Fabien Castaing représente la 5e génération à être aux commandes du domaine familial. Reconnu pour son savoir-faire et sa capacité à réaliser de très grands vins, il a créé en 2010 sa propre maison de négoce aux accents du Sud-Ouest.
Il met à profit ses 20 ans d’expérience et le savoir-faire hérité d’une longue lignée de vignerons à travers une gamme de vins beaucoup plus large.
Aujourd’hui ils distribuent les vins du Domaine de Moulin-Pouzy, propriété historique de la famille Castaing depuis plus de 120 ans et du Château Les Mailleries.
Le vignoble planté entre 110 et 130 m d’altitude sur un sol argilo-calcaire s’étend aujourd’hui sur 65 ha.
Les vignes sont en AOC Bergerac, AOC Côtes de Bergerac, AOC Monbazillac et IGP Périgord. Elles jouissent du microclimat propre aux collines et plateaux dominant Bergerac : une pluviométrie très basse et une belle exposition au soleil.
Créer des vins pour tous les goûts et pour chaque instant
Attaché à son histoire et à sa terre, Fabien Castaing a orienté la production de ses vins en adoptant une démarche respectueuse de l’environnement. Le Domaine Moulin-Pouzy est certifié Haute Valeur Environnementale tandis que le Château Les Mailleries qu’il a repris en 2016 est en Agriculture Biologique.
Créer des vins pour tous les goûts et pour chaque instant, c’est l’ambition de ce vigneron qui a créé de nombreuses cuvées. Épaulée par une équipe dynamique et un œnologue conseil indépendant (Œnoteam-Julien BELLE) dans la sélection des meilleurs crus et des assemblages, la maison utilise des techniques innovantes comme les cuves ovoïdes, la vinification sans souffre afin d’obtenir des vins plus ronds, plus fruités, tout en travaillant sur la minéralité et l’identité du terroir.
« En plus de nos vins de Bergerac, nous produisons des Côtes-de-Gascogne et des Cahors sous nos propres marques ainsi que de la bière artisanale 100% bio», fait valoir le vigneron.
Une maison de négoce tournée vers l'avenir
Pour assurer la distribution des vins qu’il produit, Fabien Castaing crée la maison de négoce Vignobles Fabien Castaing. « Quand j’ai repris le domaine familial en 2000, j’ai orienté la distribution de mes vins en bouteille afin de faire des ventes en direct », explique le vigneron. Fort de ce succès, il intègre peu à peu de nouvelles appellations dans son catalogue. « Nous avons une parfaite connaissance de notre région et nous mettons à profit ce savoir-faire vigneron pour créer de nouveaux vins », ajoute-t-il.
Pour le moment, la distribution des Vignobles Fabien Castaing est très axée sur la vente aux professionnels. Mais une belle surprise attend la clientèle : à partir de 2019, la maison « va entrer aussi sur le réseau traditionnel », confie notre interlocuteur. En attendant, les consommateurs peuvent trouver ses produits en grande distribution, dans les salons professionnels comme Millésime Bio ou ProWein, à Düsseldorf, et, bien sûr, chez les cavistes et les restaurants partenaires.
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150 ans d’existence au sein d’une même famille : c’est l’histoire incroyable du domaine de Cerberon qui s’est transmis de génération en génération.
Héritée en 1929 par la grand-mère des propriétaires actuels, l’ancienne production de moutarde du 19è siècle se transforme peu en peu en production de vin.
Domaine Cerberon : des vins pour toutes les occasions et toutes les envies
Aujourd’hui, le Domaine du Cerberon met tout en œuvre pour magnifier le terroir de la Côte de Beaune. Cela passe, entre autres, par des vendanges manuelles et des techniques de viticulture durables. Mais aussi par l’agrandissement du vignoble qui passe d’un hectare et demi à ses débuts à 3 hectares aujourd’hui.
Sans oublier les caves de vieillissement qui datent du 13e et 17e siècle.
Cela favorise la création de vins blancs et rouges extraordinaires dont quelques premiers crus qui font le succès de la région.
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Le métier de vigneron fait rêver. Et d’ailleurs, de nombreux candidats extérieurs au milieu viticole sont de plus en plus nombreux à vouloir troquer leur casquette de financier, marketeur, journaliste ou autres professions qui n’ont aucun lien avec le secteur agroalimentaire contre celle de vigneron. Sauf qu’une telle reconversion professionnelle n’est jamais évidente et en réalité, le quotidien d’un viticulteur est bien loin de l’ivresse épicurienne. Pour autant, faut-il faire une croix sur cette envie de posséder ses vignes et de produire ses propres vins ? Pas forcément. Avec Terre des Bosses, la production vinicole s’ouvre à de nouvelles perspectives. Ce projet collectif offre la possibilité à une personne lambda d’investir dans des plants de vigne et d’obtenir de belles cuvées sans avoir à gérer un domaine entier.
Produire son propre vin en AOC Costières de Nîmes avec Terre des Bosses
Le projet Terre des Bosses est né sous l’initiative d’Yvon Gentes. Ce vigneron ayant vécu de nombreuses années en Scandinavie débarque en France les idées plein la tête. Si d’une part, il crée le Domaine de Calet en 1999, d’autre part, il réfléchit à la manière de fidéliser sa clientèle en leur proposant un concept complètement innovant. Il décide alors de lancer le groupement collectif afin de donner l’opportunité aux amateurs de vins d’investir dans leurs propres rangées de vignes. « Les acheteurs ne peuvent pas être propriétaires des racines car c’est un droit uniquement accordé à un viticulteur. Ils sont tout simplement propriétaires du végétal », nous explique-t-il. L’acquisition des plants va permettre la production de vins de qualité classés AOC Costières-de-Nîmes, une appellation renommée dans la Vallée du Rhône. L’objectif du collectif est de faire connaître la marque commerciale et d’offrir la possibilité à tous les membres de personnaliser leurs bouteilles.
Mode de fonctionnement du collectif
En adhérant à Terre des Bosses, le membre peut acquérir jusqu’à 10 parts ou rangées. Une part équivaut à 200 plants de vigne. Le titre de propriété lui est ensuite remis avec éventuellement un acte notarial s’il en exprime la demande. La durée du contrat s’étend sur huit ans. Néanmoins, au bout de trois ans, la revente des parts est autorisée. Le coût de la part est réévalué tous les ans en fonction du prix du foncier en vigueur. La gestion de la vitiviniculture quant à elle est prise en charge par le propriétaire terrien, en l’occurrence Yvon Gentes. Néanmoins, le propriétaire végétal peut garder un œil sur le développement de ses plants. « Nous avons des caméras installées dans le domaine qui lui permet de suivre en temps réel le déroulement des travaux », confie le vigneron. L’élaboration des vins est conçue sur la base des cuvées phares du Domaine de Calet à savoir le Grand Mas et La Tournerie bien qu’il soit possible de réaliser des produits différents selon les souhaits de l’adhérent. Chaque part de vignes acquise donne droit annuellement à 300 bouteilles pouvant être estampillées d’une contre-étiquette personnalisée choisie par le membre. Comme les prix des bouteilles sont très avantageux, l’investissement est rentabilisé grâce à la revente.
Dans la peau d’un vigneron le temps de quelques jours
Les membres du collectif qui désirent vivre une aventure viticole ont la possibilité de participer à toutes les phases de production directement au domaine. Chaque année, des formations sont organisées pour les initier aux travaux de la vigne : la taille du 15 décembre au 1er avril, le travail du sol de novembre à février, l’effeuillage et les méthodes de traitement du 15 avril au 15 août, les vendanges en octobre et la vinification d’octobre à décembre.
Ce passage au domaine est également une occasion à ne pas rater pour découvrir les environs du vignoble qui se trouve aux portes de la Camargue, entre Montpellier et Marseille, à 20 km au sud de Nîmes. À part les monumen...
Renouer avec le travail de la vigne
L’histoire du domaine remonte au milieu du XVIIe siècle. « Dans le village, il y a toujours eu dans la famille un producteur de vin », explique la jeune chef d’exploitation avant d’ajouter en souriant : « Avant mon arrivée, c’était une transmission classique, de père en fils, mais les choses changent maintenant… » Jusqu’à récemment, la famille Martin, comme beaucoup de producteurs de cette époque, variait son activité agricole en produisant des céréales et en élevant un petit cheptel d’animaux. C’est le père de Cécile Lorentz qui a orienté la maison en la spécialisant dans le vin et dans sa commercialisation. Tombée dedans depuis toute petite, Cécile s’intéresse à la vigne mais aussi à la vinification. Après quelques années d’études dans le domaine de l’œnologie à Beaune, elle reprend le domaine de 10 hectares qui a pour particularité d’avoir toutes ses vignes à moins de 900 mètres de la cuvée. Très attachée à ses racines, elle revendique son appartenance à Wangen, ce vieux village fortifié délicatement posé sur la route des vins d’Alsace, dont le sous-sol marno-calcaire est propice à l’implantation de la vigne.
Une petite production pour le plus grand plaisir des connaisseurs
Si la production est confidentielle, on ne compte par exemple que 4 000 bouteilles de crémants, elle affiche un profil aromatique étonnant. On compte, par exemple, parmi les longs cols de la maison une cuvée d’exception Riesling 2015 qui est atypique à souhait. « Au moment de la vendange du riesling, on s’est retrouvés avec des raisins très sucrés. L’A.O.C Alsace imposant un riesling en vin sec, on ne peut pas vraiment l’appeler riesling. On a dû trouver une solution. » Dans cette cuvée rare, Cécile Lorentz a réussi à allier le côté mielleux aux notes sucrées et une touche d’agrumes des raisins de cette récolte avec la rigidité sèche caractéristique du cépage. En bouche, il se confond presque avec une vendange tardive, en faisant un vin parfait pour l’apéritif ou au moment du dessert.
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« Une expérience aromatique mémorable avec des notes miellées, épicées, douces et boisées », c’est en ces mots que Caroline Borga, chef de produit de la Distillerie des Alpes, décrit la dégustation du Vermouth Routin Original Rouge. Produit emblématique de la distillerie, avec sa recette créée en 1883, ce Vermouth est le fruit d’un habile assemblage entre 24 plantes, fleurs et épices et doit son goût si particulier à un vieillissement en fûts de chêne. Fort d’un grand succès qui lui a valu de nombreuses récompenses depuis le début du 20ème siècle, notamment la médaille d’or lors de l’Exposition universelle de Londres en 1902, le Vermouth se décline également en blanc.
« Relancé en 2016, il est également issu d’une ancienne recette retrouvée », nous précise Caroline. Le Vermouth Routin Blanc résulte d’un assemblage entre fleurs, plantes et épices macérées dans du vin 100% français et s’apprécie pour son bouquet raffiné qui se caractérise par des notes aromatiques type thym, vanille ainsi que de légères notes épicées. La gamme comprend également le Vermouth Routin Dry issu de la macération de 17 plantes, fleurs et épices. Moins sucré, il possède des notes fraîches, florales, épicées et légèrement herbacées. Il s’utilise dans les cocktails ou pour déglacer viandes et poissons, en cuisine.
D’autres produits originaux des Alpes…
Parmi les fleurons de la gamme, le Génépi l’Ancienne s’illustre par son long processus de distillation et de macération offrant une explosion de saveurs en bouche. La recette créée par Philibert Routin en 1893, démontre véritablement un savoir-faire centenaire. Dernier et non des moindres : le Pastis complète cette gamme inspirée des recettes originales des Alpes. Fait à base d’anis, de cannelle et de réglisse, il s’impose comme l’apéritif emblématique des vacances et plaît pour son côté aromatique, ses notes subtiles de génépi et sa touche boisée de vulnéraire.
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Dès son BPERA viti-eono en poche, Thierry Bousquet décide de s’investir pleinement dans la viticulture. À Cuqueron (Pyrénées-Atlantiques), il gère le domaine familial avec une foi en la Nature, traduite par une conversion au biologique. Ici, on trouve la promesse de goûter des vins sains en appellation Jurançon, qui expriment pleinement le terroir.
Un terroir précieux et exclusif
Thierry Bousquet n’a pas manqué de prendre à son avantage ce terroir précieux et exclusif. Un emplacement à mi-coteaux et en terrasse fait circuler les moûts en évitant les pompages. La minéralité apportée par les galets calcaires régule le sucre et l’acidité superflus et apporte l’équilibre et la finesse tant convoités. « C’est ce qui fait, entre autres, l’originalité de nos vins », fait valoir le vigneron.
Les cépages utilisés sont fidèles à l’appellation. Ainsi, sur les 5 ha du Clos Benguères, le gros manseng et le petit manseng occupent respectivement 2,30 ha. Et les 20 ha restants sont dédiés au camaralet (cépage de raisins blancs plutôt rare).
Des trésors à découvrir
Côté cuvées, le domaine invite à découvrir quelques trésors qui accompagneront, entre autres, fruits de mer et foie gras. La cuvée « le Chêne Couché », un liquoreux aux arômes purs et vivants, a longtemps illustré le style même du Clos Benguères.
« Plaisirs d’automne », un moelleux léger et éclatant, et « Les Galets », un vin sec minéral et puissant, n’en sont pas moins représentatifs.
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Au cœur de Saint Emilion, place du Marché au Bois, une jolie bâtisse abrite Le Logis de la Cadène. Pour les familles du village et des environs, c’est une véritable institution qui a trouvé un nouveau souffle depuis que Stéphanie de Boüard-Rivoal a décidé d’en faire l’acquisition en 2013 au nom d’Angélus, la propriété familiale qu’elle dirige.
Logis de la Cadène : une adresse historique
Le choix de ce lieu, fondé en 1848, ne doit rien au hasard. Lorsque Stéphanie de Boüard-Rivoal l’évoque c’est en convoquant ses souvenirs d’enfance. Ici, elle venait en famille déguster la viande cuite aux sarments, dans la plus pure tradition locale. De cette histoire, Le Logis de la Cadène a conservé la convivialité et l’ancrage dans le terroir mais, depuis 2013, l’établissement a aussi considérablement évolué pour devenir une adresse prisée des gourmets et des gourmands, le prolongement idéal d’une visite dans les vignobles voisins.
Le Logis de la Cadène a été entièrement rénové pour qu’on s’y sente comme dans une maison de famille. Le décor épuré à l'esprit « rustique-chic », dans les deux salles à manger, le petit salon de lecture et les cinq chambres toutes uniques et très cosy où dominent les matières nobles et brutes, crée une atmosphère à la fois chaleureuse et élégante propice à l’éveil de tous les sens.
Une cuisine inventive et raffinée
En coulisses, le jeune chef Alexandre Baumard,disciple de Paul Bocuse qui poursuivit ses « classes » auprès d’autres grands noms de la gastronomie tels Christophe Bacquié à l’Hôtel du Castellet (***) ou encore Laurent Saudeau au Manoir de la Boulaie (**), allie une grande maîtrise technique à un style personnel déjà bien affirmé. Son credo : la créativité au service des produits du terroir et de la tradition culinaire française qu’il prend plaisir à revisiter et à réinterpréter, selon les codes actuels mais toujours avec un infini respect pour les fondamentaux.
Une approche et un engagement passionné très vite salués par une première étoile au Michelin et une clientèle d’habitués et de voyageurs du monde entier, propulsent ce jeune talent parmi les grands.
Récemment, Alexandre Baumard a décidé d’innover en ne proposant plus de carte mais seulement quatre menus. Une manière sans doute de pousser encore plus loin son goût pour la précision et une forme d'ajouter de la simplicité dans la sophistication. Le Menu du Marché, le Menu Découverte de Terroirs et le Menu Inspirations proposent, crescendo, un voyage dans les propositions du Chef et la dégustation de vins issus de la cave du restaurant, riche de plus de mille références. Dans le Menu Signatures, l’un des plats emblématiques de l’Auberge du Pont de Collonges -le célèbre Rouget Barbet en écailles de pommes de terre croustillantes du mentor et maître Paul Bocuse- côtoie deux créations d’Alexandre Baumard : Les truffes « Melanosporum » de Guillaume Ge en risotto lié au parmesan et Le tourteau de nos côtes, en deux services, quinoa à l’huile d’agrumes, légères touches de combawa, sorbet carottes gingembre, caviar d’aquitaine « Perlita » de la Maison l’Esturgeonnière dans un dialogue original où la tradition et la modernité se conjuguent au présent.
Avec ce choix de menus, Alexandre Baumard, chef enthousiaste et exigeant, entend partager encore davantage son amour des beaux produits dénichés auprès de producteurs locaux et son plaisir à les travailler en déclinant textures et cuissons. C’est toujours ultra précis, parfaitement maîtrisé et immanquablement délicieux !
La description ne serait pas complète sans évoquer le jeune et talentueux chef-pâtissier Damien Amilien, qui fait fondre de plaisir tous les amateurs de douceurs.
Le duo harmonieux que forment les deux jeunes Chefs trouve dans Le Logis de la Cadène l’écrin idéal pour exprimer sa créativité et déployer son talent. Entre ces murs, l&rsquo...
Créée en 2003, l’exploitation a été reprise en 2011 par Gilles Pedini, niçois de longue famille, amoureux de sa région Provençale et passionné par le monde du vin. Le Clos Gautier produit aujourd’hui trois cuvées en Côtes-de-Provence et le Campé d’Enroch en IGP Var Argens. Le domaine propose aussi de l’huile d’olive issues des oliviers multi centenaires de la propriété.
Terroir et cépages typiques du Var
Le vignoble du Clos Gautier s’étend sur une superficie totale de 33 hectares, au sein d’un terroir typique de la région, se distinguant par une terre argilo-caillouteuse avec un sous-sol argileux. Une partie des parcelles du domaine est située sur le terroir prestigieux de Mouton-Gautier. Grâce, notamment, à ce sous-sol en argile qui retient l’eau en profondeur, les pieds de vigne ne sont pas touchés par la sécheresse, ce qui garantit une maturation continue et linéaire des raisins pour des vins équilibrés. Sur les 33 hectares du Clos Gautier, 80 % des vignes sont dans l’appellation Côtes-de-Provence AOP et le reste en Vin de Pays du Var d’Argens IGP. L’exploitation possède aussi quelques parcelles exceptionnelles de vieilles vignes plantées en 1941 sur 2 hectares et en 1949 sur 6 hectares. Ces deux parcelles sont particulièrement soignées, et exclusivement vendangées à la main, car destinées à l’élaboration de cuvées haut de gamme. En outre, une replantation a été effectuée sur 5 hectares de vignes, en 2011, dans une démarche qualitative et de marche vers le bio. Quant aux cépages, ils sont représentés par la syrah, le grenache, le cinsault, le carignan, le rolle et l’ugni blanc. Quelques pieds de cabernet-sauvignon et de mourvèdre sont également présents
Agriculture raisonnée
Le Clos Gautier applique une agriculture raisonnée dans toutes ses démarches de production. Pour ce faire, les produits phytosanitaires sont employés de manière très limitée et sont remplacés dans la mesure du possible par des produits naturels tels que le soufre, le cuivre ou l’huile essentielle d’orange. Un îlot de 8,5 hectares autour de la cave est en cours de conversion en bio. La vendange ne s’effectue qu’à maturité optimale des raisins, avec des rendements inférieurs à la législation afin de garantir des jus plus riches. À la cave, les matériels de vinification sont à la pointe de la technologie : cuves en inox thermorégulées, pressoir pneumatique et cuves en béton unimoulées -sans joints- avec contrôle de la température.
Les coups de cœur du domaine
Parmi toutes les cuvées du domaine, la plus prestigieuse et la plus noble est sans aucun doute le Clos du Château AOP Côtes-de-Provence. Issue des vieilles vignes du vignoble, elle est élevée en barrique bordelaise de chêne durant 11 mois avant d’être embouteillée. Le millésime 2013 a été médaillé d’or lors du Concours des vignerons indépendants 2015 de Paris et médaillé d’argent au Decanter World Wine Awards de Londres. En 2014, la cuvée s’est étoffée d’une gamme de blancs élevée avec bâtonnage des lies fines dans des fûts de 400 litres et dotée de bouchons en liège naturel extra. Cette dernière a déjà remporté une médaille d’argent au Concours général agricole de Paris en 2015. La cuvée Oser, issue de vignes de 40 ans, n’est pas en reste. En bouche, ce vin a une agréable rondeur avec des notes de fruits rouges. Il peut être servi en apéritif et accompagne savoureusement des plats en sauce. Au dernier Decanter World Wine Awards de Londres, le millésime 2014 a été couronné de la médaille d’or.
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En 1890, un ancêtre charpentier a construit la grange qui sert aujourd’hui de chai, faisant payer ses services en lopins de terre. Depuis les vignes sont travaillées au fil des saisons dans le respect de la tradition, en culture raisonnée.
Domaine de Guillau : une démarche environnementale
Jean-Claude Lartigue mène le domaine dans une démarche environnementale afin de préserver les sols et mettre en bouteille la meilleure expression de ce terroir. Par exemple, des fèveroles sont semées entre les rangs de vigne, puis broyées avant maturité et servent ainsi d’engrais vert ; les sols sont travaillés mécaniquement.
Les vins sont régulièrement récompensés au Concours Général agricole de Paris comme au Concours des Vins des Coteaux du Quercy (3 médailles d’or cette année), et marqués de 5 coups de Cœur au Guide Hachette des Vins cette dernière décennie.
La cuvée Rouge Tradition du Domaine de Guillau
Les vins Rouges AOC Coteaux du Quercy sont issus des cépages Cabernet franc, Merlot, Tannat et Cot. Les vendanges de la cuvée Rouge Tradition, à maturité optimale, sont suivies d’une vinification traditionnelle et d’un élevage en cuve.
La cuvée "Plénitude", sélection des parcelles les mieux exposées de Cabernet, Tannat et Merlot, est élevée pendant 12 mois minimum en fût de chêne français de la Tonnelerie Orion.
Un rosé d’exception
Le Rosé AOC Coteaux du Quercy du Domaine de Guillau est un rosé de "saignée" : les cuves de vendanges fraîches des Cabernet, Merlot, Cot et Gamay sont saignées quelques heures après récolte. Le jus de raisin ainsi retiré est légèrement coloré, la fermentation lente à basse température conserve tous ses arômes et ses qualités.
Un blanc en IGP vin duTarn-et-Garonne : le "Prélude" tradition
Pour le vin Blanc, les vendanges manuelles des cépages Viognier et Chardonnay permettent de trier et sélectionner les raisins. Ils sont ensuite réfrigérés afin d’être pressés à basse température. Par ce fait, la fermentation débute lentement et le contrôle des températures est parfaitement maîtrisé. Le vin obtenu est alors élevé sur lies pendant 6 mois en cuve pour le "Prélude" tradition et élevé en fût de chêne neuf de la Tonnelerie Orion avec bâtonnage pour une cuvée "Prélude" plus confidentielle.
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Le digital a le pouvoir d’augmenter de façon considérable les performances commerciales des boutiques physiques grâce à l’amélioration de l’expérience-client. Toutefois, les professionnels souhaitant favoriser la fidélisation de leur clientèle ont tendance à se concentrer sur les adultes et à négliger une autre cible pourtant très importante : leurs enfants. Qui n’a pas déjà vécu cette attente qui s’éternise à la banque ou ces visites interminables dans les boutiques ? Avec les enfants, l’aventure demeure encore plus contraignante. Pour les faire patienter le temps que leurs parents « shop », Connect Innov a imaginé et conçu la Table Kid’s, une table de jeux tactile qui modernise les infrastructures et instaure une ambiance calme et sereine dans les points de vente.
Créer un espace enfant 2.0 avec la Table Kid’s
La Table Kid’s est tirée de l’expérience personnelle de son créateur, Michel Millul, également fondateur de la start-up Connect Innov. « Durant un rendez-vous chez un concessionnaire, mes enfants ont commencé à mettre la pagaille. Ils avaient pourtant à disposition une petite table avec des coloriages pour les occuper mais c’était insuffisant ». Après cette aventure, il réfléchit à une solution qui permettrait aux plus jeunes de passer d’agréables moments en attendant leurs parents.
La Table Kid’s est loin d’être simplement un outil de divertissement. Il s’agit d’un véritable dispositif de digitalisation des magasins physiques à vocation d’améliorer l’expérience familiale et de générer des ventes additionnelles. En installant un espace enfants numérisé dans leurs locaux, les professionnels attirent de nouvelles cibles. D’humeur euphorique après leur dernière expérience ludique dans le magasin, les tout-petits vont inciter leurs parents à y revenir. Cette influence qu’ils ont sur la prise de décision des adultes les érige alors au rang de prescripteurs.
Une innovation Made in France aux multiples atouts
Véritable outil professionnel, la Table Kid’s est une table tactile en bois laqué au design sobre, amusant et tout en rondeur dont les formes inspirées de l’éléphant captent l’attention des enfants. À l’épreuve de tous les chocs, elle est composée d’un verre sécurit renforcé installé au-dessus de l’écran étanche qui ne craint plus l’enthousiasme de ses jeunes utilisateurs. Sa compacité lui permet de tenir dans un espace de moins de 1 m2. La Table Kid’s a aussi l’avantage de se décliner en 200 couleurs pour se fondre dans le décor. « L’une des particularités de notre produit est qu’il est fabriqué par les meilleurs artisans français puis traité aux normes C.O.V. pour enfants avant d’être assemblé et expédié dans nos locaux à Bezons », fait savoir notre interlocuteur. La Table Kid’s participe aussi au développement économique local en faisant travailler jusqu’à 7 entreprises dans le Val d’Oise.
Quant à son contenu, elle propose jusqu’à 30 jeux collaboratifs, pédagogiques et ludiques adaptés dès l’âge de 3 ans. « Grâce à notre partenariat avec Google Play Store d’Android, notre dispositif est évolutif au fil des nouveautés et nous sommes en mesure de proposer les jeux les plus tendances du moment ainsi que des applications éducatives qui participent à l’éveil et l’apprentissage des plus jeunes. » L’outil est sécurisé par le contrôle parental qui bloque la connexion internet et qui ne donne accès qu’aux jeux préinstallés et configurés.
À ce jour, la Table Kid’s équipe plus de 200 espaces enfants non seulement en France métropolitaine et DOM-TOM mais aussi partout à l’étranger comme en Belgique, au Luxembourg, en Suisse, en Grande-Bretagne et même aux États-Unis.
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Environnement béni des Dieux ! C’est avec ce « poids sur la conscience », c’est à dire la préservation d’un cadre naturel exceptionnel, que s’est construit le projet de ce complexe hôtelier de luxe. Bâti en granit, la roche insulaire, L’Hôtel & Spa des Pêcheurs est la seule structure réceptive de l’ïle avec de nombreuses propositions compatibles avec cet esprit (tennis, golf, plongée, yoga, plage, excursion en bateau, location de voiturette électrique) et est très apprécié aussi pour la qualité de son restaurant.
Pour y séjourner, l’endroit saura séduire par l’élégance des suites et chambres avec vue panoramique sur la mer, à la décoration subtile, sobre et raffinée et bercées par le ronronnement délicat du flux et du reflux. On ne pourra qu’étre séduit aussi par son jardin aux milles et une fleurs. À chaque instant, les odeurs de myrte, de laurier, de genièvre, de chèvrefeuilles, et de tant d’autres espéces, viennent se méler aux senteurs marines. Ces effluves remontent jusqu’au bar, situé sur l’une des plages de l’Hôtel. où la qualité de l’accueil et une pétillante carte sont la garantie d’apéros, de pauses roboratives ou de soirées conviales, festives et réussies.
Un thermalisme du plus haut niveau
Afin d’être en harmonie avec l’exceptionnel contexte naturel, la méthode thérapeutique thermale a été priviligié. Elle a vocation à un remise en forme et en beauté globale du corps et de l’esprit. Les bains sont à base d’eau fossile “Salso Bromo Iodica” de Salso Maggiore Terme en Italie, reconnu pour ses propriétés osmotiques et drainantes, bénéfiques pour le système lymphatique, circulatoire et pour le renouvellement cellulaire. Les synergies des huiles et essences florales et les disciplines ancestrales de massages orientaux sont mises en avant via des formules de bien-être adaptées aux sensibilités et aux besoins de chacun. Les thématiques sont mûrement réfléchie et visent au bien-être total. Les techniques de massages thaïlandaises, tibétaines, japonaises, indiennes et aryuvédiques, polynésiennes, de l’ïle de Bali, hawaïenne et même suédoise, qui traitent l’ensemble du corps, sont dispensées par des maîtres en la matière et en adéquation avec les supports aromathérapeutiques. Par exemple, on trouve à la carte : des rituels à l’Immortelle de Corse, bien connue pour ses vertus exceptionnelles en matière de regénérescence cellulaire, des rituels à la rose, à la menthe, aux fleurs d’orangers et de jasmins ; l’utilisation des pierres chaudes de Cavallo pour dénouer les tensions musculaires du sportif ; des séances de yoga et de pilate le tout s’accompagnant des services classiques d’esthétisme (manucure pédicure, épilation, etc.).
Et si notre prochaine cure, ne le ferions-nous pas à Cavallo ?
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Menthe poivrée, bergamote, violette, les rayons de la boutique que Mauricette Clech a fait tourner pendant plus de 60 ans n’ont pas fini de dévoiler les secrets bienfaisants de ces plantes. Et de tant d’autres que le numéro 35 de la place du Marché déploie sous diverses déclinaisons dans son intrigant « tisane & tea bar ». Quid d’une nouvelle tendance pour tirer des plantes leurs vertus millénaires.
Une enseigne modernisée, un mode de consommation remastérisé
Entre les plantes et Millymenthe, l’histoire était partie pour durer. Ouverte en 1934 et tenue par le dernier herboriste de France, l’adresse a traversé les décennies sans cesser, un seul jour, de vanter leurs bienfaits. Victoria Renaud-Foughali nous raconte avec enthousiasme l'historique des lieux : « C'est en novembre 2010 que Mauricette Clech, icône de notre herboristerie pendant 63 ans, cède sa place à ma famille. Pendant cinq ans, ma tante Sabine Foughali, diplômée d'un DU en phytothérapie et passionnée par les plantes médicinales, tiendra la boutique avant de m'en laisser les rênes début 2016. C'est elle qui m'a transmis ce savoir ancestral autour des plantes et de leurs bienfaits, ayant elle-même reçu de nombreux secrets botaniques de la part de notre prédécesseur. C'est un héritage immense qui perdure de famille en famille sur plusieurs générations et qui fait la renommée de l'herboristerie Millymenthe depuis tant d'années. »
Reliftée par la nouvelle propriétaire, l'adresse est désormais connue de ses adeptes pour son bar à tisane et bar à thé. Un concept bonus pour goûter, façon XXIe siècle, à toutes les vertus de ces boissons. Les spécialités aromatiques sous forme de sirops, de préparations à infuser et de bonbons qui ont fait la renommée de la maison sont toujours commercialisées. Avec en tête d’affiche, l’illustre menthe poivrée – « la plus médicinale des menthes », selon la dirigeante – et ses déclinaisons. Huiles essentielles, gélules et autres préparations phytothérapiques enrichissent les offres auxquelles les habitués et les néophytes accèdent en poussant la porte de cet antre du « bien-être, des plantes et du naturel ».
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Le domaine possède 400 ans d’histoire au coeur de la Provence.
En 1594, le roi Henri IV ordonne au Duc de Sully de planter les 15 majestueux platanes qui ombragent, encore de nos jours, le parc de la propriété. C’est en 1932 qu’Henri et Charlotte Fabre se prennent de passion pour le Château de l’Aumérade. Ils restructurent la propriété et obtiennent en 1955 le titre de Cru Classé. Henri Fabre développe une activité prospère qui lui permet de devenir l’un des premiers embouteilleurs de la région et l'un des fondateurs des côtes de Provence. Ils créent l’événement en 1956, avec le lancement de la célèbre « Marie-Christine », cuvée ambassadrice de charme des vins de l’Aumérade dans le monde.
A partir de 1932, chaque génération de la famille Fabre a su transmettre sa passion de la vigne et son savoir-faire au service de l’excellence. Si la famille produit les 3 couleurs, la production de rosé représente plus de 90%.
Les vins issus des cépages typiques de la Provence, (le grenache, cinsault, carignan, syrah et rolle pour le blanc) expriment avec élégance le caractère unique de ce terroir d’exception.
La cuvée Marie-Christine Rosé mérite un intérêt particulier puisqu’elle est la cuvée emblématique de la propriété. Très aromatique, elle développe en bouche une intensité minérale ponctuée par des notes de fruits mûrs à chair blanche : une gourmandise ! Ce très beau rosé provençal vous est proposé dans un élégant flacon, imaginé par Charlotte Fabre, l’épouse du fondateur.
Pour les blancs, c’est la cuvée Sully Blanc de Blancs qui retiendra notre attention. Ce vin est un grand blanc de Provence, élégant et complexe. Le Rolle, d’une grande qualité gustative s’exprime ici sur des arômes d’agrumes et de poire, traduisant une belle finesse de corps avec une remarquable persistance en bouche.
Les rouges quant à eux, sont souples et fruités jeunes, ils évoluent en barriques sur des notes complexes épicées et vanillées développant de l’ampleur et de la puissance à travers des tanins soyeux et élégants.
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Réaliser son propre vin, trouver l’équilibre entre les arômes des cépages, décrire les émotions au nez, en bouche : Le Maitre de Chai entretien une relation subtile avec le temps et la nature. Son métier fascine, intrigue ou force l’admiration depuis des siècles. Aujourd’hui, l’occasion est donnée pour vivre en famille ou entre amis cette expérience sensorielle et ludique : celle de la conception d’un vin prestigieux.
L’idée naît dans l'esprit inventif de Christine de la Guéronnière. Issue d’une famille de vignerons et d’artistes, cette vinificatrice rejoint le domaine familial en 2015, après avoir excercé dans le commerce international. Inventive, animée par la dimension de partage et la passion d’un métier porté par les siens depuis 1928, elle joint l’art à l’artisanat dans ce jeu audacieux, olfactif et instructif.
Créer un grand vin de Bordeaux : mode d’emploi
écriVins parle des grands vins libournais. Dans le coffret, se présentent élégamment 3 bouteilles de vin monocépages (Merlot, Cabernet Franc, Cabarnet Sauvignon), 4 pipettes en verres, 4 supports de jeu, des cartes d’aides à la description sensorielle et une carte des règles du jeu. Celui-ci se déroule en trois parties, amenant les participants à reproduire de grands vins avant de concevoir le leur. Cinq AOC Pomerol, puis cinq AOC Saint-Emilion classés Grand Cru livrent ainsi leurs secrets, via une approche empirique. Une fois ces saveurs historiques assemblées, goûtées, notées, les joueurs (jusqu’à 4) s’adonnent aux derniers assemblages, ceux-là même qui définiront leur propre création.
L’expérience est complète mais ne s’arrête pas là. Le vin réalisé in fine peut être commandé sur Internet. écrivins vous en proposera une caisse de 6 bouteilles, habillées d’une étiquette à votre nom ou celui de votre choix. Le jeu est également rechargeable sur leur site et chez les cavistes partenaires.
Un écrin de bonnes idées au service des vins du terroir
S’il s’adresse aux particuliers, écriVins est aussi un support didactique et soutenant, tendu vers les viticulteurs Libournais. Vignobles, caves, bars à vins, peuvent ainsi disposer d’une animation oenologique "clé en main", originale et dynamique.
L’art de l’assemblage participe à dorer les notes de noblesse des grands vins de Bordeaux mais reste parfois méconnu à l’international, souvent plus sensible aux monocépages. Eclairer les richesses et la complexité de cette "cuisine des dieux" compte parmi les buts du jeu. Sa créatrice témoigne avec joie des réactions de ses auditeurs venus du monde entier, curieux et ravis de l’expérience.
Des coffrets à (s') offrir, sans modération
écriVins peut se commander sur le site dédié https://www.ecrivins.fr/. Ce jeu innovant, porté par le goût du vin et des autres, ravira les participants (de 1 à 4 joueurs), de 18 à 99 ans. Le coffret inclut convivialité et bonne humeur, à savourer en famille ou entre amis.
A l’approche des fêtes de fin d’année, à l’occasion d’un anniversaire, d’un événement, écriVins est l'occasion de surprendre, de faire plaisir et de savourer, en plus de bons vins, de précieux instants. Les curieux, les œnologues en herbe, les vignobles désirant développer leurs animations oenotouristiques seront servis et quelques vocations, pourquoi pas, pourraient se dessiner. Il n’y a plus qu’à céder à la tentation de ce jeu qui, en plus d’être ludique, signe un joli clin d'oeil aux artisans de la terre.
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L’établissement des Laffarge était, jusqu’aux années 50, un restaurant ayant notamment pour habitué un certain Lénine. Mais la maladie du propriétaire poussa sa femme à transformer le lieu en boutique de thés et de produits naturels et diététiques. Une belle innovation à l’époque.
Depuis 2006, Abdelhamid Saida a repris le magasin, après avoir connu la maison en tant que client alors qu’il étudiait l’histoire et l’archéologie et résidait à la Cité Universitaire internationale. Soucieux de conserver l’esprit des lieux, il en perpétue le charme et garde la même exigence dans la sélection des produits.
Plus de 250 thés minutieusement sélectionnés
Avec plus de 250 variétés de thés testés et sélectionnés, La Maison Laffarge est un comptoir de thé, voire l’un des plus anciens de Paris et l’un des plus savamment fournis.
Cette grande sélection toujours d’une fraîcheur remarquable, rigoureusement choisie chez Damman, Orientis Gourmet, Georges Cannon, Alveus… vaut à l’établissement de la rue Sarrette le prix de la tradition dans le Guide du thé à Paris.
Des produits biologiques et naturels venant du monde entier
Monsieur Saida a également développé d’autres produits biologiques et naturels. En premier lieu, l’huile d’olive extra vierge Cercina qu’il importe de son pays natal, la Tunisie. Certifiée par Ecocert, mono variétale, douce et fruitée avec un taux d’acidité remarquablement bas, elle est distribuée dans 160 points de vente en France.
Dans son magasin, d’autres huiles sont présentes comme celles de pistache, d’Argan, de pépin de courge, de lin, de cameline, de germe de blé et de chanvre…Les produits de la ruche restent l’un des produits phares de la maison. En effet, la gelée royale biologique française certifiée par le GPGR (Groupement de Producteurs de Gelé Royale) ainsi qu’une sélection remarquable de miel d’apiculteurs français font la réputation de l’enseigne.
Des sardines millésimées Rödel, des fruits confits de fabrication artisanale (citron, angélique, gingembre, cerise, ananas, cédrat, …), des paniers de fruits et de légumes, fruits secs et séchés, des épices en vrac ainsi que des vins sans sulfite, tous issus de l’agriculture biologique / biodynamique forgent la singularité de l’enseigne et son ouverture sur les bons produits du monde entier.
La Maison Laffarge, comme préfère la nommer certains observateurs, est une Institution dans le monde du bio.
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Le châtaignier est « l’arbre à pains » qui a toujours veillé sur l’homme en lui apportant des fruits abondants et nutritifs, surtout en période de disette. Cet arbre humble et protecteur est cependant délaissé pendant les années 50, au risque de disparaître. Soucieux de sauvegarder leurs châtaigneraies, des agriculteurs revestois ont fondé l’Association pour la valorisation de la châtaigneraie de Revest du Bion et de sa région. Un pari réussi, puisque le Revest du Bion produit aujourd’hui annuellement 20 tonnes de châtaignes de haute qualité. Ce taux de production est encore modeste par rapport aux autres régions, mais la Haute-Provence peut être fière de la qualité de ses châtaignes. De plus, sa filière castanéicole est, à ce jour, épargnée par le Cynips, une micro-guêpe ravageuse originaire de Chine qui touche aussi l’Europe, y compris la France. Le futur est plutôt prometteur pour le pays de Jean Giono, la région unique où ces fruits d’avenir poussent au milieu des champs de lavande.
Réhabiliter la châtaigneraie
Depuis les années 50, le châtaignier est délaissé au fur et à mesure que la plaine offre de vastes étendues cultivables pour la lavande et les céréales. Le contexte socio-économique après la Seconde Guerre mondiale accélère, en outre, l’abandon des châtaigneraies françaises. Afin de sauver celle de Revest du Bion, un groupe d’agriculteurs a créé en 1985 une association loi 1901 l’Association pour la Valorisation de la châtaigneraie de Revest du Bion et de sa région. Présidée par Eric Quenin, cette entité a pour principal objectif de réhabiliter la châtaigneraie et pérenniser son entretien. Dans sa première démarche de sauvegarde, elle abat 600 arbres forestiers afin de laisser la place à 200 jeunes châtaigniers. Elle vise ensuite à motiver et sensibiliser d’autres castanéiculteurs de toute la Haute-Provence, ciblant en même temps le grand public français comme clientèle potentielle. Un évènement annuel voit alors le jour : la fameuse Fête de la Châtaigne.
La fête de la Châtaigne
Chaque année, en octobre, la Fête de la Châtaigne est célébrée à Revest du Bion depuis 2000. En 2016 a lieu la 17ème édition. Soutenu par la Mairie, cet évènement festif et culturel est organisé par l’Association pour la valorisation de la châtaigneraie de Revest du Bion, avec la collaboration de la Confrérie des amis de la ahâtaigne. Le but est de faire connaître l’existence de la châtaigneraie du plateau d’Albion, surtout celle de Revest sur Bion, au grand public et aux milliers d’amateurs de châtaignes. Plus de 10 000 visiteurs sont ainsi attendus chaque année pour célébrer le gout authentique de ce fruit ainsi que les produits du terroir. Chacun peut ramasser gratuitement les châtaignes dans les vergers, déguster les cornets de châtaignes grillées ou les consommer dans mille-et-une recettes : sous forme de soupe, de velouté, de confiture, de pâtisseries, etc. Le fromage de Banon AOC est inconditionnellement présent au rendez-vous, dans son écrin de feuilles de châtaigniers séchées. Dans cette ambiance festive et de bonne humeur, les gens profitent aussi de la beauté des vergers pour se promener et se détendre. En famille ou entre amis, le circuit pédestre s’avère un agréable moyen de découvrir la châtaigneraie ainsi que les paysages d’automne de la région.
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Jérôme Boujon est l’inventeur éclairé de La Terre Diamant. Cet expert en géométrie sacrée, enseignant et conférencier international est aussi maître de méditation et guérisseur. En 2004, suite à une expérience mystique intense, il accède à une vision éclairée de la grille énergétique, appelée aussi grille de 5ème dimension, qui entoure la Terre et relie ses habitants. La Terre de Diamant en est la reproduction complexe et parfaite. Jérôme Boujon donne gratuitement et en live une méditation de guérison pour la pleine lune chaque mois. Recevez ces RDV méditatifs en cliquant ici.
Une prouesse technologique et spirituelle
La première couche de la sphère est une étoile tétraédrique, correspondant au cristal central de la planète et à l’équilibre des polarités masculin/féminin. La seconde est une carte du monde, permettant de le visualiser dans son ensemble. La troisième est cette précieuse grille de conscience collective, habituellement indétectable. C’est la forme la plus développée de la géométrie fondamentale. Cette grille contient 915 fois le Nombre d’or – la perfection de la mathématique - du jamais vu (à titre d’exemple, la Pyramide de Kheops en compte seulement 15).
La Terre Diamant est la 5ème invention de Jérôme Boujon et résulte de quinze années de recherches. Récompensée quatre fois à l’exposition Internationale des Inventions de Genève en 2019, notamment par la Médaille d’argent du jury, elle est reconnue comme un activateur de paix pour l’évolution de la conscience humaine. Sa société de diffusion, DIAMOND LIGHT, est membre de l’association 1% for the Planet.
Des corps et des esprits apaisés
Les effets de la Terre Diamant sont radicaux selon Jérôme Boujon et les centaines de témoignages laissés sur le site https://www.diamondlight.eu/ par ceux qui ont adopté ses vertus. Réduction des douleurs psychiques, bien-être, sommeil régénérateur, sentiment de joie, la sphère favorise aussi la communication, la méditation, l’éveil de conscience et rayonne sur plusieurs dizaines de mètres, voire centaines de mètres. Ainsi, quelqu’un détenant une Terre Diamant envoie des ondes positives à tout son quartier. C’est une noble cause.
« C’est une sorte de phare spirituel », explique l’inventeur, qui a décliné sa création en trois modèles, pour s’adapter aux besoins des détenteurs : de poche, grande ou moyenne. La baby Terre Diamant vous accompagne partout : dans la poche, le sac à main, la voiture, le cartable de votre enfant, la tête d’oreiller pour le sommeil, la carafe d’eau pour la dynamiser. Posée sur le chakra du cœur, elle favorise la connexion et permet au corps "d’assimiler" les hautes vibrations d’unité. Doux silence, sensation d’amour s’y diluent sans effort. La moyenne et la grande sont davantage destinées aux maisons, aux centres de soins, aux entreprises, aux salles de réunions pour y créer une atmosphère harmonieuse.
En plus de régler, de purifier le métabolisme et son environnement, sa base lumineuse avec ses 13 programmes de couleurs fait aussi figure d’exception. Un cercle chromatique diffuse les fréquences spirituelles du cyan, du magenta, et du jaune – la prospérité dans l’équilibre. La couleur choisi qualifie l’émanation de la Terre Diamant ; de la paix à l’éveil spirituel par les fréquences de l’intuition, de la guérison et de la communication. La sphère en rotation peut, au choix, s’illuminer ou non.
La Terre Diamant a du travail, en ces jours chahutés par de nombreux maux existentiels. Son succès international participe déjà à leur apaisement. C’est en tout cas sa mission, portée haut par son inventeur inspiré. A petit pas cristallins, elle éclaire un chemin de paix, à emprunter "en toute conscience".
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Initié à l’époque des arrières grands parents de Marc Dupraz, le domaine applique la méthode de culture dite de « vignes en lyre » sur une partie de son vignoble : « cinq hectares sur dix sont cultivés selon cette méthode. Encore peu utilisée en France, elle est assez répandue en Suisse » explique Marc Dupraz. Son avantage est qu’elle permet d’obtenir des raisins à maturité optimale lors des vendanges quelles que soient les années. Depuis 1998, Marc cultive son domaine en agriculture raisonnée « Nous faisons beaucoup d’efforts et voulons nous tourner vers le biologique, le pas va se faire naturellement. A part un ou deux changements, on ne fera pratiquement rien de plus. C’est pour cela que nous allons commencer la conversion des 2017» précise-t-il.
Des cépages typiquement savoyards
L’encépagement du vignoble est composé de variétés typiques de la région, dont la Jacquère qui n’existe pratiquement qu’en Savoie. Ce cépage, à la base de l’appellation Vin de Savoie, est à l’origine de la rondeur et le fruité du vin ainsi que sa tendance à une bonne évolution dans le temps. « Il s’agit d’un cépage rustique et assez capricieux, il demande beaucoup de rigueur au travail » précise Marc. Pour ses vins rouges, le domaine utilise uniquement la Mondeuse, un cépage également endémique de la région. Rustique et montagnarde, cette variété n’est autorisée et recommandée en France que dans la région des Vins de Savoie. Proche de la Syrah génétiquement parlant, il rappelle cependant le Pinot en dégustation. Il donne des jus qui vont sur la myrtille et la framboise, et offre une grande capacité de vieillissement aux vins dont il est issu, lorsqu’il est travaillé avec soin.
Des vins gastronomiques
Les 10 hectares de vignes cultivées par le domaine sont déclinée en quelques cuvées très riches et fruitées. Celles-ci profitent de qualités gustatives exceptionnelles qui en font des vins de gastronomie parfaits et choisis par plusieurs restaurants étoilés de toute la France. Parmi elles figurent « Les Terres Blanches » Vin de Savoie Apremont, qui est un vin d’une complexité rare, avec un côté calcaire très prononcé en bouche qu’il tire de son terroir et une longueur et un gras naturel conféré par la Jacquère. « il est vrai que nos clients sont surpris des qualités de nos Jacquère mais nous sommes confortés dans nos choix stratégiques , les vins à base de ce cépage sont liés à un grand avenir, si le raisin récolté est exceptionnel » acclame Jérémy le fils de Marc nouvellement installés depuis 2011
Seul vin rouge produit par le domaine, « La Mondeuse » est élevé en cuve, qui confèrent au vin des tanins extrêmement présents, et qui se fondent très bien dans le temps. « En dégustation jeune, ce vin est très épicé, avec une teneur en fruit mais avec le temps, entre quatre ou cinq ans minimum, nous arrivons déjà sur un vin complexe avec beaucoup plus de maturité et d’équilibre et qui peut se garder entre dix et douze ans » explique avec passion Marc Dupraz.
Barbecue et Vin, ou la façon de déguster les vins autrement
Tous les premiers vendredis du mois de cette période estivale (Avril à septembre), le Domaine Dupraz organise un évènement dénommé « Barbecue et Vin ». « Découvrir les vins d’une manière assez différente, autrement qu’avec des fromages et des charcuteries, voilà l’objectif » s’exclame Jérémy Dupraz. Cet évènement permet en effet de découvrir et déguster les vins du domaine autour d’un barbecue au milieu des vignes. Le caveau reste aussi ouvert au grand public toute l’année du jeudi au dimanche ou vous pourrez déguster un casse-croute vigneron avec les produits locaux sélectionnés par la famille. Bien évidemment les vignes peuvent être visitées par les amateurs de vins pendant les beaux jours.
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Il y en a pour tous les goûts : fruits et légumes, produits de la pêche, viande et volaille mais aussi boissons, charcuterie, plats cuisinés, boulangerie-pâtisserie, sucreries ou produits laitiers. Saveurs en’Or représente aujourd’hui la marque des produits de qualité fabriqués en Nord-Pas de Calais, que ce soit une tarte au sucre, une gaufre à la cassonade ou des bêtises de Cambrai tout comme l’andouillette, le bœuf à la bière de l’Avesnois ou l’endive.
Force est de constater que le désormais célèbre blason est devenu une référence. L’objectif initial, c’était bien de « prendre la main de l’agriculteur et la main du consommateur puis les réunir », rappelle Jean-Marie Raoult fondateur et président de Saveurs en’Or. Cette initiative originale de la Chambre d’agriculture et du Conseil régional Nord-Pas de Calais a commencé avec une trentaine de produits. Plus de dix ans après, les résultats sont au rendez-vous : non seulement, Saveurs en’Or valorise plus de 1000 références, mais elle est également largement présente dans les rayons de la grande distribution.
Surtout, elle représente aujourd’hui un gage de qualité. Car ne devient pas Saveurs en’Or qui veut. Il faut d’abord que les matières premières soient cultivées en priorité en Nord-Pas de Calais ou que les produits soient transformés dans la région, avec un minimum de 50% de denrées issues de la région. Il faut ensuite répondre à un cahier des charges strict, avec des exigences en matière de traçabilité et d’hygiène notamment. Chaque année, un organisme certificateur indépendant se charge de vérifier que le cahier des charges est bien respecté par les entreprises. Enfin, un panel de consommateurs goûte régulièrement les produits pour attester de leur saveur incomparable.
Un partenariat gagnant-gagnant
Derrière la marque collective Saveurs en’Or, il y a aussi et surtout un partenariat gagnant-gagnant. Gagnant pour les consommateurs de plus en plus désireux de consommer des produits locaux et de qualité. Gagnant aussi pour les producteurs et les distributeurs, en offrant de nouveaux débouchés notamment dans les grandes surfaces et en valorisant ainsi les entreprises génératrices d’emplois sur le territoire.
Tous les producteurs sont d’accord. « En adhérant à la démarche Saveurs en’Or, nous défendons notre souhait de voir la véritable Lucullus de Valenciennes préservée au rang de produit du patrimoine gastronomique du Nord », note Augustin Motte, dirigeant de la société produisant cette fameuse spécialité de langue de bœuf fumée avec du foie gras. « Etre marqué Saveurs en’Or nous apporte non seulement un gage de qualité mais aussi un développement économique incontestable via le réseau de distributeurs partenaires et les nombreuses actions de promotions », ajoute Patrick Defroidmont, spécialiste de la fabrication artisanale de Maroilles. « Nous pouvons afficher notre fierté de travailler des produits, avec des viandes élevées, abattues, transformées et consommées au sein de notre région », conclut Laurent et Jean Pruvost, de l’entreprise familiale Pruvost Leroy.
La marque collective représente aujourd’hui plus de 10 000 emplois dans la région. En offrant de nouveaux débouchés, elle a réussi le pari de valoriser le savoir-faire culinaire de toute une région, de l’éleveur au transformateur. Les consommateurs le savent : non seulement, ils misent sur de la qualité mais ils soutiennent aussi les filières de production durables. www.saveursenor.com
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Héritage familial depuis quatre générations, la Bonne Etape est un célèbre restaurant gastronomique étoilé Michelin depuis 1964. La maison reste fidèle au goût authentique de la Provence, à l’accueil amical du personnel et la convivialité des lieux. A l’intérieur comme à l’extérieur, le cadre envoûte les visiteurs. Ils prennent alors le temps de s’asseoir pour savourer une cuisine d’auteur raffinée qu’inspire le jardin biologique de la maison. L’émotion est au rendezvous, le goût du bonheur faisant toujours effet dans les plats amoureusement préparés par le chef Jany Gleize.
Le parcours prédestiné d’un passionné
Le propriétaire des lieux n’est autre que le chef étoilé Jany Gleize, Maître cuisinier de France. Né un jour du SaintValentin 1957 à Château Arnoux, il grandit au sein d’une famille de restaurateurs. Très jeune, il observe déjà son père orchestrer le restaurant et partage la passion de sa grandmère Gabrielle pour la cuisine. Son choix est fait. Dès qu’il a décroché son baccalauréat, Jany part débuter sa carrière chez « La Bonne Auberge » de Jo Rostang, à Antibes, loin du cocon familial. Il travaille ensuite pour Pierre et Jean Troisgros à Roanne, en 1976. De 1977 et 1978 il est apprenti chez Alain Chapel à Mionnay puis en 1979 chez Michel Guérard. Après son apprentissage bien peaufiné à travers la France, il devient serveur de restaurant pendant six mois au « Connaught Hotel », à Londres, en 1980. Il finit par revenir dans sa chère Provence, en 1981 et prenden main le restaurant familial. Les talents du chef se font vite remarquer si bien que sa renommée parvient même jusqu’au Palais de l’Elysée. Il est alors choisi par le Président François Mitterrand pour préparer le repas du soir du bicentenaire de la Révolution Française, le 14 juillet 1989, en l’honneur de tous les Chefs d’Etat invités. Le Maître, cependant, ne réserve pas la noblesse de son art qu’aux grands de ce monde: il lepartage avec tous ceux qui aiment la cuisine française. Il vient ainsi de publier son premier ouvrage intitulé « La Bonne Etape », sorti le 07 mars dernier. Ce beau livre, aux éditions Brigitte Eveno, contient 50 recettes où le chef dévoile ses secrets.
Des plats aux saveurs authentiques de la Provence
A la Bonne Etape, la cuisine est rythmée au fil des saisons. Elle est riche de saveurs mais légère au corps : un équilibre harmonieux savamment recherché. La maison propose trois menus, à savoir le menu Mer ou Garrigue, le menu Jarlandin dans lequel le dessert est une surprise du chef, ou encore le menu Jeunes Convives pour les moins de douze ans. Il est également possible de commander à la carte et essayer à l’entrée le fameux Foie gras de canard en trio en lobe ivre de vin rouge épicé, à 32€. Ce plat figureen saison au menu Jarlandin, tout comme l’Agneau de Sisteron rôti à feu d’enfer, servi avec du risotto. Le dessert à la carte va sûrement satisfaire les gourmets avec sixvariétés de délices sucrées, proposées avant le fromage sur une autre carte séparée. Le chef et son équipe sont heureux de conseiller leurs hôtes sur leurs choix et les vins qui s’y accordent. La cave de la maison, reconnue comme l’une des plus belles de France, laisse l’embarras du choix avec ses 600 références.
Le secret est dans le potager
La Bonne étape dispose d’un jardin potager baptisé « Jean Rey », en l’honneur du grand père qui était agriculteur. Le chef Jany Gleize a donné une nouvelle esthétique au jardin avec la collaboration de François Tessari, un jardinier ethnobotaniste de renom. Ils ont ainsi créé un jardin à l’anglaise où l’harmonie des couleurs est une véritable peinture vivante. La culture biologique y est privilégiée. Le désherbage se fait à la main, la terre est travaillée à l’aide d’une grelinette. Pour gérer les insectes nuisibles, le chef favorise les systèmes de « friches » où les larves des insectes ravageurs sont exposées aux prédateurs. C’est dans ce champ de légumes, d&rs...
Quand on apprécie les vins de la région bordelaise, il y a certains grands noms immanquables tels que les appellations Listrac et Moulis. Que vous soyez déjà amateur de ces types de vin ou que vous souhaitiez les découvrir, nous vous conseillons de visiter le domaine Les Vignobles Jander, première propriété certifiée en agriculture biologique sur ces deux appellations.
Histoire du domaine
Bien que l’on ait peu de données sur la véritable origine du domaine, les premières traces semblent indiquer la date de 1775. À cette époque, une carte de « Guienne » le mentionne et évoque le château de Semeillan.
Puis, le domaine n’a cessé de changer de propriétaires, siècle après siècle. Parmi ceux-ci, il est difficile d’oublier la Vicomtesse du Pavillon. En effet, en tant que propriétaire du château de Semeillan avant 1925, celle qui fut la descendante de la famille du Cheyron du Pavillon est citée dans de nombreux textes.
En 1925, le château et le domaine sont vendus à la famille Hostein qui partagea la propriété en trois (une part pour chacune des trois filles de la famille). C’est à cette date et grâce à l’union de Mademoiselle Hostein et M. Mazeau, créateur de l’appellation Listrac, que sera créé le château Semeillan-Mazeau.
Faisons un bond dans le temps et intéressons-nous précisément à 1998. C’est, en effet, l’année où M. Jander et sa femme décident d’acheter, tout d’abord, le château au Crédit Lyonnais qui en avait fait l’acquisition au préalable. Puis, parce que le château et le vignoble avaient été revendus précédemment par les descendants Hostein, ils s’intéressèrent aussi aux vignes.
Les propriétaires décident alors de restaurer le château construit en 1810 et la propriété viticole avec toujours cette volonté de marier modernité et charme d’antan.
Un domaine qui se concentre sur l’agriculture biologique
Il est intéressant de noter que le domaine Les Vignobles Jander a toujours souhaité rester fidèle aux us et coutumes de la vinification. L’objectif du vigneron : proposer de délicieuses boissons tout en respectant le raisin.
Ainsi, depuis 2012, le domaine est devenu beaucoup plus strict au niveau du traitement des vignes afin de respecter le cahier des charges définissant l’agriculture biologique. D’ailleurs, Maxime Julliot, le directeur du domaine, nous explique avec fierté que, depuis 2015, le domaine Les Vignobles Jander est la première propriété à être certifiée en agriculture biologique sur les appellations Listrac-Médoc et Moulis.
En visitant les vignes, on peut d’ailleurs se rendre compte que le chai du domaine est un savant mélange de matériel moderne (les cuves thermorégulées en sont la preuve flagrante) et de méthodes de travail plus traditionnelles. D’ailleurs, on nous explique que l’on attend patiemment pendant plusieurs dizaines de mois que le processus de vinification se fasse. Puis, chaque vin est travaillé et assemblé pendant quelques mois de plus avant d’être mis en bouteille. Cela permet de les stabiliser et de les équilibrer tout en respectant la matière première.
C’est ce qui donne ce côté unique aux créations de la propriété.
À savoir : l’exploitation de 17 hectares se partage entre cabernet sauvignon et merlot (avec respectivement 47% du premier et 53% du second). De plus, le domaine profite de sols propices à d’excellentes cultures (argilo-graveleux pour le Château Jander et sablo-graveleux pour le Château Sémeillan-Mazeau).
Des vins sérieux, puissants et élégants
Évidemment, pour mieux connaitre les créations de la propriété, il faut les goûter. Dans ce cas, nous vous conseillons de vous rendre sur place si vous êtes de passage dans la région. En plus d’être constamment ouvert au public, de nombreux événements sont proposés. Surtout en été où il est possible de se balader dans le vignoble tout en profitant d’un bon repas. Idéal pour en apprendre plus sur le domaine et sur la façon de travailler le fruit en appréciant à sa juste valeur chaque création unique. Et, pourquoi pas, apprendre à marier vins et...
Des temples mythiques aux plages paradisiaques, en passant par les spécialités culinaires locales, Seripheap invite les voyageurs à apprécier les multiples facettes qui font tout le charme du Cambodge. En tout, des circuits déclinés en une vingtaine de thématiques sont proposés via le site de cette agence de voyage.
Le Cambodge, une destination unique
Pays aux mille richesses, le Cambodge est une des plus belles destinations de l’Asie du Sud-Est. « Ce pays a énormément d’atouts à faire découvrir et tout le monde peut y trouver son compte », explique Cyrille Top, coassocié. Le Cambodge dispose notamment d’un patrimoine culturel exceptionnel.
Pour commencer le périple, l’agence propose aux voyageurs d’admirer de plus près les temples millénaires d’Angkor, des vestiges classés au patrimoine mondial de l’Unesco. À Phnom Penh, capitale du Cambodge, les merveilles architecturales telles que le Palais royal ou le Musée national méritent également le détour. Dans la foulée, ceux qui s’intéressent à l’Histoire du pays ne seront pas déçus. « Nous proposons des tours qui retracent le protectorat français », nous indique-t-on. À Battambang, deuxième ville du pays, les visiteurs peuvent retrouver d’anciens bâtiments qui datent de l’époque coloniale.
Mais la découverte du Cambodge ne se résume pas qu’à ses temples et à ses bâtiments anciens, loin de là ! En effet, le pays peut se vanter de bénéficier d’une Nature particulièrement diversifiée. Seripheap propose donc aux aventuriers de partir explorer les paysages et la faune sauvage dans les jungles de Mondulkiri et du Ratanakiri. Au programme : de la randonnée, du trekking et autres activités, le tout dans un écrin de verdure luxuriante.
Au détour des chemins, les aventuriers ont l’occasion de multiplier les rencontres et les échanges authentiques avec la minorité locale. À part ses forêts, le pays est aussi connu pour abriter la plus grande réserve d’eau douce d’Asie du Sud-Est. Le grand lac Tonlé Sap et ses villages flottants figurent parmi les incontournables du Cambodge. Une visite qui promet d’être inoubliable !
Pour se remettre de leurs émotions, les voyageurs iront se prélasser sur les magnifiques plages du sud du pays pour des pauses bien méritées.
Les amoureux de cuisine exotique sont également les bienvenus au Cambodge. Parmi les circuits proposés, les fins gourmets pourront visiter, entre autres, Kampot, une ville réputée pour la qualité exceptionnelle de son poivre, et Kep, connue pour son marché aux crabes. « Il y a beaucoup de plats locaux à découvrir dans cette région », confie Cyrille Top.
Une agence 100 % locale "Seripheap"
Créé en 2016, Seripheap, signifiant « liberté » en Khmer, a été lancé sous l’initiative de deux amis et associés : Cyrille et Sylvain. Basée à Phnom Penh, cette agence se spécialise dans les voyages sur mesure sur tout le territoire cambodgien. « Nous organisons tout, depuis l’arrivée à l’aéroport jusqu’au vol du retour. Si les voyageurs le souhaitent, nous pouvons leur aménager un séjour plus libre », rapporte notre interlocuteur.
Depuis sa création, l’agence a su développer un vaste réseau de guides francophones expérimentés qui ont une parfaite connaissance du pays. À cela s’ajoute une équipe de chauffeurs aguerris, habitués aux « aléas » de la circulation cambodgienne. « C’est important de fournir cette prestation car la circulation est souvent chaotique et il est presque impossible pour un touriste de conduire seul une voiture ».
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Ce mas, situé sur la commune de Tulette, est un héritage familial de Corinne Depeyre, venant de son père qui, lui-même, l’a hérité de son père Henri et de son grand-père Clément. Ainsi, après trois générations, Corinne est la première vigneronne de la famille à reprendre le flambeau. Un rôle qu’elle assure et assume pleinement avec passion.
L’agriculture biologique, une réelle conviction
Au sein du Domaine Corinne Depeyre, l’agriculture biologique est un véritable art de vivre. Pour la viticultrice, il s’agit d’un gage d’avenir. C’est pourquoi elle cultive ses 19 hectares de vignes suivant cette technique respectueuse de l’environnement et de la biodiversité. Les vignes vivent ainsi au rythme des labours, selon les cycles naturels et grâce à des techniques ancestrales destinées à lutter contre les parasites et les maladies.
Corinne Depeyre cultive notamment la phacélie au milieu de son vignoble. Il s’agit d’une fleur qui a la propriété de régénérer les sols naturellement. Des rangées de rosiers ont été plantées au pied des vignes. En plus d’offrir un décor visuellement très attrayant, les rosiers préviennent de l’apparition de maladies comme l’oïdium provoqué par un champignon destructeur.
Les vins de Corinne
Le Domaine Corinne Depeyre commercialise trois gammes de vins bien distinctes. Parmi les plus connues figurent les cuvées Style, se déclinant en rouge, blanc et rosé. Le Style Rouge Côtes-du-Rhône est issu de vignes de 30 ans d’âge établies sur un terroir argilo-calcaire, recouvert de galets roulés. Il est élevé en cuve de béton souterraine. Le vin se pare d’une robe rouge grenat aux reflets pourpres, marqué par un nez intense, floral et fruité, avec des notes d’épices. En bouche, il développe beaucoup de fraicheur et de la souplesse. Le millésime 2015 a été primé d’une médaille d’or lors du Concours des vins d’Orange.
Le Style Blanc Côtes-du-Rhône est né d’un assemblage à 50 % de clairette, 25 % de viognier et de 25 % de roussanne. Il est élevé en cuve en inox et fermente en cuve inox thermorégulée. La robe est jaune pâle avec des reflets verts. Il s’agit d’un vin subtil avec un nez aux notes d’abricots et d’agrumes. Il se savoure en apéritif et accompagne un fromage de chèvre ou un poisson en sauce. La cuvée 2015 a été récompensée d’une médaille d’argent lors du Concours des vins d’Orange et de celui de Mâcon cette année.
La troisième cuvée est le Côtes-du-Rhône Rosé, un vin aux couleurs provençales, avec un nez d’agrumes et de petits fruits rouges.
La gamme intermédiaire est représentée par la cuvée Phacélies AOP Côtes-du-Rhône Rouge. Elle rend hommage aux fleurs présentes sur les parcelles pour attirer les abeilles. Le vin est issu de vieilles vignes de 50 ans. Le millésime 2014 a été primé d’une étoile au Guide Hachette.
Le haut de gamme se décline en deux cuvées rouge et blanc Âme du Chêne AOP Côtes-du- Rhône. La propriété possède également une cuvée dénommée Cuvée de l’Amitié, un vin de pays de Méditerranée encore très confidentiel.
La vigneronne travaille uniquement avec le circuit traditionnel (cavistes, restaurateurs) pour commercialiser sa production. « Je n’ai pas du tout l’intention de travailler avec la grande distribution », souligne-t-elle. Elle projette néanmoins de s’ouvrir à l’export.
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L’entreprise FEREI France est le distributeur exclusif de la marque FEREI en France métropolitaine et DOM/TOM. Elle a bâti sa notoriété autour de la qualité supérieure des modèles qu’elle propose, en développant en parallèle un portefeuille de clientèle sportive. Usage pour sport nocturne, activités et loisirs outdoor, trek, raid, vélo, running, trail ou plongée sous-marine, chacun trouvera certainement un produit adapté à ses besoins et respectant son budget.
Une gamme de produits performants
La gamme d’éclairage FEREI se distingue par sa robustesse, son autonomie et sa facilité d’utilisation. Les lampes frontales sont les produits phares de la marque, qui se déclinent en modèles plus légers et d’autres plus professionnels. Dotées des dernières technologies LED, ces lampes produisent entre 220 à 1 800 lumens, et jusqu’à 50 h d’autonomie, selon le mode de réglage. Parmi la sélection, la série lampe frontale FEREI HL20 est spécialement adaptée pour le running, grâce à sa masse légère de 150 grammes et son bandeau positionnable. En pleine puissance, c’est-à-dire à 600 lumens, elle offre 4 h d’autonomie et même beaucoup plus longtemps, pouvant atteindre les 20 h, en mode éco. On s’intéresse aussi aux éclairages vélos, dont le phare BL800C à double optique LED XP-G. Avec sa portée jusqu’à 280 mètres et son faisceau de 680 lumens, ce produit accompagne aussi bien les sorties cyclo-randonnées que le trajet vélo en ville et vélotaf. En outre, des lampes torches à LED, des lampes de plongée et divers accessoires portatifs sont également commercialisés par l’entreprise.
Une gamme de choix pour chaque activité
FEREI France s’adresse particulièrement à trois cibles : d’abord aux professionnels dans le bâtiment, le transport, la gendarmerie, la sécurité, l’intervention, etc., mais aussi aux clubs, collectivités et associations sportives, et enfin au grand public. En tant que spécialiste dans l’équipement en éclairage sportif, l’entreprise propose des produits exclusifs à prix concurrentiel, pour répondre aux besoins précis des sportifs de haut niveau et des ententes sportives. Par ailleurs, les clients peuvent se rendre directement dans les magasins spécialisés et multisports, et chez les revendeurs indépendants en France, Belgique, Luxembourg et Suisse, pour découvrir la gamme conçue pour un usage quotidien. Il est également possible de commander en ligne via le site officiel de FEREI France et d’autres sites spécialisés, à savoir I RUN.
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