L’Immersive Learning pour accompagner les parents et professionnels de l’éducation : découvrez pourquoi Harvard a choisi de s’appuyer sur l’expertise d’Uptale.
Reach Every Reader : un programme mondial pour faciliter l'alphabétisation
À l’origine du projet Reach Every Reader : le constat qu’une partie des enseignants et des parents sont démunis face aux difficultés ressenties par certains enfants pour apprendre à lire. Et cela malgré les nombreux outils à disposition.
L’objectif est donc d’offrir une aide aux adultes pour accompagner ces enfants. Pour cela, les acteurs de ce projet (la fondation Chan Zuckerberg, Harvard et le MIT) ont choisi d'utiliser Uptale pour créer des expériences immersives et pédagogiques en Réalité Virtuelle. Les raisons de ce choix : sa prise en main facile et immédiate offrant une plus grande autonomie aux professeurs et étudiants.
Un exemple concret : l'utilisateur se retrouve immergé dans un environnement connu où sont révélés des supports simples d'apprentissage de la lecture (liste de course, calendrier, etc.) ; favorisant ainsi une prise de conscience et un changement de comportement vis à vis des réflexes à avoir pour favoriser l'apprentissage de la lecture.
La réalité virtuelle au service des entreprises et universités
Nous connaissions la réalité virtuelle dans les jeux vidéo. Aujourd’hui, cette technologie est en train de transformer complètement le marché de la formation.
Fini l’apprentissage passif. Grâce à l’Immersive Learning, il est possible de s’immerger complètement dans un environnement interactif et pédagogique.
De nombreux usages sont possibles: onboarding de nouveaux arrivants, formation sécurité, gestes techniques, découverte de la réalité du terrain, gestion de scénarii clients complexes.
Uptale : une start-up qui a déjà déployé sa solution chez de nombreux grands comptes
Fondée en 2016 par quatre amis venant de différents univers (informatique, formation et communication), Uptale a réussi à croitre rapidement. Aujourd’hui, elle dispose d'une équipe d'une quinzaine de personnes qui s’occupent au quotidien de créer de nouveaux modules et de former leurs clients à cette solution innovante. Parmi les grands noms qui leur ont déjà fait confiance : Danone, Randstad, Disney ou PSA. Des débuts très prometteurs pour cette jeune start-up.
Uptale continue de perfectionner le réalisme des expériences et sentiments d'immersion en branchant sa plateforme à des services cognitifs (reconnaissance vocale, prise de décision, détection d'émotion) pour offrir aux professionnels de la formation une modalité pédagogique unique.
Reach Every Reader s’inscrit parfaitement dans cette démarche.
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La formation au diplôme d'État d'infirmier par l'apprentissage était jusque-là, pour des raisons historiques, rattachée au CFA du Campus des Métiers de Joué-lès-Tours. En transférant ce diplôme au CFA SMS Centre-Val de Loire, l'intégration du sanitaire et du social prend tout son sens, conformément aux souhaits de la Branche associative, sanitaire, sociale et médico-sociale à but non lucratif (BASS), qui labellise un CFA sanitaire et social par région.
Une offre de formation ajustée pour les cinq ans à venir
Dans le cadre du renouvellement conventionnel, chaque CFA s'engage avec la Région Centre-Val de Loire pour la période 2017-2022. C'est l'occasion de faire le point sur l'offre de formation, en la redéfinissant, en l'adaptant en fonction des besoins sur les territoires. Une meilleure articulation avec le médico-social ne peut être que bienvenue, car la frontière est souvent ténue entre les besoins sur le plan strictement sanitaire et la prise en compte des problématiques concernant les personnes âgées dépendantes, l'aide à domicile ou le handicap.
Devenir infirmier par l'apprentissage
C'est possible depuis 2010, mais cette voie d'accès au diplôme d'État n'est pas assez connue. Compte tenu de la durée des études (trois ans) et des 1 800 heures de cours magistraux et travaux dirigés, la formation en apprentissage est actuellement centrée sur la troisième année du cursus.
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Pour améliorer la productivité et la motivation de vos salariés, la FFEPGV organise pour vous des sessions sportives adaptées.
La FFEPGV : le Sport Santé à la portée de tous
Fondée en 1888, la FFEPGV a la volonté de rendre accessible à toutes les personnes qui le désirent, la pratique d’une activité physique pour se maintenir en bonne santé. Pour ce faire, elle se base sur un réseau national de plus de 6000 clubs partout en France et de nombreux animateurs sportifs capables d’intervenir aussi bien en entreprise qu’à l’extérieur.
En se caractérisant comme une fédération multiactivité non compétitive, elle fait le nécessaire pour promouvoir l’accessibilité et favoriser une activité sportive régulière qui peut se faire partout et à tout moment de la journée . Bien encadré, chacun peut apprendre les bonnes pratiques pour rester en forme tout en maintenant une motivation intacte de façon durable.
Le sport en entreprise : une bonne alternative
Le constat établi par le baromètre Sport Santé de la FFEPGV (Fédération française d’éducation physique et de gymnastique volontaire) en partenariat avec l’institut IPSOS nous donne une information intéressante : 72 % des Français estiment que le sport est une excellente solution pour diminuer le stress au travail et les émotions pénibles. 71 % déclarent qu’il peut diminuer les troubles musculaires et les problèmes de dos tandis que 67 % le voient comme un remède aux troubles du sommeil.
Ces données sont à corréler avec celles d’une étude commandée par le Medef et menée par le CNOSF et AG2R La Mondiale expliquant qu’un salarié pratiquant régulièrement une activité physique serait plus productif qu’un employé sédentaire.
Pour autant, malgré ces observations, seul 1 Français sur 2 ferait du sport. Cela à cause d’une réelle difficulté à gérer vie privée et vie professionnelle, empêchant l’inscription en club.
Dans ce cas, il existe une alternative : amener directement le sport en entreprise.
Ce que propose la FFEPGV
Afin d’intéresser même les salariés les plus sédentaires, la FFEPGV est capable de s’adapter précisément à toutes les demandes. L’entreprise n’est donc plus seulement un lieu pour travailler, mais aussi l’endroit idéal pour se mettre ou se remettre au sport.
Pour répondre à vos besoins, la fédération est capable d’accompagner l’entreprise et ses salariés dans la mise en place d’activités spécifiques dans les locaux (s’il est possible de disposer de salles adéquates) ou à l’extérieur. Cela peut se faire le matin avant la prise de poste, à la pause déjeuner, ou le soir pour évacuer toutes les tensions de la journée.
La grande force de la FFEPGV : être multi activités. Vous pouvez donc lui demander de mettre en place des sessions centrées sur le cardio ou des séances plus douces tels que le pilate, entre autres. Sans oublier une marche ou course à pied en extérieur si les participants le souhaitent.
Après une phase de tests pour jauger du niveau de chaque personne, le coach fait son maximum pour s’adapter aux besoins et capacités des participants tout en mesurant les progrès dans le temps. Vous l’avez compris : la FFEPGV a une pratique très personnalisée du sport en entreprise.
De plus, si la société cliente le souhaite, la FFEPGV peut l’accompagner dans la réalisation d’un plan de communication sur le thème de la qualité de vie au travail en fournissant des outils de communication et des éléments à distribuer à chaque employé. L’objectif : pouvoir sensibiliser aux bonnes postures et aux bonnes pratiques quotidiennes.
Actuellement, une centaine d’entreprises travaillent avec la FFEPGV. Parmi celles-ci, nous trouvons des PME et grands groupes (SNCF, EDF, Crédit Mutuel, Michelin, etc.) ainsi que des mutuelles et des administrations.
Il faut dire que le tarif très compétitif pratiqué par la fédération fait la différence avec les clubs privés. Surtout que le coût de chaque séance peut être supporté par l’ent...
En 2014, INNOPREV lançait le "Flashmob Gestes et Postures"
Ces chorégraphies musicales réalisées sur mesure, permettent de développer les compétences en lien avec les risques physiques tels que les Gestes et Postures de Travail.
Cette formation a fait ses preuves auprès de groupes de différents secteurs d'activité comme ErDF, LACOSTE, Kellogg’s ou Albéa-Lacrost.
Aujoud’hui, « Serious-Dance » va plus loin
Positionnées comme prestation « anti-crise », dans un contexte de télétravail et d'isolement des collaborateurs, les « Serious-Dance » remettent l'humain au cœur des organisations.
En lien avec la culture de l’entreprise, les « Serious-Dance » instaurent des bases communes pour améliorer les liens sociaux et la cohésion des collaborateurs tout en développant leurs compétences.
Sollicitant le visuel, l’auditif et le kinesthésique, l’apprentissage par les « Serious-Dance » est global et performant, car il met en action les corps et les esprits.
Faites l’expérience des Danses Sérieuses
Les « Serious-Dance » sont des formations expérientielles, elles rentrent dans la catégorie des « Serious Games » et s'intègrent parfaitement au plan de développement des compétences, aux événements d’entreprise ainsi qu’aux démarches de prévention des risques professionnels.
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Pour expliquer le succès de l’Ecole, on y retrouve comme principale qualité l’efficacité et la diversité. En effet, le Groupe ESPI propose un cursus riche afin d’élargir le panel de choix des étudiants. Pour cela, elle propose différents bachelors, tous orientés aux métiers de l'immobilier.
Une école aux cursus diversifiés
• Le Bachelor « Gestionnaire d’Affaires Immobilières » (GESAI), spécialisé dans la transaction et dans la gestion immobilière. Le titre délivré est reconnu par l’Etat, niveau 6. Il permet l’obtention des trois cartes professionnelles. Pour poursuivre le programme en 2ème ou en 3ème année, l’étudiant doit être titulaire d’un Bac+ 1 / 2 validé.
• « Management, Administration et Gestion de l’Immobilier » (MAGI)
Une fois le parcours GESAI achevé, les Espiens peuvent continuer en entamant ce master. Tout au long du cursus, ils apprendront la gestion juridique, technique et financière des actifs immobiliers. À l’issue de leur Bac+5, ils pourront devenir des Property managers accomplis, des administrateurs de biens ou encore des Responsables d’affaires.
• « Manager en Aménagement et Promotion Immobilière » (MAPI)
Les cours magistraux se concentrent sur l’aménagement ou la rénovation urbaine et le montage d’opérations. Il s’agit du Master phare du groupe universitaire puisqu’il tient pour objectif de former des futurs cadres dans le marché. Ainsi, le MAPI est fait pour ceux qui souhaitent exercer le métier de prospecteur foncier, directeur de projet ou responsable du développement immobilier.
• « Manager en Ingénierie de la Finance Immobilière » (MIFIM)
MIFIM résulte du lien naissant indéniable entre les domaines de la finance et de l’immobilier. Au terme de leurs études, les étudiants seront en mesure de maitriser les financements et en analyser les risques. De plus, ils développeront leur savoir-faire concernant l’acquisition et la valorisation des actifs immobiliers.
• « Manager en Immobilier Durable et Innovant » (MIDI). Ce Master Professionnel est le dernier en date. Il dispense un enseignement détaillé sur le développement durable, les stratégies et le management. En incluant la Finance verte dans leur cursus, le groupe ESPI inclut une problématique actuelle au cœur même des métiers de l’immobilier.
• « Manager en Entreprenariat et Projets Immobiliers » (MEPI)
Afin de soutenir les grandes ambitions des apprenants, le MEPI a été mis en place. Le long de leur parcours, ils boosteront leur confiance en soi pour réaliser progressivement leur rêve de piloter une entreprise immobilière.
ESPI, un formateur qui s’adresse à tous
Le Groupe ESPI se veut accessible et pratique pour tous les amoureux de la sphère immobilière. Ainsi, il offre plusieurs possibilités adaptées à chaque cas.
L’enseignement à temps plein est fait pour les étudiants qui veulent uniquement se concentrer sur la face académique de la formation. Il dure 6 mois et est suivi d’une période de stage.
En revanche, les cours en alternance soulignent l’importance de l’immersion professionnelle dès la formation. Comme son nom l’indique, ils alternent l’emploi du temps de l’Espien en lui proposant 1 semaine de cours présentiels et 3 en entreprise. La loi française exige une formation de 14 heures tous les 2 ans pour pouvoir mettre à jour sa carte professionnelle. Le Groupe ESPI ouvre ses bras aux dirigeants, managers, agents de maîtrise et assistants qui souhaitent se perfectionner davantage. Entre 2020 et 2021, près de 1200 professionnels ont bénéficié d’une formation en alternance. Des visioconférences et de l’E-learning sont proposés pour compléter les cours présentiels.
Un dispositif handicap associé à des formations professionnelles
Si les handicaps physiques et mentaux ont longtemps été un frein dans la poursuite des études, ESPI veut mettre fin à cela. Le directeur de l'établissement soutient que les différences ne devraient pas être un obstacle à l'éducation. Le groupe s'engage à apporter sa contribution en offrant des aides administratives et financières aux personnes à mobilit...
Le programme, organisé sur trois mois, propose aux professionnels de la gastronomie, de l’hôtellerie et des arts culinaires, d’acquérir les fondamentaux de la nutrition afin de les appliquer dans différents secteurs : restaurants, hôtels, pâtisseries, mais aussi les restaurations collectives des écoles, des hôpitaux, des clubs sportifs, entre autres.
Des clés pour maîtriser les nouvelles tendances alimentaires
Conçue par les chefs et les experts de l’Institut Le Cordon Bleu, cette formation très complète aborde tous les aspects de la nutrition, de la biologie des aliments aux techniques de développement durable, de la cuisine traditionnelle aux innovations culinaires.
Les cours francophones sont traduits en anglais et dispensé par les chefs de l’Institut. La formation, ponctuée de conférences et de visites dans différentes structures, veut permettre en sus un lien concret avec les professionnels de la diététique et de l’alimentation.
Les étudiants seront amenés à créer leurs propres concepts via des travaux pratiques.
Le jardin potager de l’institut (800m2) sera notamment utilisé au profit de la pédagogie via une initiation à la permaculture et la création d’un potager urbain.
Deux promotions par an
La première session aura lieu en janvier 2021 et la seconde en juillet 2021, avec un nombre de place limité. Les candidats intéressés devront témoigner de leur passion et de leur projet professionnel dans la nutrition et la gastronomie pour être sélectionné.
Pour plus d’information sur cette formation pointue, éclairante et diplômante, rendez-vous sur le site du Cordon Bleu Paris.
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Créé en 1986, l’Institut supérieur des arts appliqués (LISAA) est une école d’enseignement supérieur privé, reconnue par le ministère de la Culture et de la Communication. LISAA forme notamment des créateurs dans le domaine du design graphique, de l’architecture d’intérieur et du design, de la mode, de l’animation et des jeux vidéos. Elle propose des formations préparatoires en arts appliqués mais également des formations au niveau Bachelor et Mastère.
Afin d’assurer un encadrement de qualité, toutes ces formations sont prodiguées par des professionnels en activité : artistes, architectes d’intérieur, designers…
Une pédagogie adaptée aux besoins du marché de l'emploi
LISAA privilégie un enseignement par projet, en partenariat avec des organisations publiques et privées. Ce travail en équipe permet aux étudiants de développer leurs compétences professionnelles et d'être opérationnels rapidement une fois sur le marché de l'emploi. Les écoles travaillent avec Carrefour, L'Oréal, Adagio, Orange, Made.com, Canal+, Sosh, Uniqlo, Givaudan, le festival d'animation de l'AFCA, WWF, Science & vie, le Théâtre du Rond-Point, le théâtre National de Strasbourg, le Petit Palais, le festival We Love Green... Pour compléter cette approche professionnelle, certaines formations sont proposées en alternance.
Un réseau de plus de 5000 diplômés
À travers l'excellence de ses formations et de ses résultats, l'école, qui accueille 3500 étudiants, fait aujourd'hui partie des écoles qui comptent sur la scène de l'enseignement des arts appliqués en France. Un classement dévoilé par le journal Le Monde (1er décembre 2017) la place parmi les 7 écoles d'arts appliqués privées les plus prestigieuses. LISAA est aussi la seule école à figurer dans le top 10 de tous les classements arts appliqués de l'Étudiant en 2018. Rien de surprenant lorsqu'on sait que de nombreux diplômés affichent de très beaux parcours professionnels comme René Richard, directeur artistique de Guy Laroche ou Xiang Fang Ye, co-fondateur de la marque Wasted mais bien d'autres encore : chef de produit maille chez Balenciaga, Architecture Project Manager chez Chaumet, webdesigner chez Publicis, Matte Painter chez Rodeo FX, 3D Generalist chez BUF company... ou encore des créateurs d'entreprise.
Des implantations en France et à l'international
LISAA est présente dans 6 grandes villes françaises : Paris, Rennes, Strasbourg, Nantes, Bordeaux et Toulouse, qui a rejoint le réseau en septembre 2018.
L'école est aussi implantée à l'international puisqu'elle dispose, depuis 2010 d'un campus en Inde (Bangalore) depuis 2016, un campus en Chine, dans la ville de Suzhou.
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Parmi les divers établissements délivrant la formation au TP « ADVF » en Région, aucun ne le proposait par la voie de l'apprentissage. C'est maintenant chose faite avec la MFR de Rougemont, la nouvelle UFA du CFA SMS Centre-Val de Loire qui accueille les apprenti(e)s jusqu'à l'âge de 30 ans révolus.
Une offre de formation qui ouvre des perspectives dans le secteur de l'aide à domicile
Les employeurs du secteur de l'aide à domicile connaissent de grandes difficultés de recrutement et peinent à trouver des personnes qualifiées pour accompagner au domicile des personnes de plus en plus fragilisées. Par ailleurs, les dispositions de la loi relative à l'adaptation de la société au vieillissement (ASV) haussent les exigences de professionnalisation pour améliorer la qualité de prise en charge des personnes. L'ouverture du TP ADVF par l'apprentissage vient répondre à des besoins quantitatifs, tout en proposant un mode de transmission des savoir-faire professionnels sur le terrain, par l'expérience, tant sur le plan technique que celui des valeurs. C'est aussi une belle opportunité de rajeunir les équipes !
Devenir assistant(e) de vie aux familles par l'apprentissage
En lien avec l'UFA de la MFR « Rougemont-Tours » et les professionnels du Service public régional de l'orientation (SPRO), le CFA SMS accompagne les candidat(e)s à réfléchir sur leur projet professionnel, à prospecter pour trouver un employeur et finaliser un contrat d'apprentissage. L'entrée en formation nécessite d'avoir au moins 18 ans, d'être titulaire d'un diplôme ou titre de niveau V, d'avoir un moyen de locomotion. 490 h de formation sont dispensées sur 15 mois.
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Seules cinq équipes universitaires de recherche en chimie en France sont à l’origine d’une molécule actuellement produite sur le marché de la santé. L’équipe « Onco et Neurochimie » fait partie de ce quinté prestigieux avec le développement du Valdoxan. Commercialisé depuis 2008 par les laboratoires Servier, ce médicament est utilisé pour le traitement des épisodes dépressifs chez l’adulte en cadrant l’horloge biologique.
« Notre objectif est de dépasser le stade de la publication des résultats scientifiques dans des revues académiques pour aller vers la valorisation et le développement de candidats-médicaments », explique le Pr Patricia Melnyk, qui dirige ce laboratoire orienté à la fois vers la chimie et le développement thérapeutique. « Actuellement, nous travaillons sur une deuxième molécule, qui est en phase de test chez l’homme. Au-delà de l’effet physiologique, nous nous attachons à décortiquer son mode d’action », poursuit-elle.
Alzheimer, sclérose en plaques, cancer
Ces nouveaux travaux pourraient avoir une influence sur les maladies neurodégénératives et, notamment, la maladie d’Alzheimer. En effet, dans cette pathologie, on observe deux mécanismes physiopathologiques : la pathologie amyloïde et la tauopathie. La première résulte de l'agrégation extraneuronale de peptides amyloïdes et la seconde de l’accumulation intraneuronale de protéine Tau hyper- et anormalement phosphorylée.
Le nouveau composé, dont le premier brevet date de 2004, permet à la fois de diminuer la pathologie amyloïde et de réduire le développement de la pathologie Tau.
Cette découverte est le travail d’un projet de recherche collaboratif entre l’équipe « Onco et Neurochimie » et l’équipe « Alzheimer et Tauopathies » des Drs Luc Buée et Nicolas Sergeant. « C’est la première fois qu’un composé est capable d’agir sur les deux lésions », affirment-ils. Cette nouvelle molécule, développée par AlzProtect, une société émanant de cette collaboration, est au stade des essais cliniques de phase 1 chez l’homme et a aussi obtenu le statut de « médicament orphelin » pour le traitement de la paralysie supranucléaire progressive (maladie neurodégénérative rare), auprès de l’Agence européenne du médicament. Une dizaine de personnes, comprenant des chimistes et des biologistes, travaillent actuellement sur ce projet, au sein des laboratoires académiques ou chez AlzProtect.
D’autres projets en cours
L’équipe « Onco et Neurochimie » étudie le rôle de cibles biologiques impliquées dans la dégradation des protéines altérées pour les traitements des maladies neurodégénératives. Cela passe par la conception de sondes chimiques permettant d’interagir avec ces cibles.
L’équipe intervient dans le domaine de la sclérose en plaques et travaille depuis plusieurs années en collaboration avec l’équipe du Pr Patrick Vermersch de l’unité LIRIC (Lille Inflammation Research International Center), l’un des leaders du domaine. Un partenariat vient d’être signé avec la société pharmaceutique Genzyme Sanofi pour l’étude de molécules novatrices.
« Nous travaillons aussi à la conception et à la synthèse d’inhibiteurs d’interaction protéine-protéine qui vont complètement modifier la survie cellulaire. Cela peut avoir une application dans le domaine des cancers du système digestif (colon, pancréas). »
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Le CFA SMS Centre-Val de Loire a été créé en 2012. Il forme par l'apprentissage aux métiers du secteur social et médico-social. En 2017, un nouvel arrivant : le diplôme d'État d'infirmier, dispensé par les Unités de Formation d'Apprentis de l'Institut Régional de Formation Sanitaire et Sociale (IRFSS) de la Croix-Rouge à Chambray-lès-Tours (37) et de l'Institut de Formation aux Soins Infirmiers (IFSI) de Dreux (28). La formation au diplôme d'État d'infirmier par l'apprentissage était jusque-là, pour des raisons historiques, rattachée au CFA du Campus des Métiers de Joué-lès-Tours. En transférant ce diplôme au CFA SMS Centre-Val de Loire, l'intégration du sanitaire et du social prend tout son sens, conformément aux souhaits de la Branche Associative, Sanitaire, Sociale et Médico-sociale à but non lucratif (BASS), qui labellise un CFA sanitaire et social par région.
Une offre de formation ajustée pour les cinq ans à venir
Dans le cadre du renouvellement conventionnel, chaque CFA va s'engager avec la Région Centre - Val de Loire pour la période 2017-2022. C'est l'occasion de faire le point sur l'offre de formation, en la redéfinissant, en l'adaptant en fonction des besoins sur les territoires. Une meilleure articulation avec le médico-social ne peut être que bienvenue, car la frontière est souvent ténue entre les besoins sur le plan strictement sanitaire et la prise en compte des problématiques concernant les personnes âgées dépendantes, l'aide à domicile ou le handicap.
Devenir infirmier par l'apprentissage
C'est possible depuis 2010, mais cette voie d'accès au diplôme d'État n'est pas assez connue. Compte tenu de la durée des études (3 ans) et des 1800 heures de cours magistraux et travaux dirigés, la formation en apprentissage est actuellement centrée sur la troisième année du cursus.
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1. Des formats de formation inédits !
En 2030, la formation professionnelle sera complètement transformée. Elle replacera systématiquement l’apprenant au cœur de la démarche (« learner centric ») et proposera une approche ludique, plus personnalisée à chacun, selon son niveau, son projet et les compétences à acquérir.
Le Rapid Learning (apprentissage rapide), la Gamification (la ludo-pédagogie et le fait d’intégrer le jeu dans les parcours de formation) et l’Adaptative Learning (apprentissage adaptatif – parcours de formation totalement personnalisés) seront démocratisés. L’hologramme le sera également et permettra de se former autrement : en téléportant des formations ou des formateurs sur son smartphone ou dans un lieu à distance, par exemple. Les formats seront principalement inspirés des nouvelles pratiques du digital et de l’innovation pour répondre aux nouveaux modes de consommation de la formation et aux besoins des apprenants.
2. Se former partout, n’importe quand et depuis n’importe quel support (ATAWAD)
L'ATAWAD (Any Time, AnyWhere, Any Device) désigne la possibilité qu'offrent les technologies numériques d'être toujours connecté. Grâce à cette « mobiquité » exacerbée, il sera facile de se former selon sa préférence, d’où on le souhaite, n’importe quand et depuis n’importe quel support (ordinateur, tablette, mobile, lunettes connectées).
3. La formation sera collaborative (social learning)
Cette modalité pédagogique crée un véritable cercle vertueux car le principe du social learning est bien d’appliquer des technologies sociales à des fins de formation. Cela peut se formaliser par le biais des plateformes communautaires (réseaux sociaux, forums, wikis, etc.) où les connaissances des uns renforcent les compétences des autres.
La formation de demain se trouvera ainsi enrichie par les formés eux-mêmes, qui proposeront leurs propres contenus et mettront à disposition leur expérience et bonnes pratiques (« reverse mentoring » digitalisé).
4. La puissance du blended learning
Dans un contexte où la révolution numérique est omniprésente, prendre le meilleur de l’humain et du digital pour les mettre au service de la formation, cela sera la promesse du blended learning (apprentissage mixte). En 2030 l’humain sera à nos yeux encore plus plébiscité pour deux raisons majeures :
- Les grandes évolutions digitales en matière de formation seront digérées et le sujet ne sera plus une course à la technologie mais bien à la meilleure pédagogie : la meilleure approche et les meilleurs outils pour atteindre des objectifs de montée en compétences et la performance pour les entreprises.
- Les formateurs (parfois en opposition avec le numérique par crainte) auront une maturité différente sur le volet numérique et utiliseront le digital avec beaucoup plus de pertinence dans leurs actions présentielles. Cela deviendra la norme.
5. Les impacts de la formation seront mesurables (ROI)
En 2030, la formation professionnelle mesurera l’implication du formé et les impacts dans sa vie professionnelle pour optimiser le retour sur investissement (ROI). Les entreprises auront également accès à un tableau de bord permettant de mesurer avec précision le ROI de leurs actions de formation.
6. L’Intelligence Artificielle au service de la formation et de l’emploi
L’intelligence artificielle (IA) va permettre l’automatisation des tâches à faible valeur ajoutée. On peut imaginer qu’en 2030, les apprenants auront des « bots » ou coachs de vie professionnelle. De véritables Assistants personnels intelligents, pour développer sa compétence, son employabilité, se former tout au long de sa vie selon ses envies et ses besoins. Ils proposeront à tous des formations adaptées au marché du travail, aux emplois à pourvoir et à nos compétences parallèles à développer en temps réel.
7. Des labels d’excellence pour entreprises et formateurs
Les entreprises devront être éligibles à un label RSE (Responsabilité Sociétale des Entreprises) pour la qualité et l’intensité données &...
Le digital learning est devenu une composante incontournable dans la mise en place d’un plan de formation. Cependant, le succès d’une telle démarche requiert une implication effective des formateurs. Grâce à une solution innovante, Mine de Savoirs place chaque formateur au cœur du dispositif tout en lui donnant la possibilité de créer et d’animer la formation.
Optimiser la formation
Implantée à Paris, Mine de Savoirs a été fondée par Alain Commissione en 2015. « J’étais directeur de projet au sein d’une entreprise de formation et de plus en plus de clients exigeaient des solutions innovantes », nous rapporte-t-il. Alain Commissione comprend rapidement que seul le digital peut répondre à ces nouveaux besoins. Il décide alors de lancer sa propre activité en créant Mine de Savoirs, une startup qui propose d’optimiser la formation par le digital.
Conseils et accompagnement aux entreprises
Mine de Savoirs se spécialise dans l’accompagnement des entreprises dans le cadre de la digitalisation de leurs formations en intervenant essentiellement sur trois axes.
Dans un premier temps, il s’agit d’aider l’entreprise à définir une stratégie globale de digitalisation qui tient compte à la fois de ses contraintes et de ses besoins. Afin de mieux cerner ces paramètres, l’entreprise organise des ateliers de design thinking.
La deuxième intervention porte sur la formation des formateurs, étape essentielle pour se familiariser avec les nouveaux modes de travail requis par la digitalisation.
Enfin, la startup s’illustre dans la conception et la production de contenus pédagogiques interactifs sur mesure.
MROD, l’appli Web qui révolutionne les formations
Mine de Savoirs ne se contente pas d’accompagner les entreprises puisqu’elle fournit aussi des outils innovants à destination des formateurs. À l’image de la plateforme LXP (Learning eXperience Plateform ) dénommée « MROD ». Cette application accessible via un navigateur permet de créer et de diffuser facilement des supports digitaux de formation. Adapté aux supports mobiles, cet outil fonctionne à peu près à la manière d’un réseau social.
Le formateur commence par créer des contenus pédagogiques pour ensuite les partager et animer des groupes d’apprenants via un mur collaboratif. « En quelques clics, il a la possibilité d’interagir sur la plateforme et peut venir déposer toutes sortes de médias comme des vidéos, des images, des quiz, etc. », explique Alain Commissione.
Du côté des apprenants, les avantages sont multiples. Cette application leur évite de perdre du temps dans des formations classiques qui peuvent parfois prendre une journée entière. L’apprenant peut, à tout moment et via son mobile, avoir accès à l’information dont il a besoin. De plus, la gamification des contenus pédagogiques permet de susciter plus d’intérêt et plus d’engagement de leur part.
Dernier point important, MROD change l’expérience de l’apprentissage en rendant caduque la notion de synchrone et d’asynchrone. « Alors qu’auparavant il fallait utiliser un outil pour la formation présentielle et un autre pour la formation à distance, avec MROD on peut faire les deux, et cela de manière fluide », indique le fondateur.
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Des formes de collaborations multiples entre le monde socio-économique et le CNRS
Les modalités de collaborations entre un industriel et le CNRS sont nombreuses et s’adaptent à tous les besoins des entreprises des grands groupes aux PME et start-up au travers d’accords-cadres autour de programmes de recherche, de laboratoires communs, de contrats de recherche ou d’expertise, d’accompagnement de start-up, d’encadrement commun de thèses CIFRE ou encore de formations courtes de haute technicité.
En effet, qui, mieux que les personnels des laboratoires du CNRS et de ses partenaires, peut informer sur les dernières avancées scientifiques mais aussi sur les technologies expérimentales de pointe, sur l’intelligence artificielle ou encore sur les phénomènes sociétaux qui impacteront nos usages économiques et plus largement comportementaux ? Où, mieux que sur des plateformes de recherche, peut-on apprendre et mieux comprendre ?
Dans ce cadre, la formation continue joue un rôle clef et répond à une demande croissante des industriels : CNRS Formation Entreprise forme plus de 1600 stagiaires chaque année dont la moitié issus d’entreprises et environ 20 % du secteur public non académique.
Des formations adaptées aux besoins des filières industrielles
CNRS Formation Entreprises adapte chaque année son offre aux besoins du monde socio-économique. Cette année, son catalogue de formations répond aux priorités nationales et aux enjeux des filières industrielles énergie, automobile, eau, cosmétique, électronique et santé.
Pour 2022, CNRS Formation Entreprises propose aux ingénieurs, chercheurs, techniciens des secteurs privés et publics plus de 230 formations de haute technicité. Ces formations sont dispensées partout en France, par les personnels de la recherche des 1100 laboratoires du CNRS et de ses partenaires ; la pédagogique s’appuie sur l’apprentissage par la manipulation d’équipements ou de données et sur les échanges interactifs entre personnels de la recherche et professionnels apprenants (en petits groupes). La qualité des apprentissages est privilégiée, en exploitant les nouvelles modalités pédagogiques offertes par les technologies numériques.
Pour plus de flexibilité, des formations sur mesure
Les formations intra-entreprise peuvent être une solution pour faire monter en compétences une équipe ou répondre aux besoins de collaborateurs travaillant dans différents services d’une même entreprise.
Ces formations peuvent être adaptées à partir d'une formation existant au catalogue ou bâtie sur un programme sur-mesure défini par l’entreprise avec l’équipe pédagogique du CNRS qui identifiera l’expert ou les experts les plus à même de répondre au besoin de la société cliente.
Depuis la crise sanitaire, les demandes concernant ce format intra-entreprise sont croissantes. Ces formations dispensées dans les locaux de la société cliente présentent de nombreux avantages : pas de déplacement des collaborateurs qui sont absents sur une durée moins longue ; flexibilité sur les dates de la formation. A la demande de la société cliente, ces formations intra-entreprises peuvent également avoir lieu dans un laboratoire du CNRS. Dans tous les cas, les collaborateurs sont regroupés autour d'un thème commun, plus ciblé et personnalisé créant une dynamique de groupe voire une cohésion d'équipe !
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Flashmatin | Bonjour M.Pinat.
Bernard Pinat | Bonjour Madame. Je m'appelle Bernard Pinat. Je suis Directeur général du groupe ESPI, une école avec plusieurs implantations en France. À titre personnel, je suis arrivé au sein du groupe ESPI en 2013. Depuis 2013, on a développé le groupe de manière relativement soutenue puisque quand je suis arrivé, il y avait 760 apprenants à peu près et là à la rentrée, on en a un peu plus de 3800.
Oui, je crois qu'on peut appeler cela une ascension fulgurante. Alors M. Pinat, est-ce que vous pouvez nous expliquer l'histoire de votre école ?
BP | : Absolument ! Parce que c'est une belle histoire. 1972, deux ans après la loi Hoguet qui est venue encadrer l'activité immobilière et a créé une obligation d'avoir une carte professionnelle. À l'intérieur de cette obligation, il y avait également une obligation de formation. Étienne LE SIDANER qui est le père fondateur de l'ESPI, qui était un acteur de l'immobilier, s'est associé avec deux ou trois personnes. Il s'est dit, plutôt que suivre la formation à l'université ou dans des écoles publiques qui n'existent pas, on va créer nous-mêmes un parcours de formation pour aider les personnes qui veulent répondre aux exigences de cette loi Hoguet. Cette formation, ils l'ont voulu très professionnalisante. Une formation terrain.
Tout cela s'est passé en 1970. Aujourd'hui, cet ADN est encore présent au sein de nos programmes. Depuis une vingtaine d'années, l'ensemble de l'offre de formation de l'ESPI s'inscrit dans le schéma LMD. Un bachelor puis des mastères avec des spécialisations.
Vous avez ouvert votre première école à Paris, puis une autre antenne a été ouverte à Nantes, à Marseille, à Montpellier, à Bordeaux, à Lyon, et une future école s'ouvrira même à Lille en septembre 2022. Vous y proposez donc une licence et plusieurs bachelors. Pouvez-vous nous parler de ces différents cursus ?
BP | : À Paris, il y a le Bachelor, car nous n'avons qu'un seul Bachelor, celui qui permet d'obtenir les trois cartes professionnelles. Donc c'est un Bachelor qui dessinerait au métier de l'agence. Celui-là, il est présent sur toutes les implantations. Nous avons un mastère qui est la continuité du Bachelor qui s'appelle le MAGI, le management administration et gestion de l'immobilier.
Nous avons un deuxième mastère qui s'appelle le MAPI qui est un peu notre mastère phare parce que beaucoup d'étudiants viennent à l'ESPI pour devenir responsables de programmes, directeurs de projets immobiliers. Voilà ce à quoi prépare ce mastère. Ensuite nous avons un troisième mastère qui est le mastère audit expertise-conseil. Ensuite, nous avons un quatrième mastère qui est un mastère lié à l'ingénierie financière qu'on appelle le MIFIM.
Ensuite, nous avons un nouveau mastère que nous venons de créer qui est le mastère MIDI pour préparer tous les étudiants au métier du développement durable. Enfin, le dernier mastère que nous avons, c'est le mastère MEPI. C'est un mastère en entrepreneuriat en projet immobilier.
De quoi devenir un vrai professionnel de l'immobilier, les étudiants de votre école ont le choix. Ils peuvent soit suivre une formation à temps plein ou bien en alternance. Quelle est la différence ?
BP | : On a effectivement des filières à temps plein et des filières en alternance. On a toujours cette fibre très professionnalisante. C'est la raison pour laquelle nous avons très largement développé l'alternance. Le contenu du programme est le même. A temps plein, on va plutôt s'adresser à des personnes qui ne se sentent pas toutes de suite à l’aise dans l'activité professionnelle. Elles vont d'abord suivre six mois de cours pour ensuite faire un stage pendant six mois. Puis l'alternance en apprentissage, nous avons un format et un rythme qui est d'une à trois semaines. C'est-à-dire une semaine de cours, trois semaines en entreprise.
Rappelons d'ailleurs que tous les étudiants qui suivent une formation sur le terrain bénéficient d'un contrat de travail, d'un sa...
C’est en 1895 que le premier Cordon Bleu Paris - Institut d’arts culinaires et management hôtelier s'est établi à Paris dans le but de perpétuer les traditions culinaires françaises au travers de parcours dédiés à l’hôtellerie, au tourisme et à la restauration. Ce leader de l’art culinaire s’exportera au fil des années à l’international en ouvrant des campus aux quatre coins du monde, ceci dans une volonté de faire rayonner la culture française, mais aussi de valoriser le patrimoine culinaire de chaque pays. Allant des professionnels aux particuliers, en passant par les étudiants souhaitant faire carrière dans la gastronomie ou dans l’hôtellerie, « chaque formation sanctionnée par un Diplôme reconnu à l’international est un véritable passeport pour une carrière internationale », nous explique Sylvy Morineau, Directrice académique du Cordon Bleu Paris - Institut d’arts culinaires et management hôtelier.
Le renouveau de l’institut parisien
L’excellence, la passion, la transmission, la créativité et surtout la modernité constituent les valeurs fondamentales animant le réseau Le Cordon Bleu. Dans cette optique d’harmoniser tradition avec innovation, Le Cordon Bleu Paris - Institut d’arts culinaires et management hôtelier opère un renouveau en s’installant dans son nouveau campus de 4 000 m2 face à la Seine et la statue de la Liberté. De nombreuses salles dédiées à chaque spécialisation, un atelier dédié au public, un espace multimédia ainsi que des salles de démonstrations uniques font la singularité de ce campus prônant l’excellence pédagogique. Une de ses particularités réside dans la présence d’un jardin potager de 800 m2 sur le toit de l’établissement. « Cette végétalisation [véritable fleuron de l’agriculture urbaine] est utilisée comme un jardin pédagogique pour les étudiants en arts culinaires. Ces derniers pourront ainsi apprendre à monter un jardin potager et à reconnaître certains ingrédients pouvant pousser en jardin urbain, c’est-à-dire les herbes aromatiques, les fruits et les légumes », signale Eric Briffard, Chef exécutif et directeur des arts culinaires. À ce lieu, dont les produits sont utilisés dans les cuisines de l’institut parisien, s’ajoutent des ruches dont le miel est utilisé lors des classes pratiques en cuisine. Dans le rang des nouveautés, le campus est également fier de son tandoor (four en terre cuite) et de sa salle dotée de woks. Ces derniers, hommages à la cuisine asiatique, ont été aménagés afin de permettre aux étudiants de revisiter les plats traditionnels français en s’inspirant des succulences de l’Orient.
Différents types de parcours
C’est en proposant un panel riche et éclectique que Le Cordon Bleu Paris - Institut d’arts culinaires et management hôtelier s’est forgé une réputation solide dans le domaine de la formation. La cuisine, la pâtisserie, les métiers du vin, la boulangerie et le management hôtelier n’auront plus de secrets pour ceux qui auront l’opportunité de suivre des programmes dispensés par des formateurs expérimentés composés de chefs, d'experts internationaux, de professeurs universitaires et de spécialistes intervenant dans le milieu de l’hôtellerie et du tourisme. Des diplômes viendront clore chaque parcours, à l’instar d’un cursus sanctionné par un Bachelor en Management des arts culinaires ainsi que d’un programme débouchant sur un Bachelor en Management Hôtelier International. Chaque parcours sera dédié à la découverte des facettes des métiers liés à la gastronomie, des pratiques managériales et de la gestion d’entreprises spécialisées dans la gastronomie ou dans l’hôtellerie. Ces bachelors, dispensés en anglais, offrant un trimestre d'études à l'étranger dans un des 35 instituts du réseau et complétés par un stage à chaque fin d’année, seront un gage de réussite ouvrant grand les portes de l’emploi.
Les étudiants qui ...
Aujourd’hui, nous sommes tous en quête de sens dans notre vie. Alors que le stress envahit notre quotidien, de plus en plus de personnes ont besoin de prendre du recul et de souffler un peu. La mission du relaxologue est de les accompagner pour retrouver un véritable bien-être. Parmi les instituts les plus réputés pour devenir relaxologue, l’École du Stress est un nom à connaitre.
École du Stress et métier de relaxologue
Ce n’est un secret pour personne : notre rythme de vie s’est accéléré et il est devenu difficile de prendre soin de soi. Ainsi, certaines personnes se font envahir par le stress. C’est donc pour retrouver un bien-être social et humain qu’elles font appel à un relaxologue.
En effet, ce professionnel qui utilise un certain nombre de techniques de relaxation accompagne les professionnels et particuliers de tout âge vers la connaissance de soi et la gestion du stress et des angoisses. Pour cela, il peut intervenir en séance individuelle, mais aussi en entreprise ou en centre de remise en forme. À noter : il peut aussi bien accompagner des enfants que des adultes et personnes âgées.
Ceci étant dit, parce que ce professionnel est généralement libéral, il est important d’être bien formé pour pouvoir trouver des clients et les accompagner vers le chemin du bien-être personnel et professionnel.
Comment l’École du Stress répond-elle aux besoins de ses élèves ?
Créée il y a plusieurs dizaines d’années et agréée par la Fédération Internationale de Relaxologie, l’École du Stress propose des services complets aux entreprises et particuliers ainsi que des formations plus longues.
Pour ce faire, elle enseigne à ses élèves la méthode Biosappia® qui utilise la relaxation, les visualisations, les méthodes sensorielles, corporelles et la respiration orientale. Sur 1 année d’apprentissage, le/la future/e relaxologue profite d’un enseignement dynamique et vivant basé sur les échanges et la possibilité de suivre 30% de cours à domicile, à son rythme. Grâce à un suivi individuel par un tuteur attitré, chaque élève a toutes les clés pour devenir, à son tour, un relaxologue confirmé.
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Pédagogie à la carte
Fort de plus de 60 ans d’expérience, Nacel place la pédagogie au cœur de son action. La marque travaille en étroite collaboration avec des enseignants de tous horizons, afin de créer des séjours adaptés aux envies et aux objectifs de chacun. Chaque personne étant unique, l’organisme propose des formules sur-mesure permettant à tous, petits et grands, de trouver le séjour qui lui correspond.
Les participants sont ainsi orientés vers les programmes convenant à leur niveau, leur âge, leur destination, leur objectif et la langue avec laquelle ils souhaitent se familiariser. Les immersions permettront des progrès rapides et un apprentissage naturel en partageant le quotidien d’une famille étrangère. Les préparations aux examens conviendront à ceux qui espèrent des séjours riches en contenus pédagogiques. Pour ceux qui veulent joindre l’utile à l’agréable, l'apprentissage se complète par diverses activités ludiques comme le sport, le théâtre ou le cinéma, des activités culturelles et des jeux propres à la culture de chaque pays. En famille ou en résidence, les participants peuvent profiter de séjours tout au long de l’année pour apprendre le monde le temps d’un voyage…
Une offre riche et qui répond aux tendances actuelles
Grâce à quelques 200 partenariats développés avec des établissements partout dans le monde, Nacel offre plus de 20 pays d’accueil, parmi lesquels la Grande Bretagne, les USA, la Chine, les Emirats Arabes Unis, Chypre, ou encore Malte. L’organisme dispose en outre d’un réseau intégré d’équipes implantées aux Etats-Unis, au Canada ou encore en Australie. Les destinations anglophones étant les plus plébiscitées, Nacel propose comme nouveauté 2018 , une immersion de dix jours à Dublin. Un séjour très intensif, rythmé par des activités et des séquences de discussion en one to one avec des intervenants anglophones. Avec un taux d’encadrement d’un natif pour un participant, l’apprentissage sur-mesure prend tout son sens… Nacel se diversifie en se montrant à l’écoute des tendances actuelles et organise des séjours de plus en plus originaux. Pour tous les férus d’informatique, il existe aujourd’hui des formules permettant un double apprentissage en programmation et en langue. L’organisme propose un séjour inédit anglais et coding à Londres. Durant 2 semaines, les participants jongleront entre cours d’anglais (15h) et cours de codage informatique (45h). Enfin, Dubaï étant devenue une destination phare, Nacel a créé un séjour riche en activités originales au cœur de la ville où tout semble possible. Outre les 30 heures de cours d’anglais en classe internationale, les participants visiteront l’îlot de modernité dans son ensemble…
Des séjours de qualité et certifiés
Réputé pour la qualité de ses séjours, Nacel fait partie des rares organismes à avoir obtenu la certification NF Service attribuée par Afnor Certification. Son adhésion à l’Unosel renforce sa fiabilité et son sérieux, puisqu’il est rigoureusement tenu de respecter une charte de qualité imposée par cette union professionnelle des organisateurs de séjours linguistiques. Maitrisant toute la chaine de l’organisation du séjour grâce à une implantation dans de nombreux pays, l’entreprise est aussi agréée IATA (Association Internationale du Transport Aérien). Ce partenariat lui permet d’offrir les meilleures conditions de séjour à ses clients en termes de prix, de destination et de prise en charge. Une trentaine de conseillers sont quotidiennement à l’écoute pour leur apporter un support permanent et un suivi personnalisé. Ce sérieux et cette expertise a valu à Nacel un indice de satisfaction de 16.4/20 en 2017.
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Cette école de Management est intégrée, depuis ses débuts, à l’Université de Caen. « Sa vocation est de former des étudiants et des salariés aux métiers de la gestion et du management tout en développant des activités de recherche en lien avec ces domaines d’expertise », nous explique Patrice Georget, Directeur de l’IAE Caen. Avec le développement en 2011 d’une filière complète par e-learning, cette école se veut être un des pionniers de la formation à distance basée sur une pédagogie interactive qui place l’étudiant au centre de son apprentissage. Excellence et innovation se retrouvent ainsi dans une offre de formation en présentiel ou à distance adaptée à chaque apprenant et surfant sur la vague du progrès technologique.
Une formation mixte : identité de l’IAE
Avec une identité basée sur une expertise académique et une connaissance accrue du domaine du Management, cette école universitaire s’est forgée une solide réputation dans le domaine de la formation avec ses 40 cursus diplômants proposés en formation initiale ou continue, en présentiel ou à distance. La formation initiale, suivie par plus de 1 300 étudiants chaque année, est dédiée aux jeunes désirant faire carrière dans le management, le commerce ou dans d’autres domaines du secteur tertiaire. Sanctionnée par une Licence ou un Master, chaque formation initiale associe maîtrise académique du management et connaissance pratique du milieu professionnel. La formation continue, quant à elle, est « principalement pensée pour les salariés en entreprises désireux d’obtenir une plus forte mobilité professionnelle, tant dans l’Hexagone qu’à l’étranger, d’avoir une promotion de carrière ou de changer d’orientation professionnelle en reprenant leurs études », poursuit son directeur. Grâce à un large éventail de cursus, l’école propose ainsi des formations continues en management d’entreprises, en finances et en management du social et de la santé. Allant des ressources humaines au management d’établissements de santé en passant par l’ingénierie financière, chaque programme, avec un Master à la clé, est adapté à tous ceux qui souhaitent élargir leur horizon professionnel et saisir de nouvelles opportunités. La gérontologie, les métiers d’agence bancaires, le contrôle de gestion ou le marketing digital, n’auront plus aucun secret pour les apprenants, quelles que soient leurs origines professionnelles. Véritables tremplins, tous les parcours, en formation initiale ou continue, sont conçus et prodigués par des enseignants universitaires, 50 au total, et par près de 350 enseignants issus du monde professionnel « gages de leur qualité et de leur aspect professionnalisant », souligne Patrice Georget.
L’innovation toujours au service de la formation
Les lettres de recommandation sont aujourd’hui un véritable passeport pour l’emploi. L’IAE Caen l’a bien compris et a ainsi développé un système similaire pouvant être inséré dans son CV : les badges. Ces derniers sont produits en collaboration avec le CEMU (Centre d’enseignement multimédia de l’université de Caen). Leur objectif, toujours selon Patrice Georget, est d’« évaluer le savoir-être de l’étudiant et de révéler qui l’on est et trouver une forme de reconnaissance qui va au-delà du diplôme ». En effet, certains étudiants travaillent de nuit et étudient le jour, dépassent ainsi leurs limites et franchissent des obstacles apparemment infranchissables pour arriver au bout de leurs études. Ces efforts, trop souvent ignorés, sont désormais affichés au grand jour grâce au badge « Battant ». Symbole de persévérance et de détermination, ce badge sera le témoin des difficultés que l’étudiant a su surmonter. À celui qui s’investit dans la représentation de son école à l’occasion, par exemple, de concours d’entreprises, sera décerné le badge « Ambassadeur ». Le badge « Communiquant &raq...
La toute première clientèle d’Alain Bertholet était un petit groupe d’étudiants envouté par le témoignage de ce grand passionné de voyages. Il a en effet parcouru l’Angleterre, le Canada, le Japon et l’Autriche pendant toute sa jeunesse. Il accepte donc d’organiser leur départ vers l’Angleterre.
Une expérience qui l’a poussé plus tard à lancer Langues Vivantes en Belgique, afin d’offrir la même opportunité aux autres. Le succès du concept fut si grand que la structure se développe rapidement à l‘échelle européenne pour jouir aujourd’hui d’une réputation mondiale.
Un éventail de formules à la carte
Armé de ses 26 années d’expérience, Langues Vivantes a conçu toute une gamme de formules de séjours linguistiques et de programmes académiques à l’étranger, essentiellement à destination d’un jeune public.
« Nous recevons beaucoup de demandes pour une intégration scolaire à l’étranger, que ce soit pour quelques semaines, une année entière ou un cycle complet de 2 ans, où les participants peuvent choisir entre un programme d’anglais scolarité ou un programme de langue intensif », explique Alain Bertholet. Les États-Unis, le Canada, l’Allemagne, l’Angleterre, l’Irlande, l’Espagne ou encore l’Australie sont les destinations préférées des jeunes Français.
Au cœur de cette expérience qui s’annonce multiculturelle, les participants peuvent choisir d’être accompagnés par une famille d’accueil « triée sur le volet », précise le fondateur, ou d’être hébergés en résidence. Pour la première formule, ils auront le choix entre un séjour thématique en immersion totale dans le quotidien de la famille et un séjour chez un professeur particulier, idéal pour booster sa capacité linguistique sur une courte durée.
En outre, ceux qui aspirent à vivre plus intensément cette aventure à l’étranger peuvent partir en tant que volontaires vers le Costa Rica ou le Cambodge. « Ils vont soutenir une communauté défavorisée à travers des projets sociaux, éducatifs ou environnementaux au service des ONG locales. » Un excellent choix pour développer son âme altruiste et s’enrichir culturellement grâce aux nouvelles rencontres que réserve cette expérience humaine.
La culture de l’excellence depuis 30 ans
Ne serait-ce que pour sa philosophie, Langues Vivantes se démarque nettement de la concurrence. « Nos agences et nos organismes partenaires à l’international sont tous obligatoirement certifiés du point de vue qualitatif, c’est notre priorité absolue », poursuit le fondateur.
Une exigence justifiée dans la mesure où Langues Vivantes est le premier organisme non français à être agréé par l’Office national de garantie des séjours et stages linguistiques, une association reconnue par le ministère de l’Éducation nationale en France. La structure est également membre du Forum d’associations de voyages éducatifs et linguistiques du monde entier (FELCA), du SYTA basé en Amérique, du réseau Association internationale des centres de langue (IALC) et de l’organisme international ICEF.
« Non seulement nous avons fait le choix de l’excellence avec des formules efficaces et sur mesure, mais aussi nous offrons en plus des conditions financières intéressantes pour nos participants. » Un engagement rendu possible grâce à son équipe experte, des partenaires situés partout dans le monde et des nombreuses promotions destinées à récompenser les fidélités.
Par ailleurs, Alain Bertholet mise sur la qualité de l’accompagnement aussi bien pendant la préparation que tout au long du séjour, en mettant une place un groupe de contact à chaque destination.
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Créée en 1971, l’ECI propose des séjours linguistiques en se spécialisant dans les séjours destinés aux jeunes de 12 et 18 ans. Allant d’Irlande aux États-Unis, en passant par l’Angleterre ou l’Australie, la pratique de la langue étrangère ciblée, notamment l’anglais, est assurée par des programmes en immersion totale dans le cadre d’hébergements en famille ou d’intégrations dans des écoles de langue de renommée internationale.
L’immersion linguistique totale
Séjours au pair, stages en entreprise à l’étranger ou encore intégration en écoles de langue sont autant de formules de séjours linguistiques et éducatifs proposées par l’ECI. « À l’écoute des parents, dans le but de les conseiller sur le meilleur choix pour leurs enfants, l’association élabore ses formules en assurant aux participants un accompagnement permanent par un professeur ou un membre de l’ECI », explique Valérie Deltour, la directrice de l'association. Parmi la dizaine de formules au choix, l’immersion totale reste néanmoins le fleuron de ces séjours riches en apprentissage et en découverte. En effet, toujours selon la responsable, « cette expérience vécue au sein d’une famille américaine, destinée aux lycéens et étalée sur deux mois, se veut le cœur de métier de l’association », une offre garantissant ainsi un apprentissage rapide et efficace de la langue choisie. À cette formule viennent s’ajouter les séjours linguistiques en Angleterre ou en Irlande. Pour ce qui est de l’Irlande, il s’agira de découvrir la culture du pays tout en bénéficiant d’une « immersion dans un milieu international [multilinguistique et multiculturel], au sein d’établissements spécialisés dans la langue anglaise [accueillant de jeunes élèves venus des quatre coins du monde]», continue-t-elle. La pratique, l’approfondissement et la maîtrise de la langue choisie sont ainsi assurés par ces programmes enrichissants à l’étranger, organisés, pour la plupart, durant la période estivale. De nombreuses autres destinations sont, par ailleurs, proposées par l’association afin de satisfaire toutes les demandes en matière de séjours linguistiques.
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Professeurs, parents et élèves ont très vite adopté le magazine Kezako Mundi.
Création et évolution du magazine Kezako Mundi
Créé en 2015, le magazine Kezako Mundi est un projet qui a vu le jour grâce à la maison d’édition indépendante Enrick B. Éditions (fondée en 2007). À ses débuts, elle réalisait des fiches de droit et des ouvrages de sciences humaines et sociales pour les étudiants et les professionnels. Puis, grâce à Kezako Mundi, elle a voulu partir à la découverte d’un nouvel univers : celui de la presse.
Enrick Barbillon, psychologue social et fondateur de la maison d’édition s’est entouré d’une équipe polyvalente pour mener à bien ce projet : Carole Billiout (juriste et rédactrice), Marie Dortier (directrice artistique en charge de l’identité visuelle du magazine) et Giovanni Jouzeau (illustrateur). Sans oublier la dizaine d’auteurs et journalistes qui rédigent certaines des rubriques ainsi qu’un comité pédagogique composé de juristes et professeurs validant le sérieux et la véracité de chaque élément publié.
C’est grâce à cette équipe de passionnés que le magazine a pu passer d’une publication de 6 numéros de 44 pages par an à une publication de 10 numéros de 32 pages, ouvrant à cette occasion deux nouvelles rubriques : « Actualité » et « Ils agissent ».
À l’heure actuelle, il est possible de s’abonner pendant un temps indéfini et sans obligation de durée, pour 2 numéros seulement (offre découverte) ou d’acheter le numéro souhaité sur le site.
Un magazine avec une ligne éditoriale forte
Kezako Mundi est un magazine généraliste coloré et facile à lire qui a été créé avec une seule idée : permettre aux adolescents et étudiants de 14 ans et plus de mieux comprendre et décrypter l’actualité en lien avec leur quotidien. Pour ce faire, chaque numéro se scinde en plusieurs rubriques afin de traiter tous les sujets d’actualité par le biais d’exemples concrets, de dessins humoristiques, de schémas et de visuels simples à comprendre. L’objectif : croiser les disciplines afin de permettre aux jeunes lycéens et étudiants de se poser les bonnes questions.
Voici quelques exemples de sujets traités dans le magazine :
– Kezako Mundi n° 15 : Dossier « Les Médias en 15 questions » qui offre la possibilité aux adolescents de découvrir le métier de journaliste.
– Kezako Mundi n° 3 : « Pour ou contre l’euthanasie ». Un dossier complet qui s’accompagne d’un débat au sein duquel se confrontent les principaux arguments pour et contre.
– Kezako Mundi n° 6 : la rubrique « Savez-vous combien ? » apportant plusieurs données chiffrées liées, dans ce numéro, au secteur du tourisme.
– Kezako Mundi n° 13 : Décryptage média sur le pouvoir du like. Un sujet court pour évoquer la puissance des réseaux sociaux.
– Kezako Mundi n° 15 : Les dessous de l’image avec les Premiers pas de l’homme sur la Lune
Kezako Mundi et ses lecteurs !
En vulgarisant certains sujets complexes et en employant des termes accessibles, le magazine s’adresse aux jeunes sans les prendre pour des enfants.
De plus, il est à noter qu’il a su évoluer au fil du temps. Aujourd’hui, son passage en format mensuel lui permet de traiter de nombreuses thématiques en profondeur (surtout via les rubriques Décryptage média ou Homme/Femme). À savoir : il est possible pour les lecteurs de proposer des sujets en contactant directement le magazine par le biais de son site ou des réseaux sociaux.
Le web, d’ailleurs, parlons-en. Kezako Mundi a créé un site qui lui permet de mettre en ligne des brèves en lien avec chaque article afin d’apporter un complètement d’informations intéressant. Sans oublier des pages Facebook, Twitter et Instagram ainsi qu’une chaine YouTube : idéal pour relayer différentes actualités, des événements (prix Kezako de la littérature jeunesse, par ...
Trouvera-t-on quelques futures pépites dans le PEPITE de l’Université d’Orléans ? C’est tout ce que l’on peut souhaiter à cet acteur de l’enseignement supérieur en Région Centre, qui est l’une des pierres angulaires du PEPITE Centre. PEPITE ? Ces pôles étudiants pour l’innovation, le transfert et l’entrepreneuriat, lancés en 2014 par le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, doivent permettre aux étudiants de mener à bien leur projet de création d’entreprise en parallèle de leurs études. « Nous voulons ouvrir le champ des possibles aux jeunes issus de l’enseignement supérieur, les faire contribuer à l’innovation et à l’émergence des activités de demain nécessaires au redressement du pays », déclarait Geneviève Fioraso, alors ministre en octobre 2013 lors de la présentation du dispositif. « Ce que nous voulons, c’est susciter l’enthousiasme d’une nouvelle génération de créateurs. » Depuis ce lancement, 29 pôles ont été créés, dont l’un en Région Centre-Val de Loire.Des relations avec les entreprises renforcéesPour le premier exercice effectif, le dispositif recense 24 étudiants à l’Université d’Orléans, qui a créé pour l’occasion un poste de chargé de mission à l’entrepreneuriat. « Une activité totalement nouvelle », confie Isabelle Gillaizeau, chargée de mission « pour les relations étudiants-entreprises » avec Gaëlle Worgeld, qui occupe ce poste nouvellement créé. Ce dispositif renforce les relations de l’université avec les entreprises : formations professionnalisantes, modules de gestion d’entreprises intégrés dans les maquettes et actions de sensibilisation telles que le concours régional pédagogique de création d’entreprise « Créa Campus ».Le statut d’étudiant-entrepreneur permet à l’étudiant de remplacer ses stages obligatoires par son projet de création. En plus de l’accompagnement des projets et de la mise à disposition d’espaces de travail collaboratifs, PEPITE offre un partenariat avec des couveuses et la possibilité de mettre en place des Contrats d’Appui au Projet d’Entreprise (CAPE). Notons le soutien de la couveuse du Loiret PES45 et de Bourges Solen Angels avec 8 CAPE signés en moins d’un an. « Le diplôme d’étudiant-entrepreneur ouvre, de plus, l’accès à des formations spécifiques dédiées au projet avec un accompagnement sur mesure de professionnels mais également d’enseignants et de chercheurs du campus. » L’obtention du statut d’étudiant-entrepreneur est soumise à la validation du comité d’engagement du Pôle Entrepreneuriat Régional Centre, constitué de professionnels et devant lequel l’étudiant doit défendre son projet de création.Un potentiel entrepreneurialL’Université d’Orléans se félicite d’ores et déjà de la variété des profils représentés : « informaticiens, géologues, étudiants en lettres, DUT GEA, doctorants, etc. ». L’université, nouveau lieu pour créer des entreprises, elle qui a longtemps été critiquée pour son prétendu immobilisme vis-à-vis du monde socio-économique ? Aujourd’hui, elle s’engage en tant qu’acteur du développement territorial et joue pleinement son rôle pour l’aide au développement d’une dynamique d’innovation, en offrant l’accès aux connaissances ainsi qu’à la culture entrepreneuriale.« Le dispositif ne remet pas en cause la formation initiale mais vient, au contraire, la compléter en favorisant l’émergence du potentiel entrepreneurial », reprennent Isabelle Gillaizeau et Gaëlle Worgeld. Grâce au programme PEPITE, les étudiants-entrepreneurs peuvent s’investir dans leur entreprise, profiter du réseau d’acteurs privés ou publics et tester leurs idées sans attendre la fin de leurs études par l’obtention d’un diplôme.La Fondation de l’Université ...
Le coronavirus bouscule les habitudes de consommation, fragilisant un secteur qui doit aujourd’hui composer avec un avenir incertain.
Comment se traduit aujourd’hui l’impact du Covid-19 sur l’hôtellerie ?
JFG : On entend pas mal de chiffres mais ils ne sont pas consolidés. Nous disposons d’une première étude très récente sur le parc hôtelier de Singapour. Cette étude indique un choc de demande, qui a baissé drastiquement et dont les prévisions à court terme sont du même ordre. Les hôteliers se retrouvent avec des recettes en forte baisse et des coûts fixes importants qui eux ne bougent pas.
Nul ne sait vraiment quelles sont les pratiques de consommation du tourisme qui vont s’établir dans notre monde d’après : envie de se déplacer ? Choix des destinations (plus ou moins contraints par les ouvertures de frontières et des liaisons aériennes) ? Pour les gestionnaires des hôtels, c’est impossible à ce stade de se projeter dans l’après en posant des hypothèses d’activité (volume, durée). Comprenons-nous bien, ça ne veut pas dire qu’ils ne vont pas s’en sortir !
Un nouveau paysage économique
Les acteurs de l’hôtellerie sont-ils tous égaux pour surmonter cette crise ?
JFG : On peut mettre en avant trois variables qui vont être importantes. D’une part les pays où une partie des pertes pourra être prise en charge par des mécanismes globaux : on pense au chômage partiel comme en France et en Allemagne. Ensuite, on va voir des zones géographiques où l’activité va reprendre, quand les conditions sanitaires seront acceptables. Enfin, la crise va impacter les grands groupes mais les décisions de gestion les plus difficiles seront probablement sur les épaules de patrons de petites structures.
De l’incertitude au renouvellement
Le marché hôtelier doit-il changer de modèle ?
JFG : La question se pose sur certains outils de gestion et méthodes. Par exemple le pricing dynamique se trouve remis en cause dans une période critique de demande. Mais il retrouvera son utilité le jour où le marché sera revenu sur un équilibre classique. On peut imaginer que les gestionnaires hôteliers vont intégrer des contraintes beaucoup plus fortes de l’environnement dans leur plan stratégique. Une des questions qui émerge est celle d’une remise en cause du modèle d’internationalisation de l’hôtellerie, avec des logiques plus régionales. L’avenir nous le dira…
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Surfant sur la vague de l’économie collaborative, Anthony Brice s’est lancé dans un projet ambitieux avec seulement 5 000 € en poche. Il a créé une plateforme de mise en relation entre les particuliers désireux d’apprendre et de transmettre aux autres grâce à un système de matching offre-demande. « Plus tard, je me suis demandé comment je pouvais orienter ma solution vers les professionnels et les centres de formation. C’est ainsi que m’est venue l’idée de réaliser ce nouveau projet », nous raconte le fondateur-CEO de la start-up. À ses débuts, Tutos’Me Pro a démarré avec quelques formateurs déjà inscrits sur Tutos' Me avant d’évoluer vers un collectif de 5 300 formateurs, professeurs et intervenants éducatifs œuvrant dans 300 secteurs différents.
Centre de formation sous-traitant
Tutos’Me Pro met à disposition des institutions (écoles, centres de formation, entreprises, collectivités, etc.) ses meilleurs formateurs, expérimentés et multidisciplinaires. La plateforme veut révolutionner le parcours classique du recrutement d’intervenants professionnels qui est non seulement lourd et contraignant, mais très souvent infructueux.
Comment ? En sélectionnant à la place du client le formateur qui saura répondre précisément à ses besoins. Anthony Brice explique : « Les clients nous soumettent directement leurs demandes, puis nous leur envoyons le formateur le plus pertinent et en mesure de répondre à leurs objectifs. C’est aussi simple. »
Pour se montrer encore plus persuasive, la plateforme Tutos’Me Pro accompagne aussi le montage des projets pédagogiques et des projets de formation interne en entreprise en s’appuyant sur son réseau d’experts. Cette formule clé en main inclut la conception d’une formation sur mesure, la création d’une antenne de formation jusqu’à la mise en place d’un partenariat d’appel d’offres. « L’idée est de permettre aux entreprises de former leurs collaborateurs au sein de leur propre structure tout en nous confiant la gestion de ce projet. »
La solution gagnante
L’innovation apportée par Tutos’Me Pro est de permettre aux institutions de trouver un formateur « en moins de trois jours », mais surtout de prendre en charge toutes les questions liées au recrutement (négociation, contrat, paie, déclaration unique d’embauche, arrêts maladie, etc.) sous une facture unique. « Mieux, les clients gagnent la flexibilité du paiement par session au lieu de recruter des formateurs internes en contrat en CDI », renchérit notre interlocuteur.
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