd’hui, c’est à Juliette d’Assay qu’incombe la tâche de le gérer et de perpétuer un savoir-faire qui s’est forgé au cours de six siècles de tradition viticole. Un vignoble ancestral Au coeur du vignoble Pouilly-Fumé, Château de Tracy s’étend sur une superficie de 36 ha, planté exclusivement en sauvignon. Le domaine a la particularité de disposer d’un vignoble historique, dont certaines parcelles sont plantées en vigne depuis le XIVe siècle. En effet, bien conservé dans les archives du château, un manuscrit de 1396 fait état de l’acquisition des vignes sur le lieu-dit « champ de Cris ». Chose étonnante, des sauvignons y sont encore plantés de nos jours. La maison offre ainsi aux amoureux de vins le privilège de déguster des vins blancs issus de ces cépages historiques. « Avec nos vieilles variétés génétiques de sauvignon, quelque part déguster un Tracy équivaut à déguster aussi l’Histoire ! », fait valoir Juliette d'Assay, la vigneronne. Sur les terroirs de Tracy, les sauvignons s’épanouissent sur des sols différents. Autour du château, ils bénéficient plutôt d’un sol à dominante d'argile à silex apportant aux vins minéralité, finesse et une grande aptitude au vieillissement. Sur les plateaux, les vignes reposent essentiellement sur un sol calcaire kimméridgien, qui va apporter à la fois structure, profondeur, finesse et le côté fruité aux vins blancs. Une agriculture permanente Depuis plusieurs années, le domaine a mis en place des pratiques culturales fondées sur la compréhension des lois naturelles du sol. Une agriculture « permanente », qui a notamment pour objectif de favoriser une parfaite synergie entre le sol, les vignes et le biotope environnant. « Nous n’utilisons presque plus de produits phytosanitaires de synthèse.​ Nous n'y avons recours que pour des cas vraiment extrêmes.  », nous indique-t-on. Des analyses sont effectuées par un laboratoire indépendant afin d'authentifier cette démarche.  Résultat, le Château de Tracy peut se targuer de produire des vins exempts de tout résidu de pesticides. Au Château de Tracy, le gros du travail se concentre sur les vignes pour aboutir à des vendanges manuelles. Afin d'acquérir un niveau de maturité bien précis, certaines parcelles font l’objet de plusieurs passages. « Nous sommes prêts à vendanger jusqu'à 5 fois les mêmes parcelles », explique madame d'Assay. Ces opérations vont permettre au domaine de limiter les interventions durant la fermentation pour que celle-ci se fasse de manière la plus naturelle possible. En cave, il est surtout question de laisser les choses aller d’elles-mêmes, quitte à prendre des risques. Ici, on laisse donc vinifier les jus en l’état et, pour éviter de trop marquer le vin, la maison choisit des élevages en cuves inox au lieu de barriques en bois. « Nous mettons tout en oeuvre pour être le plus possible fidèles au millésime. »  Des cuvées pleines d’authenticité La maison propose 4 cuvées différentes, reflétant idéalement la typicité des terroirs de Tracy : la cuvée « Mademoiselle de T » qui est actuellement épuisée mais dont l'arrivée du prochain millésime est pour février 2019, « Château de Tracy », « Haute Densité » et  « 101 Rangs ». La cuvée « Château de Tracy » est de loin celle qui représente le mieux le domaine. Il s’agit d’un millésime d’une rare complexité aromatique à l’identité affirmée. Obtenu exclusivement à partir de sauvignon blanc, ce vin présente un nez très intense avec des premières notes fraiches de fleurs de sureau, de poivre vert et de citronnelle. À l’ouverture, des notes plus fruitées se dévoilent associées à des arômes de fruits exotiques tels que le fruit de la passion et la mangue fraiche. Des notes florales et salin...

Château Bourdieu Fonbille : le meilleur de la vigne révélé dans le respect de la nature

Le domaine se situe à Monprimblanc sur la rive droite de la Garonne, à une quarantaine de kilomètres de Bordeaux. Baignée par le soleil, la propriété qui s’étend sur 27 hectares affiche un joli panorama de champs de vignes aux nuances dorées et rouge orangé, ponctuées par une touche violacée, tel un tableau de maître. Un terroir exceptionnel Gâté par un climat unique et riche d’une topographie luxuriante, le terroir bénéficie des meilleures conditions pour travailler sur plusieurs appellations en Bordeaux : bordeaux, côtes-de-bordeaux, loupiac et crémant-de-bordeaux. Le sol à dominance argilo-calcaire et boulbène abrite les cépages traditionnels bordelais, à l’instar du merlot, cabernet franc, cabernet sauvignon, sauvignon et sémillon. Ainsi, le terroir se présente comme une mosaïque de champs de vignes, où chaque parcelle possède ses propres caractéristiques afin d’obtenir un arôme bien précis et particulier à chaque produit.  Avec une centaine de parcelles partagées entre un sol à base argilo-graveleux et une autre installée sur une roche volcanique, le domaine peut extorquer la justesse recherchée et la finesse souhaitée pour ses vins. Jean-Marie et Fabienne Galineau traitent l’ensemble de leurs vignes avec amour et délicatesse dans le respect de l’environnement et l’équilibre de la nature. Le domaine s’épanouit en viticulture raisonnée, tout en s’orientant vers le bio, afin d’obtenir des vins sains, expressifs et bien équilibrés. Les cuvées Tradition, signatures du domaine Grâce à cette « grande diversité du sol », le domaine propose une gamme de vins très riche. « Nous élaborons des rouges, des blancs liquoreux et secs, des rosés moelleux et des crémants », dévoile Fabienne Galineau. Parmi la sélection, les deux cuvées Tradition sortent du lot et viennent représenter le domaine : le Rouge Tradition, appellation côtes-de-bordeaux et le Loupiac Liquoreux 2015 Tradition. « Ces produits exigent beaucoup plus de concentration, de travail d’élaboration et de temps », explique-t-elle. Les cépages utilisés dans l’assemblage proviennent majoritairement des parcelles merlots (Capet, les Cabannes, Fonbille). Le Rouge Cuvée Tradition 2012 enveloppe un arôme de confiture de cerises subtilement vanillé. Idéale pour accompagner les viandes rouges grillées, elle attaque tout en rondeur et se prolonge sur un tourbillon de fruits rouges avec une belle longueur en bouche. Le Loupiac Liquoreux 2015, quant à lui, revêt une élégante robe dorée avec une belle transparence, rappelant le nez de fruits blancs, et dégage une délicate senteur de vanille et noisette. En bouche, elle fait une entrée très sympathique et chaleureuse, avec une certaine complexité à la fin. Cette cuvée s’invite au moment de l’apéritif et au dessert, dans le salon ou sous la véranda pour profiter d’un après-midi ensoleillé. Son arôme se révèle à merveille avec du fromage, du chocolat ou du foie gras. ...

Huguenot-Tassin : la finesse d’un champagne né dans le respect de la nature

La Maison Huguenot-Tassin a été créée en 1984 par Benoît et Marie-Claire Huguenot. Établie sur la commune de Celles-sur-Ource, elle travaille un vignoble d’une superficie totale de six hectares. Avec un sol à dominance argilo-calcaire, son terroir bénéficie d’un climat favorable « rappelant celui de la région champenoise et de la Bourgogne », nous fait savoir Édouard Huguenot le gérant du domaine. S’épanouir dans la viticulture raisonnée Trouver le juste équilibre entre la qualité de ses récoltes et le respect de l’environnement, telle est la devise de la Maison. Au moment du traitement du sol et à chacune des étapes de la production, elle cherche à intégrer au maximum ce concept. Depuis sa création, Huguenot-Tassin  tient à perpétuer des méthodes de travail qui prennent en compte les impératifs écologiques. « On raisonne la nutrition de la vigne, on soigne le choix des produits utilisés pour la protection des végétales », explique Édouard Huguenot. Ce concept va encore plus loin car la maison applique la méthode prophylactique dans l’exploitation de ses vignes. Cette approche préventive vise à empêcher les apparitions des bioagresseurs ou à en minimiser l’effet. Et les résultats sont là : « On obtient une meilleure qualité des raisins, avec une belle maturité précoce », reprend Édouard Huguenot. Se soucier de la nature lui permet d’avoir une récolte plus saine pour des vins plus expressifs et équilibrés. Les spécialités de la Maison                                                                La cuvée Noire Spéciale, les Fioles, et la cuvée Tradition sont les incontournables de la Maison Huguenot-Tassin. La cuvée Noire Spéciale est composée spécialement des meilleurs pinots noirs. C’est l’excellence en termes de qualité des raisins, de goût et de finesse.  Elle est élevée en cave jusqu’à dix ans afin d’obtenir une belle maturité. Les Fioles, en revanche, sont élaborées à partir de chardonnay et de pinot blanc.  « L’idée est d’avoir un produit qui photographie l’histoire du terroir sur une année », justifie Édouard Huguenot. Elle se décline en Fioles rosées brut, recommandées pour l’apéritif et au moment de repas. La cuvée Tradition pour sa part se définit comme un champagne de fraîcheur et de gaieté. Le mélange de pinot noir et pinot blanc donne au produit un arôme exaltant et à la fois léger. ...

La table de Yo : ambiance bistrot dans la cité des ducs

À l’angle de la rue de la Ville-en-Bois et de la rue Nicolas-Appert, à quelques pas de la place Canclaux, La Table de Yo séduit par son décor unique et humble. À l’extérieur, l’enseigne grise et la grande ardoise verte attirent spontanément le regard des passants. Une fois à l’intérieur, la salle dégage une délicatesse qui fait que l’on s’y sent immédiatement bien. La décoration de la salle reflète une harmonie parfaite entre le moderne et le vintage. Les murs en pierres apparentes et les meubles en formica apportent une petite touche rétro tandis que le zinc, qui recouvre le bar, fait ressortir le côté cosy et chic du lieu. Les luminaires subtilement disposés à travers la salle créent une ambiance chaleureuse et conviviale. Et la petite touche musicale en fond sonore apporte un sentiment d’apaisement, de détente et de joie. Cuisine savoureuse et respect des produits  Lieu de retrouvailles des habitués du quartier, La Table de Yo propose une cuisine à la fois simple et inventive pour séduire les palais nantais. Affichés à l’ardoise, les plats se déclinent en plusieurs choix pour satisfaire tous les gouts. Ainsi, les convives pourront opter entre 4 entrées, 4 plats et 3 desserts sans oublier les fromages fournis par le fromager du quartier. Pour débuter ce voyage culinaire, le gloire à l’œuf ou le millefeuille d’asperges à la coppa attendent d’être dégustés. En plat de résistance : le risotto, l’entrecôte du chef ou le poisson du marché accompagné par des betteraves et des petits pois primeurs donne l’eau à la bouche. Et en dessert : le fameux yodélice, la mousse d’avocat tartare de kiwi et le cœur coulant, légo croquant. Le tout à savourer sur la terrasse, en salle ou sur le comptoir. Yolaine Briec, la propriétaire, veille particulièrement à ce que les produits utilisés soient frais et issus au maximum des producteurs locaux. Fièrement, elle affiche le « fait maison », y compris pour le pain. Raison pour laquelle l’ardoise change quotidiennement et évolue au gré des saisons et des inspirations de Frédéric Legal. La cuisine de ce chef passionné conjugue alors la tradition avec une pointe de créativité. Il réussit à interpréter les grands classiques en y ajoutant quelques notes plus modernes rendant sa cuisine savoureuse, authentique, sans dévier de la belle simplicité qui fait la réputation de la maison. Fidèle à la philosophie de l’établissement, le chef Legal travaille le produit pour qu’il puisse révéler sa plus belle expression. Yolaine : artiste à multiples facettes À part la qualité de sa cuisine, La Table de Yo se démarque par la qualité de son accueil. Il s’agit là de la première marque d’attention qu’un restaurant doit accorder à ses convives. Grâce à ses nombreuses années d’expérience dans la restauration, Yolaine Briec l’a bien compris et le maitrise à la perfection. Ainsi, avec aisance et simplicité, elle prend en main ses convives, habitués ou non, de façon à ce qu’ils se sentent comme chez eux. Douée avec les mots, Yolaine Briec est aussi dotée d’un esprit créatif. Pour preuve : elle s’est occupée elle-même de la décoration de son restaurant. Ce qui n’a rien d’étonnant puisque la propriétaire a envisagé, à un certain moment de sa vie, de se lancer dans la décoration. En outre, elle ne reste pas seulement spectatrice en cuisine. Elle est toujours là pour apporter son petit grain de sel au menu et veille au respect de la qualité des plats. ...

Champagne Lacuisse : premier cru du terroir de Sermiers

Plus qu’une passion et une tradition, la viticulture est un véritable héritage familial chez les Lacuisse depuis des générations, puisque « notre grand-père, Julien Lacuisse, exploitait déjà des vignes avant les années 60 », souligne Christian Lacuisse, actuel Président de la SAS. L’entreprise familiale commence l’exploitation du champagne à partir de 1966 suite à l’initiative de deux descendants de Julien Lacuisse. « Nos cuvées sont actuellement classées premier cru et sont élaborées selon les normes de la viticulture raisonnée pour limiter les impacts sur l’environnement », poursuit notre interlocuteur. Pour le plaisir des amateurs de grands crus, la maison propose sept variétés de cuvées, à déguster au sein du domaine dans un cadre convivial et chaleureux. Un domaine coopérateur en plein essor Installé dans le village de Sermiers, à quelques minutes de Reims et d’Épernay, le domaine Lacuisse fait partie intégrante du terroir champenois. Il dispose d’un vaste vignoble qui s’étend sur 17 hectares où trois types de cépages sont cultivés, dont 70 % de pinot meunier, 15 % de pinot noir et 15 % de chardonnay. Le sous-sol de celui-ci, riche en calcaire, est essentiellement composé d’argile, de sables siliceux et de marnes, permettant ainsi aux cépages d’exprimer nettement leurs arômes et saveurs. La maison a une capacité de production annuelle de 150 000 bouteilles, dont 45 000 vendues en étiquette terminée. Pour obtenir ce résultat, le processus de fabrication se déroule en deux temps : le pressurage, la vinification, l'assemblage et la mise en bouteille des cuvées s’effectuent avec des coopérateurs locaux, tandis que les travaux comme le remuage, le dégorgement et l’ajout de la liqueur finale s’effectuent au sein de la propriété, « ce qui fait de nous un domaine coopérateur », explique le propriétaire. Une gamme de cuvées à la hauteur de toutes les attentes Qu’il s’agisse de célébrer un grand événement ou une simple réception, la maison Lacuisse propose sept variétés de cuvées qui ravissent les papilles. Dans la catégorie des entrées de gamme figure la cuvée Tradition qui a obtenu la médaille d'argent au dernier concours International des vins de Lyon, composée de 70 % de pinot meunier, 20 % de pinot noir et 10 % de chardonnay. Intense et aromatique en bouche, elle se déguste à l’apéritif ou en accompagnement de fruits secs exotiques et « représente l’encépagement de notre propriété enregistrant une vente annuelle de 20 000 bouteilles », nous fait savoir Christian. Parmi les cuvées emblématiques du domaine se démarquent la cuvée spéciale, la cuvée millésime, mais surtout « la cuvée du cosson qui a obtenu la médaille d’argent au concours agricole de Paris cette année », précise notre interlocuteur. Cette dernière est obtenue par assemblage de 70 % de chardonnay et 30 % de pinot noir uniquement, contrairement aux cuvées demi-sec (encépagement identique à la cuvée tradition) et grande réserve qui, elle, est constituée de 50 % de chardonnay, 25 % de pinot noir et 25 % de pinot meunier. ...

Hôtel Les Jeunes Chefs : un restau bistronomique au cœur de la Drôme

Sous la direction d’Élisabeth, Émilie et André-Yves Piaguet, le Restaurant Nouvel Hôtel Les Jeunes Chefs se distingue par ses mets originaux et raffinés, à prix raisonnable… Se dressant au cœur d’un village ancien entre Die et Crest, dans la commune de Saillans, Les Jeunes Chefs est l’endroit incontournable pour profiter de la nature et découvrir les paysages et les cultures de la Haute-Provence. Au programme : plaisirs culinaires, hébergements et divertissements. Des préparations culinaires à la portée de toutes les bourses En étroite collaboration avec un chef exigeant et une équipe de jeunes cuisiniers qualifiée, le restaurant Les Jeunes Chefs propose une cuisine recherchée à base de produits locaux et frais notamment des herbes de la colline drômoise, des volailles, des poissons et des truites. Entre culture culinaire et restauration-culture, les adeptes de la cuisine bistronomique trouveront leur bonheur, en été comme en hiver. Avec des tarifs entre 14 et 34 €, les amateurs de bonne cuisine pourront se régaler dans un cadre convivial et paisible. « Chez Les Jeunes Chefs, dites adieu aux plats conventionnels et habituels ! » s’exclame André-Yves Piguet, propriétaire des lieux. Non seulement les menus sont renouvelés chaque semaine, mais le chef s’efforce également de proposer une nouvelle carte tous les mois selon les produits locaux et les saisons. Les menus « Petites Faims », par exemple, sont composés d’une entrée et d’un plat ou un plat suivi d’un dessert. Quant au menu « Mise en appétit », différents plats sont proposés tels que de la truite à l’aneth ou des médaillons de volaille. Pour la « Découverte culinaire », les convives peuvent déguster des mets à base de poissons, de viande ou de volaille. « Il est trés important pour nous de spécifier que nos mets sont positionnés Coeur de Drôme : produits de la vallée et de la colline» déclare notre interlocuteur. Les amateurs de vins ne sont pas en reste. La carte reste éclectique pour satisfaire toutes les envies, même si elle réserve une place de choix aux Côtes-du-rhône dont une référence très appréciée, « la Clairette de Die, un vin emblématique de la Drôme », selon André-Yves Piguet Un lieu d’hébergement incontournable Les Jeunes Chefs, c’est aussi un hôtel proposant des chambres doubles, triples ou familiales, à prix attractif. Il dispose de sept chambres pouvant accueillir jusqu’à quatre à cinq personnes selon la formule choisie. Soigneusement aménagée avec des décors africains, la salle à manger de l’olivier est conçue pour recevoir jusqu’à vingt-six couverts par service, voire plus si besoin est. La terrasse des Lauriers rouges, quant à elle, offre une vue imprenable sur les paysages environnants. ...

Restaurant Le Château Bourgogne : le temps d’une halte gourmande

Grâce aux saveurs uniques de la cuisine traditionnelle française concoctée à base de produits frais et sélectionnés avec minutie par le Chef Gonzalo Pineiro, Le Château Bourgogne réserve de belles surprises aux épicuriens, avec à chaque fois la promesse d’un plaisir culinaire renouvelé ! Un cadre élégant  Ayant récemment fait « peau neuve », le restaurant arbore fièrement ses nouveaux attraits. Dans un décor très cosy, l’élégance transparaît à travers chaque détail. Ici, on retrouve une décoration contemporaine, très moderne où le luxe s’affiche sans complexe. Tout renvoie à l’équilibre et à l’harmonie : les couleurs, les matières sont prétextes à une combinaison d’élégance et de convivialité. Un endroit intimiste qui n’est pas dénué de charme. Les lieux conviennent parfaitement aux retrouvailles en famille, entre amis ou aux déjeuners d’affaires. Pour des repas plus intimes, le restaurant dispose de beaux espaces privatifs comme le Salon Président et le Salon Bourgogne, pouvant accueillir respectivement 10 à 30 personnes. En été, vous avez la possibilité de profiter d’une jolie terrasse, ouverte sur le jardin, à proximité de la piscine chauffée. Le raffinement dans vos plats Au gré des saisons et des saveurs, le chef Gonzalo Pineiro se propose de livrer une belle partition mettant à l’honneur les subtilités de la cuisine traditionnelle française, à travers des produits frais et de qualité. « En approvisionnement, nous privilégions au maximum les producteurs locaux », souligne Alexander Krips, directeur de l’établissement. La qualité et la fraicheur des produits utilisés se ressentent naturellement dans les assiettes. Pour s’en convaincre, il suffit de déguster les succulents escargots de Bourgogne au Chablis ou bien les Oeufs Bio en Meurette au Pinot Noir en entrée. Pour prolonger le plaisir, le Chef et sa brigade suggèrent le Filet de bœuf Charolais accompagné de son incontournable purée d’Amandine du Château à l’huile de Truffes, une spécialité de la maison ! Au Château Bourgogne, les poissons sont également à l’honneur : entre la Saint-Jacques, la Lotte ou le Turbot Sauvage, les invités ont droit à un choix alléchant. De quoi partager un bon moment autour de plats incomparables ! Le restaurant jouit d’une bonne réputation dans la région, notamment grâce à son célèbre plateau de fromages avec plus de 15 variétés. Pour les palais sucrés, les 3 pâtissiers régaleront les convives avec des douceurs entièrement faites maison. Côté vins, l’établissement présente une carte éclectique comprenant près de 300 références de Bourgogne et d’ailleurs. Demandez conseil au sommelier, qui sublimera vos plats et vous fera découvrir les cépages et appellations régionaux. Tous les dimanches, Le Château Bourgogne a l’habitude de convier les initiés à son propre brunch « Le Spécial Sunday Buffet ».  Chaque semaine, un nouveau thème est à l’honneur, avec une composition de menu différente. L’équipe en cuisine fait alors marcher son imagination et sa créativité pour sortir un repas complet et à volonté, salé, sucré, chaud et froid, pour un voyage gustatif garanti ! Le thème est dévoilé quelques jours à l’avance sur leur page Facebook. ...

Le Potager du Mas : les plaisirs de la Provence

A proximité du village provençal d’Eygalières et de Saint-Rémy-de-Provence, Le Potager du Mas, restaurant du Domaine de la Rose, est l’adresse « détente » pour passer un week-end dans une demeure de charme et profiter des plaisirs d’une cuisine au plus proche de la nature. Sa propriétaire, Fabienne Huppert et Franck Reveniault responsable du restaurant ont permis à cet établissement, s’étendant sur un domaine de 25 hectares, d’être labélisé « Marque Accueil du Parc », « Table Remarquable » par Châteaux et Hôtels Collection et obtenir 2 fourchettes au prestigieux et très convoité guide Michelin. Mas du Potager : cuisine et vins du terroir Ici, la cuisine est réalisée par le chef Fabien Taguemount. Un jeune chef qui a fait ses classes dans de prestigieux établissements : L’Oustau de Baumanière aux Baux-de-Provence,  La Table du Château à Rochegude. Au Potager du Mas, il présente une cuisine gastronomique française aux accents de la Provence. Une cuisine simple et de saison privilégiant des produits d’exception cultivés au sein même du Domaine de la Rose mais également en provenance de maraîchers locaux. Ayant la passion du beau produit, Fabien Taguemount propose une carte étoffée composée de plats signature fait maison, savoureux et aux couleurs vives. La reconnaissance des plus grands chefs a révélé son talent et l’originalité majeure de certains de ses plats. C’est le cas de l’aubergine du potager. Une entrée soigneusement élaborée à partir d’une aubergine grillée et confite au four avec des aromates, des herbes de provence, de l’ail et de l’huile d’olive. Le tout cuit lentement au four et sur lequel sont plantés des légumes cuits et crus comme des radis, tomates-cerises et concombres. Un plat accompagné d’une simple vinaigrette balsamique dont l’huile d’olive est produite directement au domaine de la Rose. En bouche, toutes les saveurs de la Provence se révélent avec des sensations étonnantes de croquant et moelleux. Accompagné d’une Cuvée Confidence millésime 2013 du domaine d'Eole, l’Aubergine du potager affirme toute son originalité. Autre plat signature, l’agneau des Alpilles. Plat élaboré à partir d’un carré et d’une souris d’agneau. Ici, le carré d’agneau entier est accommodé d’une fine croûte d’herbe fraîche et de pignons de pin dont la cuisson parfaite laisse à la viande toute la jutosité. A l’oeil, une chair légérement rosée. En bouche, une viande à la texture tendre avec des sensations croustillantes par sa croûte légére et ses pignons dorés. Ce carré est également accompagné d’une souris d’agneau, confite lentement au jus de viande et au vin rouge, ce qui donne à ce plat un caractère doux et caramélisé. Servi avec des aubergines, de fines tranches de lard et un crumble au parmesan et basilic, il révéle toutes les saveurs du terroir provençal. En guise de dessert, le tartare de fraises et framboises élaboré à partir de fruits de saison du domaine. Découpés finement et nappés d’une confiture d’olives noires, le chef arrive à créer un contraste particulier au niveau des couleurs et des sensations étonnantes au niveau du palais. L’ensemble est accompagné d’une crème mousseline à la vanille, d’un sorbet au fromage blanc et d’olives noires réhaussé d’une fine feuille de verveine donnant fraicheur et un goût légérement citroné à la composition. Globalement, l’établissement défend les valeurs du beau produit, du manger frais et de saison. Quant au chef, Fabien, sa philosophie est de sublimer le produit en proposant des textures en bouche contrastées, finement étudiées et une cuisine originale qui met toute la Provence dans notre assiette. Une carte des vins Le Potager du Mas propose une sélection de blancs, de rouges et de rosés, principalement issus du terroir et mettant en avant des productions viticoles et A.O.C de la région. Des cépages du Domaine du Trévallon comme l’Eloi Dürrbach, un rouge millésime de 2010, du Domaine du Vallon des Glaug...

Escale gourmande

Brasserie typique du Nord, Le Passage Rihour, tenu par Françoise et Philippe, est une halte gourmande incontournable à Lille. On se laisse volontiers tenter par ses plats régionaux et traditionnels, sans pour autant payer le prix fort. Dans un cadre agréable et décontracté mettant l’accent sur l’accueil et l’efficacité du service, ce restaurant sis en centre-ville propose une carte éclectique faite pour plaire aux plus gourmands. Des moules-frites et des produits frais Avec sa spécialité maison, les moules-frites, Le Passage Rihour sait combler les papilles de ses clients. Ce plat bien apprécié du Nord y est servi à toutes les sauces : crème d’ail, marinière, maroilles, curry et autres. Proposant une cuisine traditionnelle et régionale, l’établissement mise également sur les produits frais avec ses plats à base de poissons pêchés la veille au niveau des côtes bretonnes et servis en quantité généreuse (400 g la portion). Turbos, lottes, soles, coquilles Saint-Jacques et autres produits de la mer sont préparés nature ou rôtis, avec de la sauce. Ces produits frais, arrivés tôt depuis la criée, se retrouvent justement sur le plat emblématique de la brasserie lilloise, qui répond au nom de La marée du Matin. Accompagné d’un risotto et d’une sauce, le poisson y est rôti. Et pour que l’on apprécie mieux les saveurs de ce dernier, le restaurant choisit volontairement de le servir séparément de sa sauce. Des plats destinés aux adeptes de viande Le Passage Rihour, c’est aussi des plats à base de viande bouchère. On y retrouve alors une intéressante sélection de burgers, mais aussi une carte de viande permettant de déguster du jarret de porc en grande quantité, de la carbonade flamande typiquement régionale, du potjevleesch, cette fameuse spécialité flamande signifiant littéralement petit pot de viande, ou encore du welsh, spécialité galloise préparée avec du cheddar fondu, et tout cela, fait maison. Une brasserie classique à l’excellent rapport qualité-prix Dans une démarche économique, la brasserie propose aussi en option une formule complète comprenant entrée, plat et dessert. Par ailleurs, elle met logiquement à disposition de ses visiteurs une sélection de vins issus de toutes les régions viticoles du pays au meilleur prix mais accompagnant merveilleusement les plats proposés. Et évidemment, comme toute brasserie qui se respecte, la sélection de bières est à ne pas rater (à consommer toujours avec modération). ...

Restaurant Le P'tit Vélo :
une cuisine bistronomique aux valeurs amicales

Depuis que les deux amis de longue date Florence Domec et Michael Piednoel ont fait du P’tit Vélo le théâtre de leur amitié, la cuisine et l’art y forment une parfaite alliance. Ils ont repris le restaurant en octobre et se sont investis pour faire de leur bistrot « un endroit agréable, idéal pour passer des moments avec ses proches autour d’un verre, sortir en amoureux ou simplement profiter de la bonne cuisine qu’on y propose », dixit Anne Debauve, chargée de communication. Un défi dignement réussi. Un endroit bourré de charme Les convives sont reçus dans un cadre fraichement rénové. Les tables, les chaises et le bar en bois sombre lustré sont une invitation au confort et à la volupté. Aux murs, une fresque colorée conjuguée au petit vélo accroché dans la salle donne une note artistique à l’ensemble de la pièce. Un décor original, fruit de l’inspiration de Florence, de Michael et de leurs amis. Une cuisine française revisitée Côté cuisine, le chef Rachid Ibouh séduit les sens avec une réinvention des plats classiques français. Ici, le pur, le frais et l’authentique qui font toute la beauté de l’art culinaire sont à l’honneur. La terrine du chef, le hareng pommes à l’huile ou encore le foie gras fait maison en entrée concrétisent ce concept. On pourra ensuite gouter à l’un des plats emblématiques de la maison : le foie de veau. Le soir, les convives auront droit au poisson du marché, un pur délice mettant en avant le talent et le savoir-faire du chef. En dessert, les papilles seront éblouies par la crème brulée maison, la mousse chocolat au piment d’espelette ou l’incontournable café gourmand du P’tit Vélo. Une large palette de vins Michael et Florence, passionnés comme ils sont, misent aussi sur les vins pour assurer la perfection de ce périple enchanteur. Les clients du P’tit Vélo ont le privilège de choisir parmi la belle collection de la cave. Des vins de soleil comme le Corbières, le Minervois ou le Rousillon, une palette de Beaujolais et Côtes-du-Rhône mais aussi des vins bio et des références issues de petits producteurs ou de cultures raisonnées. ...

Hinano : le soleil de Tahiti dans une bière

Hinano est la bière polynésienne par nature. La Hinano blonde est de type lager, de fermentation basse et de couleur dorée, tirée à 5 % d’alcool, et à l’amertume prononcée.Elle est fabriquée à Tahiti, dans la vallée de la Punaruu, sur le site de production le plus moderne du Pacifique Sud, ce qui lui permet de garantir une qualité exemplaire.Véritable contributrice au rayonnement de la Polynésie à l’international, la marque Hinano s’exporte depuis 1991 et séduit de nombreux consommateurs partout dans le monde, en France, à Hawaii, en Nouvelle-Calédonie, au Japon ou en Californie… En France, elle est distribuée en plusieurs formats : boîte de 50 cl et bouteille de 33 cl.Que ce soit en sponsorisant l’élection de Miss Tahiti pendant plus de 15 ans ou en parrainant des événements surf jusqu’en 2003, la marque prend part à de nombreuses activités majeures sur son territoire. Avec plus de 40 000 fans sur sa page Facebook, et aidée de son logo de la Vahiné dessiné par Pierre Heyman, la marque attire de nombreux amoureux de la Polynésie à travers le monde depuis 1955, année de sa création.Elle organise aujourd’hui des concerts live avec des musiciens locaux, les « hinano lives », qui connaissent un véritable engouement populaire....

Bourgoin Cognac : une nouvelle vision d’un cognac de vigneron authentique et sincère

Pour Frédéric Bourgoin, le temps est venu de dépoussiérer l’image désuète associée au cognac. Un phénomène qui – d’ailleurs - mérite amplement une réflexion. Dans son propre pays natal, ce spiritueux a été relégué au rang de digestif de vieux pépères. Une situation inadmissible pour ce jeune vigneron qui aspire à tellement mieux pour un si beau produit. Histoire de faire bouger les lignes du cognac, il s’est alors imposé une nouvelle vision directrice. L’idée ? « Proposer une approche viti-vinicole naturelle, de la transparence à outrance, et un soupçon d’innovation ». De la vigne au verre À côté des grandes marques de cognac, les faiseurs de petits volumes tentent de se tailler une place au soleil en adoptant une toute approche dans la production de leurs spiritueux. C’est le cas de Bourgoin Cognac.   Cette maison implantée sur la commune de Saint-Saturnin, dans le village de Tarsac fait appel à l’expérience familiale, l’amour du terroir et l’innovation pour tirer son épingle du jeu. Constitué en 1930, le domaine a vu succéder quatre générations de vignerons et s'étend aujourd'hui sur les crus premiers bois (hautement revendiqué), petite champagne et fins bois. Frédéric est particulièrement admirateur du terroir des premiers bois. « C’est un minuscule cru oublié de la carte AOC cognac du 1er Mai 1909, doté de sous-sols calcaires du Crétacé (cénomanien moyen) », communique-t-il. Ce fort attachement à la terre s’illustre par des méthodes de fabrication typiques. « Je m’obstine à faire des cognacs « nature » qui expriment au mieux le terroir qui les a vus naître. Donc chez moi pas d’assemblages, pas de filtrations, pas de colorants, et pas de sucres ajoutés ». En clair, le produit et rien d’autre. Pour aller encore plus loin dans sa démarche, le vigneron-terroriste fait aussi tout lui-même, aidé de quelques membres de la famille. De la récolte des raisins, au pressurage, en passant par la distillation jusqu’au vieillissement, le domaine maîtrise l’ensemble de la chaîne de production. Quelques ambassadeurs de la maison L’innovation constitue l’une des marques de fabrique de Bourgoin Cognac. Une philosophie qui se découvre à travers le Micro-barrique 1998. Ce cognac XO est élevé dans des micro-barriques de 10 litres, ce qui lui donne plus de rondeur et de suavité. Ce n’est pas tout. « Ces contenants sont surchauffés à l’intérieur à l’aide de charbon actif qui va capter les éléments trop agressifs du cognac et le rendre plus doux en bouche. C’est ce qu’on appelle la méthode du bousinage crocodile », nous informe notre interlocuteur. L’objectif étant de redonner l’envie à certaines personnes qui boudaient le cognac de se remettre à en déguster. Pari gagné. Les produits Bourgoin Cognac commencent à imposer leur signature auprès du cercle très fermé des jeunes branchés parisiens. « Nous avons pour ambition de plaire notamment aux trentenaires qui ont envie de se différencier de la consommation de leur papa plus axé sur le whisky et qui redécouvrent cet alcool français oublié. Cette jeunesse qui aime déjeuner dans les restaurants gastronomiques, en quête de naturalité, de produits vrais et authentiques, de structures familiales et de produits en direct du producteur. Bref, ceux qui ont en marre d’acheter des marques déconnectées du terrain. » Message clair et limpide Monsieur Bourgoin ! ...

Champagne Autréau-Lasnot : rigueur et passion d’un vigneron indépendant

Fondée en 1932, cette entreprise familiale est aujourd’hui menée d’une main de maître par les frères Fabrice et Florent. S’ils ont hérité du savoir-faire et de la rigueur de leurs ancêtres pour mener à bien leur métier, ils le réalisent de plus avec une passion qui fait leur réussite. Un vignoble idéalement placé D’une surface totale de 15,8 hectares, le vignoble de la maison Autréau-Lasnot est réparti sur neuf communes aux alentours du village de Venteuil. Installé à flanc de coteaux avec un sol majoritairement argilocalcaire, celui-ci est idéalement exposé sud, garant d’une maturité exceptionnelle des raisins. Les trois cépages champenois y sont cultivés, mais, de par son apport en fruité et en rondeur, le pinot meunier est plus que favorisé, avec une part de 65 % du vignoble total. Rigoureusement entretenu, le vignoble tend plutôt vers la qualité que vers la productivité. Des vignerons indépendants et récoltants-manipulants Vignerons indépendants, c'est-à-dire que leurs cuvées sont uniquement issues de leur propre vignoble, les frères Florent et Fabrice sont également récoltants-manipulants, car ils maîtrisent toutes les étapes de la fabrication de leur champagne. Les cuvées y sont élaborées dans le plus pur respect de la tradition, selon les anciennes méthodes. Chaque année, 100 000 bouteilles sont commercialisées, réparties en neuf cuvées toutes aussi exceptionnelles les unes que les autres. Parmi ces neuf cuvées, celle qui reflète le plus le terroir et la personnalité de la maison Autréau Lasnot est le Blanc de Noirs « Bleue Nature » (La Minérale). Issu à 90 % de meunier et à 10 % de pinot noir, ce champagne sans dosage allie fraîcheur et rondeur. Idéal pour un apéritif entre amis. ...

Champagne Fabrice Lecourt : voyage dans le berceau du champagne

Tous deux issus d’une longue lignée de vignerons, ces époux décident, en 1985, de perpétuer l’héritage familial. La marque Fabrice Lecourt est réputée pour les saveurs et les arômes de son champagne fin puisant sa typicité dans le sol argilo-calcaire de la commune de Cormoyeux. Des cuvées traditionnelles au goût authentique « Nos parents et grands-parents travaillaient déjà la vigne », s’exclame Véronique. Afin de mettre ce patrimoine vinicole de six hectares en avant, les Lecourt privilégient un champagne représentant les valeurs familiales que sont l’authenticité et la qualité. Au travers de leur Brut Tradition ou de leurs millésimes, la maison s’attèle à donner le meilleur du terroir en privilégiant les méthodes traditionnelles héritées des aînés à l’instar des vendanges manuelles ou de la vinification en fûts de chêne pour la cuvée Grains d’Arômes notamment. Cette dernière, véritable ambassadrice de la marque, accompagnera avec élégance les apéritifs de par son caractère gras tantôt épicé, tantôt fruité. Les plus audacieux ponctueront leurs plateaux de fruits de mer par un Brut Nature, une cuvée dotée d’arômes délicats, fraîche, mais fougueuse. Une viticulture dans le respect de la terre Dans le but de préserver « la richesse de la terre et [de valoriser] les vignes familiales », la maison Lecourt donne la primauté à la viticulture conduite de façon raisonnée. Les spécificités du terroir sont ainsi préservées dans chaque vigne. Le choix du cépage parcelle par parcelle est déterminant. C'est pourtant le meunier le cépage de prédilection de cette région champenoise. Chaque flûte de champagne Fabrice Lecourt révèle et sublime ainsi les caractéristiques propres de la terre.   ...

Hôtel-restaurant Anthon : les merveilles d’une maison alsacienne à la façade ocre rouge 

Ancien relais de poste transformé en hôtel 3 étoiles, l’Anthon dispose de 13 chambres, équipée chacune d’une salle de bains privative. Les fenêtres ouvrent sur l’arrière-cour verdoyante et les massifs arborés. Une romantique gloriette se trouve dans le jardin, près du sauna. À quelques mètres des bois, des bulles transparentes permettent aux hôtes de dormir confortablement à la belle étoile. Le restaurant de l’hôtel, au rez-de-chaussée, inclut une spacieuse salle en rotonde et une terrasse. Les hôtes y sont marqués par l’accueil chaleureux du personnel, la compétence du sommelier Laurent Chiocca, et surtout, la créativité du chef Flaig. Georges Flaig et son génie de la précision Le jeune chef, Georges Flaig, s’est formé auprès des grands maîtres comme Loiseau et Westermann. Revenu à la maison, il succède à son arrière-arrière-grand-père aux fourneaux.Il fait la cuisine autrement, tout en apportant un air du Sud aux classiques du Grand Est. À chaque bouchée, les papilles reconnaissent les saveurs du terroir, avec cette touche « en plus » qui n’existe que chez Anthon. Il décrit son art comme « une cuisine avec des choses assez simples mais précises, bien travaillées avec des produits locaux ». Le carpaccio de bœuf Highland, une de ses entrées phares, est agrémenté de copeaux de parmesan, chapeauté par des feuilles de roquette et contourné par une sauce pesto. Pour le plat principal, le chef revisite une vieille recette alsacienne : la raviole schnieders päetzle à la truite. Le déjeuner se termine enfin par un millefeuille glacé de chocolat noir sur un coulis d’oranges amères. L’épaisseur demi-millimétrique de chaque disque de chocolat, le dressage, la consistance et le goût révèlent simplement la virtuosité technique. Ce savoir-faire-là, le chef le partage avec ceux qui suivent ses cours de cuisine. Avis aux amateurs et aux futures toques !  ...

Domaine Pech-Ménel : un « virtuose » de Saint-Chinian

Installé sur la commune de Quarante adossée au Saint-Chinianais, le Domaine Pech-Ménel n’a pas pu rêver mieux comme situation géographique. Il est établi sur une éminence qui lui permet de dominer toute la plaine languedocienne et accessible depuis un chemin sinueux qui arpente le long du coteau. Au sommet, le paysage est à couper le souffle et donne une vue panoramique à 360 ° sur la ville de Narbonne et la Clape au Sud ainsi que le Piémont, le Canigou, le Caroux, le volcan d’Agde et même la chaîne des Pyrénées. « Par sa position dominante, le site a toujours été habité et cela, depuis l’Antiquité. D’ailleurs, nos terres regorgent de nombreux vestiges gallo-romains comme une villa romaine ou un dolmens», raconte Elisabeth Poux, totalement fière d’avoir pu hériter d’un site aussi exceptionnel par son père Fernand Poux. Aujourd’hui, elle gère le domaine aux côtés de sa sœur Marie-Françoise avec passion, implication et rigueur. Du côté sud de l’appellation Le terroir de Saint-Chinian est constitué de deux zones distinctes : au nord les schistes et au sud les calcaires. Le Domaine Pech-Ménel se trouve dans la partie méridionale de l’appellation constituée d’argilo-calcaires et de grès. La présence de cailloux massifs permet aux vignes de s’enraciner profondément sous la terre pour rechercher l’humidité. Le vignoble est composé de syrah, de grenache, de mourvèdre et de cinsaut en rouge et de roussanne, de viognier, de grenache blanc et de rolle en blanc, soit tous les cépages les plus typiques du Languedoc et même quelques espèces autochtones oubliées comme l’aramon ou le terret. Sur les 55 hectares composant la totalité de l’exploitation, seuls 25 hectares sont dédiés à la culture des raisins. Le reste sert de terre d’expression à la garrigue riche d’une végétation languedocienne : genêt, thym, lavande, ciste, arbousier, chênes kermès, pins, églantiers… Animées par l’envie de préserver cette extraordinaire biodiversité, Elisabeth et Marie-Françoise ont décidé d’adopter une agriculture biologique. « Depuis toujours, nous avons cultivé le vignoble dans le respect de l’environnement, du terroir et de la faune et de la flore, ce qui a plus ou moins facilité notre passage en bio », se félicite notre interlocutrice. Deux gammes de vins pour le plaisir des œnophiles Pour le bonheur de tous les amoureux de vins, le Domaine Pech-Ménel classe ses crus en deux catégories : la gamme Plaisir et la gamme Passion. La gamme Plaisir se compose de vins jeunes, sympas, gourmands et faciles à boire représentés par les cuvées « Villa Pech Ménel » et « No Name » en Saint-Chinian. « Villa Pech-Ménel » a fait notamment l’objet d’une citation de Terre de Vins, une étoile au Guide Hachette 2021 . « Il faut lui laisser le temps, il a beaucoup à dire », a déclaré une dégustatrice. La gamme propose également la cuvée « Blanc Poudré » en IGP OC car le domaine possède une parcelle de 3 hectares au bord du Canal de Midi où il travaille cette appellation. La gamme Passion rassemble les vins de garde avec du caractère. Parmi les dignes représentants de cette sélection figurent « Blanc de Pech Ménel », « Château Vallouvières-Pech Ménel » et « Château Pech-Ménel ». Grâce aux nombreux millésimes qui existent depuis 1999, les œnophiles peuvent s’offrir un voyage dans le temps à travers une dégustation « Verticale ». Un lauréat du concours de vins de Saint-Chinian Depuis 2011, le Syndicat de l’AOP Saint-Chinian organise un concours dénommé « Les Virtuoses de Saint-Chinian ». Une occasion pour la centaine de domaines de l’appellation de présenter leurs cuvées. Les caractéristiques de chaque parcelle, les techniques culturales, les conditions de vinification et d’élevage ne sont que quelques exemples des quarante critères imposés par le cahier des charges et destin&eac...

La Mamounia, à la rencontre de la cuisine marocaine

Le nom du restaurant est tiré des jardins qui entourent le fameux palace de Marrakech et qui furent donnés au prince Mamoun par le sultan en cadeau de mariage. La Mamounia a été ouvert en 1996 par les parents des actuels propriétaires. C’est un endroit convivial et branché, qui convient à toutes les situations : diner en amoureux, déjeuner d’affaires ou tout simplement moment de partage entre amis ou en famille. Un décor dépaysant Le restaurant, installé le long des boulevards de Valence, propose un dépaysement total, transportant ses hôtes dans un voyage à destination du Maroc par son décor des mille et une nuits. Son plafond est entièrement fait de marqueterie traditionnelle marocaine  (bois sculpté et peint à la main). Tous les éléments du décor sont des authentiques objets provenant du Maroc, depuis le tapis jusqu’au mobilier et aux banquettes, en passant par les assiettes en faïence. Un chef au parcours atypique Samir Ouazzani est à la fois le chef et le propriétaire de l’établissement. Cet homme ne s’était pas du tout destiné au métier de la restauration, ayant fait ses études et travaillé dans le domaine des techniques industrielles. Il n’a commencé à s’intéresser pleinement à cet univers qu’à partir de 2005, lorsqu’il a pris la relève de ses parents. « J’ai appris sur le tas, tout doucement, au contact de ma mère d’abord, puis avec un chef de cuisine qu’on a fait venir exprès du Maroc », raconte-t-il. Il propose une cuisine savoureuse et authentique, avec la noble intention de faire retrouver à ses clients la saveur des plats de son enfance. Un vaste choix de formules gourmandes « Le restaurant propose une cuisine familiale, trait d’union entre la tradition et de la modernité », explique son chef. Les plats sont élaborés à base de produits frais, issus des producteurs locaux. Les plus gourmands se laisseront tenter par le menu dégustation à 24 €, composé d’une entrée, d’un plat (couscous deux viandes au choix ou tajine au choix) et d’un dessert.  Sinon, il est toujours possible de commander à la carte. En entrée, la tchackchouka, compotée de tomates oignons poivrons, ou la harira et ses dattes Medjool entrainent dans un délicieux voyage à la découverte des saveurs orientales. En plat de résistance, le choix s’avère cornélien entre le tajine zbib, composé d’émincés d’agneau, d’oignons au miel et de raisins secs, et le couscous royal, accompagné d’un assortiment de poulet fermier, agneau, merguez, brochette, sans oublier les boulettes de viande. Pour la touche sucrée, les papilles se régaleront du suprême d’orange à la rose et cannelle.  La qualité et la fraicheur de la cuisine du restaurant lui ont valu une belle réputation à Valence, tant et si bien qu'il ne cesse d’être recommandé par le guide Gault & Millau depuis 1997. ...

Restaurant Les Alizés :
une évasion gastronomique dans un lieu de charme

Après une escapade au musée d’Oléron, à la citadelle du château d’Oléron ou à l’issue d’une séance de char à voile ou de stand-up paddle, une petite pause gourmande s’impose. Pour cela, rien de tel que le restaurant Les Alizés qui salue dans chacun de ses mets la saisonnalité des produits. Et cerise sur le gâteau : le fait maison est y privilégié. Le charme et les saveurs d’Oléron Cette salle à l’ambiance cosy et chaleureuse, « qui fait penser à une cabane », selon Stéphane Auger, chef et propriétaire, mettra en appétit tous les convives. Pour les amoureux du soleil, un patio a été installé à l’extérieur et les accueille durant l’arrivée des beaux jours. Là, sous l’ombre, ils peuvent profiter en même temps des caresses de la lumière, de la brise de l’océan et des saveurs d’Oléron. La maison se spécialise surtout dans la cuisine traditionnelle raffinée. Pour commencer, l’entrée 9 huitres Fines de Claire Marennes Oléron, emblème incontournable de l’ile, mérite d’être dégustée. Stéphane Auger propose ensuite de rendre hommage à la qualité exceptionnelle des produits offerts par les pêcheurs du coin à travers la recette de la Chaudrée du littoral en cocotte. Le Chou Brest-Paris sauce chocolat lait noisette ou encore la Trilogie de sorbet maison seront concoctés pour couronner somptueusement le repas. En prime, 4 menus différents (Marché, Charentais, Plaisir, Enfant) ont été établis afin que la clientèle puisse se laisser tenter par d’autres délices. Côté vins, « le terroir est à l’honneur », s’exclame le chef. À ne pas rater : les vins de pays Ile d’Oléron comme le Cotinard ou Les Perles. Une sélection de vins de Loire, de Bourgogne, de Bordeaux ou de Bergerac enrichit aussi la carte de l’établissement. ...

Champagne Taittinger : une aventure pétillante

L’histoire des champagnes Taittinger commence en 1734 quand Jacques Fourneaux entame son activité de négociant en vins. C’est à cette époque que les vins effervescents commencent à s’imposer. Il travaille alors avec des abbayes bénédictines qui possèdent les plus beaux vignobles champenois. La famille Fourneaux s’associe au début du XIXe siècle avec la famille Forest pour continuer à produire des grands crus millésimés comme le Vin de Sillery ou le Vin de Bouzy. En 1932, suite à la crise de 1929, Pierre Taittinger rachète le château de la Marqueterie. Cette propriété dont les vignobles sont plantés en chardonnay et en pinot noir appartenait à la maison Forest-Fourneaux. Avec l’aide de son beau-frère Paul Evêque, ils créent la marque Taittinger et développent la production de champagne. Sous la présidence de François, le troisième fils de Pierre, la Maison Taittinger installe son siège social sur la butte Saint-Nicaise. Il y est toujours établi aujourd’hui. En 2006, Pierre-Emmanuel Taittinger rachète la maison de champagne éponyme après un court passage dans le giron de Starwood Capital. Ses enfants Clovis, directeur du département export, et Vitalie, directrice artistique, l’accompagnent dans cette entreprise familiale. Aujourd’hui, les vignobles se composent de multiples parcelles réparties sur 288 hectares, avec 37 crus différents et une prédominance du cépage chardonnay. La maison Taittinger emploie 220 personnes et produit six millions de bouteilles par an dont 70 % sont distribuées à travers le monde. Visite des caves Saint-Nicaise : un vrai parcours historique Après la diffusion d’un film vidéo présentant l’histoire de la maison, un guide vous présentera les secrets de la production du champagne. Ce voyage dans le temps vous mènera tour à tour dans les vestiges de l’abbaye Saint-Nicaise datant du XIIIe siècle, puis à dix-huit mètres de profondeur, dans de somptueuses crayères gallo-romaines faisant partie des coteaux, maisons et caves de champagne inscrits sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO. À l’issue de la visite des caves, vous pourrez admirer la Taittinger Collection. L’ensemble des différentes bouteilles sont décorées par des artistes de renom, tels que Roy Lichtenstein ou Victor Vasarely et plus récemment le photographe brésilien Sebastião Salgado. La dégustation : un instant de plaisir La Maison Taittinger vous offre la possibilité de choisir entre différentes formules de dégustation qui vous permettront de déguster une ou plusieurs cuvées. L’instant Premier : la cuvée Brut Réserve issue d’un assemblage de 40 % de chardonnay, 35 % de pinot noir et de 25 % de pinot meunier, vieilli de trois à quatre ans en cave. Cette formule coûte 19 €. L’instant Dévoilé : vous pourrez goûter en plus du Brut Réserve un autre champagne de la Maison Taittinger. Le Prélude Grands Crus  assemblé à partir de 50 % de chardonnay et 50 % de pinot noir, une cuvée aux saveurs d’agrumes et de pêche blanche. Le Prestige rosé composé de 30 % de chardonnay et de 15 % de vin rouge tranquille, un champagne plus fruité, vif et gourmand. Ou encore le Brut Millésimé 2012, à l’intensité aromatique étonnante procurée par les vins de première presse de chardonnay et de pinot noir. Cette formule coûte 30 €. L’instant Signé : là, vous aurez l’occasion de découvrir, en plus du Brut Réserve, le fleuron de la maison Taittinger, la cuvée Comtes de Champagne Blanc de Blancs 2006. Ce Blanc de Blancs issu exclusivement de la prestigieuse côte des Blancs est vieilli dix ans dans les caves de l’Abbaye Saint-Nicaise, le temps nécessaire pour élaborer un champagne exceptionnel à la fois tout en finesse et en maturité. Cette formule coûte 40 €. L’instant Absolu : vous pourrez savourer trois flûtes dont une flûte de Brut réserve, une flûte de Prestige rosé ou Prélude Grands crus ou Brut Millésimé, et une flûte de Comtes de Champagne Blanc de Blancs 2006. Cette formule coûte 45 €. ...

Restaurant En bonne Compagnie : cuisine semi-gastronomique

En Bonne Compagnie est né sous l’impulsion de Craig Charlesworth. Lorsqu’il a acquis l’établissement en 2002, il s’agissait alors d’une maison de village. L’emplacement offre un panorama imprenable sur le canal du Midi. Depuis cet exceptionnel point de vue, dégustez les nombreuses spécialités de la maison qui sont un vrai spectacle pour les pupilles et les papilles. Un cadre idyllique d’hier et d’aujourd’hui Depuis sa rénovation en 2011, ce restaurant vous accueille dans une charmante salle qui arbore une décoration offrant une très belle dualité entre l’ancien et le moderne. Si les pierres apparentes donnent du caractère et créent une ambiance chaleureuse, l’escalier en colimaçon, lui, met en avant l’ambiance cocooning de la salle, un style accentué par la mezzanine courbée. Le rendu visuel est magnifique. Et ce n’est pas tout. L’ancienne cour recouverte avec un toit en vitre ainsi que les terrasses ombragées vous invitent à déguster vos plats tout en profitant de la superbe vue panoramique. Une carte authentique faisant découvrir les recettes françaises et du monde Craig s’attelle derrière les fourneaux pour concocter des recettes traditionnelles françaises, avec une pincée de modernité, et des menus authentiques inspirés des saveurs du monde. Une cuisine créative semi-gastronomique qui en séduit plus d’un, d’autant plus que le Chef ne travaille que les produits locaux. De ce fait, la carte change au gré des saisons pour le plus grand bonheur des gourmets et gourmands. Le soufflé à la banane accompagné de vodka au caramel est la petite star de la maison. Ce dessert – qui mélange légèreté et arômes bien prononcés – fait toujours son petit effet et reste sur la carte en toute saison. Pour faire honneur aux savoureux plats, le Chef suggère une carte de vins riche de quelques références issues du Languedoc-Roussillon. ...

Brasserie Belga Queen, l’ambassadrice du made in Belgium

Fondée en 2002, par le célèbre architecte d’intérieur et designer et chef Antoine Pinto, la brasserie de luxe belge Belga Queen est considérée comme le plus bel établissement de bouche de Belgique et sans doute d'Europe. Belga Queen est aussi un lieu chargé d’histoire. La brasserie prend place dans un bâtiment datant du début du XVIIIème siècle, ayant auparavant abrité l’Hôtel de la Poste, puis une banque, le Crédit du Nord. L’endroit est aux antipodes d’une brasserie traditionnelle « coude à coude », l’architecture et la gastronomie s’y rencontrant de manière exceptionnelle. Une gastronomie authentique et soignée Belga Queen propose une cuisine belge mise au goût du jour, allégée et agrémentée de touches très nationales à travers notamment l’accompagnement de nombreux plats par la bière. Une gastronomie authentique avec d’excellents produits minutieusement choisis auprès d’artisans belges ayant su garder le respect du terroir. Les vins proviennent de producteurs exclusivement belges tandis que le café Ponti est un mélange de grains ’Pur Arabica’ de plusieurs provenances et torréfiés par un maître belge en la matière. Preuve s’il en faut que le Belga Queen fait la part belge à tout ce que ce pays fait de bon et au-delà. Une architecture dévastatrice Véritable miraculée de l'architecture bruxelloise dévastatrice de la fin des 30 glorieuses, la brasserie Belga Queen en conserve les fondations sérieuses, une salle des coffres impressionnante abritant désormais le légendaire « Club de Cigare », des escaliers propices à se dérober aux regards indiscrets et une verrière surplombant la salle principale dont seuls quelques privilégiés ont pu, à ce jour, observer l'état aérien de grâce et de conservation d'une œuvre d'art à nulle autre pareille. ...

Restaurant T’U : se laisser surprendre par les saveurs thaï à travers une carte évolutive

Si vous passez par le 7e arrondissement de Paris, cette adresse est une halte obligatoire. Avec sa petite terrasse extérieure, le restaurant T’U offre une vue sur le Grand Palais de l’autre côté de la Seine. Idéal pour savourer la salade King Crab, spécialité de la maison, ou siroter tranquillement un royal thaï tea avec des amis. À l’intérieur, on baigne dans un décor luxueux signé Pierre-Yves Rochon. Les lumières tamisées mettent joliment en valeur les matières nobles, conférant au lieu un cachet intimiste et sophistiqué. Des produits de premier choix et du fait-maison Le chef Khoï Vu propose une gastronomie d’inspiration franco-thaïlandaise. Il concocte une cuisine authentique, entièrement faite maison, élaborée avec les produits du marché et qui varie selon les saisons. Ici, le bonheur a un nom : brochettes de poulet sauce satay, tataki de thon « Albacore », tigre qui pleure ou cabillaud au galanga et feuille de lime. Et la carte n’a pas fini de surprendre. L’on cite les incontournables dimsum, raviolis et nems maison. Mais aussi le wok de bœuf au basilic ou encore le poulet fermier au curry vert, bambou et basilic thaï pour une explosion de saveurs en bouche. Sans oublier les douceurs sucrées comme la crème glacée au gingembre confit ou la tarte fine aux figues rôties. La consommation de thé étant un art de vivre en Thailande, le restaurant emmène également à la découverte des thés du pays. Thé bleu turquoise aux arômes floraux de lys et d’orchidée, thé vert de Chine aux fleurs de jasmin ou thé noir Yunnan impérial sont proposés par la maison. Une nouvelle carte À chaque saison, la carte se renouvelle. En guise d’entrée, les clients choisiront entre la soupe de crevettes à la citronnelle, un assortiment de dim sum et de raviolis (6 pièces) et un tartare de saumon aux herbes thaï. Côté plats, le chef invite à déguster les fameux calamars sautés, le Phad Thai Gai et le Black Cod accompagné de sa salade de wakamé. Si le choix est encore difficile, pourquoi ne pas se laisser séduire par une assiette dégustation à 26 € ? Bon à savoir : le chef choisit uniquement des viandes d’origine française ou issue de l’Union européenne, et des poissons sauvages ou labellisés « AB ». Pour finir en apothéose, les mini-nems de choco ou les glaces aux fruits de saison feront leur petit effet chez les gourmets.   ...

Le restaurant « chez Pipo » : une icône historique à Nice

Monsieur « Pipo » de son surnom fonde le restaurant « Chez Pipo » réputé pour sa socca en 1923. Dans ce restaurant ce plat a su traverser les époques tout en conservant l’authenticité du produit et du lieu. Dans la vieille rue Bavastro, la recette phare niçoise continue d'émerveiller les locaux ainsi que les touristes qui ne ratent pas l'occasion de faire une halte dans ce restaurant historique lors de leur passage sur la Côte d'Azur. Et oui, la région n'est pas simplement synonyme de plage et bord de mer, elle renferme aussi un patrimoine culinaire riche en saveurs. La socca, une recette traditionnelle niçoise La socca devient une spécialité niçoise dans les années 1900 lorsqu’elle est popularisée par les marchands ambulants qui la préparent sur place à un prix modeste. C'est une galette préparée à base de farine de pois chiche qui provient du moulin d'Annot, d’eau et d’huile d’olive, dorée au four à bois. Bruno Wagner et Yann Sicé, les préparateurs de la socca Chez Pipo, veillent à ce qu'elle soit fine, croustillante à l'extérieur et moelleuse à l'intérieur. Pour la savourer au mieux, elle se saupoudre de poivre. La socca était l'unique produit du restaurant jusqu'en 1990 et continue d'en être le plat principal actuellement. Elle est généralement servie avec une salade de mesclun. Outre ce met mythique, le restaurant propose en entrée des tartinades, mini pan bagnats, ou la fameuse pissaladière (pâte à pain avec oignon caramélisé). Et dans la gamme des desserts maison, la tarte au citron meringuée, le tiramisu ou bien la tourte aux blettes émoustille les papilles. Toutes ces succulentes suggestions se dégustent en toute convivialité dans un esprit de partage. Côté vins, le restaurant dispose d'une cuvée spéciale de la maison, d'ailleurs étiquetée « Chez Pipo », un Côtes de Provence du domaine Château Rêva décliné sur les trois couleurs. Décor respectueux de l'esprit de la socca Prêt à accueillir une centaine de personnes, le restaurant se décline en deux espaces : une salle intérieure et une terrasse. A l'intérieur, les tables et les tabourets sont en bois. Des photos et images de Nice à la belle époque habillent les murs et replongent les convives dans une autre époque. La cuisine est au cœur du restaurant. Elle est ouverte, avec une verrière qui donne sur la salle. La préparation même de la socca s'exécute dans un four de 300 ans taillé avec des pierres de Biot. Ce n'est autre qu’un des  plus vieux fours de la ville créé au moment de la construction de l'immeuble dans lequel se trouve le restaurant. Comme il trône majestueusement au cœur de la salle, le client assiste à toute la préparation jusqu'à la cuisson, un procédé artisanal et ancestral. Et sur la terrasse, les tables en fer jouent sur les teintes grises et s’accompagnent de chaises en bois. Une Vespa avec le logo de Chez Pipo y est visible. Et une combi Volkswagen fait office de terrasse mobile pour le bistrot. Ce cadre atypique au style vintage façonne l’identité des lieux. ...

Frais Émincés : des fruits et légumes dans tous leurs états

Frais Émincés, c’est avant tout une entreprise à taille humaine, employant une quarantaine d’employés. « Chez nous, la valeur familiale est très ancrée dans notre culture du travail », renchérit Marc Pajotin, le directeur de l’enseigne. Cette dimension humaine pousse l’entreprise  à privilégier une démarche locavore, non seulement pour honorer les produits de la région Loire-Atlantique mais surtout pour avoir la garantie d’obtenir des produits frais à tout moment. Du producteur à notre assiette La fraîcheur et la qualité constituent l’ADN de Frais Émincés. L’entreprise s’approvisionne directement et quotidiennement auprès des maraîchers régionaux travaillant en agriculture raisonnée. « On vérifie à la réception la bonne qualité des fruits et légumes, car on a des critères exigeants sur le choix de matières premières », explique notre interlocuteur. Les produits sont alors épluchés, débactérisés et lavés avant d’être découpés sous plusieurs formes : en rondelle, en émincé, en julienne, en cube, en lanière… À partir de là, des procédés variés permettent alors de réaliser différents types de produits, soit par simple mélange pour les apéritifs et snacking, soit par une technologie à haute pression afin de conserver plus longtemps la fraîcheur, soit par des méthodes de découpe particulières pour répondre aux demandes spécifiques des clients de la restauration. Les produits sont alors prêts à être conditionnés et sont envoyés à la livraison. Et toutes ces étapes sont réalisées en un temps record, pour relever le défi de « livrer dans la journée toute commande reçue le matin et ainsi ne pas altérer la fraîcheur ». Une gamme de fruits et légumes prête à l’emploi et prête à la consommation « À la base, notre idée était de fournir des produits super frais prêts à l’emploi aux restaurateurs pour leur faire gagner du temps », reprend Marc Pajotin pour expliquer le concept. En effet, les légumes et fruits découpés présentent un double avantage pour les restaurateurs, aussi bien sur la rapidité de la préparation que sur la qualité de la présentation des plats, pour être à la hauteur des exigences de leurs clients. Toujours avec cette même expertise, Frais Émincés a décidé d’adapter ses offres à une demande plus large et pour un usage quotidien, en essayant de varier les recettes et le mode de cuisson. En 2005, donc, elle a lancé le plateau apéro qui se compose de bâtonnets de carottes, de céleris et de courgettes accompagnés d’une petite sauce pour manger sainement tout au long de la journée. De savoureux shakers de fruits ont été également introduits quelques années plus tard au sein des rayons frais des fruits et légumes en Grande Distribution. C'est la société Frais Emincés qui récemment a lancé les spaghettis de légumes ou une nouvelle gamme de fraîche découpe bio que l'on retrouve dans les rayons frais des Fruits et Légumes en Grande Distribution. « Il est important pour nous de proposer un large choix de produits de qualité et surtout des produits qui ont du goût », termine-t-il. ...