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LES ARTICLES LES PLUS LUS

Yoran embanner, l’éditeur breton engagé

Pas de doute : Yoran Delacour, le gérant des Éditions Yoran Embanner, est un homme engagé ! Le petit éditeur breton qui voit loin « dans le temps et dans l’espace géographique » défend en effet le projet de bâtir une démocratie bretonne ayant son propre gouvernement. « Et je m’intéresse à tous les peuples en situation similaire qui n’ont pas eu de chance dans l’Histoire. Les nations sans État comme les Alsaciens, les Flamands, les Corses, les Catalans, les Kurdes... En fait, tous ces peuples qui veulent se réapproprier leur Histoire, leur culture, leur langue et leur destin. »  Éditions Yoran Embanner : bâtir une démocratie bretonne Cet engagement transparait dans son catalogue. Une part est consacrée aux essais politiques et aux histoires des régions « qui ne sont jamais neutres. On donne le point de vue des gens du cru ». Yoran Embanner s’est aussi spécialisé dans la publication de dictionnaires de langues peu parlées ou peu connues. Français/roumain, français/lituanien, français/basque, français/gaëlique écossais, français/corse, français/kurde : « Environ 4 dictionnaires sont publiés chaque année en plus de 22 nouveaux livres. »  L’éditeur breton n’oublie pas non plus de rendre hommage à sa région avec plusieurs livres sur le patrimoine, la nature et l’architecture ou même des polars régionaux. À retrouver dans toutes les bonnes librairies ou sur son site Internet. ...

Château Tourteau Chollet: respect du terroir et création de grands vins

« Un engagement à tous les niveaux, où chaque action mise bout à bout finit par compter. » Voilà résumé en quelques mots l’état d’esprit qui anime le Château Tourteau Chollet, niché à Arbanats, dans l’appellation de Graves. L’objectif du Château Tourteau Chollet : se développer autour de grands terroirs en continuant à protéger l’environnement En plus du bannissement des désherbants chimiques, les 63 hectares de vignes du domaine profitent de gestes concrets. Nous pouvons citer, entre autres, la plantation d’un verger pour améliorer le bilan carbone, la suppression des fertilisants chimiques, la suppression d’insecticides grâce à des produits de biocontrôles ou encore la confusion sexuelle. Fin 2019, le Château Tourteau Chollet s’est vu attribuer le label Bee Friendly : un label européen qui distingue les exploitations respectueuses des abeilles et des pollinisateurs. ...

Kitchendiet : quand régime rime avec plaisir, équilibre et fraîcheur

Quand d’autres méthodes font l’apologie de la restriction pour favoriser la perte de poids, Kitchendiet prend le parti de réinvestir le plaisir dans un repas minceur. Élaborés par un chef étoilé à partir de produits frais, ils préservent la saveur et le croquant de ces derniers grâce à une cuisson sous vide à basse température. Des calories réparties de façon rationnelle et le choix entre des recettes variées renforcent la motivation de maintenir le cap sur son objectif poids. Quand faire un régime devient une partie de plaisir « Renouveler l’offre de repas diététiques en proposant des aliments bien construits, bien cuisinés et qui puissent être livrés de manière souple à domicile. » C’est dans un tel esprit que l’enseigne fondée par Vincent Guillet, en 2009, accompagne au quotidien les personnes désireuses de retrouver la ligne. Au cœur de la démarche, le plaisir reprend ses droits à travers une gamme de repas aux apports caloriques contrôlés sans exagération et déclinée en de bonnes recettes concoctées par un deux-étoiles Michelin. Un programme bien structuré, imaginé avec l’éclairage d’une équipe médicale, garantit l’efficacité de la méthode dans la durée. Une gamme de repas minceur pour une vraie prise en charge pondérale Ce qui est bien avec Kitchendiet, c’est que le programme va bien au-delà de la seule problématique de poids. Les recettes et produits proposés prennent en compte des particularités comme les soucis de cholestérol. En quatre, huit ou douze semaines, chacun avance donc, sans prise de tête, vers l’acquisition de nouvelles habitudes alimentaires en accédant à une sélection large de petits déjeuners, plats frais, pains, desserts et collations. Des produits laitiers et une ligne dédiée détox enrichissent l’offre de la maison. En cours de programme, les consultations personnalisées avec une diététicienne permettent l’ancrage du client dans son projet de perte de poids. ...

Cap Marquet : 
le talent d'une équipe dans un cadre unique

Blotti au cœur d’un environnant exceptionnel avec le grand bleu en toile de fond, Cap Marquet est un cocktail de charme, de raffinement et d’art de vivre qui offre à ses clients une cuisine de haute tenue, particulièrement savoureuse et créative. Né d’un coup de cœur de Lou et David Altit pour la beauté naturelle des plages de Cap d'Ail et les alentours, le couple, amoureux et complice, décide en 2004 d’investir pour faire de ce lieu un petit paradis turquoise alliant chic, saveurs et détente. Une cuisine extra-fraîche dans le respect des produits, une atmosphère accueillante et chaleureuse, un service soigné, une équipe soudée, l’amour de la vie, des gens et des voyages … sont le socle de la philosophie de l’établissement. L’histoire d’une cuisine inspirée Pour mener à bien leur projet, le couple fait appel au savoir-faire et au talent du chef Jean-Luc Calista. Ce trio d’enfer partagera joie de vivre et amour de la bonne cuisine pour composer ensemble une carte à tomber. Passionné depuis l'enfance par la cuisine que lui faisait sa « mama » italienne, elle-même chef de métier, le chef n'aime rien autant que de cuisiner les produits en en respectant l'essence, en fonction des arrivages du marché (loup de ligne, daurade, turbot sauvage, Saint-Pierre, sole, homard ...). Son goût pour les associations les plus réussies de produits frais comble les gourmets par ses compositions savoureuses, inédites, aux cuissons parfaitement maitrisées. Parmi les plats cultes du CAP MARQUET figurent notamment le risotto Carnaroli aux 5 légumes, le spaghetti aux fruits de mer ou celle aux homards & asperges, la plancha de calamars, le tempura de gambas, les exceptionnelles poêlées de légumes et bien sùr, les très belles pièces de poissons grillés et leurs accompagnements originaux. Les suggestions du chef proposées chaque jour à l’ardoise sont également des grands moments de cuisine. Un cadre magnifique pour un moment de rêve Avec son lit de sable blanc, le restaurant-lounge Cap Marquet dresse ses murs dans un charme envoutant et un décor unique, à deux pas du magnifique sentier des douaniers du front de mer de Cap D’ail. Avec une capacité d’accueil intérieur et extérieur pouvant recevoir jusqu’à 450 personnes, il se déploie sur de beaux espaces dédiés, flexibles et ouverts, permettant d’accueillir tout type d’événements, privés ou professionnels (mariages, tablées familiales, petite virée en groupe d’amis, anniversaires, soirées d’entreprise, dîners d’affaires, expositions culturelles, manifestations sportives). ...

Afidol : dans l’intimité des huiles d’olive du Midi de la France

De Nice à Marseille, en passant par Perpignan, les oliveraies françaises du Midi, destinées à la production d’huiles recouvrent un petit terroir de 13 départements sur l’arc méditerranéen. Cette limitation territoriale est toutefois compensée par la riche variété d’espèces qui y croissent. On en dénombre plus d’une centaine.    Un petit terroir riche en contrastes                                                                   Les oliviers français, et partant les huiles que l’on en extrait, ont du caractère. Et pour cause ! Les régions de production abritent une centaine de variétés endémiques à l’Hexagone. La tanche, la grossane, la picholine, la salonenque, pour n’en citer que quelques-unes. Certaines de ces variétés ne se rencontrent même qu’à l’échelle de quelques communes. Autre trait distinctif du terroir français, l’importante « sentimentalité autour de l’olivier » pour reprendre les propos d’Alexandra Paris. Les oliviers sont entretenus par des agriculteurs mais aussi par des « oléiculteurs familiaux » dont certains cultivent jusqu’à 300 pieds, juste par passion. La non-homogénéité des bassins oléicoles rajoute aux contrastes qui font les traits du terroir national. Les huit appellations d’origine figurant au répertoire français illustrent cette diversité. Celle-ci se retrouve tant dans les variétés plantées que dans les pratiques de culture. Et c’est dans cette diversité que l’huile d’olive française puise sa fierté. Entre les huiles variétales et les AOP, les spécificités aromatiques des huiles du terroir font l’objet d’une attention soutenue. Mission que s’attachent notamment à faire découvrir aux gourmands comme aux curieux des organismes comme l’Afidol, l’association des professionnels de l’olive en France. Petite échelle de production, grande typicité aromatique La France se distingue par sa production confidentielle qui est annuellement d'environ 5 000 tonnes d’huile d’olive. La consommation à l’échelle nationale avoisine pourtant les 105 000 tonnes. Cette rareté à la source n’altère pas moins la qualité du bien. Loin de là : les variétés concourent à créer une multitude d’arômes et de goûts, caractéristiques protégées par des appellations d’origine, pour certaines huiles. L’huile d’olive de Nice, par exemple, se distingue par ses notes marquées d’amande. Ou encore celle de la Vallée des Baux-de-Provence où dominent l'artichaut et les notes poivrées...  Pour s’y retrouver dans cette large typicité aromatique, les professionnels classent les huiles d’olive françaises en trois familles de goût (subtil, intense, à l'ancienne). Dans chacune d’elles, les déclinaisons sont encore multiples dans les odeurs évoquées comme dans le comportement en bouche du produit. Chacune de ces huiles ayant une affinité particulière avec un plat donné, qu’il soit chaud ou froid, le répertoire de produits laisse finalement place à une immensité de possibles. Pour en savoir plus : huiles-et-olives.fr. ...

Domaine la Rosière : le secret des vins authentiques et sains

Domaine du sud-est de la Drôme, le Domaine la Rosière est situé en plein cœur du Parc Naturel Régional des Baronnies Provençales. Dirigé par un homme entreprenant, Valéry Liotaud, le vignoble produit des vins authentiques en IGP Coteaux-des-Baronnies. Soucieux d’assurer la continuité d’une œuvre familiale qui date de plus de quarante ans, le propriétaire a permis à son domaine d’être régulièrement référencé dans de célèbres guides. Notamment Gilbert et Gaillard, le guide du vin en biodynamie de Mme Evelyne Malnic, il est régulièrement mentionné dans le guide Hachette, mais fait aussi partie de Vignobles et Découvertes, label national d’œnotourisme. Au cœur d’une agriculture biodynamique Les 25 hectares de vignes de ce domaine logé à 700 mètres d’altitude, sont travaillés en biodynamie, et assis sur un terroir argilo-calcaire. La particularité de ce dernier, réside dans la présence de roches calcaires éclatées en surface, et d’argile blanche en sous-sol. L’agriculture biodynamique dont fait usage Valéry Liotaud, exclut l'utilisation de tous produits chimiques.De plus, l’utilisation du calendrier astral est mise en avant à chaque étape des cycles de la vigne. D'autre part, la régénaration du terroir est stimulée des pulvévirsations de préparations à base de plantes, de silice et de bouse de vache. Ceci afin de favoriser l'épanouissement des vignes.  Cette agriculture qui ne peut être pratiquée sans certification bio, possède les normes les plus restrictives de soufre autorisé dans le vin. Et donc, moitié moins qu’en agriculture biologique, et trois fois moins qu’en agriculture conventionnelle. Grâce à ce type d’agriculture particulier et à une implantation méthodique sur des parcelles sélectionnées, le domaine produit des vins authentiques et sans complexe. Les vins du Domaine la Rosière Le savoir-faire du Domaine la Rosière se décline en blancs, rosé et rouges, parfois renforcé par une sélection des meilleures parcelles et un élevage en barrique. Pour les vins blancs, c’est un assemblage de Chardonnay et de Viognier à part égale. Pour le vin rosé, prédominance de Merlot et Grenache avec un peu de Syrah. Concernant les rouges, le premier est un assemblage des quatre cépages du domaine et donc, Merlot, Grenache, Syrah, et Cabernet Sauvignon. Le deuxième est un assemblage de Merlot, Syrah et Cabernet-Sauvignon, ils sont récoltés sur des côteaux particuliers. Pour le cas particulier du troisième, il s'agit d'un mono-cépage de Syrah, issu de la parcelle du vignoble nommé « La Vertue ». Cette vigne qui a été plantée par les parents de Valéry Liotaud en 1970 pour fêter son année de naissance, constitue une cuvée emblématique du domaine. L'attache sentimentale de cette cuvée, perpétuée comme la mémoire du domaine fondé par les parents, s'exprime par la reprise de l'étiquette historique.  Le produit de cette parcelle est le « Syrah La Vertue ». Ce vin à la robe rouge grenat foncé et profond, exprime tout le caractère de la Syrah, par un nez épicé de poivre et de clou de girofle. La bouche charnue et généreuse aux saveurs de vruits rouges confiturés est soutenue par des tanins amples arrondis par l'élevage en barrique. C’est un vin qui se marie bien avec l’agneau des Baronnies et à la charcuterie de caractère. Le Bio’Ronnies rosé, surprend par sa robe très foncée, pareille au rosé d'antan. Il est doté d’un nez épicé et légèrement fruité révélant des notes de grenadine et de safran. En bouche, c’est un mélange fruits-épices tout en équilibre qui s’accorde avec la cuisine exotique et les crustacés. A l’honneur chez les blancs, le Bio’Ronnies blanc, vin frais en bouche et doté d’une minéralité prononcée, il dissimule des notes de pain d'épices et de genêts. Il est un excellent compromis pour les dégustations de poissons et viandes blanches accompagn...

Château de Cabidos :
six siècles de tradition viticole

Les origines du château remontent au XVe siècle, plus précisément en 1419. En ce temps-là, le baron de Trubessé, Arnauton Guilhem du Vignau, découvre pour la première fois Cabidos et tombe sous le charme de ce lieu féérique. Il décide de s’établir sur ces terres et transforme une demeure modeste en château digne de son rang. Très vite, les premières vignes sont plantées et vont donner naissance à un vin blanc de qualité. Au cours de nombreux siècles, les générations qui se sont succédé tenteront de préserver cette tradition viticole. Aujourd’hui, le château et ses vignes font le bonheur de la famille Alday, qui s’est rendue propriétaire des lieux en 2015. Sous l’impulsion de Robert Alday, le domaine Château de Cabidos a acquis assez rapidement une belle réputation, grâce à la qualité et à la finesse de ses vins. Il est vrai que, pour magnifier ses nectars, le maitre des lieux a su s’entourer de spécialistes reconnus dans l’univers du vin comme Jean-Claude Berrouet (éminent œnologue) et Jean Brana (un pilier fort de l’AOC Irouléguy). Un terroir propice au petit manseng Le domaine travaille actuellement sur un vignoble de 9 ha, situé entre le vignoble de Jurançon et le vignoble de Madiran. Là, les vignes sont plantées sur des coteaux bénéficiant d’une exposition sud-est. Elles s’épanouissent sur un terroir argilo-calcaire caillouteux et profitent à cet effet d’un excellent drainage naturel. « Cela permet d’avoir une densité de plantation élevée qui dépasse 5 000 pieds de vigne à l’hectare », souligne Pilla Laborde, directeur administratif et financier du Groupe Alday, détaché au suivi de l’exploitation du Domaine de Cabidos. L’encépagement du domaine Château de Cabidos est composé à 77 % de petit manseng. Il s’agit d’un cépage autochtone des Pyrénées qui se distingue par une forte concentration en sucre ainsi que par une capacité à développer des arômes subtils de fruits confits. « C’est le cépage emblématique de notre vignoble.​ S’il est généralement utilisé en assemblage et pour faire des vins blancs doux, nous l’utilisons pour élaborer des vins blancs monocépages, y compris des blancs secs 100% petit manseng qui sont très appréciés», nous indique-t-on. Le reste de l’encépagement est complété par du chardonnay, du sauvignon et de la syrah. Cette dernière a été récemment introduite dans le vignoble afin de permettre l’élaboration de vin rouge. En route vers le bio La maison opte pour une culture raisonnée et rejette tout apport d’engrais. En outre, l’utilisation de produits chimiques reste limitée. Mais le domaine souhaite aller encore plus loin et a décidé d’entamer sa reconversion vers la viticulture biologique dès 2019. « Une phase de conversion d’un vignoble dure au minimum 3 ans, ce qui veut dire que nos cuvées 2022 seront entièrement biologiques », précise notre interlocuteur. Il est clair que cette reconversion sonne comme une évidence au vu des techniques culturales qui se pratiquent ici de génération en génération. En effet, dans ce vignoble, le gros du travail se fait encore manuellement. À commencer par l’effeuillage ! Une étape cruciale qui vise deux objectifs : diminuer la possibilité de pourriture et permettre aux grappes de bénéficier d’un maximum d’ensoleillement, essentiel pour assurer une bonne maturation. Ensuite, au domaine Château de Cabidos, on continue fièrement de pratiquer les vendanges à l’ancienne.  Celles-ci se font en plusieurs étapes. La première vendange, qui a lieu la dernière semaine de septembre, porte sur le chardonnay, le sauvignon et la syrah. La deuxième étape concerne les vendanges tardives du petit manseng, qui se déroulent vers fin octobre-début novembre. S’enchainent ensuite une succession de vendanges tardives portant sur les jeunes et les vieilles vignes. Bref, toutes les opérations ne prennent fin que début décembre. Côté vinification, le domaine s’est doté d’un chai climatisé ainsi que des ...

Le rhum Compagnie des Indes : une promesse d’authenticité

Cette jeune compagnie se veut être le pionnier de l’authentique en proposant une grande variété de rhums élaborée dans les distilleries parmi les plus prestigieuses. Affectionnés par les consommateurs, les rhums au caractère affirmé de la Compagnie des Indes sont soit le fruit d’assemblages harmonieux entre différentes cuvées de qualité soit de fûts uniques provenant de terroirs de renom tels que la Jamaïque ou la Guyane. Des rhums complexes aux saveurs insoupçonnées « Un rhum au goût de rhum ». Ces propos de Florent Beuchet, gérant et fondateur de cette société, rappellent la noble quête d’honnêteté et d’authenticité dans laquelle il s’est lancé à ses débuts en 2013. C’est en sillonnant les mers, à la manière d’un pirate, qu’il part débusquer sous les tropiques les meilleurs rhums. Sélectionnés par fût, ces derniers sont ensuite assemblés et embouteillés en France ou bien directement embouteillés en France en single cask sans ajout, sans colorant, sans arômes et sans produits chimiques afin de « mettre des vrais rhums représentatifs de leur terroir d’origine en avant », affirme Florent. Riche de son parcours estudiantin en commerce international et de ses expériences dans le domaine des spiritueux, il souhaite partager sa passion en proposant des « rhums authentiques et très aromatiques », continue-t-il. Un plaisir gustatif sans égal En conservant les typicités de chaque terroir, Florent Beuchet mise sur une expérience gustative unique, composée, selon lui, « d’un éventail d’arômes très vaste et distinct selon la distillerie et le pays d’origine ». Les single cask présentés sont ainsi « surprenants », reprend-il. Autre ambassadeur de cette compagnie se trouve le Jamaïca Navy Strength, un rhum puissant, 100% 5 ans d’âge et embouteillé à 57° d’alcool en hommage à l’histoire de la marine britannique. Découvrez, également, le Tricorne, un fort et goûteux rhum blanc issu d’un assemblage unique au monde de rhums provenant des quatre coins du globe. ...

La gastronomie française dans le respect des traditions

Le Pont de l’Ouysse est un héritage familial qui se distingue par une cuisine jalousement conservée dans la tradition et perpétrée de génération en génération. La passion du métier aidant, accentuée par le désir d’aller plus loin dans les études hôtelières, Stéphane et Mathieu, issus de la 5è génération, ont aujourd’hui repris les rênes de ce bel héritage gastronomique familial pour continuer l’aventure. Une cuisine gastronomique de région est privilégiée à laquelle vient s’ajouter des plats d’ailleurs revisités. Une invitation aux plaisirs gustatifs et au dépaysement Dans un style « campagne chic » à l’ambiance cosy, le restaurant Le Pont de l’Ouysse est une  irrésistible invitation à la découverte et aux plaisirs gustatifs. Il offre un cadre aux notes nostalgiques où se marie merveilleusement une profusion de couleurs et de senteurs. Le restaurant est particulièrement pensé pour offrir au lieu, une pointe de romantisme très recherché, tout en laissant opérer la magie. Les clients aiment parcourir ses berges aménagées en jardins et en promenades, afin de gouter avec sérénité, au calme et au dépaysement, dans un décor idéalement fleuri… Un véritable plaisir pour les yeux et pour les sens ! « Nous pouvons y accueillir 60 personnes en salle et 70 personnes en terrasse » précise Mathieu Chambon, maître d’hôtel. Une cuisine locale Le restaurant privilégie les circuits courts en travaillant avec des producteurs locaux. « Nous mettons en valeur les produits régionaux (melon, truffe, agneau, pigeon, fraise, asperge, noix, fromage, foie gras, safran etc…) et nous constituons la carte en fonction des produits de saison » tient à préciser Stéphane Chambon, Chef étoilé. La maison s’attelle également à la préparation de différents plats créatifs et authentiques à partir d’un bouquet de fruits de mer tels que Saint-Jacques ou homard, ceci pour répondre aux besoins de certains clients. Les plats-signatures à l’honneur avec des menus et formules à la carte Parmi les plats-signatures figurent notamment le pied de porc truffé, la crème de pommes de terre, le foie gras Bonne Maman, les queues de langoustines rôties ou encore la pomme de terre à la truffe. Afin de satisfaire toutes les gourmandises, la maison a développé plusieurs formules dont le Menu Belcastel à 92 euros, le Menu des moulins à 60 euros et le Menu du Vieux Pont à 40 euros (servi uniquement le midi excepté le dimanche et les jours fériés). Sur la carte des vins, « nous privilégions plutôt le vin régional (vignobles de Cahors et Bergerac), mais nous proposons également des vins provenant de toutes régions de France » spécifie Mathieu. ...

Alfons Mucha s’affiche à la Maison Bergès-Musée de la Houille Blanche en Isère

A Lancey, petite commune située à 15 km de Grenoble au pied du massif de Belledonne, la Maison Bergès-Musée de la Houille blanche vous accueille depuis 2011 pour vous faire découvrir la personnalité d’Aristide Bergès dont l’action va être décisive dans le développement industriel de la région au début du XXe siècle. Aristide Bergès, un industriel hors du commun … Cet entrepreneur a été un élément moteur du développement industriel dans la région. Au départ, pour faire fonctionner sa papeterie, il met en place des conduites forcées pour capter l’eau dans la montagne. Par la suite il produit de l’électricité et permet à toute la vallée du Grésivaudan de bénéficier de l’éclairage né de cette nouvelle énergie qu’il nomme lui-même la « houille blanche ». … mais aussi un collectionneur d’art Cette maison-musée est également très marquée par l’art. Papiers peints Art nouveau, programme ornemental empreint d’éclectisme, hall d’honneur garni de marbre et de mosaïques, tableaux et dessins de Maurice Bergès, fils cadet d’Aristide, ingénieur et artiste à ses heures perdues, peuvent y être observés. L’exposition temporaire « Alfons Mucha et les Bergès, une amitié » Sous le prisme de l’amitié, l’exposition temporaire sur Alfons Mucha complète toutes les œuvres déjà présentes de l’artiste dans cette maison, comme l’affiche « L’Automatique » créée à partir de « La Rêverie » pour la promotion du papier photographique fabriqué aux papeteries Bergès, des portraits d’Aristide Bergès, des dessus de portes, une série de verres peints, la chambre qu’il occupa pendant ses séjours, des peintures sur toile, des pastels, etc. Sur les 100 m² de l’exposition, vous pourrez découvrir en plus la correspondance entre ce célèbre affichiste tchèque et la famille Bergès, des cartes avec dédicaces, des évocations des œuvres disparues, une vingtaine d’affiches de la Bibliothèque Forney à Paris ainsi que des calendriers publicitaires. ...

Posdcast IFSI Institut Hospitalier Franco-Britannique

Bonjour Madame Benali.   Danielle Benali : Bonjour Emmanuelle ! Pour commencer, vous pourriez nous expliquer ce qu’est l’IFSI ? Danielle Benali : L’Institut de Formation Soin Infirmier est un institut qui a plusieurs formations dans ses cordes. Il y a les formations soin en infirmier, aide-soignant et auxiliaire de puériculture. Pour être précis, votre école s’appelle l’IFSI Britannique Œuvre du Perpétuel Secours. Un nom, qui j’imagine chargé d’histoire, non ? Danielle Benali : Historiquement, l’IFSI ou l’Institut de Formation en Soin Infirmier était et est toujours d’ailleurs sous l’égide de l’Œuvre du Perpétuel Secours. Nous étions rattachés à l’hôpital franco-britannique à Levallois-Perret. En 2019, l’hôpital a été repris par la Fondation Cognacq Jay. Cependant, la fondation n’a pas repris l’Institut de Formation Soin Infirmier. Nous sommes donc devenus un centre de formation indépendant, mais toujours sous l’égide de l’Œuvre du Perpétuel Secours. Nous avons gardé historiquement notre nom d’Institut de Formation Soin Infirmier de l’Institut Hospitalier Franco-Britannique, parce que nous étions rattachés depuis nombreuses années à ce centre hospitalier. Aussi, nous avons gardé des rapports très privilégiés avec l’hôpital franco-britannique à Levallois puisqu’il nous accorde une majorité de place concernant les stages pour nos élèves et nos étudiants. Depuis cette année 2022, nous avons intégré le pôle santé du groupe SOS, plus précisément depuis Juin 2022. Combien d’année d’étude il faut pour être diplômé de ces trois métiers ? Danielle Benali : Pour les infirmiers, c’est toujours 3 ans. Pour les auxiliaires de puériculture, c’est quasiment sur une année avec une rentrée en septembre également et une sortie en juillet de l’année d’après. Pour les aides-soignants, nous avons une rentrée en janvier, pour une sortie en décembre de la même année. Donc, on va voir la prochaine rentrée en Janvier 2023 pour une sortie en Décembre 2023. Ce qui est intéressant dans votre école Madame Benali est que nous nous formons à ces métiers en alternance. Comment cela se passe exactement ? Danielle Benali : Les aides-soignants et les auxiliaires de puériculture ont à peu près un parcours identique. C’est le contenu de formation qui n’est pas pareil. Les lieux de stage sont aussi différents. Ils ont 3 périodes de 5 semaines de stage et un quatrième stage qui est de 7 semaines. Ce dernier correspond à un stage qu’on pourrait parler de pré-professionnel pour qu’ils soient déjà immergés soit dans une structure où ils vont être embauchés, soit pour découvrir une typologie de service et de soin qu’ils n’ont pas pu découvrir jusqu’ici. Pour les infirmiers, ils ont des stages sur les 3 années. Il y a 15 semaines de stage sur la première année, 20 semaines de stage sur la deuxième année et 25 semaines de stage sur la troisième année. Puis, il y a ce qu’on appelle le service sanitaire durant la deuxième année, qui leur permet de faire des actions de prévention. Cela est organisé par l’IFSI. Les étudiants sont répartis au niveau de structure comme la médecine du travail, la médecine scolaire, mais aussi dans les établissements d’hébergement pour les personnes âgées dépendantes, les entreprises et tous ces lieux où on peut faire de la prévention. Et donc pour vos étudiants et élèves un peu plus voyageur, vous avez des partenariats un petit peu partout en Europe avec d’autres écoles. Ils peuvent partir à l’étranger pour continuer leurs études ? Danielle Benali : L’Institut de Formation de l’IHFB (Franco-Britannique) a eu la charte Erasmus depuis de nombreuses années. Cela va faire quasiment une dizaine d’année et nous avons un partenariat avec environ 13 partenaires européens, avec l’Espagne, le Portugal, l’Italie, la Suède, la Belgique. Nous avons également des partenariats internationaux puisque nous avons aussi un partenariat...

Château La Salagre : des vins complexes et puissants

A tout le reste maudit, à la vigne ce terroir ravit D’origine médiévale, le Château La Salagre a hérité son nom d’une histoire tumultueuse entre un suzerain et son vassal.  Selon la légende, du temps des guerres anglaises, le seigneur de Montcuq fut trahi par un de ses vassaux. En représailles et sous ordres du souverain, les terres de ce dernier furent recouvertes de sel et son manoir rasé.  Si le nom de la Salagre (du latin saltunager) est resté, le sel a disparu, peut-être dans le ruisseau la Salègre qui traverse le domaine. Aujourd’hui, cette histoire des plus anecdotiques est le symbole de la force de ce terroir.  La disparition du sel sur ces terres a permis l’expression des cépages merlots, cabernet-sauvignon, sauvignon et sémillon et la complexité des assemblages qu’ils composent. Conversion bio réussie dès 1999  Si la Salagre fut l’un des précurseurs de la viticulture bio à Bergerac, ce fut surtout le premier des châteaux de Bordeaux Vineam à se lancer dans l’aventure.  Avec pas moins de 20 médailles récoltées en 16 ans, cette conversion sera une telle réussite, qu’elle mènera naturellement à celle des châteaux Bourdicotte et Grand-Ferrand en 2010 et Moulin à Vent, Grillon et Rocher Bellevue en 2015.  Donnant naissance à l’un des producteurs bio incontournables de notre région. Une équipe enracinée depuis un quart de siècle Eric et Philippe chaperonnent la Salagre depuis plus d’un quart de siècle : ils ont été témoins des grandes gelées de 1991 et de 2013 et de la conversion des châteaux en bio.  S’ils reconnaissent que le monde viticole a beaucoup évolué autour d’eux en 26 ans, Eric et Philippe en sont conscients, la qualité des vins qu’ils produisent, elle, demeure. ...

Hôtel-restaurant Le Rhul : le charme de la tradition marseillaise

Le Rhul en est aujourd’hui à sa quatrième génération. À sa tête : Gabrielle Galligani et sa sœur Christine Fabre, petites-filles de monsieur Galligani. Passionnée par la restauration, la famille Galligani a su marquer l’histoire de la cuisine en participant à la création de la charte de la bouillabaisse, cette dernière étant le plat traditionnel marseillais à ne surtout pas manquer ! Un cadre idyllique Hôtel trois étoiles entièrement rénové en 2016, Le Rhul possède des chambres au grand confort dotées de terrasses et de balcons, qui donnent vue sur la mer, où se dévoile toute la beauté du sud de la France. « Un lieu propice pour les amoureux, les familles ou les professionnels en déplacement, en quête d’un havre de paix », déclare Gabrielle Galligani. Le Rhul, c’est ensuite une salle de réception, qui donne vue sur la mer face aux îles du Frioul et qui peut accueillir jusqu’à 30 personnes, avec, bien sûr, un menu personnalisé selon les besoins de chacun. Le Rhul, c’est enfin et surtout, un restaurant de qualité au charme atypique dont l’intérieur « ressemble vaguement aux restaurants présents dans les bateaux de croisière ». Très calme et très soignée, la maison propose un cadre épuré et élégant dans lequel chaque convive pourra apprécier un repas avec, pour toile de fond, ce magnifique panorama. La gastronomie méditerranéenne Fort de sa notoriété, Le Rhul est présent dans le guide Michelin. Et ce n’est pas uniquement grâce à la gentillesse de ses employés « dont certains sont là depuis plus d’une vingtaine d’années », nous souffle-t-on. La maison doit sa réputation à sa cuisine ensoleillée. Une carte complète où la haute gastronomie du Sud se présente sous différents aspects, sans oublier la carte des vins qui, représentant les grandes régions de France, contribue à faire la différence. Le menu parfait commence par une assiette de supions frits à la provençale, avant de continuer sur la fameuse bouillabaisse, spécialité de la maison, et finir par le chariot de pâtisseries maison (baba au rhum, mille-feuille maison, gâteau au chocolat blanc et spéculos…). ...

Une cuisine de produits frais et locaux

Situé à proximité immédiate des quais de Saône, le restaurant Histoire sans faim jouit d’une situation géographique privilégiée. Installé sur l’une des plus belles places de Rochetaillée-sur-Saône, il offre un décor empreint d’élégance et de convivialité. Sur le mur extérieur de la maison trône une fresque représentant une voiture d’époque qui, en plus d’attirer l’attention, soulève également de nombreuses questions. Passionné d’automobile, Clément Lattier a voulu, par ce décor symbolique, associer sa passion à celle du fameux pilote lyonnais François Lecot, qui du 22 juillet 1935 au 26 juillet 1936 a parcouru 400 000 km au départ de Rochetaillée à bord d’une traction « 11 AL ».  Une cuisine de caractère à travers une carte séduisante Histoire sans faim, c’est aussi une cuisine de caractère qui, en plus de mettre la tradition à l’honneur, affiche ouvertement sa personnalité. À travers une carte de vins séduisante et un menu à la carte particulièrement gourmand, le restaurant met les bouchées doubles pour satisfaire même les plus exigeants. Mettez-vous en appétit avec sa salade de poulpe et de thon frais des Maldives avant de continuer avec son duo de gambas et de rouget à l’huile d’olive et son feuilleté d’épinards au piment oiseau. Finissez sur une note de douceur avec ses fameux melons en smoothie ou encore son mojito spécial à base de vacherin avec une sensation en bouche très agréable. ...

L'Absinthe Café : cuisine gastronomique revisitée

Installé en plein centre de Saint-Étienne, non loin de l’intersection de la rue Léon Nautin et celle des Martyrs-de-Vingré, l’Absinthe Café est le lieu d’une cuisine moderne, originale, aux inspirations thaïlandaises et japonaises. Le propriétaire des lieux David Durand, et son associé et chef Thomas Jacoud, ont fait de ce café de quartier piéton, une adresse de dégustation gastronomique attirant du beau monde.Les convives de passage profitent ici de plats revisités aussi succulents les uns que les autres. Des plats originaux et variés Dans cet univers culinaire, les hôtes prennent placent à des tables, n’attendant plus que les douceurs élaborées aux fourneaux par Thomas Jacoud. Ce chef qui est passé par une école hôtelière traditionnelle, des stages dans de belles maisons gastronomiques et restaurants étoilés, orchestre avec soin une cuisine originale qui change au fil des saisons, avec mise en avant des produits du terroir stéphanois. La maison propose à cet effet, des plats signatures tels que la tarte fine de morilles au parmesan et à l’huile de truffes comme entrée, ou encore le filet de bœuf français et son jus, pommes dauphines maison comme plat principal. Ce dernier est une interprétation du classique bœuf bourguignon. Il est fait à base de bœuf mijoté longtemps à feu doux pour donner une viande compotée à la texture effilochée, tendre et fondante en bouche, accompagnée de lardons et d’oignons. Des bouchées revisitées sous la forme de makis de bœuf bourguignon. Pour la garniture, en guise d’algues qui rappellent l’inspiration du chef pour la cuisine japonaise, des spaghettis de carotte. La composition forme un ensemble original avec au centre du hachis de bœuf accompagné de lardons et d’oignons. Des makis servis avec des pommes dauphines. Parmi les desserts signatures, le « croustillant de marron meringué ». Ce dessert est orchestré à partir d’une pâte à langue de chat très fine dans laquelle on met une mousse de marron. Le biscuit est ensuite roulé dans la meringue italienne, puis dans un craquant au praliné. Les clients apprécient d’autres délices comme « La minute de saumon » qui est un plat du midi reflétant l’identité de l’Absinthe Café. Ce dernier est élaboré avec un saumon levé et finement découpé comme un carpaccio qu’on étale dans une assiette, puis passé au four quelques minutes pour être mi-cuit. Le tout est recouvert d’une sauce beurre d’aromate composée à partir d’échalotes, de citron vert, de sauce soja et beurre noisette. Egalement à la carte, des recettes asiatiques comme le tataki, ou encore le dashi qui est un potage japonais. Une carte des vins raffinée L’absinthe est la boisson phare de cette généreuse adresse aux allures de bar, et à l’ambiance décontractée. Plusieurs variétés de ce spiritueux y sont servies, toujours de manière classique à l’aide de grandes et magnifiques fontaines, dans des verres traditionnels accompagnés d’une cuillère et de sucre. Les convives peuvent ainsi profiter d’une dégustation d’absinthe classique, de grande absinthe, d’absinthe parisienne, fait Suisse, et même à la française pour ceux qui exige la qualité. A cet effet, nous avons des noms tels que la Fée XS Suisse, l’Absinthe Pernod, et la Fée Parisienne. Egalement des vins rouges à la carte avec l’AOC Gigondas Saint-Joseph, qui se marie bien avec le filet de bœuf français et son jus, pommes dauphines maison. L’élaboration de celui-ci passe par un encépagement au Syrah, roussanne ou marsanne. Équilibré et élégant, c’est un vin fin à la robe pourpre soutenue, dégageant des senteurs de cassis et framboise évoluant vers une note de réglisse et de cuir. ...

Huilerie Beaujolaise : artisan-moulinier

Situé au cœur du Beaujolais, ce moulin bicentenaire a repris vie par le plus grand des hasards. Fruit d’un heureux concours de circonstances, qui a pourtant permis le début d’une très belle aventure familiale, il est aujourd’hui à la tête de plusieurs variétés d’huiles qui se valent les unes autant que les autres. Il était une fois une quincaillerie… Loin d’être banale, l’histoire de l’Huilerie Beaujolaise a débuté en 1981, à l’époque où Nedda et Dario Montegottero (les parents de Jean-Marc) ont fait l’acquisition d’une ancienne quincaillerie dont l’arrière-boutique abritait les vestiges d’un moulin à huile datant du XIXe siècle. Se lançant un véritable défi, Jean-Marc a voulu insuffler une seconde jeunesse à cet atelier providentiel qui est resté près de sept ans dans son état originel.   De la passion au savoir-faire Afin d’acquérir le savoir-faire indispensable à l’activité, Jean-Marc s’est formé auprès du célèbre huilier Gustave Pascal en Isère pour apprendre toutes les ficelles du métier et s’est animé d’une véritable passion. Il s’est ensuite lancé dans une première activité saisonnière articulée autour du travail à façon en 1982. Il faut dire qu’à cette époque, les habitants du Beaujolais avaient pour habitude de venir apporter les matières premières de leur choix pour ensuite repartir avec de l’huile, sous forme de produit fini. Avec l’aide de son père Dario, mécanicien de métier, la rénovation du matériel et des locaux n’ont jamais été entre d’aussi bonnes mains. En cinq ans, cette activité saisonnière locale a cédé sa place à une activité à plein-temps et a gagné progressivement du terrain à l’échelle internationale. Les best-sellers des huiles vierges Authentique producteur d’huiles vierges, l’Huilerie Beaujolaise propose trois gammes de produits. Dans la catégorie des huiles vierges de fruits secs et graines, l’huile vierge de noisette est une huile très prisée des clients ; dans la catégorie des huiles de macération, l’huile d’olive et de cèpes se distingue particulièrement du lot. Quant à la gamme des vinaigres de fruits, nul ne peut rester indifférent au vinaigre de calamansi. ...

Champagne Charles Mignon :
« quand un moment devient une expérience inoubliable »

Inscrit parmi les maisons de champagne françaises, le domaine Charles Mignon doit sa renommée à son dévouement à la qualité. Il n’exploite que les meilleurs cépages de la région, lesquels sont issus de ses propres vignobles dans la vallée de la Marne et de la Côte de Blancs, ou fournis par une cinquantaine de domaines partenaires. Des cuvées au goût du terroir Nées de la haute tradition champenoise, les sept cuvées de la maison Charles Mignon ont été cultivées avec passion, assemblées avec talent et manipulées avec rigueur. Un véritable modèle d’excellence. Le Premium Reserve Brut Premier Cru témoigne parfaitement de l’esprit de la maison. Ici, la puissance du pinot noir côtoie l’élégance du chardonnay pour donner un champagne aristocrate qui s’avère être une parfaite entrée en matière. La minéralité et la pureté sont à l’honneur, faisant le bonheur des amateurs. La cuvée Comte de Marne Brut Grand Cru mettra les épicuriens dans tous leurs états. Elle est faite de 55 % de pinot noir et de 45 % de chardonnay, les meilleurs cépages issus de terroirs classés Grand Cru. Riche et complexe, ce vin aux arômes puissants exprime la générosité de la nature. Cette cuvée trouvera harmonieusement une place à côté des mets raffinés tels que le foie gras poêlé ou les noix de Saint-Jacques. Découvrir le domaine dans la convivialité Le domaine Charles Mignon a également mis en place toute une structure à travers laquelle il invite à découvrir l’univers champenois. Une visite personnalisable est proposée au domaine, au cours de laquelle Manon Mignon, la fille de Bruno Mignon, partage ce fascinant monde avec ses convives. Elle se plaît à expliquer l’élaboration du champagne et à répondre aux éventuelles questions, le tout dans une ambiance familiale et chaleureuse. La famille prône également les mérites de la région à travers une exposition et un film mettant en scène la beauté du paysage, les machines utilisées et la méthode d’élaboration des champagnes. Afin d’octroyer une touche pétillante à la visite et aux moments de découverte, les convives sont invités à déguster les trésors de la maison. ...

Absolutely French : apprendre le français autrement pour réussir sa vie d’expatrié

Favoriser la double carrière dans les couples expatriés, tel est l’objectif que s’est fixé Absolutely French. Cette startup leur offre un vrai coup de pouce. Comment ? Grâce à une formation de français, qui propose une approche à la fois ludique et conviviale aussi bien de la langue que de la culture. Conjoint.e d’expatrié.e Ayant été conjointe d’expatrié dans 6 pays différents, Armelle Perben, fondatrice d’Absolutely French, sait mieux que quiconque les conséquences qu’impliquent une telle situation sur la carrière professionnelle. « Dans la grande majorité des cas, ce sont presque toujours les femmes qui sacrifient leur carrière afin de suivre leur mari », explique-t-elle. Une fois arrivées à destination, ces dernières rencontrent ensuite énormément de difficultés pour décrocher un emploi. Si, finalement, elles y parviennent, le poste proposé ne correspond ni à leurs études ni à leurs expériences professionnelles. C’est en partie pour tenter de corriger cette situation qu’Armelle Perben crée Absolutely French en 2015. Pédagogie active La startup élabore les cours des français en fonction des besoins des conjoints. Ici, la pédagogie se veut être active : les participants évoluent dans des situations réelles qui les incitent à échanger directement avec les locuteurs natifs. « Nous les amenons au marché et ils font eux-mêmes les courses, cela leur permet, par exemple, de travailler les outils linguistiques servant à exprimer la quantité ou les chiffres », nous indique-t-on. Après le marché, tout le monde se retrouve ensuite en cuisine. Évidemment, les apprentis en profitent pour apprendre quelques notions grammaticales tout en cuisinant. Il est vrai qu’avec Absolutely French les apprenants n’ont pas le temps de s’ennuyer ! Et c’est justement le but recherché, puisque la startup se sert expressément des jeux comme leviers d’apprentissage. Partir à la découverte de Paris à travers des jeux de pistes, simuler un entretien d’embauche, visiter des lieux importants comme la mairie ou la poste… Quelle que soit l’activité proposée, celle-ci est toujours présentée de manière ludique. Les formations intègrent également les informations jugées utiles au quotidien. « Quand ils arrivent en France, beaucoup d’étrangers ne savent pas trier les déchets ou quel numéro composer pour appeler les services publics », rapporte notre interlocutrice. Projet de vie Afin de favoriser l’intégration des expatriés, Absolutely French les assiste et les accompagne dans leur projet de vie. Une mise au point portant sur l’avancement du projet ou sur les difficultés rencontrées est réalisée régulièrement. « Nous leur donnons des informations sur une école ou bien sur un travail qu’ils souhaitent faire. » Pour aller plus loin, Absolutely French intervient même sur le plan relationnel, en aidant les apprenants à développer leurs réseaux d’amis grâce au Club Absolutely. Régulièrement, des évènements sont organisés pour que les expats puissent se rencontrer dans une ambiance conviviale et partager leurs expériences. ...

Distillerie Metté : eaux-de-vie et liqueurs à l’alsacienne

La distillerie a été fondée par Jean-Paul Metté dans les années 60. Autodidacte, il a appris les ficelles du métier au contact de l’un de ses voisins distillateurs. En 1985, il prend sous son aile le jeune Philippe Traber, son filleul, pour le former à son art. En 1997, à la suite d'ennuis de santé, Jean-Paul cède son affaire aux mains désormais expertes de Philippe et de son épouse Nathalie. Actuellement, la relève est assurée par Timothée et Mathieu, respectivement fils et neveu de Philippe. Le choix de la qualité Bien plus qu’une ligne de conduite, la qualité est une devise pour la distillerie Metté. Et c’est pourquoi la maison a toujours voulu préserver sa taille humaine tout en conservant les anciens procédés artisanaux alsaciens. Parmi les 87 types d’eaux-de-vie et 28 sortes de liqueurs fabriquées par la maison, la « Poire Williams » est celle parmi les incontournables. « Dans la bouche, elle est vraiment exceptionnelle. On a l’impression de croquer dans le fruit », s’enflamme Nathalie à son évocation. Toujours à la recherche de nouveaux produits, la distillerie Metté a lancé FASS, une collection de trois eaux-de-vie de caractère, avec des promesses d'expérience en bouche allant de soyeuse à franche.   ...

Lieu de convivialité et de gourmandise à Saint-Maur-des-Fossés

Dans le but de séduire les épicuriens, le restaurant O Bistrot mise sur un cadre contemporain et original, la combinaison parfaite pour générer une ambiance cosy, conviviale et chaleureuse. On lui prête souvent un style néo-pub avec un décor teinté d’un esprit vintage faisant tout son charme. Toute la particularité de l’établissement repose aussi sur la présence de sa terrasse, ce qui est rare dans les environs.   Une cuisine française bistronomique O Bistrot a bâti sa notoriété sur sa cuisine française bistronomique à ranger dans les registres « fait maison » et « de saison ». Les produits du terroir sont joliment mis en scène dans les assiettes et mettent en valeur les spécialités régionales. Dans une volonté de satisfaire tous les goûts et toutes les envies, des plats végétariens ou sans gluten sont également servis. Parmi les mets ayant fait la notoriété de l’établissement, figure le foie gras de canard et sa confiture aux mendiants, une entrée conjuguant à la perfection le fondant du foie gras et l’onctuosité de la confiture pour ouvrir l’appétit des fins gourmets. Dans le registre des plats, la belle entrecôte grillée accompagnée d’une sauce béarnaise promet de faire redécouvrir le plaisir de la table. Pour finir en beauté ce mélodieux repas, rien de tel que le riz au lait « Grand-Mère ». Nacré, soyeux, frais… autant de qualificatifs à associer à ce dessert à la fois crémeux et onctueux. Une carte de vins très variée O Bistrot propose une carte de vins se voulant éclectique, tout en privilégiant toutes les sous-régions de France. Ainsi, dans la liste des références qui font le plus d’adeptes s’inscrivent le Chorey-les-Beaunes de Bourgogne, le Haut-Médoc de Bordeaux ou encore Les Creisses de l’Herault, Domaine de Montcalmès Coteaux du Languedoc, La Réserve d’O « Huissez O » Terrases du Larzac, Terrassses d’Elise et autres Condrieu, etc, sans oublier une sélection de vins étrangers. ...

La Maison Lefèvre : une cuisine inventive pour surprendre les papilles

Depuis 2012, une nouvelle gérance a investi les lieux. L’on parle ici d’Estelle Sidoni qui a reçu le titre d’Hôtesse de l’année 2018 par l’illustre guide Gault & Millau. Estelle Sidoni a offert un véritable bain de jouvence à ce lieu d’exception tout en veillant à conserver son esprit et son histoire. La salle est lumineuse, respire une ambiance décontractée chic, et à l’extérieur se trouve une belle terrasse, idéale pour profiter du climat agréable des beaux jours estivaux.   Une carte, une signature Avec le très talentueux David Formica aux manettes, La Maison Lefèvre peut librement se permettre d’innover, d’apporter une petite fantaisie, et d’imposer sa marque de fabrique dans les assiettes. La carte propose entrées, plats et desserts avec une déclinaison en menu végétarien. En entrée, l'araignée de mer décortiquée accompagnée de sa sauce mayonnaise à la clémentine et oignon cébette, coulis de mâche, révèle toute la délicatesse d’un mélange improbable de saveurs en bouche. Les clients enchaînent ensuite sur une autre découverte gourmande, à l’instar du bar snacké, compression parmentière aux algues, arrosé d’un bon jus de coquillage, « c’est un plat à contraste, on a un beau relief dans l’assiette et  on y retrouve beaucoup de peps », renchérit Estelle Sidoni. L’on se laisse aussi séduire par le bœuf black angus en filet, fumé minute au romarin et au thym, trio de canelon parmentier, jus au confit d’ail noir, un vrai délice. Pour terminer sur cette partition de saveurs, La Maison Lefèvre propose des desserts succulents, au nom évocateur et qui sont élaborés par deux pâtissiers bourrés de créativité. Le dessert « Ceci n’est pas un magnum » est ainsi un parfait glacé au chocolat noir 70 % avec une petite tuile au grué de cacao, agrémenté par une sauce chocolat chaud au piment d’Espelette. « On essaye d’aller plus loin dans la proposition des desserts, en apportant notre petit grain de sable qui va faire la différence », continue-t-elle. Et que dire de son fameux délice aux agrumes, accompagné de son parfait glacé au Yuzu et biscuit orange sanguine, croustillant noisette et chantilly au poivre de Sichuan. Quant aux menus, ils se déclinent en trois, dont un menu lunch servi à midi et qui change chaque semaine, au gré des produits du marché et de l’inspiration du Chef. Le menu Lefèvre et le menu Saveurs, servis respectivement en quatre et cinq services, offrent un beau panel de plats pour découvrir la cuisine du Chef, ponctuée par une once de tendance méditerranéenne. Une démarche locavore « On travaille de façon saisonnière, notre carte change quatre fois par an, comme les saisons » pour reprendre les mots de notre interlocutrice. Pour se procurer les produits frais et de saison, notamment en fruits et légumes, La Maison Lefèvre travaille ainsi avec un jardin solidaire nommé Kalendula situé à Esch-sur-Alzette. « On est sûr d’avoir des produits bio et on raccourcit aussi le trajet, le côté local c’est important », explique celle qui s’engage le plus possible dans une démarche écoresponsable. Côté vins, l’on retrouve cette même volonté de travailler avec des producteurs engagés bio. La carte compte une centaine de références et privilégie les vins naturels et les vins bio, locaux mais aussi des vins français. Ici, les grandes appellations ne figurent pas dans la sélection, laissant la place aux vins signés de petits producteurs du pays « dans un rapport qualité-prix qui est honnête ». Parmi eux, les vins biologiques certifiés Ecocert du Domaine Agarrus intriguent, avec sa gamme de cuvées  au nom un peu décalé. L’on cite en rouge « L’insoumis » 100 % carignan pour accompagner viande rouge et charcuterie, ou « La vigne du facteur », un assemblage fruité de carignan, grenache et syrah. ...

Restaurant T’U : se laisser surprendre par les saveurs thaï à travers une carte évolutive

Si vous passez par le 7e arrondissement de Paris, cette adresse est une halte obligatoire. Avec sa petite terrasse extérieure, le restaurant T’U offre une vue sur le Grand Palais de l’autre côté de la Seine. Idéal pour savourer la salade King Crab, spécialité de la maison, ou siroter tranquillement un royal thaï tea avec des amis. À l’intérieur, on baigne dans un décor luxueux signé Pierre-Yves Rochon. Les lumières tamisées mettent joliment en valeur les matières nobles, conférant au lieu un cachet intimiste et sophistiqué. Des produits de premier choix et du fait-maison Le chef Khoï Vu propose une gastronomie d’inspiration franco-thaïlandaise. Il concocte une cuisine authentique, entièrement faite maison, élaborée avec les produits du marché et qui varie selon les saisons. Ici, le bonheur a un nom : brochettes de poulet sauce satay, tataki de thon « Albacore », tigre qui pleure ou cabillaud au galanga et feuille de lime. Et la carte n’a pas fini de surprendre. L’on cite les incontournables dimsum, raviolis et nems maison. Mais aussi le wok de bœuf au basilic ou encore le poulet fermier au curry vert, bambou et basilic thaï pour une explosion de saveurs en bouche. Sans oublier les douceurs sucrées comme la crème glacée au gingembre confit ou la tarte fine aux figues rôties. La consommation de thé étant un art de vivre en Thailande, le restaurant emmène également à la découverte des thés du pays. Thé bleu turquoise aux arômes floraux de lys et d’orchidée, thé vert de Chine aux fleurs de jasmin ou thé noir Yunnan impérial sont proposés par la maison. Une nouvelle carte À chaque saison, la carte se renouvelle. En guise d’entrée, les clients choisiront entre la soupe de crevettes à la citronnelle, un assortiment de dim sum et de raviolis (6 pièces) et un tartare de saumon aux herbes thaï. Côté plats, le chef invite à déguster les fameux calamars sautés, le Phad Thai Gai et le Black Cod accompagné de sa salade de wakamé. Si le choix est encore difficile, pourquoi ne pas se laisser séduire par une assiette dégustation à 26 € ? Bon à savoir : le chef choisit uniquement des viandes d’origine française ou issue de l’Union européenne, et des poissons sauvages ou labellisés « AB ». Pour finir en apothéose, les mini-nems de choco ou les glaces aux fruits de saison feront leur petit effet chez les gourmets.   ...

Au pays de Dieulefit-Bourdeaux : une escapade gourmande en Drôme Provençale

Les 21 villages qui composent le pays de Dieulefit-Bourdeaux s’épanouissent dans l’agriculture et l’élevage ainsi que dans la fabrication artisanale. Le fromage le picodon, les plantes aromatiques, les arbres fruitiers, les truffes, les vins, sont un aperçu de la richesse de ses terres, et invitent à l’explorer davantage. Ici, le bien-vivre au sein d’une nature généreuse rime avec plaisir gustatif authentique. Le fromage picodon, un produit emblématique du terroir Le picodon classé AOP est un fromage de chèvre, qui fait l’objet d’un véritable culte en Drôme Provençale. Gâtées par un paysage escarpé et un climat aride bercé sous le ciel de la Méditerranée, les chèvres donnent le meilleur de leur lait afin d’obtenir ce produit au goût corsé et sensiblement piquant. Quant à l’élaboration du picodon, Dieulefit a développé une méthode particulière inspirée par un savoir-faire ancestral qui remonte au XIVe siècle. Le lait de chèvre entier subit deux phases d’affinage prolongé avant de finir en emprésurage, d’une durée qui peut atteindre trois mois selon le goût recherché. Les exploitations caprines localisées à Pracoutel, à Bézaudun-sur-Bîne et à Vesc, produisent également d’autres fromages traditionnels, tels les tommes pressées, les crémeux et les faisselles. En outre, des visites pédagogiques s’articulant autour de l’élevage et de l’agriculture biologique se présentent à ceux qui veulent s’immerger dans ces fermes familiales, dont certaines sont labellisées « Secret de terroir ». Terre de vignoble par excellence Avec la Drôme 1er département bio de France, la Drôme Provençale est aussi le berceau de nombreux domaines viticoles. En 2014, sept prestataires sur le territoire Dieulefit-Bourdeaux ont été labellisés « Vignobles & Découvertes »  grâce à la qualité d’accueil dans leur vignoble. La région travaille essentiellement en appellation AOC Grignan-les-Adhémar, obtenue à partir des cépages traditionnels du terroir : syrah, grenache viognier,  marsanne et carignan. Déclinées en rouge, blanc et rosé, les cuvées présentent un contraste de personnalité, allant du rouge à fort caractère au blanc léger et fruité. En outre, l’Office du Tourisme de Dieulefit invite à découvrir son patrimoine viticole en proposant des visites guidées des domaines, accompagnées d’une dégustation de vins. Lors de ces séjours œnologiques, on peut ressentir la passion et l’attachement des vignerons à l’environnement, les poussant à évoluer vers une viticulture raisonnée et biologique. Nul besoin aussi d'avoir un odorat bien aiguisé, entrez dans un bistrot discret, approchez-vous d'un étal de la place du marché, vous devinerez le parfum enivrant, subtil et sensuel de la truffe, autre produit phare du pays de Dieulefit-Bourdeaux. ...

Château Cadet-Bon, un trésor d’appellation Saint-Émilion

Les vins d’appellation AOC Saint-Émilion sont produits dans l’une des 9 communes que comporte l’appellation. Le vignoble couvre une surface de 5 400 ha encépagé de 60% de Merlot, de 30% de Cabernet Francs et de 10 % de Cabernet Sauvignon. Les terroirs sont diversifiés, le climat est doux, tempéré, la pluviométrie moyenne annuelle est de 800mm/an. Mis en place depuis 1955, le classement regroupe les Grands Crus classés A et B, sa plus haute distinction et les Grands Crus classés, sa seconde.  L’AOC Saint-Émilion Grand Cru est un vin rouge produit sur 4030 ha de sols principalement argilo-calcaire et sablo-argileux. Comparativement aux vins de l’appellation AOC Saint-Émilion, la production des Grands Crus respecte des conditions de production plus rigoureuses. Son élevage en barrique, par exemple, doit durer plus d’un an et sa production ne doit pas excéder 40 hl/ha. Les vins de Saint-Émilion, d’une robe rubis et aux arômes fruités allient puissance et élégance. Le Château Cadet-Bon, une belle histoire Jadis orthographié Cadet-Pinaud-Bon, le domaine Cadet-Bon fut fondé au XIVe siècle par Jacques Bon dit le Cadet, descendant d’une famille bourgeoise de Saint-Émilion.  Le domaine est devenu depuis 2001 la propriété de Guy Richard, un passionné de vin, qui y a effectué d’énormes travaux pour améliorer en permanence la qualité des vins. Ses efforts ont été récompensés en 2012 par le classement officiel du domaine comme Grand Cru Classé. Le Château Cadet-Bon et ses cuvées Le vignoble se répartit entre 80% de Merlot et 20% de Cabernet Franc. Il se situe sur la butte dite du Cadet, au Nord du village, avec un terroir argilo-calcaire. Il bénéficie d’un climat doux et tempéré. Pour le respect de la nature et pour la qualité des raisins, le domaine pratique une agriculture raisonnée avec comme objectif une future conversion en agriculture biologique. La culture de la vigne et la vinification se font sous le conseil avisé de Stéphane Derenoncourt, un consultant mondialement connu. Concernant la production, les vendanges sont réalisées manuellement. Elles commencent quand les raisins atteignent leur maturité optimale. « On accorde une grande importance aux dates de vendanges, nous attendons la parfaite maturité pour chacune de nos parcelles. » insiste Guy Richard, le propriétaire. La vinification se fait de façon traditionnelle, dans de petites cuves thermorégulées. L’élevage se fait en barriques de chêne français pendant 13 à 15 mois. Le domaine élabore deux vins différents : Le Château Cadet-Bon Grand Cru Classé et le Château vin Moulin du Cadet, Grand Cru. Le Château Cadet-Bon, un vin ample et généreux C’est le premier vin du domaine. A l’œil, le vin se présente sous une couleur intense et profonde,puis au nez, le Château Cadet-Bon se caractérise par des arômes complexes où se mêlent à la fois des notes de fruits noirs et quelques touches florales.  Il se distingue par une bouche veloutée en attaque et qui laisse place à une magnifique fraîcheur et une belle longueur, ce qui en fait un grand vin de garde. Guy Richard nous confie qu’il s’accorde parfaitement avec une viande rouge ou même du gibier. Le Château Vieux Moulin du Cadet est un vin sur le fruit. D’une robe rubis et brillante, le Château Vieux Moulin du Cadet nous offre des notes de petits fruits acidulés. En bouche, il charme par son côté gourmand et croquant qui accompagne parfaitement des viandes rouges ou même un plateau de charcuterie. Les clients peuvent acheter directement en ligne ou physiquement au château. De plus, les vins sont disponibles dans plusieurs restaurants de Saint-Émilion. ...