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Découvrez nos bonnes adresses
de restaurants près de chez vous...

TOP 50 DES MEILLEURES RESTAURANTS PAR RÉGION


Sur votre région, sur votre ville, découvrez les bonnes adresses où diner.
Restaurants gastronomiques étoilés référencés Michelin, Gault & Millau ou labellisés Maîtres-Restaurants, Collège culinaire de France... Trouvez près de chez-vous les bonnes tables, les meilleurs chefs et les bons plans de restaurants. Bon appétit avec le Top 50 des meilleurs restaurants sur votre région et sur votre ville.

Le guide des meilleurs restaurants sur votre ville et votre région

vue-aerienne-de-l-hotel-viva-wyndham-v-samana
Santo Domingo
Viva Wyndham V Samana
2,746.34 Km
2,746.34 Km
Hôtel Viva Wyndham V Samana :
vivre un séjour exotique de rêves
le-viva-wyndham-v-heavens-a-cote-du-golf-de-playa-dorada-un-coin-de-paradis
Santo Domingo
Viva Wyndham Resorts
2,746.34 Km
2,746.34 Km
Viva Wyndham Resorts : une évasion idyllique au cœur des Caraïbes
un-interieur-resolument-design-et-moderne
18 personnes aiment
Plouider
La Table de La Butte
6,031.98 Km
6,031.98 Km
Ticket moyen
52 €
La Butte : le rendez-vous des épicuriens
Vue aérienne Hôtel-Restaurant du Manoir du Kerhuel à Plonéour-Lanvern prés de Quimper accueil chaleureux lieu événements séminaire d'entreprise, mariage, fête
9 personnes aiment
Plonéour-Lanvern
Manoir de Kerhuel
6,075.28 Km
6,075.28 Km
Ticket moyen
30 €
Manoir du Kerhuel : tout pour le plaisir
Villa tri men
Combrit
Villa Tri Men
6,075.28 Km
6,075.28 Km
Laissez-vous surprendre par la cuisine savoureuse du restaurant de la Villa Tri Men.
restaurant-villa-tri-men-a-sainte-marine
18 personnes aiment
Sainte-Marine
Villa Tri Men
6,075.28 Km
6,075.28 Km
Formule
à partir de
49 €
RÉSERVEZ
Les trois rochers : une pause gourmande à Sainte-Marine
Restaurant belle vue
10 personnes aiment
Fouesnant
Restaurant Belle Vue
6,144.82 Km
6,144.82 Km
Formule
à partir de
14 €
RÉSERVEZ
Le restaurant de l’hôtel Belle Vue vous offre une cuisine savoureuse et inventive.
10 personnes aiment
CARHAIX PLOUGUER
CREPERIE TY GWECHALL
6,100.53 Km
6,100.53 Km
Ticket moyen
15 €
Crêperie Ty Gwechall : au royaume des crêpes faites maison
composition-dessert-du-restaurant-ar-men-du-a-nevez-cuisine-etoilee-reconnue-au-guide-michelin
6 personnes aiment
Névez
Ar men du
6,144.82 Km
6,144.82 Km
Ticket moyen
67 €
Ar Men Du :
les valeurs sûres d'une cuisine de tradition
creperie-bretonne
8 personnes aiment
Paimpol
Ty Krampouz
6,168.80 Km
6,168.80 Km
Crêperie Morel Ty Krampouz : les délicieuses crêpes bretonnes à l'honneur
restaurant-via-costa-a-etables-sur-mer
18 personnes aiment
Étables-sur-Mer
Le Via Costa
6,168.80 Km
6,168.80 Km
Formule
à partir de
14 €
RÉSERVEZ
Via Costa : la Dolce Vita sur les côtes bretonnes
restaurant-robic-a-pontivy
9 personnes aiment
Pontivy
Restaurant Robic
6,168.80 Km
6,168.80 Km
Ticket moyen
20 €
Restaurant Robic :
une cuisine du terroir
gastronomie-saveur-et-plaisir-des-papilles-au-restaurant-terre-mer-a-auray-dans-le-morbihan-premiere-etoile-au-guide-michelin
18 personnes aiment
Auray
Restaurant Terre Mer
6,214.06 Km
6,214.06 Km
Formule
à partir de
7 €
RÉSERVEZ
Restaurant Terre Mer :
la subtilité et la perfection dans l'assiette
restaurant-atlantique-a-quiberon
16 personnes aiment
Quiberon
Restaurant l'Atlantique
6,214.06 Km
6,214.06 Km
Ticket moyen
25 €
L'Atlantique : repas gastronomique dans une ambiance jazzy
Restaurant le gavrinis
19 personnes aiment
Badens
Restaurant Le Gavrinis
6,214.06 Km
6,214.06 Km
Ticket moyen
42 €
Le Gavrinis : un havre de paix à la cuisine audacieuse
restaurant-cote-patio-a-vannes
12 personnes aiment
Vannes
Côté Patio
6,214.06 Km
6,214.06 Km
Ticket moyen
26 €
Côté Patio : un cadre contemporain, une cuisine créative
restaurant-saveurs-de-l-inde-a-vannes-cuisine-gastronomique-indienne-poulet-ou-agneau-curry-tikka-masala-korma
12 personnes aiment
Vannes
Saveurs de l'Inde
6,214.06 Km
6,214.06 Km
Ticket moyen
20 €
un authentique restaurant indien venu d'ailleurs
restaurant-rive-gauche-a-vannes
13 personnes aiment
Vannes
Yobo (Restraurant Rive Gauche)
6,214.06 Km
6,214.06 Km
Ticket moyen
52 €
Rive gauche : une cuisine libre et précurseur
nicolas-bourdon-aux-manettes
6 personnes aiment
Saint-Malo
Restaurant Le Coude à Coude
6,236.78 Km
6,236.78 Km
Ticket moyen
25 €
Le Coude à Coude : le plaisir d'une table conviviale
gaelle-a-decouverte-des-bieres-artisanales
19 personnes aiment
Gaël
Brasserie La Gaëlle
6,168.80 Km
6,168.80 Km
Micro-brasserie La Gaëlle : la bière du pays de Brocéliande
restaurant-breizh-cafe-a-cancale
13 personnes aiment
Cancale
Breizh Café
6,236.78 Km
6,236.78 Km
Formule
à partir de
48 €
RÉSERVEZ
Breizh Café : la Bretagne, en passant par le Japon et Paris
restaurant-bistrot-des-sarments
16 personnes aiment
La Turballe
Le Bistrot des Sarments
6,214.06 Km
6,214.06 Km
Ticket moyen
35 €
Le Bistrot des Sarments : une cuisine locale à La Turballe
restaurant-vieille-forge-a-mesquer
11 personnes aiment
Mesquer
La Vieille Forge
6,214.06 Km
6,214.06 Km
Ticket moyen
35 €
La Vieille Forge : là où les assiettes prennent forme
restaurant-vieux-logis-a-guerande
13 personnes aiment
Guérande
Le Vieux Logis
6,214.06 Km
6,214.06 Km
Ticket moyen
30 €
Le vieux logis :
cuisine au feu de bois

LES ARTICLES LES PLUS LUS

Domaine de Calet : des vins équilibrés et expressifs en hommage au terroir rhodanien

Après avoir vécu une trentaine d’années en Scandinavie, Yvon et Anne-Lena Gentes envisagent une reconversion professionnelle. Arrivés en France, ils tombent littéralement amoureux de ce domaine entre mer et montagne situé aux portes de la Camargue qui leur rappelle les fjords scandinaves. Le couple décide alors d’en faire acquisition puis s’engage dans un immense chantier visant à améliorer l’environnement. « Nous nous sommes entourés d’agronomes et d’œnologues internationaux qui nous ont aidés dans notre démarche. Tout a été réhabilité : du domaine, à la cave, en passant par l’encépagement jusqu’aux modes de culture », nous confie Yvon Gentes. Un travail de longue haleine qui a fini par porter ses fruits : le Domaine de Calet s’inscrit aujourd’hui comme l’une des références en AOC Costières-de-Nîmes dans la Vallée du Rhône. Un mode de travail selon une approche écologique Situé à 20 km de Nîmes à la limite ensoleillée entre la Provence et le Languedoc-Roussillon, le vignoble bénéficie d’une situation géographique privilégiée et surtout d’un climat méditerranéen exceptionnel aux étés très chauds, à la saisonnalité des pluies très marquée, le tout accompagné d’un mistral qui assainit les vignes. Le terroir se caractérise par la présence de galets issus de débâcles glaciaires d’origine rhodanienne qui captent mieux la chaleur du soleil pour chauffer le sol et la vigne. Les cépages tels que la syrah, le mourvèdre, le carignan ou le grenache en rouge ainsi que la roussane, le bourboulenc, le chardonnay ou la clairette en blanc s’expriment avec intensité et harmonie et donnent naissance à des vins méridionaux, fougueux et équilibrés qui sont désormais certifiés Ecocert. Car pour Yvon Gentes, avoir des produits qui ne respectent pas l’homme et la nature, aussi bons soient-ils, n’a aucun intérêt. Dans sa démarche qui prône une symbiose entre le vigneron et la terre, il adopte des méthodes biotechniques innovantes comme la confusion sexuelle qui permet de lutter contre les parasites sans avoir à recourir aux intrants chimiques. La vinification s’annonce quant à elle plus vertueuse pour les consommateurs grâce à la réduction du taux de sulfites dans les vins. « Aujourd’hui, dans les produits conventionnels, les doses de sulfite autorisées sont de l’ordre de 180 mg par hectolitre et passent à 100 mg par hectolitre en bio. Chez nous, la teneur avoisine les 20 mg par hectolitre », explique le vigneron. Des vins « haute couture », incontournables des tablées Avec une production annuelle de 2000 à 2500 bouteilles, le Domaine de Calet s’illustre pour sa gamme riche et variée qui s’exporte à l’international notamment dans les pays scandinaves, en Russie ou en Ukraine. Grâce à des vignes âgées de plus de 40 ans qui donnent des raisins d’une qualité exceptionnelle, il est en mesure de proposer des cuvées haut de gamme telles que l’Éternité, un vin rouge puissant issu d’une production intime de 600 bouteilles par an. Offrant un bel équilibre entre les tanins et l’acidité, ce vin est parfait en accompagnement de veau, de bœuf ou de poissons à chair blanche tel que cabillaud et flétan communément associés aux vins rouges en Norvège. La Cuvée Grand Mas s’inscrit également comme l’une des fiertés de la maison et a été considérée comme l’un des plus grands vins de France lors d’une présentation à Tokyo. Élevé en fûts de chêne et produit à partir de 80 % de syrah, 15 % de grenache et 6 % de mourvèdre, ce vin rouge harmonieux, profond et boisé s’accorde à merveille avec de l’agneau, du bœuf et des plats épicés. Plus récemment, la maison vient de proposer la cuvée Long terme, un rouge plus élégant, rond et généreux. « Avec ses arômes de fumée et de sous-bois, le Long Terme s’adresse à un public plus jeune. Il a d’ailleurs reçu une méda...

Hôtel-Restaurant Tante Yvonne : l’art de recevoir depuis 1959

L’hôtel-restaurant Tante Yvonne propose une cuisine du terroir préparée avec soin et qui fait la part belle aux produits locaux. Par ailleurs, pour ceux qui ne sont pas très « viande », du poisson et des crustacés sont également proposés à la carte (bar de ligne, coquilles St Jacques, maquereaux, poissons de roche…) L’endroit est tout indiqué pour ceux qui aiment concilier villégiature de charme et plaisir du terroir. Une institution familiale aux charmes intemporels Depuis 1959, l’établissement a connu trois générations. C’est Yvonne, la grand-mère, qui s’est lancée la première dans l’aventure. Ensuite, ce fut le tour de Michel, le père et aujourd’hui c’est son fils Bernard qui a pris les rênes… et les fourneaux aussi ! En compagnie de Cathy, ce dernier accueille les fins gourmets dans une authentique demeure du XVIIIe siècle. Pour conjuguer le passé au présent, la maison s’est permis quelques petites retouches ici et là. Remise au goût du jour, l’ambiance se décline dans un style « chic & rustique » : sol en parquets, murs aux couleurs pastel pour plus de douceur, luminaires en bois naturel et fauteuils aux tissus chamarrés. Les adeptes du cocooning sont prévenus, il fait bon vivre chez Tante Yvonne. Et comme une bonne nouvelle n’arrive jamais seule, aménagée à l’ombre de grands platanes, une magnifique terrasse spacieuse leur promet quelques moments de pure évasion, hors du temps. Une cuisine du terroir comme on les aime Avec sa table semi-gastronomique, la maison a déjà conquis le cœur des Quincerots. Les épicuriens de passage apprécieront une cuisine traditionnelle qui fait la part belle aux produits du terroir. Escargots, volailles, grenouilles, poularde… la fraîcheur est au rendez-vous avec des produits dégotés auprès des producteurs locaux. En cuisine, le chef Bernard, toque blanche lyonnaise, s’interdit tout gaspillage, « tout est utilisable », clame-t-il. Parmi ses spécialités, le poulet aux écrevisses, dos de bar de ligne rôti, pâté en croûte de gibier au foie gras ou les grenouilles fraîches en persillades sont les plus appréciés des fins gourmets. Sans oublier des plats typiques comme le filet de bœuf poêlé avec l’os à moelle ou escargots avec des ris de veau, toujours servis avec générosité. Chaque semaine, la maison propose un menu au retour du marché avec une entrée du moment ou des œufs meurette à la bourguignonne, un poisson ou viande du moment et un dessert du moment ou une assiette de fromage. Chez Tante Yvonne, le plus difficile c’est de choisir ! Entre le menu Tante Yvonne, le menu terroir, le menu 3 générations et le menu enfant, chacun y trouve son compte. Côté vins, la maison présente une carte qui fait honneur aux producteurs locaux avec du beaujolais, bourgogne et côtes-du-rhône. Enfin, l’établissement assure également des prestations traiteur. « Nous offrons un service traiteur pour les mariages, anniversaires, soirées privées entre Lyon et Villefranche-sur-Saône et, en général, dans tout le Rhône et les alentours », explique Philippe Ciamous, responsable de la communication. ...

Les Chevaliers d’Argouges : défenseurs de la tradition chocolatière normande

L’appellation de Chevaliers d’Argouges a été adoptée en référence aux locataires du château de Gratot. C’est dans cette commune de la Manche que l’enseigne a fait ses premiers pas en 1991. Relogée à Moyon, cette entreprise familiale garde, aujourd’hui encore, le concept d’un chocolat fabriqué par de vrais artisans. Du chocolat essentiellement normand, traditionnellement gourmand De la sélection des matières premières jusqu’aux ballotins et tablettes, les Chevaliers d’Argouges nourrissent une jalousie non dissimulée pour les traditions de leur art. Ici, ganaches et pralinés – toujours fabriqués à la main – continuent d’être couchés sur tables en marbre et découpés à la guitare. Déployant toute l’inventivité de la Normandie, la marque distille des recettes variées s’adressant à toutes les gammes de préférence. Les essences des précieuses fèves de la Guinée, du Venezuela, de l’Équateur et d’ailleurs s’emmêlent gaiement à des notes d’orange, d’amande ou de raisin pour submerger les papilles de notes exquises. Finesse et légèreté sont au rendez-vous dans les illustres tuiles au chocolat. Éclats de caramel, de noisettes hachées-grillées ou d’orange, toutes les fantaisies sont permises avec ces doux péchés parmi les plus appréciés de la maison. Aux grandes occasions, place aux découvertes singulières dont l’enseigne a le secret. À l’instar des ganaches pâtissières mises à l’honneur en 2017. En une seule bouchée, gourmands et gourmets partent pour un voyage combiné entre le fondant des brownies, des tiramisus et des cheese-cakes et l’opulence de la classique ganache. ...

Restaurant Jaipur Café :
une expédition culinaire à la « maison des épices »

Situé rue des Messageries, dans le 10e arrondissement de Paris, le Jaipur Café est l’une de ces adresses chics parisiennes qui prônent l’art culinaire. À travers les plats indiens judicieusement épicés, parfumés, subtils et raffinés qu’il propose, cet établissement est une invitation à voyager vers une authentique destination. Des saveurs authentiques, un moment idyllique Côté fourneaux, le Jaipur Café mise sur la qualité et la fraicheur des ingrédients pour assurer un beau mariage du bon et du sain. Désireux de satisfaire toutes les envies, il a dressé un grand nombre de menus. Menu Mixte Tandoor, Gourmand, Jaipur, Wonder Box, Conseille Végétarien et d’autres formules encore sont donc à déguster sur place ou à emporter. En entrée, le chef vous réserve les emblèmes de la cuisine de l’Inde : le poulet tikka, les délicieux samoussas à la viande ou encore les oignons Bahajia, le pakora ; ces derniers feront le bonheur des végétariens. À poursuivre ensuite avec des merveilles qui mettent en valeur les épices de l’Orient : la cardamome, le tamarin, les feuilles de curry, le gingembre, le poivre et le fameux massala. C’est à vous de voir devant quelle viande vous voulez vous extasier : le bœuf Jaipur, l’agneau Shahi Korma, le poulet Punjabi ou le rata mouton. Idem pour les poissons ou les crevettes, vous n’aurez que l’embarras du choix. À moins que vous préfériez vous laisser tenter par le Biryani, un plat de 25 épices, avec ou sans viande désossée, mijoté avec du riz et servi avec une petite sauce séparée. Enfin, ne pas goûter au dessert favori des Maharajah serait bien dommage : le kulfi, une glace indienne à la pistache. Cela n’empêche pas de céder au charme du délicieux gâteau à la carotte qui se trouve être la spécialité du chef ou du Gulab Jamun. Et, surtout, ne laissez pas les noms exotiques vous effrayer car la carte explique de quoi il s’agit. La carte des vins, quant à elle, propose les grands classiques des plus riches vignobles de France mais aussi ceux de l’Inde. Cependant, peu importe la provenance des vins, un bel accord sera assuré grâce à l’éclectisme dont la cave du Jaipur Café fait preuve. Citons le Sancerre AOC Les Chataigniers, le Bourgogne Aligote AOC Noël Briday ou bien encore le Côtes-du-Rhône AOC Château de Ruth. ...

Ferme Auberge des Collines : une cuisine familiale et savoureuse

C’est dans le sud de la Bourgogne dans la campagne brionnaise que Marie-Christine et Philippe reçoivent leurs convives. Le couple a installé son restaurant dans une dépendance d’un ancien château. Il y instaure un décor authentique fait de pierres et de poutres apparentes, de vieilles tomettes et d’une grande cheminée. Ce cadre de charme plonge les clients dans une ambiance de type taverne où chaleur et convivialité sont au rendez-vous.  Et pour ceux qui veulent rester pour la nuit, la ferme-auberge possède également quatre chambres d’hôtes, classées 3 épis Gîtes de France. Côté cuisine  Le concept de la maison est simple : servir des plats composés de produits issus de sa propre exploitation ou des exploitations voisines. « Nous proposons une cuisine à base de produits locaux : les végétaux de notre jardin, les viandes de notre élevage familial, et d’autres produits du terroir », précise la cheffe Marie-Christine Paperin. À table, elle tient à conserver le « Menu Campagnard », le menu historique, en le revisitant un peu. « C’était le premier menu servi à l’époque où mon beau-père préparait toutes les charcuteries, ma belle-mère faisait les fromages blancs », nous raconte-t-elle, un brin nostalgique. Aujourd’hui, ce menu est composé d'une assiette de charcuterie faites maison ( terrine, jambon cru, pâté...) à l’entrée, accompagnée d’une galette de pommes de terre et d’une salade, de fromage blanc à la crème et d'un dessert. Pour les clients qui restent séjourner, la cheffe recommande la formule « Menu du jour » pour découvrir des plats variés et goûter aux belles viandes charollaises que son époux élève avec passion. Pour les sorties dominicales en famille, rien de tel que le « Menu du dimanche », où l’on sert en plat principal de la viande de bœuf grillée accompagnée d’une salade et de légumes de saison.   La carte des vins « On a plutôt une carte locale, sur le même registre que les menus », explique la cheffe. La maison sélectionne les producteurs de la région qui fournissent des vins vraiment à son goût. Bourgogne, beaujolais et vins brionnais enrichissent la carte pour des accords mets et vins réussis. ...

Vignobles Gabriel & Co : pour la promotion des vins de la Rive droite

Jean-François Réaud se lance dans l’aventure de la vitiviniculture en 1985. Passionné et déterminé, il agrandit progressivement l’exploitation familiale qui était à la base un vignoble de 7 ha, hérité de son arrière-arrière-grand-père Gabriel Bruneteau. À la fin des années 1990, Jean-François Réaud développe un partenariat avec des domaines voisins, afin de faciliter la commercialisation et la valorisation des vins de la Rive droite. Cette « entraide viticole » se structure et devient Vignobles Gabriel & Co, un collectif qui compte désormais 34 vignerons. Cet effectif représente plus de 1 000 ha de vignes situées majoritairement sur l’appellation Côtes de Bordeaux. Une activité fondée sur trois modèles spécifiques Dans un premier temps, il s’agit de regrouper vignerons récoltants, vignerons indépendants, producteurs et commerçants afin de faciliter la commercialisation des vins. Ce mode de coopération crée également des avantages collectifs fondés sur des échanges de services ou l’acquisition de biens en commun. Le deuxième modèle ayant inspiré Vignobles Gabriel & Co est celui du système des coopératives. Il sert notamment à « défendre les valeurs des vignerons et promouvoir la qualité de leur travail », selon les termes de Jean-François Réaud. Quant au dernier modèle, il s’approprie les principes du négoce. « Vignobles Gabriel & Co a une position de négociant dans la mesure où le collectif achète des vins pour les revendre. C’est une façon de préserver un juste rapport qualité-prix, sachant que, jusqu’alors, à Bordeaux, le prix, qui doit être relié à la qualité du produit, dépendait plutôt du marché, de la spéculation ainsi que de l’offre et de la demande », souligne fermement notre interlocuteur. Une quête d’excellence Le vigneron défend ardemment les principes d’une démarche respectueuse de l’environnement. « J’essaie de convaincre les partenaires d’aller dans ce modèle qui fera la viticulture et les vins de demain. D’ici à quelques années, je souhaite que notre collectif soit à 50 % bio ou HVE, c’est-à-dire produisant et commercialisant des vins qui respectent à la fois l’environnement et la santé du consommateur. » Par ailleurs, le collectif Vignobles Gabriel & Co tient à encourager particulièrement les vignerons ayant tout le potentiel nécessaire à la production de cuvées premium. Cette stratégie a été pensée pour promouvoir l’identité de la structure et donner ainsi aux vins des appellations de la Rive droite le pouvoir de concurrencer équitablement sur le marché. Enfin, le groupement compte faire adhérer tous ses membres à la Charte des vignerons indépendants, de manière à ce que sa notoriété s’étende à plus grande échelle. ...

Le Clos du Marbrier : un travail artisanal dans la pure tradition

Le Clos du Marbrier s’étend sur une superficie de 5,5 ha. Il est implanté sur le site de l’ancien atelier du marbrier, lequel est devenu actuellement le chai de vinification, où s’élaborent les vins AOC Minervois de la maison. Un terroir aux mille facettes Le vignoble est réparti entre différents types de terroirs. Les principaux composants des sols sont le grès, le calcaire et les schistes. Grâce à cette variété, Irène Prioton se fait le plaisir de cultiver plusieurs cépages, dont certains sont rares et anciens comme l’aramon, un cépage du Languedoc presque oublié. Dans une volonté de préserver la biodiversité de sa terre, elle mène une viticulture biologique. Un effort indispensable si l'on veut laisser s'exprimer le terroir  à travers des vins fins et authentiques. Avoir un bon tour de main, le secret du bon vin Notre vigneronne a une façon bien particulière de travailler ses crus. « Je fais beaucoup de choses à la main. » C’est ainsi qu’elle explique son idée de décliner ses cuvées sur le thème de la « main ». Parmi les plus connues figure la cuvée « À Pleine Main », qui trouve son originalité dans la générosité de ses arômes. D’autres cuvées comme la « Haute Main » sont reconnues pour leur complexité et ont même été dignement récompensées dans les concours. ...

Domaine Courège-Longue :
des terroirs exceptionnels

Le nom du domaine « Courège-Longue » n'est autre que le nom d'anciennes vignes héritées de son grand-père et qui existaient bien avant mais qu'il a reprises seulement en 2012. Depuis, David conduit son vignoble en lutte biologique et s'emploie à perpetuer le savoir-faire vigneron de la famille.  À chaque cuvée, son terroir Les vins de la maison sont issus de 4 terroirs différents. On trouve un sol argilo-sableux au nord, un sol de style terrefort au sud, des graves rubéfiés et un sol argilo-ferreux. Cette diversité géologique donne naissance à des vins de caractère. ...

Le Revest au secours de l’arbre qui lui a lié son destin

Le châtaignier est « l’arbre à pains » qui a toujours veillé sur l’homme en lui apportant des fruits abondants et nutritifs, surtout en période de disette. Cet arbre humble et protecteur est cependant délaissé pendant les années 50, au risque de disparaître. Soucieux de sauvegarder leurs châtaigneraies, des agriculteurs revestois ont fondé l’Association pour la valorisation de la châtaigneraie de Revest du Bion et de sa région. Un pari réussi, puisque le Revest du Bion produit aujourd’hui annuellement 20 tonnes de châtaignes de haute qualité. Ce taux de production est encore modeste par rapport aux autres régions, mais la Haute-Provence peut être fière de la qualité de ses châtaignes. De plus, sa filière castanéicole est, à ce jour, épargnée par le Cynips, une micro-guêpe ravageuse originaire de Chine qui touche aussi l’Europe, y compris la France. Le futur est plutôt prometteur pour le pays de Jean Giono, la région unique où ces fruits d’avenir poussent au milieu des champs de lavande. Réhabiliter la châtaigneraie Depuis les années 50, le châtaignier est délaissé au fur et à mesure que la plaine offre de vastes étendues cultivables pour la lavande et les céréales. Le contexte socio-économique après la Seconde Guerre mondiale accélère, en outre, l’abandon des châtaigneraies françaises. Afin de sauver celle de Revest du Bion, un groupe d’agriculteurs a créé en 1985 une association loi 1901 l’Association pour la Valorisation de la châtaigneraie de Revest du Bion et de sa région. Présidée par Eric Quenin, cette entité a pour principal objectif de réhabiliter la châtaigneraie et pérenniser son entretien. Dans sa première démarche de sauvegarde, elle abat 600 arbres forestiers afin de laisser la place à 200 jeunes châtaigniers. Elle vise ensuite à motiver et sensibiliser d’autres castanéiculteurs de toute la Haute-Provence, ciblant en même temps le grand public français comme clientèle potentielle. Un évènement annuel voit alors le jour : la fameuse Fête de la Châtaigne. La fête de la Châtaigne Chaque année, en octobre, la Fête de la Châtaigne est célébrée à Revest du Bion depuis 2000. En 2016 a lieu la 17ème édition. Soutenu par la Mairie, cet évènement festif et culturel est organisé par l’Association pour la valorisation de la châtaigneraie de Revest du Bion, avec la collaboration de la Confrérie des amis de la ahâtaigne. Le but est de faire connaître l’existence de la châtaigneraie du plateau d’Albion, surtout celle de Revest sur Bion, au grand public et aux milliers d’amateurs de châtaignes. Plus de 10 000 visiteurs sont ainsi attendus chaque année pour célébrer le gout authentique de ce fruit ainsi que les produits du terroir. Chacun peut ramasser gratuitement les châtaignes dans les vergers, déguster les cornets de châtaignes grillées ou les consommer dans mille-et-une recettes : sous forme de soupe, de velouté, de confiture, de pâtisseries, etc. Le fromage de Banon AOC est inconditionnellement présent au rendez-vous, dans son écrin de feuilles de châtaigniers séchées. Dans cette ambiance festive et de bonne humeur, les gens profitent aussi de la beauté des vergers pour se promener et se détendre. En famille ou entre amis, le circuit pédestre s’avère un agréable moyen de découvrir la châtaigneraie ainsi que les paysages d’automne de la région. ...

L'Esprit de la Violette :
la cuisine aux mille et une saveurs...

A Aix-en-Provence, à une centaine de mètres au nord du centre-ville, le restaurant l'Esprit de la Violette vous accueille dans un cadre raffiné et agréable. Dès l'entrée, le grand jardin au design graphique et parfaitement entretenu donne le ton. Si vous préférez prendre votre déjeuner bercé par le chant des cigales, la terrasse extérieure n'attend plus que vous. Mais sachez que l'intérieur vous promet autant d'élégance. Ici, rien de trop pompeux. On reste dans un esprit sobre tout en raffinement avec de jolis jeux de lumière. Les nappes de tables noires ébène tendent à surprendre. Mais passée cette première impression, la décoration contemporaine et recherchée se révèle dans toute sa splendeur.   Marc de Passorio, retour de l’étoile L'histoire de l'Esprit de la Violette commence en 2014. Alors que Jean-Marc Banzo décide de mettre en vente son établissement, Marc de Passorio saute sur l'occasion et reprend le restaurant sur un coup de cœur. Un projet qui lui tient terriblement à cœur puisqu'il choisit d'abandonner ses autres activités pour s'y consacrer exclusivement. Une passion et un dévouement qui seront rapidement récompensés. En 2014, il reçoit le prestigieux prix du Gault & Millau d’or en PACA puis en 2015, un rêve d'enfant se concrétise : le chef est consacré par une étoile Michelin. Un titre qui vient aussi récompenser sa cuisine inventive, généreuse et un brin décalé. Car il faut dire que ses créations culinaires savent amuser nos papilles. Entre émotion et éblouissement, découvrez le foie gras de canard cuit au torchon délicatement accompagné d'une pâte de calisson d'AIX " feuille de poire " . La carte des desserts est tout aussi mélodieuse. L' " After Eight " Millésime été 2015 Chocolat Samana Grand Cru République Dominicaine par exemple achèvera de vous convaincre. Toutes ces succulentes suggestions sont minutieusement préparées avec des produits de saison. Le chef puise sa source d'inspiration sur les étals des marchés d'Aix et travaille avec beaucoup de producteurs locaux. Une manière de rendre hommage à la richesse des produits du terroir. Au cours de ses innombrables périples aux quatre coins du monde, il a aussi rapporté des trésors qui viennent ajouter une note d'innovation à sa cuisine.   Entre originalité, raffinement et générosité A l'Esprit de la Violette, il existe plusieurs manières originales de déguster votre repas. Investissez, pour un délicieux moment entre amis, l'impressionnante cathédrale des vins. Il s'agit d'une salle spécifique dédiée aux vins où de nombreuses bouteilles sont agencées façon " cathédrale ". A découvrir également, le carré VIP, un espace intimiste directement installé dans la cuisine qui est propice aux dégustations en tout genre. Vous y verrez le chef et sa brigade à pied d'œuvre. Une découverte et une expérience sous le signe du partage que vous n'oublierez pas de sitôt. Car pour Marc de Passorio, transmettre sa passion est essentiel. D'ailleurs, il organise aussi des cours de cuisine accueillant débutants ou amateurs éclairés. Décidément, ce chef dynamique est présent partout, même là où on l'attend le moins. En 2015, l'Esprit de la Violette accueille un événement pas comme les autres où gastronomie et haute couture forment un heureux mariage. A cette occasion, la maison de couture Sandrine Godin a présenté sa collection tandis qu'en cuisine, le chef a concocté un dîner digne de ce nom associant modernité, tradition, excellence et élégance. Mais ce n'est pas tout ! Il lui arrive aussi d'organiser des soirées littéraires avec des écrivains incluant bien sûr, un menu qui surpasse aisément toutes les exigences. ...

Domaine Perceval : des vins de l’extrême

Propriété familiale depuis 4 générations, le domaine a été repris en 1994 par Pascal Perceval, l’actuel gérant. En perpétuelle quête de l’innovation, il élabore aujourd’hui 47 vins différents, dont son fameux vin des glaces. Un vigneron pas comme les autres Au sein de son domaine de 50 ha, Pascal Perceval fait dans l’exceptionnel. Tout en préservant les vins traditionnels comme la mondeuse, la roussette ou l’apremont, ce vigneron ne donne aucune limite à son imagination. Et il se livre à des expérimentations plutôt réussies. À en juger, par exemple, à son vin de glace, dont le moût a été congelé à 3 613 m d’altitude dans le massif du Mont-Blanc. Une fois dégelé, le précieux nectar devient plus concentré en arômes. La dernière trouvaille de Pascal Perceval est ce qu’il appelle les « vins des profondeurs ». Des vins vieillis une année dans le lac Léman, à 30 m de profondeur. Résultat : après un an de vieillissement, les vins en prennent 4 ! Une accélération naturelle qui donne ensuite des nectars plus gras et plus fruités. ...

Château Maïme : un vin d’excellence !

Le château Maïme est une exploitation familiale de 36 hectares établie sur plusieurs terroirs. Le savoir-faire ainsi que les investissements de la famille Sibran-Garcia additionnés au climat avantageux de la Côte d’Azur ont fait de ce domaine le haut lieu de la fabrication des meilleurs vins de Provence. Le vignoble Véritable vestige archéologique, le domaine doit son nom à la chapelle construite sur la propriété vers le milieu du Moyen Âge. La situation géographique du Château Maïme est un atout majeur. Le domaine est au pied du massif des Maures. Le vignoble, quant à lui, est réparti en plusieurs parcelles suivant les types de terroir. La partie haute est composée en grande partie par les micaschistes, et celle plus basse par les sols argilo-sablonneux. Près de 16 hectares de terre proposent quant à eux un sol de grès sablonneux. La singularité et la typicité du Château Maïme viennent sûrement de ce sol spécifique de la Provence. En effet, la présence de nombreux galets permet d'accumuler la chaleur durant la journée et de la répartir durant la nuit. La technique de vendange Celle utilisée est de type mécanique. Cette méthode a été choisie dans le but d’optimiser la qualité des produits. En effet, le domaine a investi énormément dans l’acquisition de cuves dernière génération dites thermo-régulées. Celles-ci permettent de conserver la fraicheur des vins et de leur conférer de façon plus saine une robe claire. La technique consiste à faire descendre rapidement la température du raisin à réception de la vendange pour atteindre 5° C. Les palmarès du Château Maïme Les efforts et le savoir-faire de Jean-Louis Sibran ont contribué à la réputation du domaine. Pour faire connaître ses produits il est souvent présent aux concours nationaux. Les trophées vont de l’année 2000 à 2016 avec par exemple la médaille d’or et les deux médailles d’argent gagnées par le Rosé 2015 AOP Côte de Provence durant le 27e Concours National des Vins vinifiés par le vigneron indépendant en 2016. Il a aussi remporté la médaille d’argent lors du Concours des Grands Vins France à Mâcon. Le Blanc 2015 AOP Côte de Provence a également été récompensé d’une médaille d’or durant le Concours Général Agricole de Paris en 2016. Des prix qui ne peuvent qu’attester de la qualité des produits du Château Maïme ! ...

Château de Javernand : pionnier de l'agroforesterie et la vitiforesterie dans le Beaujolais

Installé sur les hauteurs de Chiroubles et dominant la Vallée de la Saône, au cœur des dix crus du Beaujolais, le Château de Javernand a pris ses quartiers dans une belle maison bourgeoise d’inspiration italienne datant de la fin du XVIIIème siècle où il fait bon vivre avec sa grande terrasse ombragée par un noyer centenaire. Blottie dans un environnement naturel et coloré donnant sur la vallée, elle est devenue le berceau de la production de vins d’exception exprimant toute la beauté de leur terroir. Le meilleur du Beaujolais et de la Bourgogne La famille Fourneau se passionne pour les vins depuis maintenant une centaine d’années. Un héritage qu’elle reçoit d’Auguste Faye en 1917. En 2011, la 5ème génération reprend les rênes du domaine. Arthur Fourneau, déjà actif depuis quelques années est rejoint par sa cousine Mathilde Pénicaud et son mari Pierre Prost. Ensemble, le trio donne une nouvelle dynamique au Château de Javernand. Sur les 55 hectares d’un seul tenant, une vingtaine sont dédiés à la vigne. Le reste étant planté d’arbres et constitué de pâturages pour les vaches limousines et charolaises ainsi que les moutons. Le terroir de Javernand se distingue par ses coteaux granitiques et ses sols peu profonds sur « saprolite », du sable découlant du granite rose sur lequel le gamay noir s'exprime parfaitement. Grâce à une altitude entre 400 et 500 mètres, les vins révèlent plus de fraîcheur et d’équilibre. Depuis 2014, Javernand exploite aussi 3 hectares de vignes en Mâconnais composées de chardonnay et de pinot noir donnant des vins à la belle fraîcheur et minéralité. L'ensemble du domaine est en conversion progressive à l'Agriculture Biologique depuis 2018. Travailler dans le respect du sol Pour Javernand, l’objectif est d’aller au-delà du bio : via une démarche agroécologique, il vise un système de production équilibré, à la fois performant et durable, permettant d'améliorer la fertilité et la vie des sols, de renforcer la biodiversité déjà bien présente sur le domaine, mais aussi de mieux stocker/mobiliser l’eau et d'amortir les extrêmes climatiques… L’utilisation des couverts végétaux est une technique plébiscitée au domaine pour son intérêt agronomique. Au cœur de l’agriculture de conservation des sols, cette méthode permet d’enrichir la terre en matière organique, de la protéger contre l’érosion, de fixer et restituer l'eau et les éléments fertilisants aux sols. À Javernand, l’équilibre agroécologique passe aussi par l’agroforesterie. Ces deux dernières années, le domaine a planté plus de 1000 arbres sur ses terres : haies champêtres et arbres au coeur des parcelles (pratique appelée vitiforesterie). « Nous sommes un des domaines pionniers en Beaujolais [...]. Nous travaillons à la mise au point et au développement de ces pratiques au sein d'un collectif de vignerons », déclare Arthur Fourneau. Une sélection de cuvées de haute volée En plus de proposer 4 cuvées de Chiroubles aux profils variés, la maison produit également une grande diversité de vins : Mâcon-Villages et Bourgogne Blanc, Mâcon Pinot Noir, Rose de Gamay et un crémant de Bourgogne. Leur conception se fait de la manière la plus vertueuse possible. « Nous vinifions l'ensemble de nos cuvées avec pas ou très peu d'intrants (levures indigènes, aucun sulfite en vinification) afin d'obtenir des vins procurant un maximum de plaisir », fait savoir Pierre Prost. Parmi ses best-sellers figure la cuvée Chiroubles Les Gatilles à la fois classique, gourmande et élégante qui révèle des notes florales et la fraîcheur des fruits. La Cuvée Vieilles vignes est un vin d’exception d’une capacité de garde de 5 à 7 ans qui exprime une belle concentration de notes de fruits mûrs et de réglisse. Le Château de Javernand possède aussi dans sa gamme la cuvée Chiroubles Climax, un vin riche et complexe élevé en fûts de chêne qui révèle la grandeur de son terroir. Dernier et non des moindres : le Rose de Gamay, un Beaujolais-Village Rosé aux arômes ...

Restaurant Seb'On, ou tout simplement chez Sébastien

« Que du frais et des produits de qualité ». Le restaurant Seb’on s’appuie sur ce concept pour séduire sa clientèle. Et ça marche ! « Nos clients viennent pour notre travail artisanal identitaire mettant à l’honneur le fait maison avec tendance gastronomique », raconte Sébastien Héloin, maître des lieux. Ainsi, pour préparer une glace au praliné, il préfère concocter sa propre praline lui-même, en caramélisant et en torréfiant les noisettes. Le plaisir de chaque convive étant la priorité de l’établissement, il s’efforce de changer ses menus toutes les semaines, en fonction des saisons et de la disponibilité des produits. « Néanmoins, grâce à un partenariat avec les fournisseurs de Rungis, il arrive que des changements s’opèrent en cours de semaine », annonce le propriétaire. Les spécialités de la maison Malgré la diversité de sa carte, l’établissement propose toujours son plat-signature depuis son ouverture, le 28 juillet 2014, à savoir le foie gras au vin rouge. Préparé avec des épices de vin chaud, de la cannelle ou des clous de girofle, ce mets est à faire précéder d’une entrée à base de poisson ou de viande. Il est très apprécié des « franchouillards », mais aussi des touristes venus visiter Montmartre, qui l’appellent parfois le « foie gras parisien ». Pour découvrir tout le savoir-faire du chef, les noix de Saint-Jacques snackées agrémentées de risotto noir et de jus de homard sont à déguster absolument. « Ce plat est préparé à base de riz noir riche en céréales, qui, autrefois, en Chine, était réservé à l’empereur », explique-t-il. Dans le registre du dessert, Monsieur Héloin fait preuve d’innovation en concoctant son diplomate au litchi, gâteau servi avec un crémeux de clémentine corse, le même que celui utilisé pour agrémenter les tartes au citron. Au coup de cœur… Pour accompagner les plats proposés par le restaurant Seb’On, le chef aime suggérer quelques accords à sa clientèle. Toutefois, toujours fidèle à son concept de diversification, il lui arrive de présenter d’autres vins choisis « au coup de cœur ». Ainsi, les convives pourront savourer des vins issus de la vallée du Rhône, de la Bourgogne ou des Hautes Côtes de Nuits, et notamment de chez Pierre Naigeon, un jeune passionné qu’il admire particulièrement. ...

Jubiles : l’entreprise qui va vous faire aimer la Kombucha.

Moins sucrés qu’un soda et plus savoureux que de l’eau : testez la kombucha 100% naturelle de Jubiles. La Kombucha : la nouvelle boisson tendance Aujourd’hui, quand vous ne voulez pas boire d’alcool, vous avez le choix entre des boissons (trop ?) sucrées ou de l’eau. La kombucha se positionne parfaitement entre ces deux catégories ! Originaire de Chine et consommée là-bas depuis des milliers d’années, vous découvrez une boisson naturelle qui s’obtient à partir de fermentation de thé au moyen de souches de kombucha. Jubiles les aromatise ensuite avec des jus frais réalisés dans son atelier afin de proposer des recettes aussi légères que succulentes. Par exemple : thé noir citron vert menthe, thé vert pomme curcuma et thé vert citron gingembre. Légèrement pétillante et réputée pour fournir de nombreux bienfaits au corps humain (renforcement du système immunitaire, amélioration de la digestion, effet anti-inflammatoire, etc.), elle répond aux besoins et envies de tout le monde. Mais ce n’est pas tout ! Car Jubiles propose aussi des jus de fruits et de légumes bio conservés dans des bouteilles bio dégradables (fabriquées à partir de résidus de canne à sucre). Pour essayer, rendez-vous dans un magasin bio près de chez vous (toutes les adresses sont sur le site) et achetez votre boisson en format snack de 25 cl ou en bouteille de 75 cl. Jubiles : une jeune entreprise éco-responsable La création de Jubiles remonte à 2017. À l’origine du projet, 4 personnes : Alexandre, Claire, Antoine et François. Comment leur est venue l’idée de cette boisson ? Ce sont les problèmes de santé d’Alice, la mère d’Antoine, qui sont à la base de tout. En effet, pour dépasser cette épreuve, celle-ci a modifié ses habitudes alimentaires et s’est mise à consommer quotidiennement des boissons brutes qu’elle réalisait elle-même telle que la Kombucha. Et les résultats furent surprenants. Le quatuor décida donc de passer à l’étape supérieure en proposant cette boisson au grand public tout en sensibilisant à l’impact d’une bonne alimentation sur la santé.    Mais, là où le petit groupe innove, c’est dans leur charte qualité. Proposée en toute transparence sur leur site, on observe que chaque étape de production est pensée pour avoir un impact minimal sur l’environnement. Du procédé de fabrication utilisant des ingrédients biologiques de première qualité à la distribution en voiture électrique : tout est réfléchi en amont pour garantir un processus le plus durable possible. A ce titre, Jubiles met actuellement en place une démarche RSE afin d’obtenir l’agrément Bio ED (Bio entreprise durable) mis en place par le Synabio. Prochaine étape de l’entreprise : multiplier les partenariats et, surtout, approfondir la connaissance et le procédé de la Kombucha en s’impliquant dans un programme de recherche. ...

Domaine VECCHIO : des vins corses dans leur plus belle expression

Implanté sur les coteaux du Monte San Appiano, à 1100 m d’altitude, le domaine jouit d’un terroir favorable qui donne des vins avec de la fraicheur et du fruit. Le vignoble de 28 hectares est planté des cépages typiques corses qui se développent sur des sols d’argiles légères et de schistes. Le savoir-faire d’un propriétaire récoltant En lançant leur exploitation en 2000, Jérôme et Florence ont toujours tenu à travailler la terre selon une démarche éco-responsable. Ils pratiquent notamment l’enherbement et le labourage alterné sur rang pour être sûrs d’obtenir des raisins sains et équilibrés. La vinification quant à elle s’effectue dans le respect du fruit. « Les cuves sont thermorégulées et sous gaz inerte afin de ne pas oxyder les jus », confie Florence.  De ces processus naissent des cuvées d’exception comme l’Uva Antica Minustellu (3ème à la dégustation 2019 des vins de Corse d'Andréas Larsson, Meilleur Sommelier du Monde), le Vecchio Collezzione Blanc (Médaille D'or au Japon) ou encore le Vecchio Collezzione rouge (Coup de coeur au guide Hachette). ...

Restaurant Pramil :
quiétude et gourmandise au rendez-vous

Le restaurant Pramil se trouve dans une rue calme près de la Place de la République. Derrière une façade bleu ciel se niche ce doux cocon. La lumière douce diffusée dans la salle, la teinte sobre de ses murs et les pierres apparentes forment un ensemble feutré imprégnant une ambiance paisible mais conviviale. Un petit nid discret pour passer des moments gourmands. Une cuisine française à la touche originale La cuisine française estampillée Alain Pramil se réinvente légèrement à cette adresse, pour sortir des mets comme nulle part ailleurs. Le secret ? Les ingrédients frais de saison sublimés par l’inspiration du chef. Qualité et originalité demeurent les maîtres mots de l’établissement. Rien de tel que son foie gras mi-cuit avec anguille fumée pour entamer le repas. Continuez ensuite par le ris de veau aux navets nouveaux, une des spécialités du chef, ou le Saint-Jacques avec girolles et somen de Shimabara. Des plats qui révéleront une fois de plus le talent de l’hôte. Ne pas terminer sur une note gourmande sucrée serait bien dommage. Pour cela, succombez aux charmes de la tarte framboise, pomme Granny-Smith, poivron et Chantilly, ou les millefeuilles aux marrons glacés. Afin d’accompagner toutes ces merveilles comme il se doit, le restaurant d'Alain Pramil propose une large palette de vins. Sa cave à vins se trouve être un point de rendez-vous des grandes appellations et des petits producteurs. Toutes des références appréciées pour leur qualité, dont certaines sont servies au verre. ...

Domaine Guillemin Stéphane et Lucie : un trésor de la Bourgogne à découvrir

Installant ses vignes en cave coopérative en 2003, Stéphane GUILLEMIN donne un tournant à son activité viticole à partir de 2007 en créant sa propre exploitation avec l’aide de sa femme Lucie. Il fait acquisition d’un vignoble de 25 hectares répartis sur les communes de Clessé, Viré, Péronne et Verzé. La grande diversité de son terroir lui offre toutes les latitudes pour travailler plusieurs appellations telles que Viré-Clessé, Mâcon-Péronne, Mâcon-Verzé, Mâcon-Villages, Crémant de Bourgogne et Bourgogne rouge. L’appellation Viré-Clessé sous les feux des projecteurs L’AOC Viré-Clessé est reconnue à partir de 1998 et s’étend sur les terroirs de l’AOC Mâcon Villages. Vifs et frais aux arômes de fruits, les vins blancs issus de cette appellation font partie des fleurons produits par le Domaine Guillemin Stéphane et Lucie. Parmi ces pépites figure ainsi la cuvée éponyme, un chardonnay généreux dévoilant de belles notes de fruits mûrs, d’agrumes et de fleurs. En bouche, elle se veut harmonieuse, suave, ronde et minérale sur fond de saveurs épicées et fruitées. Un superbe cru qui donne relief et consistance aux fruits de mer, aux poissons, aux crustacés, au fromage de chèvre ou aux viandes blanches grillées. Une alliance entre tradition et modernité Pour produire ses vins raffinés et expressifs, le domaine a fait le choix d’adopter une viticulture raisonnée. Aujourd’hui certifié Haute Valeur Environnementale (HVE), il signe sa différence en mettant en avant un savoir-faire traditionnel associé à l’utilisation de technique moderne qui réduit au maximum l’usage d’intrants phytosanitaires. ...

Chevrier-Loriaud Château Bel-Air La Royère : des vins de qualité et de caractère

En 1992, Corinne Chevrier-Loriaud, 4e génération de vignerons, fait l’acquisition du domaine Château Bel-Air La Royère. Entourée par une équipe à 90 % féminine, celle-ci s’est fixé une mission : redonner au cépage malbec ses lettres de noblesse. Une palette de terroirs En conversion biologique depuis 2016, ce vignoble de 12 ha est réparti sur diverses parcelles avec chacune un terroir spécifique. Ici, les cépages merlot (60 %), malbec (39 %) et cabernet sauvignon (1 %) poussent soit sur des sols sablo-graveleux, soit sur des sols argilo-calcaires. Grâce à cette diversité, le domaine a la possibilité de réaliser d’intéressants mélanges et de produire des vins complètements différents. Des vins devenus une référence La maison produit aujourd’hui 5 vins rouges et 1 vin blanc. Parmi eux, 2 cuvées partagent le titre de « cuvée ambassadrice » : le « Château Bel-Air La Royère » et « L’Esprit de Bel-Air La Royère ». Élaborée à partir de très vieilles vignes, le « Château Bel-Air La Royère » est un assemblage de merlot (65 %) et de malbec (35 %). Ce vin puissant et structuré a bénéficié de 20 à 22 mois d’élevage en barrique. En bouche, on trouve une explosion de fruits rouges associée à des notes vanillées. Ce vin sublimera des plats de viandes rouges ou du fromage. « L’Esprit de Bel-Air La Royère », quant à lui, est obtenu à partir de merlot (90 %), de malbec (5 %) et de cabernet-sauvignon (5 %). Présentant des tanins souples et soyeux, il séduit également par ses notes de fruits noirs et un boisé élégant. Les vins du domaine Château Bel-Air La Royère sont régulièrement cités par Bettanne & Desseauve, le Guide Hachette ou encore La Revue du vin de France. ...

Les Aviateurs par Philippe Chevrier, une adresse inédite 

Les Aviateurs est la nouvelle adresse où le Chef Chevrier donne rendez-vous à ses clients. Idéalement situé sur la Rue du Rhône, l’établissement attire les genevois par son concept si particulier. Les Aviateurs, c’est plus un bar tea-room qu’un restaurant et il porte bien son nom. Il plonge les clients dans l’élégance du monde de l’aviation pendant qu’ils savourent leurs plats. Un cadre chic et atypique Le bar Les Aviateurs a vu le jour en 2017 sous l’initiative de IWC, une manufacture horlogère Suisse. En voulant offrir une carte plus élaborée pour répondre à la demande de sa clientèle, IWC fait appel au chef Philippe Chevrier. Plus tard, il y voit l’opportunité de créer un nouveau type d'établissement : un bar tea-room où les clients peuvent venir à tout moment. Néanmoins, l'adresse reste fidèle à son nom. Le chef Chevrier décide de conserver le design intérieur du bar. Le décor quant à lui met en avant des carlingues d’avion, des cadrans de montre, des photos d’aviateurs qui nous ramènent dans les années 30 et 40. Le bar attire les clients par un style élégant de Gentlemen club. Les clients y sont invités à se détendre sur des fauteuils en cuir, autour d’une table haute. Sous la responsabilité d’Elodie Décure, une directrice proche de sa clientèle, les Aviateurs accueille les habitués et les nouveaux clients dans une ambiance chaleureuse et accueillante. A la carte du bar tea-room Les Aviateurs Les Aviateurs ouvre ses portes aux clients dès le matin jusqu’à l’after-work. Pour commencer la journée, le bar tea-room propose des viennoiseries, des muffins et des salades de fruits frais au petit-déjeuner.  Pendant la journée, les clients peuvent choisir entre burgers, tartares, croque-monsieur, tartes salées, quiches et salades. Les Aviateurs possède aussi son plat signature qui met à l’honneur les produits locaux : le Burger Les Aviateurs. Pour le préparer, ils utilisent du pain boulanger local, du steak de bœuf 100% suisse coupé au couteau ainsi que du gruyère suisse. En soirée, on y retrouve planches de charcuterie, pâté en croûte et fromages. A l’heure de l’after-work, le bar offre aussi à ses clients du saumon, des rillettes de crabe et de la volaille. Par ailleurs, Les Aviateurs dispose également d’une jolie carte de pâtisserie, œuvre du pâtissier-chocolatier Laurent Exbrayat, pour l’heure du thé. Etant un tea-room digne de ce nom, l’établissement est un endroit de premier choix pour prendre une tasse de thé ou de café seul ou entre amis à l’heure du goûter. Outre les boissons chaudes, le chef Chevrier a conservé la carte des boissons auquel les premiers clients étaient déjà habitués au moment de reprendre le bar. Pour l’enrichir, il a ajouté une carte de cocktails créatifs destinée à satisfaire la clientèle masculine qui y est nombreuse. Mise à part la particularité de son cadre et de son concept, Les Aviateurs s’adapte aussi aux saisons.  Nouvelle saison, nouvelle atmosphère Les Aviateurs dispose d’un atout qui fait de lui un endroit privilégié par les clients tout au long de l’année : sa terrasse estivale. Pour profiter pleinement de l’été et du soleil, les clients peuvent prendre leurs repas, leurs goûters ou leurs tasses de café au milieu des oliviers et d’autres arbres méditerranéens. En hiver, la terrasse couverte est chauffée pour permettre aux clients d’y prendre leur verre de cognac ou de fumer un cigare malgré le froid. Pour toutes ces qualités ajoutées aux talents culinaires du chef, les clients fréquentent Les Aviateurs tout au long de l’année. ...

Au Bassin : un restaurant de terroir 

Au grand plaisir des clients en quête de bonne cuisine, l’ouverture du restaurant Au Bassin à Périgueux est une belle aventure culinaire qui ne fait que commencer. À partir d’une ancienne ambiance de café, l’établissement connait aujourd’hui une affluence différente avec la fréquentation d’une clientèle beaucoup plus exigeante qui y effectue le déplacement dans le but de partager un bon repas en famille ou entre amis. Un nouveau départ Judicieusement placé à la sortie de la voie des stades, le restaurant Au Bassin est, pour la plus grande part, fréquenté par les habitants de Coulounieix-Chamiers et des quartiers environnants, mais aussi par de nombreux groupes sportifs et clubs de loisirs différents. À travers des plats simples cuisinés sur place, la maison attire sympathie grâce à un accueil chaleureux  et particulièrement convivial ainsi qu’une admirable volonté à aller de l’avant. Une cuisine traditionnelle Beaucoup plus qu’un simple restaurant, Au Bassin est surtout une très bonne adresse à la table sympathique très appréciée de tous ceux qui recherchent des recettes d’antan dans leurs assiettes. Les chefs aiment surprendre leurs clients à travers une cuisine entièrement maison et très goûteuse, préparée à base de produits frais, pour leur donner le plaisir de renouer avec la bonne cuisine traditionnelle à qui l'établissement reste fidèle. De la disponibilité à revendre Ouvert six jours sur sept et toute la journée, le restaurant Au Bassin l’est également les jeudis, vendredis et samedis soirs, l’avantage étant de pouvoir s’y rendre sans réserver et d’y trouver facilement une table pour 8 ou 10 personnes. Pour les autres jours, il est plutôt recommandé d’effectuer une réservation. Cette grande disponibilité apporte au lieu, un très grand avantage qui progressivement suit son petit bonhomme de chemin dans un effet très réussi, ce qui vaut à l’établissement, une fréquentation élevée. Un personnel accueillant Constamment à l’écoute des attentes de la clientèle, le restaurant Au Bassin se distingue surtout par le professionnalisme de son personnel. À travers une qualité d’accueil remarquable et un fort sens du service, il déploie tout un art pour répondre au plus près à leurs besoins. C’est un restaurant où on se sent particulièrement bien accueilli et où on a régulièrement envie d’y revenir. ...

La fourme d’Ambert : toute la douceur d’un fromage bleu

Le mot fourme vient du latin et signifie « mettre en forme le cailler ». En français moderne, ce mot signifie « fromage ». De là, est apparue la combinaison des mots « fourme d’Ambert », qui signifie « fromage d’Ambert en Auvergne ». Une histoire raconte qu’à l’époque napoléonienne, des écrits de dragon autrichien témoignent de l’achat du fromage à Ambert. Une denrée ensuite jetée dans la rivière parce qu’elle était moisie. Mode de fabrication Fromage à pâte persillée, la fourme d’Ambert se caractérise par sa forme verticale, ronde et haute. Elle est produite principalement en Auvergne, sur la montagne du Puy-de-Dôme (600-1 600 mètres d’altitude), dans 5 cantons du Cantal, mais également dans 8 communes de la Loire. La fabrication de la fourme d’Ambert se fait manuellement et naturellement, respectant ainsi les techniques ancestrales de fabrication et les valeurs même de son terroir d’origine. Le lait de vache est alors mélangé avec un champignon appelé le Penicillium Roqueforti, afin d’obtenir le persillage. Vient ensuite l’étape du caillage puis, le travail en cuve (découpage et brassage). La mise en moule se fait à l’aide d’un tapis afin de préserver les grains coiffés, pour aller directement à l’égouttage, où les fromages sont retournés durant 24-48 heures. Une des étapes les plus importantes est le salage qui se fait manuellement au sel sec, puis le piquage, qui consiste à créer des trous à l’aide de grandes aiguilles, pour permettre le développement du bleu. Pour finir : le passage dans les caves d’affinage, où la fourme d’Ambert repose durant vingt-huit jours. Un goût unique aux mille recettes De ce fromage bénéficiant de l’Appellation d’origine contrôlée (AOP) depuis 1972 naissent des milliers de recettes créées par des professionnels de la gastronomie, mais également par des amateurs de la cuisine. Facile d’utilisation, il rayonne aux quatre coins de la planète par son goût de champignon et sous-bois, à la nuance fruitée. En arôme, il dégage une odeur de cave. La fourme d’Ambert s’accorde avec tous types d’aliments, chauds, froids, ou sucrés, salés et même avec des boissons, comme le mélange du cappuccino de betterave et de la fourme d’Ambert. Elle sublime ainsi toutes les créations culinaires : tartelette de fourme d’Ambert aux brocolis et caramel de pommes, magret de canard, rillettes aux noix et à la fourme d’Ambert, crème brûlée à la fourme d’Ambert. ...

Les tables du Grand-Hôtel du Cap-Ferrat, A Four Season Hotel : symboles de l'excellence gastronomique

Le Cap : un restaurant incontournable Dans un cadre enchanteur, ce restaurant accueille ses convives avec une vue imprenable sur la Méditerranée. Proposant des plats faisant honneur aux spécialités du terroir, cette table reste une référence pour les amateurs de cuisine élégante. Elle privilégie des produits frais locaux et donne la priorité à des plats raffinés, à l’instar du rouget rôti précédé de Gamberonis accompagné d’un citron de Menton à l’huile d’olive. Le restaurant dispose, entre autres, d’une cave à vins forte d’une centaine de références nationales et internationales pouvant être dégustées dans un lieu privatif de l’établissement : le Salon des Collections. Le restaurant La Véranda : Raffinement culinaire et décontraction  À mi-chemin entre le décontracté niçois et le luxe monégasque, cet établissement se démarque par son décor alliant sobriété et élégance. Propice aux instants gourmands en journée, en après-midi ou en soirée, cette table propose des plats rappelant les succulences méditerranéennes préparées avec les saveurs d’une nature généreuse. Pour un « afternoon tea » ou pour un brunch, les menus à la carte associent les meilleurs produits locaux, un savoir-faire traditionnels et une touche de l'Italie voisine, avec toujours la Méditerranée en toile de fond. Le Club Dauphin  Ce restaurant situé en bord de mer est le lieu idéal pour se ressourcer autour d’un verre et de plats typiquement méditerranéens : Salades fraîches, viandes grillées, pêche du jour etc. Avec une cuisine à base de produits frais choisis pour leur qualité et pour leurs origines fidèles aux valeurs de l’établissement, le Club Dauphin, à l’ambiance agréable et conviviale, figure parmi les adresses incontournables sur la Côte d'Azur. ...

Le Rabutin, un restaurant traditionnel bourguignon

La Bourgogne-Franche-Comté, une région de bonne cuisine La Bourgogne-Franche-Comté produit des escargots, le bœuf charolais et le poulet de Bresse qui servent à la préparation de plats délicieux comme le filet de bœuf charolais aux champignons et le poulet de Bresse à la crème aux truffes. Le comté, fromage produit en Franche-Comté, est un des plus utilisés dans la cuisine française. La région se veut être une des régions françaises les plus connues en matière de bonne cuisine. Les spécialités régionales sont, entre autres, le bœuf bourguignon et le coq au vin. Elle est aussi connue pour son vignoble qui compte plus de 80 AOC de Bourgogne et celui du Jura qui produit des vins blancs d’appellation Côtes-du-Jura ainsi que des vins jaunes et paillés d’AOC Arbois. Le Rabutin, de père en fils Le Rabutin est un restaurant pizzeria traiteur ouvert en 2000 par M. Funès. Armé d’une quarantaine d’années d’expérience culinaire, il y travaille depuis 2002 avec son fils Mickael. Le restaurant charme par sa proximité avec le château de Bussy-Rabutin et le Muséoparc d’Alésia, dans la ville d’Alise-Sainte-Reine. À l’extérieur de l’établissement, on trouve une terrasse fleurie et ombragée. L’intérieur est magnifiquement décoré selon le gout du propriétaire. En effet Mickael Funès est passionné de Harley Davidson. « À partir du moment où le client entre dans le restaurant, il entre chez moi. Je l’ai décoré sur un thème un peu rétro, un peu Harley », nous explique-t-il. Le restaurant compte aussi un bar et dipose d’une salle des fêtes à proximité, qui accueille des concerts sur invitation et bien d’autres évènements. Une cuisine familiale et traditionnelle bourguignonne  Le Rabutin propose des pizzas à l’andouillette et à l’époisses avec des huiles d’olive méticuleusement sélectionnées et des farines importées d’Italie. Mais le restaurant fait de la cuisine traditionnelle bourguignonne son véritable point d’honneur. Mickael Funès utilise 98 % de produits frais comme le bœuf charolais de Bourgogne, le poulet de Bresse, les betteraves, les concombres, les tomates, les œufs. Il s’assure bien évidemment que ce sont des produits locaux de qualité. « Nous proposons des assiettes très généreuses avec des produits de qualité. Nous servons du label Charolais de Bourgogne », souligne-t-il. Il travaille aussi avec des producteurs locaux bien connus comme Ma très bonne glace. Le Rabutin, c’est aussi un service traiteur avec des buffets campagnards, dont des plateaux de charcuterie issues du Jura, du Doubs et du Morvan. Pour l’entrée, le choix est vaste. Les œufs cocotte à la dijonnaise sont une cuisson d’œufs frais dans une petite cocotte, dans un four à pizza à très haute température. En fin de cuisson, on y rajoute une petite sauce crème à la moutarde à l’ancienne. Il sont servis avec des mouillettes et s’accordent parfaitement avec du vin blanc. La terrine de campagne maison est une terrine de campagne traditionnelle faite à base de gorge de porc et de foies de volaille. Cette entrée est dressée avec une tranche de terrine, un petit bouquet de salade verte à l’huile d’olive bio et au vinaigre balsamique, ainsi que des framboises. Elle s’accorde parfaitement avec le Boisset Bourgogne. Pour le plat principal, la tête de veau traditionnelle est cuisinée avec du veau Charolais de Bourgogne et servie chaude avec sa sauce Gribiche et des pommes vapeur. Les œufs en meurette sont des œufs pochés dans du vin rouge, égouttés, servis sur un crouton de pain aillé et nappés d’une sauce au vin rouge. Ils sont parfaits avec des vins d’appellation Maranges comme les Clos Roussots. La mousse au chocolat, la crème caramel, la crème brulée au grand marnier, la tarte aux fruits de saison et la crème de cassis de Dijon sont les principaux desserts du Rabutin. ...