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Château Cadet-Bon, AOC Saint-Émilion Grand Cru : une histoire de millésimes et de récompenses

Depuis le rachat de la propriété par la famille Richard en 2001, le Château Cadet-Bon ne cesse d’améliorer la qualité de ses vins. Aujourd’hui, les efforts qui y ont été menés portent leurs fruits. Le Château - déjà élevé au Grand Cru Classé - obtient plusieurs prix et distinctions au fil des années. Il ouvre désormais son domaine aux passionnés de viticulture....

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Podcast interview Bicentenaire Nicolas avec Christopher Hermelin

Bonjour et bienvenus à tous sur ce nouveau podcast : « on en parle ». Aujourd’hui nous allons nous intéresser à Nicolas, le fameux caviste français, qui fête en 2022 son bicentenaire. Alors focus sur ce géant du vin, qui a su traverser les siècles avec succès. Et pour nous guider et nous accompagner, Monsieur Christopher Hermelin, responsable marketing et communication chez Ni...

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Château Corbin Michotte pour le plaisir des papilles

S’étalant sur une surface de 7ha de vignoble et situé dans la zone graveleuse de Saint-Emilion, le Château Corbin Michotte se trouve entre Pomerol et Saint-Emilion, proche de Cheval Blanc et Figeac. Chaque année, on y produit près de 300 hl de vin en moyenne, en Grand Cru Classé.

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Podcast interview avec Caroline Barroux du Château Barrabaque

Bonjour à tous, vous écoutez « On en parle », le podcast qui parle de vous, de votre métier et bien souvent de votre passion. C’est le cas de madame Caroline Barroux vigneronne dans la région Bordelaise qui gère d’une main de maître son château, son vignoble, sa terre. Alors depuis combien de temps madame Barroux vous avez repris l’exploitation Barrabaque ?

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Podcast interview avec Sébastien Labails des Vignobles de Maxime

Bonjour à tous, vous écoutez « On en parle » le podcast où nous parlons de vous et de votre métier. Alors aujourd'hui, nous allons partir à la rencontre d'un vigneron Sébastien Labails qui nous fera découvrir ses trois domaines dans la magnifique région de Bordeaux. Bonjour, Monsieur Labails, alors dites-nous un peu, qui êtes-vous et que faites-vous là-bas vers Bordeaux ?...

Top 50 des meilleurs vins et appellations de France

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Saint-Emilion
Château Cadet Bon
Château Cadet-Bon, AOC Saint-Émilion Grand Cru : une histoire de millésimes et de récompenses
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Podcast interview Bicentenaire Nicolas avec Christopher Hermelin
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Château Corbin Michotte pour le plaisir des papilles
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Podcast interview avec Caroline Barroux du Château Barrabaque
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Les Vignobles de Maxime
Podcast interview avec Sébastien Labails des Vignobles de Maxime
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Laurens
Château Grézan – Famille Cros-Pujol
Château Grézan, un vin au cœur de l’histoire de Béziers et du Biterrois
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Château Grézan – Famille Cros-Pujol
Château Grézan : un terroir mis en valeur depuis cinq générations
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Gervans
Domaine Laurent Habrard
Domaine Laurent Habrard : un vin reconnaissant envers la nature
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La Motte
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Domaine de Jas d’Esclans, la viticulture biologique à l’honneur depuis plus de 30 ans
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Domaine de Calet :
vers une viniculture durable
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Château Le Tros : l'excellence du vin en AOC Bordeaux
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Château Fabre Gasparets, expression et pureté en Boutenac par la Famille Fabre,  vignerons depuis 1605
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Château Cadet-Bon, Bordeaux : l'excellence des vins en appellation Saint-Émilion...
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Saint-Jean-de-Serres
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Le Potager du Mas : les plaisirs de la Provence

A proximité du village provençal d’Eygalières et de Saint-Rémy-de-Provence, Le Potager du Mas, restaurant du Domaine de la Rose, est l’adresse « détente » pour passer un week-end dans une demeure de charme et profiter des plaisirs d’une cuisine au plus proche de la nature. Sa propriétaire, Fabienne Huppert et Franck Reveniault responsable du restaurant ont permis à cet établissement, s’étendant sur un domaine de 25 hectares, d’être labélisé « Marque Accueil du Parc », « Table Remarquable » par Châteaux et Hôtels Collection et obtenir 2 fourchettes au prestigieux et très convoité guide Michelin. Mas du Potager : cuisine et vins du terroir Ici, la cuisine est réalisée par le chef Fabien Taguemount. Un jeune chef qui a fait ses classes dans de prestigieux établissements : L’Oustau de Baumanière aux Baux-de-Provence,  La Table du Château à Rochegude. Au Potager du Mas, il présente une cuisine gastronomique française aux accents de la Provence. Une cuisine simple et de saison privilégiant des produits d’exception cultivés au sein même du Domaine de la Rose mais également en provenance de maraîchers locaux. Ayant la passion du beau produit, Fabien Taguemount propose une carte étoffée composée de plats signature fait maison, savoureux et aux couleurs vives. La reconnaissance des plus grands chefs a révélé son talent et l’originalité majeure de certains de ses plats. C’est le cas de l’aubergine du potager. Une entrée soigneusement élaborée à partir d’une aubergine grillée et confite au four avec des aromates, des herbes de provence, de l’ail et de l’huile d’olive. Le tout cuit lentement au four et sur lequel sont plantés des légumes cuits et crus comme des radis, tomates-cerises et concombres. Un plat accompagné d’une simple vinaigrette balsamique dont l’huile d’olive est produite directement au domaine de la Rose. En bouche, toutes les saveurs de la Provence se révélent avec des sensations étonnantes de croquant et moelleux. Accompagné d’une Cuvée Confidence millésime 2013 du domaine d'Eole, l’Aubergine du potager affirme toute son originalité. Autre plat signature, l’agneau des Alpilles. Plat élaboré à partir d’un carré et d’une souris d’agneau. Ici, le carré d’agneau entier est accommodé d’une fine croûte d’herbe fraîche et de pignons de pin dont la cuisson parfaite laisse à la viande toute la jutosité. A l’oeil, une chair légérement rosée. En bouche, une viande à la texture tendre avec des sensations croustillantes par sa croûte légére et ses pignons dorés. Ce carré est également accompagné d’une souris d’agneau, confite lentement au jus de viande et au vin rouge, ce qui donne à ce plat un caractère doux et caramélisé. Servi avec des aubergines, de fines tranches de lard et un crumble au parmesan et basilic, il révéle toutes les saveurs du terroir provençal. En guise de dessert, le tartare de fraises et framboises élaboré à partir de fruits de saison du domaine. Découpés finement et nappés d’une confiture d’olives noires, le chef arrive à créer un contraste particulier au niveau des couleurs et des sensations étonnantes au niveau du palais. L’ensemble est accompagné d’une crème mousseline à la vanille, d’un sorbet au fromage blanc et d’olives noires réhaussé d’une fine feuille de verveine donnant fraicheur et un goût légérement citroné à la composition. Globalement, l’établissement défend les valeurs du beau produit, du manger frais et de saison. Quant au chef, Fabien, sa philosophie est de sublimer le produit en proposant des textures en bouche contrastées, finement étudiées et une cuisine originale qui met toute la Provence dans notre assiette. Une carte des vins Le Potager du Mas propose une sélection de blancs, de rouges et de rosés, principalement issus du terroir et mettant en avant des productions viticoles et A.O.C de la région. Des cépages du Domaine du Trévallon comme l’Eloi Dürrbach, un rouge millésime de 2010, du Domaine du Vallon des Glaug...

Le canard à rôtir :
un produit culinaire singulier

On raconte que même le Prince de Galles raffolait de la fameuse recette du canard à la presse au XIXe siècle. Des petits plats à déguster en amoureux jusqu’aux illustres menus festifs, le canard à rôtir séduit les gourmets pour devenir un produit d’exception présent sur toutes les tables. L’excellence est à l’honneur Promu et défendu par le CICAR, le canard à rôtir a davantage gagné en qualité. Grâce aux initiatives de ce comité interprofessionnel réunissant les différentes familles de la filière canard, l’ensemble de sa chaîne de production est de plus en plus amélioré. Des agriculteurs aux abattoirs, en passant par l’alimentation des animaux, tout a été pensé de manière à mettre en valeur la noblesse de cette viande. Des procédés rigoureux qui garantissent une viande tendre, au goût unique un peu musqué et irrésistiblement savoureux. Mais, de nos jours, la saveur ne suffit plus. Manger équilibré est quasiment la norme. Et pour cela, les vertus nutritionnelles du canard à rôtir sont inégalables. Riche en nutriments, vitamines, fer, phosphore, sélénium, cuivre et acides gras mono-insaturés, il confère une belle alliance du bon et du sain. Un produit à cuisiner à toutes les sauces L’autre atout du canard à rôtir réside dans la facilité de sa préparation. Cette viande se marie parfaitement avec plusieurs sortes de produits : légumes, fruits secs, morilles, épices..., ce qui permet de la cuisiner au gré des inspirations. En entrée ou en apéritif (comme le sushi de filet de canard ou les tapas d’aiguillette), elle met l’eau à la bouche. En plat, quelle que soit la saison (comme les aiguillettes de canard à la sauce soja et riz à la cannelle ou le tournedos de canard et sa poêlée de légumes minute), elle fait valser les sens. De surcroît, le comité CICAR a fait en sorte que les découpes du canard à rôtir soient les plus variées possible, afin que les attentes et besoins de tout un chacun soient satisfaits. On cite par exemple les aiguillettes, la cuisse, le filet ou le tournedos. Il n’y a aucun doute que le canard à rôtir a déjà gagné ses lettres de noblesse. Il a même charmé la clientèle de l’éminent restaurant La Tour d'Argent à Paris, avec la fameuse recette du canard au sang. Les grandes étoiles de la gastronomie ne tarissent pas d’éloges sur ce produit. « L’aiguillette a une texture très fondante, très moelleuse », s’exclame la célèbre chef Soizic Rescamp. Le chef renommé et conseiller culinaire Tugdual Debethune raconte pour sa part : « … Je reviens un peu sur le fameux canard à l’orange. Pourquoi cette recette est-elle devenue emblématique ? C’est parce que les saveurs se marient bien. Le canard aime tout ce qui va être miellé, sucré, acidulé, ainsi que tout autre arôme un peu floral. » ...

Champagne Moineaux : le terroir des grands crus

C’est sur ces terres de craie que s’épanouissent les arômes subtils de raisins blancs mûrissant lentement sous un ensoleillement adapté. Le domaine de 6,4 hectares est établi sur un noble terroir, et les propriétaires aussi sont détenteurs des traditions champenoises. Deux raisons expliquant la qualité des champagnes de la maison. Un travail minutieux, synonyme d’excellence Le travail du terroir se fait dans les règles de l’art au Champagne Moineaux. La cueillette manuelle se fait avec précision, et l’étape de vinification aussi. L’emploi d’outils de pointe, notamment des cuves en inox équipées de thermorégulation, améliorant la qualité du vin. Thibault Soyer, propriétaire du domaine, mise sur la  qualité. « Nous ne millésimons nos cuvées qu’en cas d’excellentes années », évoque-t-il. D’ailleurs, ses millésimes sont issus des meilleurs crus. Ces champagnes d’excellence se conservent au moins cinq ans, pour faire éclore tous leurs arômes délicats. Récoltant-manipulant, Thibault Soyer prend également en main le marketing et la commercialisation de ses produits. Il a réussi à percer des marchés à l’étranger, au Danemark, en Suède, en Grande-Bretagne et en Espagne, ce qui fera grimper sa production à près de 50 000 bouteilles par an. Les grands crus, objets de convoitise lors des visites œnotouristiques Les champagnes Moineaux sont classés Blanc de Blancs Grand Cru. Élaborés uniquement avec du chardonnay, ils font l’objet de curiosité lors des visites œnotouristiques, durant lesquelles un parcours guidé, allant du terroir au cellier, est proposé. L’étape de dégustation est incontournable lors de la visite, où les perles rares se dévoilent aux visiteurs de la cave. Parmi elles, la cuvée Brut millésime représente à merveille le terroir. C’est aussi le fer de lance de la maison. La cuvée Prestige est également éloquente. C’est un champagne d’exception issu d’une parcelle vieille de 50 ans. Sa finesse et son élégance provoquent de belles sensations de fraîcheur. ...

Le « Delicious Gang » de Clamens :
Jules, Julie et Juliette ! Une aventure gourmande et conviviale !

Le vignoble du château, qui fait 25 hectares, est installé sur les anciennes terrasses du Tarn et de la Garonne et s’étend sur trois communes et deux départements. Il produit annuellement 120 000 bouteilles principalement en rouge et réparties en deux gammes bien distinctes. Jules, Julie et Juliette Tels sont les noms des cuvées de la nouvelle gamme de vins proposée par le Château. La cuvée « Jules » est un vin rouge masculin, souple et généreux, qui s’adapte à tous les moments conviviaux, quels qu’ils soient, mais surtout en famille ou entre amis. Ce précieux nectar accompagne à merveille les apéritifs ou encore les grillades d’été au milieu du jardin. Avec sa robe rose pâle, la cuvée « Julie » est un rosé fin et délicat, aux notes d’agrumes prononcées. Après avoir été rafraichie, elle se déguste lors des moments festifs avec des plats comme les sushis, poissons grillés et plus particulièrement des beignets de légumes. La cuvée « Juliette » est la dernière née du Château. C’est un vin blanc de cérémonie, sérieux mais qui peut convenir à toute la famille. Sa bouteille, stylée et moderne, est à l’image de cette cuvée : légère et gourmande, avec un goût de fruit maîtrisé. Gourmandise, légèreté et plaisir immédiat sont au cœur de ces « 3 Jus ». La Négrette, à la base de toutes les cuvées De la vigne au verre, le processus de fabrication du vin relève de tout un art qu’il faut maîtriser à la perfection. Chaque vin, chaque millésime se distingue par son terroir, sa vinification et les différentes méthodes employées par les vignerons. Au Château Clamens, la Négrette est au cœur de ce procédé. Il s’agit d’un cépage millénaire endémique de cette région du Sud-Ouest de la France. Fine et délicate, elle confère aux vins des arômes délicats de fruits rouges et de réglisse. Elle est à la base de toutes les cuvées du domaine, en assemblage avec le Cabernet Sauvignon pour sa noblesse, le Malbec pour sa structure, le Cabernet Franc pour sa fraîcheur et la Syrah pour sa chaleur et sa souplesse. Les différentes combinaisons effectuées par le domaine entre ces raisins lui permet d’obtenir des vins de caractère et faciles à boire. Les cuvées AOC Fronton Les cuvées plus traditionnelles, en appellation Fronton, qui ont fait et font toujours la renommée du Château Clamens sont des rouges issus d’une longue tradition. La cuvée « Caractère » se démarque par ses arômes de violettes, poires et pruneaux, « Héritage » par ses arômes de fruits noirs cuits aux notes boisées et « Prestige » offre des arômes de réglisse et fruits rouges. ...

Champagne Marc Hennequière :
entre tradition et innovation

Passionné très tôt par les vins, Marc Hennequière crée son vignoble à l’âge de 16 ans, en 1980. Vers les années 2000, lorsque sa femme s’installe sur le domaine, ils s’initient ensemble à la champagnisation. Le couple s’acquitte de toutes les tâches, avec l’aide d’un salarié à temps partiel et d’employés saisonniers lors des périodes de palissage et de vendange. Cette petite équipe soudée s’attelle à produire un champagne à l’esprit unique, qui reflète le terroir. Les secrets d’une viticulture durable en Champagne Le vignoble implanté sur la Côte des Bar s’étend sur une superficie de 3,5 hectares. Les cépages (principalement le pinot noir, le meunier et le chardonnay) sont cultivés sur un sol argilo-calcaire, « excellent pour élaborer le champagne », confie Marie-Nelly Hennequière. Le couple possède également quelques parcelles de terrain exposées plein sud, « ce qui permet d’avoir une bonne maturité des raisins ». Divers procédés sont mis en œuvre pour entretenir le sol et les vignes, comme l’usage de charrues, la faible application de produits phytosanitaires et la non-utilisation de désherbants. En effet, les méthodes durables ont spécialement été choisies et adoptées pour « laisser le sol respirer un peu », selon les précisions de la viticultrice.  De la vigne au vin La maison Marc Hennequière joue la carte de l’originalité dans la production de ses champagnes en ayant recours à certaines techniques innovantes. « Dernièrement, nous avons décidé de changer un peu notre façon de produire, en lançant la cuvée Prémices qui subit un passage de 6 mois en fûts de chêne. Habituellement, nous ne travaillons qu’avec des cuves en inox », révèle notre interlocutrice. Parmi les 8 cuvées produites aujourd’hui, la cuvée Réserve Marie-Nelly endosse le rôle d’ambassadrice de la maison. « C’est un champagne qui nous définit. » Élaborée à partir de 25 % de chardonnay et le reste en pinot noir et meunier, la cuvée Réserve Marie-Nelly développe un nez complexe et expressif, avec une belle attaque en bouche. Idéale pour déguster une andouillette de Troyes ou une volaille rôtie. ...

Champagne Soutiran :
du gout et de l’authenticité

Tout commence dans les années 1950 lorsque Gérard Soutiran, viticulteur passionné, décide d’apposer pour la première fois son nom de famille sur ses bouteilles de champagne. En 1969, Alain, son fils ainé, monte sa propre structure et développe une gamme de champagnes qu’il nomme Soutiran Pelletier. Vingt ans plus tard, c’est finalement sous l’impulsion de Valérie, la fille d’Alain, que la marque Champagne Soutiran voit le jour et la maison est aujourd’hui dirigée par Patrick et Valerie Renaux-Soutiran. Une viticulture durable La maison travaille actuellement sur un vignoble de 6 ha, dont la plupart des vignes sont plantées sur le prestigieux terroir d’Ambonnay (Marne), tandis que le reste des parcelles se répartit dans des villages classés Premier Cru, tels que Trépail, Chigny-les-Roses et Chamery. Profitant d’un ensoleillement maximal, le terroir d’Ambonnay est particulièrement favorable aux pinots noirs et aux chardonnays. « Le sol est constitué de craie affleurante. C’est cette typicité propre au terroir qui nous permet d’apporter davantage de minéralité dans nos vins », précise Valérie Renaux-Soutiran. Soucieuse de sa terre, de ses vignes et surtout très respectueuse de l'environnement, l’exploitation familiale privilégie une viticulture raisonnée : travail du sol, apport d’engrais organiques, recours à la confusion sexuelle…  Côté vinification, elle reste fidèle à un savoir-faire artisanal qui s’est transmis de génération en génération. « Nous utilisons un pressoir à membrane et les jus passent par une fermentation alcoolique et malolactique à température régulée », nous explique-t-on. L’élevage se fait à la fois en cuves inox et en fûts de chêne, ce qui procure aux vins une richesse aromatique exceptionnelle. Une autre particularité de la maison : des vins vieillis en cave bien au-delà des exigences de la règlementation. « Les champagnes Soutiran vieillissent entre 5 à 9 ans avant d’être commercialisés », souligne Valérie Renaux-Soutiran. Ce temps est nécessaire aux vins pour gagner en complexité et donner aux bulles plus de finesse. Les spécialités de la maison Le domaine produit au total 8 cuvées : une cuvée Premier Cru et 7 cuvées Grand Cru. Véritable empreinte de la maison, la cuvée « signature Grand Cru » mérite tous les égards. Composé de 40 % de pinot noir et de 60 % de chardonnay, ce champagne, qui a vieilli 6 ans sur latte, séduit par sa structure aromatique affirmée, à laquelle vient s’ajouter une belle minéralité crayeuse. Ensuite, la cuvée « Perle noire » est sans doute la mieux placée « pour représenter la maison Soutiran », nous indique-t-on. Il s’agit d’un blanc de noir Grand Cru élaboré à partir de 100 % pinot noir. Riche et élégant, il se distingue par sa complexité, avec une longueur en bouche et une fraicheur remarquable. ...

Le Patio, Rive gauche : l’adresse mythique de Genève qui revisite le bœuf et le homard

Entre bœuf et homard Propriétaire du restaurant Le Patio, emblématique de la gastronomie genevoise depuis les années 70, la famille Prato semble avoir trouvé en Philippe Chevrier le successeur culinaire idéal. Reconnu pour sa cuisine traditionnelle et créative, l’étoilé avait fait ses armes tout jeune au Patio, c’était donc une opportunité évidente que de reprendre l’établissement en 2013. Au-delà des classiques de bistrot, il y développe un concept original : le « Bœuf & Homard ». Aux tables du Patio, ces deux produits d’exception sont rois. Avec une texture fondante et un goût si singulier, sublimés avec talent, ils se réinventent sous les couteaux des chefs avec une déclinaison infinie de plats. Côté mer, on s’emballe pour des carapaces travaillées en bisques ou consommés aromatiques, parfumées au porto, au lemon grass, assaisonnées à la fleur de sel ou en gelée de fenouil. Côté terre, on salive pour le bœuf et sa traditionnelle entrecôte, ou en tartare, en carpaccio, farci, braisé, mitonné ou encore en ragoût. En entrée, les ravioles de queue de bœuf braisées et liées au foie gras et au porto font concurrence à la bouchée à la reine « comme faisait maman Denise ». Avec des classiques comme le tibia de bœuf à la fleur de sel et le homard grillé au beurre de corail, les plats sont authentiques et efficaces. Entre terre et mer, un trésor culinaire séduira à coup sûr les papilles des plus gourmets. Il s’agit du « Surf & Turf », alliant un cœur de filet de bœuf et un demi-homard grillé décortiqué. Souhaitant perpétuer la tradition, le restaurant revisite également les classiques d’une gastronomie d’antan, c’est-à-dire les plats phares de la famille Prato. Tartares, cuisses de grenouille, filets de perche, turbot sauvage ou encore carré d’agneau sont quelques-unes des spécialités présentes à chaque saison pour compléter le concept « Bœuf & Homard ». Pour concocter et servir cette cuisine gastronomique et audacieuse, l’équipe talentueuse du Patio réunit Gilles Granziero le directeur, deux chefs de cuisine, Romain Loiseau et Rodolphe Estiot-Braud, et Alexia Chenevard, maître d’hôtel.  Une gourmandise authentique au cœur de Genève Tant du côté des saveurs que du décor, Le Patio est marqué par le sceau d’une élégance intemporelle. Entre lac et vieille ville, l’antre culinaire peuplé d’habitués accueille le visiteur à Genève dans une ambiance plutôt intimiste. Mêlant subtilement charme du bistrot de quartier et chaleur du restaurant douillet, difficile de résister à cet endroit. Les jolis murs de pierres apparentes sont tapissés des œuvres colorées du peintre cubain Carlos Boix, un habitué et ami du chef qui en a fait son repaire. Réputé pour son authenticité, le bistrot célèbre également le terroir à travers des soirées dédiées aux vignerons, aux cigares, à la truffe, et au gibier. « Sans vignerons et sans agriculteurs, le restaurateur n’est rien », a dit Philippe Chevrier, pour qui la cuisine est avant tout un art de la générosité et du partage. Et ce n’est pas l’incroyable sélection de vins du Patio qui nous fera dire le contraire. Des crus suisses mais aussi français et italiens sont à l’honneur d’une carte des vins étoffée et raffinée. Les chefs ont également élaboré une gamme de desserts aussi gourmands les uns que les autres. Parmi eux, on retient le traditionnel baba au rhum, la tarte fine aux pommes, ou encore le moelleux au chocolat. Le Patio reste à la fois un bistrot de quartier d’une belle tradition culinaire, qu’une institution genevoise incontournable de la rive gauche de Genève. Recommandé à tous ceux qui souhaitent partir à la chasse aux saveurs dans l’élégance de la simplicité et la chaleur de la vieille ville. ...

Le Pont Nantin : le fait-maison est à l'honneur

Ville de tradition, Saint-Chamond se distingue par sa nature environnante préservée, la richesse de sa culture locale et son patrimoine historique et industriel. La commune abrite plusieurs sites et monuments : entre autres, l’Eglise Saint-Pierre datant du XVIIème siècle, les belles maisons bourgeoises d’époque, le parc naturel régional du Pilat… C’est dans ce cadre qu’Alexandre Cipriani a décidé de démarrer un projet de vie : l’ouverture de son propre restaurant, aujourd'hui le siège et le partenaire du club Rotary de la vallée du Gier. Une belle aventure qui débute en 2006 et qu’il vivra aux côtés de son épouse. Ancien point relais de diligence Le Pont Nantin est un restaurant de diligence chargé d’histoire. Celle-ci commence il y a une centaine d’années, à l’époque des échanges commerciaux qui se déroulaient dans la Loire. L’établissement était alors l’un des points relais des diligences s’occupant du transport des produits maraîchers qui descendaient vers le Rhône. Dans l’optique de préserver l’identité des lieux, le couple Cipriani décide de faire de la notion de « diligence » sa marque de fabrique. On y cultive un état d’esprit : être diligent avec les clients et proposer un service rapide et efficace car la maison accueille, en majeure partie, une clientèle d’affaires recherchant la réactivité et très à cheval sur la qualité. Cela tombe bien car au Pont Nantin, les clients sont choyés par un service performant et soigné et dorlotés par une cuisine traditionnelle et généreuse orchestrée par un chef passionné.En sa qualité de Maître Restaurateur, Alexandre Cipriani propose du « fait maison » réalisé avec des produits bruts, de qualité. Vous y dégusterez volontiers un délicieux foie gras de canard ou des viandes grillées (rumsteak, entrecôte, filet de boeuf, bavette…) proposées au menu chaque jour. N’oublions pas les glaces « maison » élaborées avec des produits naturels et se déclinant en de nombreux parfums originaux voire insolites : caramel beurre-salé, foie gras, mojito, rhum raisin…   Pour le plaisir des papilles Pour ravir les palais, le restaurant affiche à l’ardoise des plats variés, chaque semaine, composés d’au moins quatre choix d’entrée, quatre choix de plats principaux et quatre choix de desserts. Une manière, également, pour le chef de s’amuser en cuisine et de laisser libre cours à son imagination. Curieux et créatif, il valorise les produits du terroir avec une cuisine moderne et gourmande dont il est le seul à avoir le secret. Toutes les propositions culinaires sont sublimées par une carte des vins qui fait la part belle à la Vallée du Rhône avec quelques références bien connues (Saint-Joseph, Crozes Hermitage …). ...

Biscuiterie fine de France : le meilleur de la biscuiterie

Située au Montat, aux portes de Cahors, Biscuiterie fine de France est une entreprise familiale dotée d’une expertise et d’un savoir-faire artisanal à même de satisfaire tout type de projet et autres demandes spécifiques de ses clients. Pour la petite histoire Rachetée il y a de cela vingt-cinq ans par le couple Jean-Marie et Chantal Robert, la petite biscuiterie qui fabriquait alors des meringues en sachet s’est vite muée en une plus grande structure. Issu du secteur industriel, M. Robert décide d’adresser l’essentiel de la production aux industriels glaciers. Au fur et à mesure du temps et des demandes des clients, un savoir-faire biscuitier s’est développé au sein de l’équipe. En tout, une vingtaine d’employés s’attellent à réaliser des gammes très diversifiées qui touchent aujourd’hui un large panel de clients. Grâce à des outils de production performants alliés à un savoir-faire artisanal, Biscuiterie fine de France répond aux demandes, même les plus exigeantes. Les engagements Désireuse de promouvoir le savoir-faire français, Biscuiterie fine de France s’inscrit dans la démarche Clean Label. Ce qui implique une totale transparence au niveau des produits utilisés. Les ingrédients utilisés ne contiennent ni conservateurs ni exhausteurs de goût. Les colorants et arômes naturels sont davantage privilégiés. Du point de vue écologique, les collaborateurs sont engagés dans une démarche visant à économiser l’eau et l’énergie et à réduire les déchets. Des produits dédiés à tous La vocation première de Biscuiterie fine de France est de proposer des produits innovants aux industriels. Aujourd’hui, son expérience a permis la réalisation de créations de plus en plus abouties. Mis à part les traditionnelles meringues, l’entreprise fournit entre autres différents éclats de biscuits (palets bretons, spéculoos, crumbles, macarons) utilisables dans des préparations pâtissières comme les crèmes glacées ou les coupes de fruits. Pour les particuliers, l’entreprise a lancé récemment une gamme innovante d’aide pour la pâtisserie sous la marque « Biscuiterie fine de France » qui est disponible auprès des GMS. Le consommateur final aura ainsi accès à des produits de qualité qui n’ont rien à envier à la concurrence à l’instar des concassées de spéculoos, des éclats de palets bretons, ou encore un produit très innovant comme la chapelure de pain d’épice. ...

Domaine de l’Angèle : découvrez des vins puissants et aromatiques

C’est pour rendre hommage à leur trisaïeule dénommée Angèle, une femme à fort caractère, que les deux frères Jacques et David Florent ont décidé d’attribuer son nom à ce domaine familial. En effet, c’est elle qui a commencé à planter les premières vignes à la fin du XIXe siècle et a su développer le vignoble au fil du temps. Une viticulture raisonnée Le vignoble, d’environ 30 ha, repose sur des sols argilo-calcaires profonds et limono-argileux. Depuis 25 ans, Jacques et David Florent, les propriétaires du Domaine de l’Angèle, y mènent une lutte raisonnée. La santé du sol et des vignes est au centre de leur préoccupation, avec une attention toute particulière accordée à la faune et à la flore. « Nous avons semé des enherbements dans les vignes afin de favoriser une activité microbienne au niveau du sol. Et nous utilisons uniquement des engrais organiques », souligne David Florent. Pour traiter leurs vignes, les deux frères multiplient les précautions afin d’effectuer des traitements les moins agressifs possibles. La maison privilégie les vinifications en monocépage. La syrah, le grenache et le mourvèdre sont ainsi vinifiés séparément pour être ensuite assemblés. Le Domaine de l’Angèle se démarque également par ses longues macérations. « Pour les rouges, nous poussons les maturités le plus longtemps possible. En général, les fermentations durent 15 jours, puis nous procédons à 15 jours de macération sous marc, ce qui implique une durée de vinification de plus d’un mois », explique notre interlocuteur. Les cuvées La maison produit des vins en AOP (Ventoux et Luberon) et IGP (Vaucluse). Dans la gamme des rouges, la cuvée « Ludivine » mérite une attention particulière. Ce vin 100 % syrah est élaboré à partir de vieilles vignes. Il a fait l’objet d’une longue macération (plus de 30 jours) en cuve béton et a vieilli en barrique entre 12 et 16 mois.  N'ayant rien à envier à cette dernière, la cuvée « Hippolyte » occupe tout aussi bien une place de choix parmi les vins du domaine. Un vin 100 % grenache noir qui a subi plus d’un mois de macération en cuve béton et a vieilli 12 à 16 mois en demi-muid.  ...

Le Clos des Abbesses, un Saint-Emillion authentique

Le Clos des Abbesses : une appellation AOC Saint-Emilion Saint-Emilion est un des vins les plus connus au monde. C’est une Appellation d’Origine Contrôlée qui compte plus de 800 viticulteurs, des terroirs différents et une qualité mondialement reconnue. Les neuf communes de l’appellation Saint-Emilion et Saint-Emilion Grand Cru sont inscrites au patrimoine mondial de l’Unesco depuis 1999 au titre des « Paysages culturels ». Les vignobles couvrent 5 400 ha, soit 67,5% de la superficie de la commune et produisent environ 275 000 hl de vin par an. Ils bénéficient d’un climat tempéré de type océanique, d’une humidité moyenne de 75 % et d’une pluviométrie moyenne de 800 mm/an. Les propriétés sont en général assez petites, 5 ha en moyenne et gérées plutôt de manière artisanale. Saint-Emillion est la “colline aux mille châteaux” qui produit des vins de qualité assez disparate, du grand cru aux vins de table. Les terroirs sont diversifiés, ce qui fait que chaque propriété a des caractéristiques qui lui sont uniques. Les sols argilo-calcaires donnent des vins bien corsés, puissants, charpentés, colorés, riches en alcool, en tanins et de très longue garde. Le Merlot, le Cabernet franc et le Cabernet Sauvignon sont les trois principaux cépages des vignobles de Saint-Emilion. Le Clos des Abbesses, un vin au fumet fruité « Nous avons un vrai point fort », nous explique Agnès Chariol « nos vins sont authentiques et artisanaux, ils nous ressemblent, il n’y a pas d’artifices, car on laisse avant tout parler la nature. Nous sommes des fervents défenseurs d’une agriculture raisonnée ». Le terroir se situe dans la plaine de Saint-Emillion, il est composé de graves sablonneuses. Le climat y est doux et tempéré. C’est un petit domaine de 5,2 hectares, ce qui permet une agriculture raisonnée, avec une attention toute particulière donnée aux vieux pieds de vigne. En effet, ce sont eux qui produisent le grand cru du domaine. La vinification est traditionnelle et artisanale, elle se fait dans des cuves en ciment.La durée de cuvaison varie selon les années entre 3 et 5 semaines, puis le vin est élevé de longs mois  dans des barriques de chêne français. Bien évidemment, le jus est gouté régulièrement pour connaître le moment précis où on doit le sortir des barriques. Le Merlot constitue 80 % des parcelles plantées du domaine, le Cabernet franc les 20% restants. Le Clos des Abbesses produit deux types de vin : le Clos de Abbesses sous l’appellation Saint-Emilion simple et la Grande Abbesse sous l’appellation Saint-Emilion grand cru. Le Clos des Abbesses a une teinte assez brillante, de couleur rubis. Au nez, il est assez fruité, frais et élégant. En bouche il est délicat, souple et gourmand. C’est un vin à boire rapidement pour qu’il garde tout son gout fruité. Il peut être consommé avec toutes sortes de mets. La Grande Abbesse, un vin complexe et onctueux C’est le grand cru du domaine, vinifié à partir des raisins issus des vieux pieds de vigne. La Grande Abbesse est beaucoup plus complexe que le Clos. A l’œil, il est foncé. Au nez, les notes sont vanillées et il a une bonne longueur en bouche. C’est un vin délicat qui demande à vieillir pour le déguster à sa juste valeur. Il doit être débouché au moins une heure avant de le consommer pour que ses arômes se libèrent. « Pour s’exprimer, il a besoin d’air », nous explique Agnès Chariol. ...

Restaurant Les Ombres : une table raffinée sur les hauteurs de Paris

Installé sur une immense terrasse de plain-pied de 2 500 m2, le Restaurant Les Ombres est une table prestigieuse à l’ambiance intimiste qui sait apporter de l’originalité à la gastronomie.  Alain Ducasse a déclaré :  « Aux Ombres, j’ai voulu réaliser la synthèse de ce que je suis aujourd’hui. Riche d’un parcours culinaire au cours duquel j’ai célébré la Méditerranée, ciselé la cuisine française contemporaine et créé la Naturalité, j’ai eu envie de rassembler ces trois courants majeurs en un restaurant qui condense mon ADN originel. » LA MÉDITERRANÉE  « En tant que cuisinier, c’est sur la Riviera que je suis né », aime à dire Alain Ducasse. Le chef découvre ce terroir à 20 ans et se passionne depuis pour ses produits généreux. Les saveurs de la Méditerranée sont inscrites à jamais dans le cœur d’Alain Ducasse et dans son répertoire culinaire.  LA MODERNITÉ  Nourrir un client urbain, curieux et informé, dans un lieu d’exception : telle est la vocation d’Alain Ducasse pour Les Ombres. En constante évolution, délibérément contemporaine et parisienne, la cuisine répond ici avec brio aux exigences des convives avertis.  LA NATURALITÉ  Céréales, légumes, poissons issus de la pêche durable : tels sont les piliers de cette philosophie culinaire, inventée par Alain Ducasse avec Romain Meder dès 2014. « La Naturalité est une telle évidence qu’elle ruisselle sur tous mes restaurants. Aujourd’hui, notre responsabilité est de proposer une cuisine bonne à penser avant d’être bonne à manger. »  Ce sont ces trois lignes maîtresses que l’on retrouve dans les menus proposés par les Chefs Rui Martins ( chef exécutif des Ombres et du Café Jacques) et Alexandre Sampere, qui fut le sous-chef de Romain Meder au restaurant Alain Ducasse au Plaza Athénée. Un « enfant » de la Naturalité, avec tout ce que cela comporte d’audace et de maîtrise des nouvelles techniques : extraction, déshydratation, fermentation... Ce jeune chef est aussi un saucier hors pair, passionné par les jus et les condiments. Autant de qualités qui le désignent, aux yeux d’Alain Ducasse, comme le nouvel homme des Ombres.  ...

Hôtel et restaurant de l'Abbaye royale de Fontevraud :
profitez d'un lieu magique

Trois monastères subsistent de l’ancienne Abbaye royale de Fontevraud. L’hôtel et le restaurant ont investi l’un d’eux, le Prieuré Saint-Lazare, qui fut successivement une léproserie, un hospice pour religieuses et l’hôpital de la prison. Le restaurant : une explosion de textures et de saveurs Le restaurant a pris plus particulièrement possession du cloitre et de la salle capitulaire. Le chef Thibaut Ruggeri, Bocuse d’or Monde 2013, confectionne une cuisine française raffinée et créative. Il privilégie le terroir et les saisons, en partant de produits locaux majoritairement bio ou cultivés dans le potager du domaine. Vous pouvez choisir entre 3 menus, avec la possibilité de l’accompagner d’un verre de vin en accord avec chaque plat. Vos enfants ne seront pas en reste grâce au menu Robin des bois. Votre repas débutera inexorablement par une soupe, chaude ou froide suivant la saison, principalement à base de végétaux. Elle rend hommage à toutes les religieuses ou tous les prisonniers ayant un jour séjourné à l’Abbaye. Ensuite, vous pourrez vous régaler d’une Révolution du potager, une entrée à base de légumes et de plantes aromatiques. À l’automne, elle se compose, par exemple, de châtaignes, de chou-fleur et de légumes racines du jardin. Découvrez également le très apprécié Champignon de Paris à Fontevraud, un plat qui marie champignons blancs et blonds, crus et cuits, associés à du foie gras, pour une explosion de textures et de saveurs en bouche. En plat, poisson, volaille ou gibier sont régulièrement à l’honneur. En dessert, savourez le surprenant et délicieux Citron jaune-Olives noires, une crème brulée revisitée au gout subtil. La carte des vins privilégie les vins de Loire, de Saint-Nazaire à Sancerre, avec une grande place accordée aux vins d’Anjou et aux vins de Saumur, notamment Les Fines Bulles de Saumur, un crémant exceptionnel. Le restaurant souhaite surprendre les convives par la qualité de ces vins. L’hôtel : un moment inoubliable L’hôtel 4 étoiles met à disposition 54 chambres, dont 6 chambres familiales. Les designers Patrick Jouin et Sanjit Manku ont travaillé sur les matières et les couleurs pour offrir une décoration épurée, dans le respect de ce lieu historique. Tout invite au recueillement pour un moment inoubliable. Les chambres sont toutes du même niveau de confort, bien insonorisées, avec le même mobilier, composé notamment d’une literie spécialement conçue par Biosense en latex, coton et lin bio. Seule leur surface est différente, puisqu’elle s’adapte à la configuration du lieu (de 17 à 24 m²). Deux salons sont accessibles avec bibliothèque et machine à café. Les hôtes pourront déguster leur petit déjeuner dans la salle capitulaire. Ils pourront également s’approprier l’ensemble du domaine pendant leur séjour. Quel ravissement de déambuler la nuit dans les bâtiments, dans les jardins, loin de la foule de la journée ! Une façon de s’imprégner véritablement de l’ambiance sereine et reposante, de l’environnement pour des souvenirs à jamais gravés. Évènementiel à l'Abbaye royale Pensez à l'Abbaye royale de Fontevraud pour organiser vos évènements. La configuration du site permet d’accueillir des réunions de 6 à 2 500 personnes, des séminaires. Les repas peuvent soit être pris au restaurant de l’Abbaye, soit être confectionnés par un traiteur extérieur. Sont également proposées des offres d’activités à réaliser au sein de l’Abbaye. Bien sûr, le lieu peut aussi être loué pour des mariages. ...

Champagne Jean Sélèque :
une perle de la Champagne-Ardenne

Dans le vignoble de 5,15 hectares réparti sur les communes de Boursault, de Cormoyeux, de Pierry, de Moussy et d’Épernay, la famille Sélèque cultive depuis trois générations les trois cépages champenois aux notes subtiles. S’aidant de la passion et du savoir-faire ancestral, et toujours dans le respect des vignes et du vignoble, la maison élabore des cuvées élégantes, appréciées pour leur finesse. Un procédé de viticulture qui respecte la nature Depuis 2013, la maison Sélèque applique un procédé en accord avec le développement durable. « Nous faisons attention aux produits que nous mettons dans nos vignes, au dosage et à tout le reste », confie Nathalie Sélèque, propriétaire actuelle du vignoble. Respectueuse de l’environnement, elle fait attention à la culture des vignes, mais également à toutes les étapes de transformation. Une belle initiative qui ne laisse pas indifférents les visiteurs, venus nombreux au domaine. D’ailleurs, l’oenotourisme est l’une des activités permettant à Nathalie Sélèque de se rapprocher des amateurs et connaisseurs de vins. « Je suis très ouverte au partage et j’aime l’idée de recevoir des touristes pour leur faire connaître notre terroir », confie-t-elle. Elle a transformé la maison champenoise de sa grand-mère, Françoise Sélèque, en un magnifique gîte, afin de les héberger. La promesse d’une immersion complète dans le monde de la viticulture grâce à des visites et des dégustations dans les caves. ...

Les Quatre Tours, unis par la passion du vin

Quatre Tours est une association de propriétaires composée d’hommes et de femmes réunis par une seule et même passion : celle du vin. Ayant vu le jour en 1924, elle était à l’origine formée de quatre vignerons de Venelles puis s’est agrandie au fil des années. Actuellement, la cave est dirigé par Thierry BLANCHARD Vigneron et président et Christian FAUCHER Directeur. Un vignoble privilégié par la nature Le vignoble des Quatre Tours s’étend sur une aire de culture de 300 hectares. « Il s’agit surtout d’un vignoble de coteaux où les vignes se trouvent en général entre 200 et 400 mètres d’altitude » explique Christian Faucher, directeur général de l’association. Le terroir est assez homogène, composé de marnes argilo-calcaires, sableuses ou recouvertes de cailloutis à certains endroits. Il est soumis à un climat de type continental, avec quelques parcelles qui disposent d’un microclimat qui leur est propre comme celui de Venelles ou Puyricard. Il est partagé entre AOC et Vin de Pays avec un encépagement majoritaire de Grenache, Syrah, Cabernet Sauvignon, Cinsault et Rolle. Ici et là, quelques hectares sont plantés de cépages plus atypiques comme le Marsellan, le Caladoc ou le Merlot pour l’appellation IGP. La rigueur, gage de la qualité Depuis toujours, la qualité est au centre des préoccupations de la coopérative Les Quatre Tours. « La qualité du raisin est pour nous un élément primordial, du fait qu’elle influe sur la qualité du vin » selon les précisions de Christian Faucher. Un cahier des charges très exigeant a été imposé aux membres vignerons garantissant une production de qualité. Il concerne entre autres un mode de taille sévère, la pratique de l’enherbement des parcelles et même des vendanges vertes au cas où la nature serait trop généreuse. Une équipe sillonne les vignes en cours d’année pour contrôler le respect de cette charte. Ces dernières années, les conditions climatiques ont conduit les responsables des Quatre Tours à généraliser les vendanges nocturnes sur l’ensemble du domaine dans un souci de préserver la qualité aromatique des raisins. Une référence dans la région Aux Quatre Tours, la vinification est menée sous les ordres de Valentine Vitali, rare femme dans le métier de maître de chai. « C’est une vraie vinificatrice » assure Christian Faucher. Sous sa conduite, la cave perpétue la tradition de produire des vins de qualité qui a fait des Quatre Tours une référence dans la région provençale. Les 1,6 million de bouteilles produites par la coopérative sont déclinées en plusieurs gammes en appellation AOP Coteaux d’Aix-en-Provence et Vins de Pays. La gamme Signature propose des vins élégants et harmonieux, qui expriment les fruits et les parfums de la Provence. Les vins de la gamme Prestige sont issus d’une rigoureuse sélection des meilleurs terroirs. Il s’agit surtout de vins gastronomiques qui s’accompagnent de mets raffinés. Quant à la gamme Classique, elle est composée de vins sympathiques issus de cépages usuels de la Provence à déguster entre amis ou en famille. ...

Le restaurant des Jardins de la Medina, une gastronomie inventive, un cadre idyllique

Le restaurant est situé dans la partie la plus ancienne de cette demeure princière aux magnifiques plafonds de cèdre sculpté. Plusieurs suspensions de cuivre en forme de gouttes d’eau finement travaillées laissent filtrer une lumière tamisée qui diffuse ses arabesques sur les murs ancestraux. Dès que le soleil apparaît le restaurant prend ses aises et se répand sur la grande terrasse qui ouvre sur la piscine et son grand jardin luxuriant. A chaque moment de la journée « Les Jardins de la Médina » offre l’occasion d’une expérience gastronomique unique et constamment renouvelée. Petit-déjeuner, réveillez vos papilles ! Chaque matin, le buffet des Jardins de la Médina est un moment privilégié à partager en famille ou entre amis. Des baguettes chaudes et croustillantes, des viennoiseries à peine sorties du four, des fruits de saison, des jus de fruits frais, des confitures maison, des crèpes marocaines (msemmens, beghrir), des œufs sous toutes les formes possibles, du fromage, du jambon, du saumon … Le petit-déjeuner des Jardins de la Médina est un régal pour les papilles et un plaisir pour les yeux. L’occasion de charger les batteries avant une journée bien remplie à la découverte des trésors cachés de Marrakech. Le déjeuner, la pause gourmande Au retour d’une excursion dans les environs de Marrakech ou d’une balade shopping dans les souks accordez-vous une pause gourmande sur la terrasse au bord de la piscine, à l’ombre du Jacaranda centenaire et savourez une salade d’araignée au guacamole et sorbet d’avocat, un tagine du moment ou plus simplement un tartare de veau préparé et épicé juste comme vous l’aimez. Le dîner, un voyage initiatique et romantique, un métissage des saveurs Soyez les bienvenus dans le salon de cette ancienne demeure princière transformé en un restaurant  chaleureux et romantique. A la lumière des bougies et des suspensions en cuivre ciselé découvrez la nouvelle carte du dîner imaginée par la cheffe Sana Gamas. Ici la tradition se conjugue au présent et le savoir faire culinaire marocain s’ouvre sur le monde. La harira, soupe traditionnelle du ramadan, côtoie la tempura de crevettes parfumées à l’huile d’argan. La mourouzia de Fès au jarret de veau parfumé au raz el hanout vous fait hésiter avec un dos de cabillaud poché en mille feuilles de pommes de terre. Laissez vous guider par tous vos sens et faites vous une raison : Il vous faudra rester au moins une semaine aux Jardins de la Médina pour goûter à tous ces merveilleux plats. Des évènements incontournables « Les Jardins de la Medina » organise des évènements réguliers devenus incontournables. C’est le cas notamment du désormais traditionnel brunch qui se déroule chaque dimanche de 12 à 16 heures. Le brunch est imaginé et réalisé autour d’un thème différent chaque semaine : Brunch de la mer, brunch asiatique, espagnol ou breton … La surprise et la variété des plats sont chaque fois au rendez-vous. Les mélomanes sont également comblés. Grâce notamment, aux jeudis musicaux : Jalal et Jamal, guitariste et violoniste vous invitent chaque jeudi de 20 h à 23 h à une soirée endiablée et joyeuse aux rythmes d’une musique arabo-andalouse rythmée et irrésistible. Avec sa voie chaude, sensuelle et profonde la chanteuse libérienne Linda Johnson enchante les soirées du restaurant avec un répertoire inédit de musique black, soul, reggae et jazz. Elle se produit aux Jardins de la Médina le 7 avril, 21 avril et 5 mai 2018 de 20 h à 23 h. ...

La Ferme de Sigy : le lait sous toutes ses coutures

La traçabilité et la fraîcheur des produits locaux inspirent à un retour à l’alimentation saine. L’on ne s’étonne que peu du regain d’intérêt du consommateur à acheter local. Et pour cause, ces derniers sont de plus en plus attentifs à ce qu’ils mangent. C’est une aubaine pour la Ferme de Sigy qui se veut être un instigateur de la démarche locavore, au profit de l’économie et de la consommation locale. Si le projet d’Ottman et Omar de se lancer dans la transformation laitière n'a pu se réaliser à la date prévue, c'était sans compter sur leur détermination et leur volonté à défendre les produits du terroir, si chers à leurs yeux. Une transformation laitière à la démarche engagée Après avoir acquis quinze ans d’expérience au sein de l’industrie laitière, c’est en 2013 qu’Ottman et Omar se lancent dans l’aventure en reprenant la fromagerie de Robert Villain pour donner naissance à la Ferme de Sigy. La ferme a progressivement pris son envol pour devenir aujourd’hui une référence dans les produits laitiers. Les particularités qui font le succès de la maison ? Sa spécialisation dans la transformation laitière artisanale, la vente en circuit court et son implantation au cœur même d’une ferme laitière. Attaché à l’idée de rendre le produit local et les produits bio finis plus accessibles, de fournir des produits de proximité à prix raisonnable, le duo gagnant travaille en partenariat avec le groupement des agricultures biologiques d’Île-de-France, et leur enseigne est sociétaire de la coopérative bio de la région. La production est ainsi destinée pour la consommation locale et la maison fournit les cantines scolaires, les restaurants d’entreprise, mais aussi des magasins et supermarchés de la région, qui adhèrent à leur valeur et partagent leur conviction. Par ailleurs, un chalet de vente permet de mettre les produits finis directement à disposition des consommateurs avec ceux d’autres producteurs locaux, à l’instar du miel et d’autres fromages. Pour les deux associés, la croissance spectaculaire que connaît la maison leur offre une opportunité d’étendre leurs activités hors de Sigy. C’est ainsi qu’en 2016, ils se lancent dans la transformation du lait bio par le biais des nouveaux ateliers de transformation laitière biologique à la Bergerie nationale de Rambouillet. En dehors de l’approvisionnement des restaurants franciliens, les yaourts et le fromage blanc bio qui y sont fabriqués sont commercialisés par la SCOP Bio d’Île-de-France. Une large sélection de bons produits laitiers Véritables mordus du lait, ces artisans de talent veulent partager le bon goût des produits laitiers à travers une production diversifiée à l’instar du yaourt aromatisé dont la texture se rapproche de celle du yaourt maison. Rien à voir avec le yaourt industriel. Les parfums se déclinent dans toutes les possibilités à l’aide d’un arôme naturel pour éveiller les sens des fins gourmets. Avis aux amateurs, le yaourt bio La Ferme de Sigy élaboré avec le lait de la ferme de Beaulieau est disponible sur le marché depuis 2014. Les férus de fruits ne manqueront pas d’apprécier le Raïbi ainsi que le yaourt aux fruits conçu avec une base de préparation de fruit comme l’ananas, la myrtille, la cerise, la fraise, ou la vanille pour une touche d’exotisme. Ces produits sont élaborés avec des fruits de Nogent-sur-Seine pour qu’ils conservent toute leur fraîcheur, gage de qualité des produits de l’enseigne. Les crèmes desserts au chocolat, au caramel, ou au café sont des délices qui ravissent les papilles les plus délicates. Le fromage qui représente le patrimoine gastronomique français n’est pas en reste. La maison produit en l’occurrence du fromage blanc de campagne ainsi que du fromage frais et du fromage blanc bio. Le lait étant la base de fabrication de ces produits, la Ferme de Sigy élargit ses offres avec le lait pasteurisé ou fermenté et adapte les conditionnements aux besoins de la restauration. D’ailleurs, c’est une partie du lait issu de la bergerie qui sert à la fabricatio...

La Table de Léo : repas semi-gastronomique dans une ambiance périgourdine

L’histoire de la Table de Léo est celle d’un coup de cœur. A la recherche d’un établissement typiquement périgourdin à reprendre, Florent Reversat et Servane Daudet sont immédiatement séduits par cette bâtisse en pierre qui a su préserver les marques du temps passé lui conférant tout son charme rustique. Ils la transforment en une adresse cosy et conviviale où la cuisine semi-gastronomique est à l’honneur.     Les produits du terroir au menu Une fois que vous aurez mis les pieds à la Table de Léo, vous y retournerez, forcément. Comment résister à un accueil aussi chaleureux, à un service aussi efficace, à une cuisine aussi savoureuse ? Promis ! Ce restaurant périgourdin vous fera passer des moments exceptionnels. En cuisine, Florent s’active déjà pour vous proposer un succulent menu à midi. Ce chef passionné commence sa formation au sein du Lycée Professionnel Jean-Capelle à Naillac pour y passer son BEP et son BACC PRO. Il a ensuite exercé au sein de plusieurs grandes maisons à l’instar de l’établissement étoilé Le Vieux Logis sis au cœur du Périgord Noir. Plus tard, son chemin recroisera celui de Servane qu’il déjà a connu au Lycée Jean-Capelle. Ensemble, ils lancent le projet d’une vie : l’ouverture de leur restaurant qu’ils baptiseront « La Table de Léo » comme leur petit garçon. Coïncidence : la place située en face du restaurant se nomme aussi Léo. Plus aucun doute donc pour le couple. Ils retravaillent entièrement la décoration. Les murs en pierres apparentes ainsi que les meubles en bois brut réveillent le côté traditionnel. Le côté chic est souligné par un art de la table soigné avec des chemins de table blanc en tissu. Telle une véritable galerie d’art, la maison expose gratuitement beaucoup de tableaux réalisés par des peintres de la région. En somme, l’idée est de recréer une ambiance typiquement périgourdine. « Les clients aiment bien ça ! » se réjouit Servane Daudet. Quand le temps est clément, la terrasse ombragée invite à la détente. Elle est située au pied de la célèbre abbaye de Saint-Avit-Sénieur qui se trouve sur le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle. L’édifice religieux datant du XIIème siècle et classé au patrimoine mondial de l’UNESCO est l’une des attractions phares de la commune. Une délectable cuisine de saison Florent se fait l’ambassadeur d’une cuisine du terroir qu’il personnalise selon ses humeurs et ses envies. Les produits frais sont privilégiés et directement sélectionnés auprès d’éleveurs et de producteurs du coin. Les menus sont élaborés en fonction de la saisonnalité et changent tous les deux mois. Pour combler vos papilles, vous vous laisserez séduire par le menu Plaisir proposé midi et soir pour un prix modique de 32 €. Invitant à un voyage aux quatre coins du globe, le chef vous concocte un Longe de thon fumé cuit minute dans son bouillon de crustacés aux épices thaï. Puis, direction l’Italie avec le dos de cabillaud, risotto crémeux chorizo et encornets. Terminez avec le Finger exotique, sablé coco et sorbet fromage blanc citron qui vous transporte jusque dans les îles. Une jolie carte des vins éclectique avec quelques clins d’œil sur la région est proposée. La maîtresse des lieux vous conseille en fonction de vos envies afin que vous puissiez vous délecter des meilleurs accords. ...

Le Relais d'Aligre : à mi-chemin entre naturel et modernité

En plein centre-ville de Chateauneuf-en-Thymerais, se dresse Le Relais d'Aligre, un retaurant qui a su s'affirmer dans cette contrée. Ici le travail d'équipe est la règle d'or. De la fourche à la fourchette, la maison fait découvrir sa passion des bons mets. Service traiteur, menus spécifiques, Eric Canville met les petits plats dans les grands. Ce qui lui a valu d'être valorisé par le Bottin Gourmand et labellisé Maître Restaurateur. Une cuisine valorisant les produits de mer et du terroir A l'intérieur du restaurant tous les sens sont en éveil, une vraie promenade gastronomique. Le Chef cuisine des spécialités faites maison, aux gouts et saveurs authentiques propres à la région. Ayant appris auprès de son père, Éric dès son plus jeune âge fréquente une école de restauration à Mont-Saint-Aignan. A la direction de ce restaurant depuis plus d'une vingtaine d'années, il travaille en étroite collaboration avec son chef cuisinier. Sa passion pour le bon produit le pousse à s'approvisionner auprès des agriculteurs les plus proches, pour allier au mieux produits frais de saison et instinct culinaire. En collaboration avec son équipe, il est toujours à la quête du nouveau et a pour concept de faire évoluer la carte au rythme des saisons. Les spécialistés de la maison sont originales et variées. Comme entrée, le restaurant propose la Tempura de gambas, vinaigrette au fruit de la passion, salade de légumes. Pour élaborer ce délice, le chef commence par préparer la pâte à Tempura qui est un mélange d'eau, de farine et d'oeufs. Il prend soin de nettoyer les gambas, d'enlever les têtes et le boyau noir. Les gambas sont trempées dans la pâte puis mises dans de l'huile chauffée. Le tout est accompagné d'une vinaigrette faite à base de jus de fruit de la passion, d'huile d'olive et de moutarde. Il y associe des légumes émincés et des feuilles de légumes. Ce plat s'impose par sa couleur jaune, sa forte odeur d'épices, et son côté croustillant en bouche. Le restaurant se distingue également par ses plats signatures comme le mijoté de ris de veau aux girolles, crème de porto blanc. Les ris de veau sont couverts avec de l'eau froide puis chauffés à l'eau bouillante. Après les avoir pressés avec du linge propre, le chef les mélange avec des carottes et des oignons, puis y ajoute du beurre fondu à la cocotte. Il y associe les girolles nettoyées et sautées à la poêle, pour finir en versant la crème de porto blanc au-dessus. C'est un mets très raffiné en bouche et d'une couleur rosée à l'oeil. En guise de dessert, embarras du choix entre de multiples variétés à l'instar du Sorbet alcool. Un mélange d'eau et de sucre porté à ébullition et refroidi quelques instants après. Le chef y ajoute ensuite du sirop, du jus de citron et de l'alcool. A vu d'oeil le sorbet a l'air cristallisé, au gout c'est d'un dessert onctueux et alcoolisé. Au Relais d’Aligre, il est question d'une cuisine traditionnelle rehaussée par une touche de modernité. Ici, le chef et son équipe sont en perpétuelle quête d'originalité. La carte des vins Au Relais d'Aligre, du vin rouge, blanc et rosé sont proposés en fonction des gouts et des repas. La carte fait la part belle aux produits viticoles de la région, tels que l'AOC des Coteaux du Giennois. C’est un vin issu des cultures viticoles situées sur les Coteaux de la Loire. Ils sont faits sur la base du cépage Sauvignon pour les blancs, et d'une combinaison de gamay et de pinot noir pour les rouges. Pour un meilleur accord mets et vins, les vignobles de la Vallée du Rhône sont aussi à l'honneur avec des sélections comme le Delas Saint Joseph Hedonisa et le P.Amadieu Châteauneuf du Pape. ...

Auberge de l'Abbaye :
une cuisine simple et créative

Thiron-Gardais est une commune française située en région Centre-Val de Loire, connue pour son abbaye et l'ancien collège militaire Royal de Stéphane Bern. C’est dans ce cadre préservé que les deux frères Rémi et Simon ont ouvert l’Auberge de l’Abbaye qui fait à la fois office d’hôtel et de table gourmande. Côté Cuisine : Le chef propose une carte de saison, faite maison dans un savoureux mélange entre simplicité et créativité. Deux menus vous sont proposées tout au long de l’année ainsi qu'une formule midi en semaine. Les boissons sont également à l’honneur avec une carte des vins offrant une belle sélection de vignerons indépendants et producteurs bio. Côté hébergement : Cette belle auberge entièrement restaurée propose sept chambres trois étoiles et tout confort. Une région à découvrir : Situé sur le territoire du parc naturel régional du perche, Thiron-Gardais et ses environs vous propose de vous mettre au « vert » en découvrant le charme des collines du Perche, ses manoirs, son patrimoine historique et culturel. ...

Champagne Germar Breton : l’excellence de la côte des Bar

L’exposition idéale des sept hectares de plants de pinot noir et de chardonnay confère aux cuvées de la marque toute leur typicité. Allant de la cuvée Blanc de Noirs, un monocépage pinot noir puissant au goût relevé et fruité, à la cuvée Brut, aux arômes agréables, et élaborée à 60 % de chardonnay et 40 % de pinot noir, le champagne Germar Breton, qui élabore également une cuvée Blanc de Blancs et une cuvée Rosé, se veut être l’ambassadeur de l’excellence de la côte des Bar. Un terroir d’exception mis à l’honneur Le champagne de la maison Germar Breton puise sa mosaïque d’arômes et de goûts dans le sol riche situé dans quatre communes de Barsuraubois. Les saveurs propres à ce terroir unique sont savamment révélées au travers de cuvées, « privilégiant la richesse des arômes du chardonnay et du pinot noir », affirmentKarine et Laurent Breton, propriétaires de la maison de Champagne Germar Breton depuis 1989. Donnant la priorité au savoir-faire artisanal, cette maison exigeante en matière de qualité mise sur des procédés d’élaboration oscillant entre tradition et modernité. Cet attachement aux valeurs ancestrales confère ainsi aux cuvées Germar Breton toute leur authenticité. Une terre bénie travaillée avec soin Afin de préserver la richesse de cette terre généreuse, Karine et Laurent Breton s’attèlent à travailler les vignes en donnant la primauté aux pratiques durables. Les produits fongicides sont alors utilisés de manière raisonnée et le « traitement ne se fait que quand c’est nécessaire, suivant les besoins et le climat », continuent Karine et Laurent Breton. Cette agriculture raisonnée préserve ainsi « l’héritage précieux que représentent les vignes héritées de nos grands-parents et parents », nous confient-ils. ...

Une cuisine de qualité dans un cadre de paix 

Ouvert par madame Blanc en 1979, le restaurant la Croix d’Ouchy est une adresse incontournable. Grace notamment aux deux chefs, Thierry et Christophe Lacanne, la cuisine de l’établissement est fine et d’inspiration italienne avec des pâtes et des risottos maison. La gastronomie française n’est pas en reste puisque l’on retrouve également au menu des rognons de veau et des filets de rouget. La Croix d’Ouchy attire une clientèle internationale et a une capacité d’environ 75 personnes (35 dans le café et 40 dans la partie restaurant) et peut être réservé pour célébrer des événements privés tout en bénéficiant d'un service irréprochable. En été, lorsque les beaux jours arrivent, les clients peuvent, profiter du calme de la magnifique terrasse disposant de 80 places et étant protégé de la circulation par une épaisse haie, et apprécier la vue d’un marronnier centenaire. L’établissement offre la possibilité de manger aussi bien dans le café que dans le restaurant, et propose toujours deux services,  comme le voulait la tradition des restaurants d’autrefois. Des plats faits maison et cuisinés à la minute Tous les plats proposés par le restaurant La croix d’Ouchy sont faits maison et préparés avec soin et à la minute. En particulier les pâtes entièrement confectionnées de manière artisanale. Ce qui est notamment le cas des raviolis, des pappardelles et des spaghettis accompagnés de diverses sauces: basilic, ricotta aux truffes ou citron. Mais aussi des succulents risottos agrémentés de différents parfums afin de satisfaire les palais les plus exigeants. On retrouve aussi, comme spécialités italiennes du jambon de Parme, de la salade de ricotta et du carpaccio. La cuisine hexagonale est également fortement présente sur la carte du restaurant grâce notamment au sublime médaillon de foie gras à l'Armagnac et oignons confits, aux délicieux rognons de veau à la graine de moutarde, au splendide cœur de filet de bœuf en croûte d’épices et au majestueux pavé de bœuf à la crème moutardée ou aux cèpes. Pour accompagner ses mets, La Croix d’Ouchy propose une sélection fine de vins provenant de Suisse, de France ou encore d'Italie. Un accueil chaleureux et un service impeccable dans un cadre idéal La quasi-totalité du personnel du restaurant de la Croix d’Ouchy est présente depuis plus de 30 ans. Ce qui soude les relations entre la direction et le reste des employés. Et engendre une certaine constance dans la qualité du service, accompli jour après jour, absolument réglé comme une horloge. En conséquence également, l’accueil est chaleureux et l’ambiance est familiale. Au niveau du design, si la partie restaurant est simple et élégante, celle du café est bien plus décontractée tout en restant très calme. Ce qui donne, au final, un cadre chic, assez tranquille et plutôt classique mais ne manquant cependant point de caractère. Considéré par beaucoup comme le meilleur restaurant de Lausanne, La croix d’Ouchy demeure une référence culinaire de cette grande ville suisse. D’autant plus que les prix fixés restent très abordables, rendant possible l’opportunité de déguster et de savourer une grande cuisine dans un environnement exceptionnel. ...

Fromagerie Deruelle : arômes et saveurs authentiques de fromages fermiers 

Cette petite boutique située dans le quartier Saint-Pierre est une halte obligatoire pour les riverains et les touristes de passage à Bordeaux. La fromagerie Deruelle est un antre de la gourmandise et des bons produits fermiers. Toutes les régions de la France y sont dignement représentées, mais Élodie DERUELLE a un coup de cœur pour les produits locaux, qu’elle fait découvrir passionnément à ses clients. De délicieux fromages et produits de terroir Sous la lumière tamisée, les fromages disposés dans les vitrines offrent une jolie palette de couleurs qui va de nuances grisâtres à dorées, jusqu’à un ton légèrement bleuté. Plus de 150 variétés de fromages y sont proposées. « Je m’investis plus dans les produits locaux pour mettre en avant notre savoir-faire et privilégier le circuit court », explique la gérante. Qu’elle soit à base de lait de vache, de chèvre ou de brebis, la gamme de fromages suggère des saveurs inattendues, à la fois affinées, aromatiques et typées. L’AOP saint-nectaire, le mont-d’or, le cabécou, le saint-félicien de chez Cellérier, le pouligny-saint-pierre ou encore le rocamadour figurent parmi la sélection. En outre, le rayon frais expose un vaste choix de yaourt, de crème fraîche, de beurre cru en motte du Pays Basque et d'œufs de la ferme. Quelques spécialités lyonnaises de chez Bobosse sont également à découvrir, telles que la cervelle de canut, les jambons ibériques, le pâté en croûte, les quenelles et un assortiment de saucisson. Pour sublimer le tout, un autre rayon propose du miel, de l’huile, des confitures, des vins ainsi que divers produits faits maison (cheese-cake façon Deruelle, tartiflettes, tiramisus, etc.). Un lieu de bonheur pour les gourmets ! « Du côté des producteurs » Pour Élodie DERUELLE,  sa fromagerie est avant tout un lien entre les producteurs et les clients. « J’ai fait des études agricoles, j’ai eu ma première expérience dans les fermes à l’âge 14 ans, je suis naturellement du côté des producteurs, surtout des petits producteurs. » Cette sensibilité se traduit par une volonté de travailler étroitement avec eux à travers des visites régulières des fermes. À préciser que certaines exploitations en collaboration avec la fromagerie se sont reconverties vers la biodynamie. Une telle démarche ne peut que garantir des produits d’excellente qualité et une relation de confiance mutuelle. Déterminée jusqu’au bout, la gérante s’est également mobilisée pour soutenir « les producteurs engagés ». « Je travaille par exemple avec une jeune agricultrice qui s’appelle Jessika, elle a pour ambition de sauver la ferme de ses parents, et nous l’aidons à concrétiser son projet d’acquisition d’un troupeau de 25 Jersiaises. » ...

Champagne Boutillez-Guer : cinq siècles
de savoir-faire

Actuellement, la maison Boutillez-Guer travaille sur un vignoble s’étendant sur une superficie de 5 ha 25, planté à 80 % de chardonnay, 5% pinot noir et 15% en pinot meunier. Ici, le travail de la vigne se fait avec la même passion qui a animé chaque génération depuis les origines de l’exploitation. Fidèle à son héritage, la maison continue de préserver l’authenticité et la tradition, gages de la qualité de ses champagnes d’exception. Une méthode soucieuse de l’environnement Pour tirer le meilleur de son terroir viticole, la maison mise sur une viticulture raisonnée et s’efforce de limiter au maximum tout impact sur l’environnement. « Nous réduisons l’usage de produits chimiques et nous privilégions des procédés naturels tels que l’enherbement et l'utilisation de phéromones pour réduire l'utilisation d'insecticides », nous explique-t-on. Par ailleurs, le plus gros du travail se fait à la main, que ce soit pour la taille des vignes ou pour la vendange. La vinification, quant à elle, se veut être classique avec un élevage en cuve. Fière de son statut de vigneron indépendant et de récoltant-manipulant, la maison maitrise ainsi parfaitement toute la chaîne de production. Des cuvées « premiers crus » Parmi les spécialités de la maison, 4 cuvées sortent du lot : la cuvée Brut tradition, la cuvée Blanc de Blancs, la cuvée Brut Rosé et la cuvée Millésime 2008.   La cuvée Brut Tradition est obtenue à partir de l’assemblage de 80 % de chardonnay et de 20 % de pinot noir, dont 50 % de vin de réserve. Elle s’habille d’une couleur or brillant et renferme des arômes briochés. Idéale pour accompagner les volailles ou pour des saveurs plus subtiles telles que le saumon fumé. Ensuite, la cuvée Blanc de Blancs, élaborée essentiellement avec du chardonnay, dont 30 % de vin de réserve, se distingue par sa légèreté et son arôme fruité qui séduiront les plus fins palais. Ce champagne sublimera des plats comme un feuilleté de langoustines ou un tartare de poisson. Pour enchainer, la cuvée Brut Rosé s’obtient par l’assemblage de 70 % de chardonnay et de 30 % pinot noir, dont 10 % de coteau rouge. En bouche, celle-ci mêle harmonieusement raffinement, rondeur et puissance. Le tout, dominé par des parfums de fruits rouges et une fraicheur agréable. Enfin, le Millésime 2008 est, quant à lui, 100 % chardonnay. Ses arômes briochés et ses notes fruitées font de ce champagne le complice idéal pour les instants raffinés. ...