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Chocolatiers d'exception : les bonnes adresses par ville

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Gastronomie
Chocolat
KAOKA : un chocolat bio équitable d’excellence

En 1989, bien avant que l’on parle de la certification bio ou du commerce équitable, André Deberdt s’est pris de passion pour la filière cacao, appuyant sa démarche sur les valeurs humaines et sur un partenariat gagnant-gagnant avec les producteurs.

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Gastronomie
Chocolat
Chocolaterieonline.com : un choix de saveurs à portée de clic

Un large éventail de saveurs à en faire vibrer les papilles. C’est ce que propose chocolaterieonline.com. Cette alléchante vitrine du chocolat de luxe a réussi en seulement quatre années à se faire un nom, en commercialisant les plus précieuses créations de six chocolatiers dont le savoir-faire a conquis les palais à travers le monde! Une explosion de textures et de saveurs liv...

Gastronomie
Chocolat
Bonbon et Chocolat : Au royaume des friandises

Fondée par Annase Bennani, en 2010, la société À l’Excellence est spécialisée dans les métiers de bouche. Comme son catalogue ne cesse de s’étoffer, l’entreprise élargit aussi sa clientèle en créant plusieurs plates-formes de vente en ligne, dont Bonbon et Chocolat.

Gastronomie
Chocolat
Du Rhône : maître chocolatier suisse depuis 1875

Dans l’art de fabriquer du chocolat, Du Rhône est passé maître depuis très longtemps. De la chocolaterie ouverte par M. Pertuiset dans la rue genevoise éponyme, l’enseigne a perpétué le savoir-faire et continue d’innover.

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Gastronomie
Chocolat
Artisans du Monde : délicieusement chocolat

Artisans du Monde, marque pionnière du commerce équitable depuis 1974, lance une nouvelle gamme de chocolat vegan, équitable et bio. Des recettes d’une grande finesse qui, au-delà du plaisir du palais, portent une véritable histoire : celle des paysans qui perpétuent un savoir-faire traditionnel et des bénévoles qui se mobilisent chaque jour pour un commerce plus humain et souc...

Top 10 des meilleurs chocolatiers sur votre ville

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Carpentras
KAOKA
KAOKA : un chocolat bio équitable d’excellence
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Aix-en-Provence
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Bonbon et chocolat
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ANTONY
Bonbon et Chocolat
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Genève
Du Rhône Chocolatier
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Montreuil
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Moyon
Chevaliers d'Argouges
Les Chevaliers d’Argouges : défenseurs de la tradition chocolatière normande
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Saint-Étienne
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Weiss : la signature gourmande du Haut Chocolat®
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L’Espérantine de Marseille : une confiserie d’exception, qui bouscule tous les codes  
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Chocolaterie La Frigoulette : quand manger du chocolat devient un acte responsable !
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Chocolaterie La Pichotte :
le petit écrin des trésors sucrés
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Paris
Dalloyau
Chocolats Dalloyau : un océan de saveurs naturelles et intenses
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Paris
A La Reine Astrid
Chocolat « À la Reine Astrid » :
une gourmandise qui enchante les sens

LES ARTICLES LES PLUS LUS

L'Anvers du décor, spécialiste en cuisine française

Un cadre charmant à la touche « Vieux Paris », un grand bar et du mobilier en bois ancien, un peu de jazz en musique de fond : la simplicité y côtoie le raffinement pour cultiver la convivialité et l’ambiance chaleureuse. Le havre idéal pour se détendre après des activités dans le frétillant 18e arrondissement de Paris. La cuisine traditionnelle à l’honneur À L’Anvers du décor, la saisonnalité et la fraicheur des produits utilisés sont des engagements au quotidien. On y propose tous les jours, de 9 h à 23 h, des délices faits maison typiquement français dans une carte riche et diversifiée. Les entrées succulentes comme le carpaccio de saumon frais marin ou les escargots de Bourgogne donnent le ton. Le chef laisse ensuite transparaitre d’autres subtilités à travers le poisson frais du jour ou des viandes tendres et délicieuses, le tout accompagné d’une garniture au choix (riz, frites maison ou haricots verts). Les convives n’ont que l’embarras du choix entre la cuisse de poulet rôti aux herbes, le confit de canard, la souris d’agneau braisée au romarin, la côte de bœuf pour deux, la côte de porc grillée du Pays basque ou encore les sardines grillées au sel de Guérande. Salades et pâtes variées sont aussi au rendez-vous. Mais dans cette adresse hors pair, ne pas gouter aux moules marinières (origine France) est presque un péché. Sous les mains du chef, ce plat n’en reste pas un, il devient un véritable chef-d’œuvre culinaire. Et la magie ne s’achève qu’après avoir apprécié le mi-cuit chocolat crème anglaise, la tarte du jour ou la crème brulée à la vanille. ...

Le Duc : délices gourmands à Nice

Tout au long de l’année, la Promenade des Anglais attire autant les locaux que les touristes en quête de moment de détente. Réputée pour son fameux Carnaval de Nice, la promenade est aussi connue pour abriter les hôtels à l’architecture Belle Epoque des plus remarquables de la Côte d’Azur. Parmi eux, le Westminster Hotel & Spa. Rénové entre 2015 et 2016, l’hôtel en a profité pour dévoiler son tout nouveau restaurant : Le Duc. L’élégance à la française Tout comme l’hôtel Westminster Hotel & Spa, le Duc séduit autant par son élégance que par son atmosphère apaisante. Jouant sur la tonalité mauve, la décoration est à la fois contemporaine et chaleureuse. Sur les murs, les photographies signées Valéry Trillaud sont parfaitement exposées et mises en scène par un éclairage subtilement nuancé. En un instant, on se croirait presque dans une galerie d’art. Mais le vrai spectacle est celui offert par le chef et son équipe. En effet, le restaurant propose une cuisine ouverte, laissant ainsi aux convives le privilège d’admirer la brigade en action. Et pour couronner le tout, la magnifique terrasse vitrée et surélevée offre une vue imprenable sur la Méditerranée et la baie des Anges. Selon le souhait des clients, la vitre peut être ouverte pour s’imprégner totalement de l’ambiance de la Promenade des Anglais. Une cuisine traditionnelle mais créative Côté cuisine, la qualité des plats est à la hauteur de la beauté des lieux. Raffinés et authentiques, ils sont avant tout savoureux, frais et soigneusement concoctés. Digne fils de la ville de Nice, Le Duc met à l’honneur la cuisine méditerranéenne et traditionnelle à base de légumes, de saveurs et de senteurs provençales. La carte fait ainsi la part belle aux grands classiques niçois subtilement revisités par le chef Dominique Sgro.  Au déjeuner, les convives pourront choisir entre deux formules. La première propose une entrée et un plat ou un plat et un dessert pour 19 €. La seconde offre un menu du jour à 25 € composé d’une entrée, d’un plat et d’un dessert qui changent selon l’ardoise du jour. Pour les deux menus, les amuse-bouches ainsi que le café sont offerts. Au diner, le Menu Niçois met à l’honneur les spécialités niçoises à 37 €. Pour accompagner le repas, l’établissement propose une sélection de vins où le terroir de la région est mis à l’honneur. La carte recèle quelques pépites comme le Bellet Château de Bellet Baron G millésime 2013 ou encore le vin rouge bordelais : l’AOP Saint-Emilion Château Berliquet Grand Cru classé millésime 2010. Le tout, servi par un personnel aussi avenant que motivé. A chaque jour sa spécialité niçoise Par ailleurs, Le Duc sort du lot avec son concept à chaque jour, sa spécialité niçoise. Selon la disponibilité du marché et des produits de saison, le chef met à l’honneur un plat typique de la région. Une occasion pour les convives de découvrir ce patrimoine culinaire niçois qui fascine et enivre en même temps. Le lundi, place au véritable Aïoli « Le Duc ». Le mardi, il travaille le cabillaud tandis qu’il surprend avec le succulent fricassé de lapin, le mercredi. Le jeudi, le délicieux Capon Niçois est servi. Le vendredi, le Rouget Grondin en portefeuille, sauce vierge émoustille les fins palais. Le samedi, une note de douceur apportée par l'Epaule d’Agneau Frottée à L’Ail et aux Herbes, Bayald attend les convives. Et pour achever en beauté la semaine, le chef sublime le Filet de Daurade à la plancha accompagné de conchiglioni farcis.  ...

Restaurant Terre Mer :
la subtilité et la perfection dans l'assiette

Auray est un bourg dynamique morbihannais dont le paysage change au gré des marées. La beauté et le calme du port de Saint-Goustan imprègnent les promeneurs venus sillonner les berges pour trouver un moment de sérénité. L'église de Saint-Gildas classée monument historique tout comme l'hôtel de ville datant du XVIIIème siècle, les maisons à colombage, le pont Saint-Goustan, le Vallon du Reclus, La Petite Forêt forment le riche patrimoine architectural, historique et naturel de la ville. Au-delà des sites et monuments, Auray a la chance d'abriter l'une des meilleures tables de la région. Au restaurant Terre Mer, on cultive l'excellence dans l'assiette mais aussi dans l'accueil. Anthony Jehanno, globe-trotter et artisan du goût Le goût pour la cuisine, Anthony Jehanno l’a acquis dès sa plus tendre enfance. Adolescent, il obtient son BEP à Sainte-Anne-d’Auray. Sa passion et ses talents le conduiront rapidement vers les plus hautes marches de ce métier d’exception où l’attend sa première place de chef à Montmartre, au sein de l’établissement Moulin de la Galette. Telle une locomotive, plus rien alors ne l’arrête. Il est sollicité par le groupe Ducasse pour l’ouverture d’un nouveau restaurant situé sur les Champs-Elysées. Après avoir sillonné Londres et les Etats-Unis où il a exercé comme consultant, ce globe-trotter choisit de déposer définitivement ses valises dans le Morbihan, sa terre d’origine. De là commence une merveilleuse et nouvelle aventure qu’il vivra aux côtés de son épouse, Anne-Sophie Jehanno. Ensemble, le duo complice façonnera leur nouvel établissement à leur image. Ici, rien de trop guindé. La charmante maison de granit livre une décoration chic et raffinée, juste ce qu’il faut. Premier détail qui focalise l’attention : les murs en pierre et les poutres apparentes qui confèrent tout son charme à la salle. Une cuisine actuelle Dans cette atmosphère élégante et cosy, Anthony Jehanno et sa brigade œuvrent pour flatter vos papilles. Les produits du terroir et de la mer de la région sont à l’honneur. Le jeune chef Morbihannais travaille en étroite collaboration avec plusieurs petits producteurs afin de sublimer à sa manière les trésors locaux et de saison. Le produit est en majesté. Cela débute par un foie gras poêlé qui se décline en de multiples accompagnements selon la saisonnalité. Mais cette fois-ci, vous le dégusterez bien avec du kiwi jaune et de l’ail noir. Enchaînez ensuite avec un dos de chevreuil amandes airelles ou un filet de Saint-Pierre salsifis champignons et « cazette ». Au dessert, laissez-vous tenter par les tartelettes du chef dont l’expérience en pâtisserie transparaît avec brio dans l’assiette. Les saveurs de cette cuisine actuelle, équilibrée et goûteuse sont sublimées par une puissante carte de vins. Bien que les propriétaires expriment une préférence pour les vins de Bourgogne, la cave se compose d’autres belles références issues de l’Alsace, de Bordeaux, de Gascogne, de la Loire, du Rhône. ...

Les Haras :
La Brasserie des temps modernes de Strasbourg

Installée dans les anciens Haras nationaux, datant de l'époque de Louis XV, La Brasserie Les Haras fait actuellement la fierté de tout Strasbourg. Ouverte depuis 2013, elle s’est construite une réputation qui n'est plus à faire que ce soit au niveau national qu’international. En effet, l'établissement a remporté en 2014 le prix du meilleur design de restaurant au monde. En 2015, il a été sacré "meilleure brasserie" par le célèbre critique gastronomique Gilles Pudlowski dans son Pudlo Alsace 2015. Et au début de cette année 2016, la qualité de sa cuisine a valu une assiette auprès du Guide Michelin. A la tête de ce succès, le chef à trois étoiles Marc Haeberlin supervise une équipe gagnante composée du brillant Maxime Muller comme directeur d'exploitation, le surprenant chef François Baur en cuisine appuyé par la créative Tinh Tran, la maestro de la pâtisserie et enfin, Guillaume Zehnacker, le magicien des cocktails.   Un endroit qui éblouit les yeux... Une fois la porte franchie, un univers qui fascine et qui enivre en même temps se dessine. Dans ce décor rustico-chic signé Patrick Jouin et Sanjit Manku de l'agence Jouin Manku, un luxe inspiré par la sobriété du monde équestre est mis en avant. Dès l'entrée, la convivialité et le partage sont à l'honneur. Au milieu de la salle, un bar sympathique et un espace Lounge avec fauteuils en cuir et quelques tables pour servir les apéritifs ont été installés. Au fond, une cuisine circulaire ouverte offre un spectacle des plus réjouissants. Mais, l'élément le plus impressionnant dans ce décor est l'imposant escalier circulaire qui se dresse au milieu de la salle, à quelques pas du bar. Véritable pièce maitresse de l'établissement, il semble être suspendu dans les airs ou en apesanteur. En empruntant ce fleuron architectural, on accède à l'arène du service au premier étage. Tout comme le rez-de-chaussée, la décoration démontre le parfait mariage du traditionnel et de la modernité. L'ambiance est toujours aussi chaleureuse et la lumière tamisée apporte une petite touche de douceur à l'ensemble. Sur les deux niveaux, La Brasserie peut accueillir jusqu'à 150 personnes dont 20 places dans la salle privée Yourte. Et durant l'été, la terrasse propose 110 couverts dans la paisible cour intérieure de ce monument classé historique depuis 1992.   Une cuisine qui ravit les papilles... Tout cet esthétisme se découvre également au travers des plats. A la tête de la brigade, le chef François Baur veille à ce que chaque met soit digne de la beauté des lieux. Doté de ses plusieurs années d’expériences auprès de grands établissements gastronomiques, il a su affiner son empreinte culinaire. Aujourd’hui, c’est auprès de La Brasserie Les Haras qu’il exploite son talent en proposant des plats savoureux et originaux. Fidèle à « l’esprit brasserie », il reprend les grands classiques de la cuisine française tout comme les spécialités alsaciennes en y apportant une petite touche de modernité. Etant un aventurier, il n’hésite pas à s’inspirer de la cuisine du monde pour proposer des plats aussi créatifs que savoureux. A la carte, les convives découvrent le nouveau goût du foie gras de canard Haeberlin au chutney mangue aigre-doux avec une brioche tiède en entrée, du fameux burger d’agneau épicé aux épices d’orient ou du tronçon de lotte cuit dans un beurre blanc au rhum et quinoa à la pomme de granny smith, pour ceux qui préfèrent les poissons, en plat de résistance et le succulent tiramisu pomme vanille en dessert. Le midi, les convives pourront opter pour le menu du jour allant de 31 € à 36 €. Pour accompagner dignement les plats, la carte de vins recèle quelques pépites. Signée Serge Dubs, le célèbre sommelier, elle présente environ 120 références. Le tout servi par un personnel chaleureux et sympathique sous la supervision de Philippe Schmermesser.    ...

La fourme d’Ambert : toute la douceur d’un fromage bleu

Le mot fourme vient du latin et signifie « mettre en forme le cailler ». En français moderne, ce mot signifie « fromage ». De là, est apparue la combinaison des mots « fourme d’Ambert », qui signifie « fromage d’Ambert en Auvergne ». Une histoire raconte qu’à l’époque napoléonienne, des écrits de dragon autrichien témoignent de l’achat du fromage à Ambert. Une denrée ensuite jetée dans la rivière parce qu’elle était moisie. Mode de fabrication Fromage à pâte persillée, la fourme d’Ambert se caractérise par sa forme verticale, ronde et haute. Elle est produite principalement en Auvergne, sur la montagne du Puy-de-Dôme (600-1 600 mètres d’altitude), dans 5 cantons du Cantal, mais également dans 8 communes de la Loire. La fabrication de la fourme d’Ambert se fait manuellement et naturellement, respectant ainsi les techniques ancestrales de fabrication et les valeurs même de son terroir d’origine. Le lait de vache est alors mélangé avec un champignon appelé le Penicillium Roqueforti, afin d’obtenir le persillage. Vient ensuite l’étape du caillage puis, le travail en cuve (découpage et brassage). La mise en moule se fait à l’aide d’un tapis afin de préserver les grains coiffés, pour aller directement à l’égouttage, où les fromages sont retournés durant 24-48 heures. Une des étapes les plus importantes est le salage qui se fait manuellement au sel sec, puis le piquage, qui consiste à créer des trous à l’aide de grandes aiguilles, pour permettre le développement du bleu. Pour finir : le passage dans les caves d’affinage, où la fourme d’Ambert repose durant vingt-huit jours. Un goût unique aux mille recettes De ce fromage bénéficiant de l’Appellation d’origine contrôlée (AOP) depuis 1972 naissent des milliers de recettes créées par des professionnels de la gastronomie, mais également par des amateurs de la cuisine. Facile d’utilisation, il rayonne aux quatre coins de la planète par son goût de champignon et sous-bois, à la nuance fruitée. En arôme, il dégage une odeur de cave. La fourme d’Ambert s’accorde avec tous types d’aliments, chauds, froids, ou sucrés, salés et même avec des boissons, comme le mélange du cappuccino de betterave et de la fourme d’Ambert. Elle sublime ainsi toutes les créations culinaires : tartelette de fourme d’Ambert aux brocolis et caramel de pommes, magret de canard, rillettes aux noix et à la fourme d’Ambert, crème brûlée à la fourme d’Ambert. ...

Château de Briat : des armagnacs authentiques

Le château de Briat est un ancien relais de chasse du roi Henri IV, construit en 1540. Depuis 1864, il appartient à la famille Pichon Longueville. Transmis par les femmes, c’est aujourd’hui la 5e génération qui exploite le domaine en la personne de Stéphane de Luze. Sur les 50 hectares du domaine, huit sont dédiés à la production d’armagnac. Y sont présents trois types de cépages : le Baco, le Colombard et la Folle-Blanche. Un savoir-faire traditionnel La vinification est réalisée cépage par cépage, dans des cuves en ciment. La présence de champignons sur les barriques participe à l’étape de fermentation. Dès l’année prochaine, des cuves en inox prendront place également dans le chai, pour un meilleur contrôle du degré de fermentation. Après distillation, l’armagnac est mis en barriques, où il va vieillir. Le taux d’alcool va diminuer, tout en libérant les arômes.   Environ 10 500 bouteilles sont produites chaque année. 50 % des ventes sont destinées à l’international (États-Unis, Russie et Chine). Des armagnacs authentiques La Folle-Blanche donne des armagnacs au goût floral, végétal. Avec le Baco, on obtient des armagnacs au goût plus confit, avec des notes de chocolat. Quant au Colombard, il offre des armagnacs plus fruités. Parmi tous les armagnacs élaborés par le château de Briat, vous trouverez des armagnacs millésimés pur cépage âgés de plus de 20 ans, des hors d’âge de plus de 10 ans, et également des XO de 6 ans. Tout comme les small batch de whisky, le château de Briat commercialise un brut de fût, où chaque bouteille est estampillée avec le numéro de barrique, le nombre de bouteilles et la date de mise en bouteille. Son Spiritueux N° 18 Armagnac a reçu la médaille d’or au VIe Concours des meilleurs vins et spiritueux français en Asie en 2016. Visite Vous pouvez visiter le chai du lundi au vendredi. La visite est suivie d’une séance de dégustation. ...

Elsoli, l’ambassadeur des vins argentins
et latino-américains

« En lisant les cartes de différents restaurants, je remarquais qu’il y avait beaucoup de vins chiliens, et pas forcément de vins d’Argentine. Or, moi qui suis originaire de ce pays et, de plus, fille de vignerons, je connaissais très bien la qualité des vins argentins ! », révèle Else Decker. La fondatrice d’Elsoli devient ainsi l’ambassadrice des vins de son pays, en créant sa propre société d’importation en 2005. Depuis, elle prend véritablement plaisir à dénicher les perles rares d’Argentine. Et elle les propose avec fierté sur le marché français, en collaborant avec différents distributeurs. De savoureux vins de terroir Selon Else Decker, le secret des bons vins argentins, c’est leur terroir. « Déjà, le vignoble bénéficie de 300 à 320 jours de soleil par an. Cela favorise la maturation des raisins. Grâce au bel écart de température qu’offre le climat, la vigne va s’enrichir en soleil pendant la journée, tandis que, la nuit, elle bénéficie de la fraicheur apportée par le vent. »  Par ailleurs, les terroirs d’Argentine sont riches et variés, grâce aux différents éléments qui les composent : calcaire, argile, matières minérales... En outre, ils sont « très sains », puisque les viticulteurs privilégient des pratiques culturales nécessitant très peu de produits chimiques. En plus de révéler les particularités de leur terroir, les vins argentins symbolisent la passion et l’honnêteté du vigneron dans son travail. Des vignerons passionnés Else Decker travaille actuellement avec cinq vignerons qu’elle connait « personnellement », tient-elle à souligner. En quête de tradition et d’authenticité, elle a d’abord été séduite par les vins de la famille Roca, de Mendoza. « Quand j’ai fait déguster les vins à quelques bons restaurants et sommeliers reconnus en France, ils ont tous aimé ! À partir de là, j’ai fait venir ma première commande qui s’est vendue très rapidement. »  L’aventure a continué avec Domingo Molina, dont le vignoble est situé entre 1 600 et 2 300 m d’altitude dans la vallée de Cafayate, à Salta . Cette maison a convaincu Else Decker par sa façon de vinifier le Torrontés, un cépage caractéristique de l’Argentine. Vient ensuite La Bodega del Fin del Mundo, un domaine basé à l’extrême sud de Patagonie. Ici, place à des vins de haute qualité qui arborent parfaitement les particularités du terroir « du bout du monde ». Une autre maison qu’Elsoli représente est celle des Bianchi, une famille de vignerons italiens qui se sont installés en Argentine en 1887. Leur savoir-faire est soigneusement préservé à travers leurs vins, synonymes de passion et de tradition séculaire. Enfin, la maison uruguayenne Bracco Bosca, qui doit notamment son succès à la cuvée « Ombù », un nom tiré de celui d’un arbre typique d’Uruguay. En choisissant ce domaine, Else Decker veut dépasser les frontières de son pays d’origine. « Aujourd’hui, on me demande de rapporter d’autres vins, pas seulement d’Argentine. À croire que je deviens un peu l’ambassadrice d’Amérique latine ! », conclut-elle, enthousiaste. ...

Le rhum Compagnie des Indes : une promesse d’authenticité

Cette jeune compagnie se veut être le pionnier de l’authentique en proposant une grande variété de rhums élaborée dans les distilleries parmi les plus prestigieuses. Affectionnés par les consommateurs, les rhums au caractère affirmé de la Compagnie des Indes sont soit le fruit d’assemblages harmonieux entre différentes cuvées de qualité soit de fûts uniques provenant de terroirs de renom tels que la Jamaïque ou la Guyane. Des rhums complexes aux saveurs insoupçonnées « Un rhum au goût de rhum ». Ces propos de Florent Beuchet, gérant et fondateur de cette société, rappellent la noble quête d’honnêteté et d’authenticité dans laquelle il s’est lancé à ses débuts en 2013. C’est en sillonnant les mers, à la manière d’un pirate, qu’il part débusquer sous les tropiques les meilleurs rhums. Sélectionnés par fût, ces derniers sont ensuite assemblés et embouteillés en France ou bien directement embouteillés en France en single cask sans ajout, sans colorant, sans arômes et sans produits chimiques afin de « mettre des vrais rhums représentatifs de leur terroir d’origine en avant », affirme Florent. Riche de son parcours estudiantin en commerce international et de ses expériences dans le domaine des spiritueux, il souhaite partager sa passion en proposant des « rhums authentiques et très aromatiques », continue-t-il. Un plaisir gustatif sans égal En conservant les typicités de chaque terroir, Florent Beuchet mise sur une expérience gustative unique, composée, selon lui, « d’un éventail d’arômes très vaste et distinct selon la distillerie et le pays d’origine ». Les single cask présentés sont ainsi « surprenants », reprend-il. Autre ambassadeur de cette compagnie se trouve le Jamaïca Navy Strength, un rhum puissant, 100% 5 ans d’âge et embouteillé à 57° d’alcool en hommage à l’histoire de la marine britannique. Découvrez, également, le Tricorne, un fort et goûteux rhum blanc issu d’un assemblage unique au monde de rhums provenant des quatre coins du globe. ...

Champagne Vincent Bliard : une qualité inimitable

Issue d’une longue lignée de viticulteurs, la famille Bliard exprime, depuis presque un demi-siècle, son attachement au terroir champenois. Pour cela, elle revendique une culture biologique avec un soin tout particulier apporté au travail du sol. Résultat : des cuvées toutes en finesse et en élégance, dont la qualité fait l’unanimité auprès des fins palais. La culture de la qualité Depuis 1970, la maison travaille sur un vignoble de 4 hectares, tout en veillant à préserver la Nature en adoptant les principes de l’agriculture biologique. « Nous n’utilisons jamais de pesticide, ni de désherbant, ni d’autres produits chimiques de synthèse d'ailleurs », nous indique Vincent Bliard, propriétaire des lieux. Le vignoble comprend les trois cépages rois de la Champagne à dominance de pinot meunier. Récoltant-manipulant, la maison gère l’intégralité de la chaine de production et Vincent Bliard a l’œil à tout. « Je veux la meilleure qualité possible, donc je supervise personnellement toutes les opérations », souligne-t-il. Pour les vendanges, les raisins sont récoltés manuellement quand ils atteignent leur maturité optimale. Le circuit de cueillette est choisi en fonction de trois critères : le cépage, l’âge des vignes et l’exposition. Afin de respecter au mieux les caractéristiques du raisin, la vinification s’effectue sans intervention particulière. Comme on dit, les bons vins se bonifient avec le temps ! Cela tombe bien, car les Bliard se plaisent à laisser les choses s’opérer de manière naturelle. « Les vins sont élevés dans des foudres de chêne durant un an. Cela leur laisse le temps de s’élaborer sans que nous ayons à intervenir pour accélérer le processus. »  Des cuvées exceptionnelles La maison Vincent Bliard élabore principalement trois cuvées : « les trois cépages », qui se déclinent en trois saveurs (carte noire, prestige, excellence), une cuvée Blanc de Blancs et une cuvée de rosé. Afin de mieux faire connaissance avec la maison, « la carte noire » est sans conteste la plus indiquée. Il s’agit d’un champagne premier cru obtenu à partir de l’assemblage de 40 % de pinot noir, de 35 % de pinot meunier et de 25 % de chardonay. D’une couleur jaune doré, cette cuvée se distingue par ses arômes de fleurs, d’agrumes et de pâtisserie. Idéale à l’apéritif ou pour accompagner des plats de poisson comme le filet de turbot au beurre blanc. ...

Le Cordon Bleu Paris : des formations d’excellence

À travers ses différents programmes et diplômes, Le Cordon Bleu offre des opportunités uniques et ouvre les portes pour des carrières en France ou à l’international. Une équipe pédagogique à la pointe Créé en 1895 par la fameuse journaliste culinaire Marthe Distel, Le Cordon Bleu est aujourd’hui un réseau qui réunit près de 40 écoles réparties dans 20 pays à travers le monde. Ce sont 20 000 étudiants de 100 nationalités différentes qui sont formés chaque année par Le Cordon Bleu. Cette prestigieuse école dispense deux types de formations : des formations et diplômes en Arts Culinaires (cuisine, pâtisserie, boulangerie)  et des formations en Œnologie et des Bachelors en Management Hôtelier International et en Management des Arts Culinaires. « Ce sont des formations dispensées par des professionnels reconnus et de grands chefs aux parcours exceptionnels », nous précise l’équipe marketing. En effet, l’institut Le Cordon Bleu Paris peut se targuer d’avoir sous la main, le chef Éric Briffard, meilleur ouvrier de France, actuellement directeur des Arts Culinaires et chef exécutif de l’institut parisien. Avec ses 35 ans d’expérience dans l’univers de la gastronomie, Éric Briffard a été récompensé à plusieurs reprises notamment de 2 étoiles au guide Michelin lors de son passage à l’Hôtel Georges V. À ses côtés, œuvre une équipe de chefs enseignants en cuisine, pâtisserie et boulangerie. Quant aux formations en management ce sont des professionnels reconnus et hautement qualifiés du milieu de l’hôtellerie et de la restauration qui forment les étudiants à devenir les managers de demain dans les secteurs de l’Hôtellerie-Restauration Des formations de haut vol Le Cordon Bleu Paris propose aux étudiants quatre formations en Arts Culinaires : le Grand Diplôme, le Diplôme de Cuisine, le Diplôme de Pâtisserie et le Diplôme de Boulangerie. Le Grand Diplôme, d’une durée de neuf mois, regroupe le diplôme de Cuisine et de Pâtisserie Le Cordon Bleu, permettant aux étudiants d’acquérir toutes les techniques des grands maitres, entre tradition et innovation. Les cours en Arts Culinaires sont prodigués de manière bilingue (français et anglais) et structurés en deux parties : une démonstration durant laquelle les étudiants observent, prennent des notes et un cours pratique durant lequel ils appliquent et reproduisent les gestes du chef. Les diplômes en Arts Culinaires évoqués ci-dessus vont permettre aux étudiants de découvrir les techniques culinaires françaises. Des techniques qu’ils pourront mettre en pratique à l’issue de leur formation, lors de stages professionnels. Le Diplôme de Boulangerie s’étale sur une durée de six mois incluant un stage obligatoire de deux mois. Il forme notamment les étudiants aux techniques essentielles de la préparation du pain. Le Cordon Bleu Paris dispense également des formations en management applique dans les secteurs de l’hôtellerie, la restauration ou dans les métiers du vin. L’institut de Paris propose deux bachelors (bac +3) : le Bachelor en Management Hôtelier International et le Bachelor en Management des Arts Culinaires. Ces diplômes, d’une durée de 3 ans, ont pour objectif de former de futurs managers dans les métiers de l’hôtellerie et de la restauration. Pendant leur bachelor les étudiants réaliseront plusieurs stages en entreprise à Paris ou à l’international. Parmi les partenaires de l’institut : Hôtel de Crillon, Trianon Palace, Chef Michalak, The Peninsula Paris, Sofitel Dubaï, Four Season Los Angeles, Raffles Istanbul, Taj Mahal Palace Mumbai, The Nile Ritz-Carlton, etc., les etudiants auront l’opportunité de réaliser un certificat d’une durée de 3 mois au sein du réseau d’institut Le Cordon Bleu dans le monde. À compter d'octobre 2018, le Bachelor en Management Hôtelier International et le Bachelor en Management des Arts Culinaires seront dispensés en partenariat avec une université française de renom, l’Université Paris-Dauphine. A l'issue des 3 ans, les étudiants obtiendront donc un double diplôme, celui de « Talent en Management des Arts Cu...

Châteaux Paradis : La finesse provençale

La région de Provence-Alpes-Côte d’Azur est le terroir à forte inspiration gastronomique et viticole qui abritele Château Paradis. Poursuivant l’œuvre de leurs prédécesseurs, les nouveaux propriétaires,qui ont hérité de ce domaine, bénéficient d’un patrimoine d’exception et d’un savoir-faire particulier en termes de vinification. Une agriculture viticole raisonnée La famille Thieblin est installée et pratique la viticulture dans la commune de Puy-Sainte-Réparade depuis 2011. Bien avant, le domaine a été la propriété de Jacques Héon durant une vingtaine d'années. Par la suite, il est passé aux mains de la famille Deschamps en 2003. Xavier et Odile, exploitants de spiritueux à la Réunion, l'ont racheté ensuite et ont étendu le vignoble avec 50 hectares supplémentaires, passant de 30 à 80 hectares en 2012. Un soin particulier est apporté au travail des sols et une surveillance accrue de l’état des vignes permet un travail plus respectueux. De plus, l’ensoleillement et le Mistral sont naturellement propices à une culture raisonnée. Les vins du domaine sont élaborés à partir de cépages de qualité, comme le Grenache, le Sauvignon, le Cabernet Sauvignon et la Syrah. Ils se déclinent en deux gammes différentes :"Terre des Anges" et  "Château Paradis". Une vinification dans les règles de l’art « Terre des Anges rouge », à la robe pourpre profond, est ponctué en nez par son côté minéral. En bouche, il éveille les papilles par sa rondeur et sa finesse. Ce vin s’accorde bien avec une daube de sanglier. Pour une meilleure dégustation, il est conseillé de le servir entre 10 et 12 °C. « Château Paradis blanc », très séduisant par ses reflets dorés à l’œil, d’un nez frais ponctué de notes d’agrumes, enchante les papilles avec ses arômes de grenache blanc. Il s’apprécie parfaitement avec une papillote de bar, citron confit et coriandre. La douceur et la générosité de ces vins est la résultante d’une vinification faite dans les règles de l’art. Le processus de vinification bénéficie des conseils œnologiques de Michel Tardieu et de Philippe Cambie. Le domaine s’est doté, en 2003, d’une cave par gravité et utilise des cuves tronconiques pour altérer le moins possible la qualité et la nature du raisin. ...

Bistroquet de l'hôtel du Dauphiné :
cuisine traditionnelle sans chichi

Gourmands et gourmets se plairont à côtoyer la table d’Abdel Barakat, chef en cuisine au sein du Bistroquet de l’hôtel du Dauphiné. Ce locavore aime concocter des plats simples et savoureux qui transportent les convives dans un univers où se mêlent saveurs traditionnelles et exotiques. Les ravioles : un plat emblématique Bistroquet de l’hôtel du Dauphiné, un nom qui n’a pas été choisi au hasard. Bien au contraire, il a été mûrement réfléchi pour correspondre parfaitement à l’esprit de la maison.Celle-ci se veut aujourd’hui être l’une des ambassadrices des ravioles artisanales, une spécialité romanaise et qui sont directement commandées auprès de Chez Hostache, à Montlaur-en-Diois ou bien au Grand Goulet, à La Chapelle-en-Vercors. Le chef Abdel Barakat aime travailler de mille et une façons ce produit romanais. Il est intéressant de savoir qu’à la base, celui-ci est constitué d’une pâte de farine de blé tendre, d’œuf et d’eau qui est garnie d’emmental ou de comté, de persil sauté au beurre. Mais au Bistroquet de l'hôtel du Dauphiné, vous ne le trouverez jamais préparé de la même manière. Laissez-vous séduire par les saveurs originales des ravioles à la crème de citron et ciboulette, des ravioles aux morilles, des ravioles au gingembre ou encore des ravioles en crumble de noix qui sont de nouvelles recettes développées par le chef. Un amour fort pour le terroir Bien entendu, la carte du restaurant ne se contente pas de proposer cet unique plat. Vos papilles seront forcément comblées par les nombreuses suggestions gourmandes élaborées avec passion et créativité par Abdel. Pour finir, place à des desserts plus classiques fait maison comme la tarte aux noix et caramel ou le vacherin. Vous l’aurez compris. Au Bistroquet de l’hôtel du Dauphiné, la cuisine du terroir est à l’honneur. « J'essaie de mélanger un petit peu ma passion avec la cuisine méditerranéenne et traditionnelle » raconte le chef Barakat. Toujours dans le respect du produit, ses propositions culinaires mettent en avant sa créativité. Pour travailler, il puise dans la richesse du terroir et aime tout ce qui est « bio ». Véritable adepte du circuit court, il a tissé des relations privilégiées avec plusieurs producteurs locaux œuvrant aux alentours. Un restaurant chaleureux Le Bistroquet de l’hôtel du Dauphiné est installé dans une bâtisse datant du XVIIIe siècle située en bord de route,dans le centre du village, à l’angle de la rue principale de Chatillon-en-Diois. Le propriétaire décide d’apporter un peu de fraîcheur et d’innovation dans l’établissement le transformant ainsi en un lieu cosy et chaleureux. Vous pouvez vous installer à l’intérieur pour profiter de plus d’intimité ou investir les deux terrasses lorsque le temps le permet avec en toile de fond, la superbe falaise du Vercors. Tout est fait pour que vous vous sentiez à l’aise. A l’accueil et au service, une équipe avenante et chaleureuse est à votre entière disposition et fait de votre passage un pur moment de plaisir. ...

Lise Baccara : entre passion et savoir-faire

Rester à l’écoute des tendances de consommation, choisir des ingrédients de qualité et tester de nouveaux produits tout en conservant le savoir-faire hérité de ses aïeux, telle est la démarche adoptée par Gérard Paignon, à l’origine du succès incontestable de sa marque aujourd’hui. Les spécialités Ici, place au travail artisanal. Parmi les spécialités de la maison figurent les apéritifs, des assemblages de cognac et de fruits ou de plantes naturels rigoureusement sélectionnés. Un savoir-faire qui a valu de nombreux prix à la « Troussepinète », dont la médaille d’or récoltée au Ultimate Spirits, à New York, en 2012. Autre gage de qualité, la médaille d'or fraichement récoltée par le cognac VSOP Lise Baccara au dernier Concours Général Agricole à Paris vient s'ajouter au palmarès de la maison, déjà bien étoffé. Une véritable consécration puisque dans cette catégorie, seulement 2 lauréats s'en sortent avec brio. ...

Bad Boy Thunevin : un vin de bordeaux décalé à tester

Depuis ses débuts dans l’univers du vin, Jean-Luc Thunevin a souhaité briser les codes du milieu. Le vin Bad Boy en est un exemple concret. Bad Boy : un vin pas comme les autres La première chose qui interpelle quand on observe la bouteille, c’est son étiquette. Cette dernière reprend les codes qui ont fait la réputation de Jean-Luc Thunevin. Le mouton noir, tout d’abord. Mais aussi la notion de « vin de garage » et enfin, le nom. Jean-Luc Thunevin est, en effet, surnommé le Bad Boy de Saint-Émilion. Créé à partir d’un cépage 100% Merlot, ce vin est élevé en barrique neuve pendant 14 mois. D’après les commentaires de son créateur, le vin Bad Boy est très facile à boire et peut facilement être vieilli pendant quelques années supplémentaires. À cela, il faut rajouter le fait qu’il soit proposé à un excellent rapport qualité/prix et que les différents millésimes sont particulièrement bien notés (entre 86 et 90/100 en moyenne selon les millésimes).  ...

Restaurant Le Cerf : dégustez une cuisine en perpétuelle évolution !

Le Cerf se plaît à surprendre ses convives à travers une cuisine qui allie parfaitement excellence, innovation et créativité. Un cadre enchanteur Entraînant ses hôtes dans un voyage intemporel, le restaurant du Cerf a choisi comme cadre une charmante bâtisse du Moyen Âge. Ici, les invités dégustent une cuisine d’exception dans une ambiance cosy avec un style soigné et créatif, le tout conservant une certaine sobriété. Bien visibles, des arches et piliers en pierre signent l’originalité et l’authenticité du lieu. Bref, un endroit idéal pour passer un moment agréable en famille, entre amis ou collègues. Une cuisine évolutive toujours au plus proche du produit. En cuisine, le chef Carlo Crisci, doublement étoilé au Michelin,  accorde beaucoup d’importance au respect du produit et de ses origines. « L’inspiration vient du produit essentiellement », souligne-t-il au passage. Dans ses créations, le chef s’adapte ainsi en fonction des saisons. Résultat, les convives se retrouvent avec quatre menus au choix : surprises, fixe 4 entrées, prestige et gastro-business. Avec la promesse de pouvoir découvrir à chaque fois de nouvelles saveurs, les menus surprises connaissent un large succès auprès des habitués. « Nous sommes en constante évolution. Nos clients n’ont ainsi pas l’impression de manger à chaque fois la même chose. Ils viennent justement pour cela, la découverte », explique le chef. Ainsi, le mardi, mercredi et jeudi, Carlo Crisci propose aux plus audacieux le menu surprise 2 entrées, accompagné de ses 5 crus au verre. Pour les moins téméraires, le chef leur suggère d’opter pour le menu prestige en dégustant par exemple une frivolité de turbot à la moelle, beurre fumé et émulsion d’oursins. Et pourquoi pas le menu fixe 4 entrées avec un filet de rouget rôti en écailles de taro matelote aux flaveurs de carvi. ...

Champagne Th. Petit :
des champagnes de caractère

L’exploitation familiale Th. Petit a été reprise en 1995 par Bénédicte Bérard-Meuret. Aujourd’hui, elle et son époux travaillent ensemble sur un vignoble qui s’étend sur une superficie d’environ 6 ha. L’encépagement s’y compose majoritairement de pinot noir et de chardonnay. « Notre terroir jouit d’un très bon ensoleillement et il est très favorable à l’expression du pinot noir », souligne la gérante. Un processus maitrisé Depuis sa création, la maison Th. Petit a toujours cherché à privilégier une méthode culturale qui respecte l’environnement. Actuellement, elle s’est engagée sur une viticulture raisonnée, impliquant une utilisation très limitée de produits phytosanitaires. Concernant la vinification, le pressurage est confié à la coopérative vinicole du village. Les précieux jus rejoignent ensuite les cuves de l’Union Champagne à Avize. Il s’agit d’une structure qui regroupe plusieurs coopératives champenoises et dont le savoir-faire est reconnu par les plus grands experts en vin. « L’élaboration, quant à elle, est assurée par un œnologue », nous confie-t-on. Des cuvées prestigieuses Afin de satisfaire une large diversité de consommateurs, la maison propose une gamme complète de champagnes : Blanc de blancs, Brut, Brut rosé, Demi-Sec, Millésimé 2012 et Prestige Millésime 2006. La cuvée Brut et la cuvée Prestige Millésimé 2006 peuvent toutes les deux prétendre au titre de « cuvée emblématique » de la maison Th. Petit. La première est obtenue à partir de 75 % de pinot noir et de 25 % de chardonnay. Ce champagne de cœur revêt une teinte or brillant et séduit par ses arômes de fruits rouges et de pêche. Une cuvée de qualité exceptionnelle récompensée par 3 étoiles au Guide Hachette. Le Millésime 2006, quant à lui, s’obtient par l’assemblage de 50 % de pinot noir et de 50 % de chardonnay. C’est un champagne racé, puissant et qui saura accompagner parfaitement tous les moments d’exception. ...

Cafés Missègue : absolument café depuis 25 ans

Disponibles en grandes surfaces et dans les supermarchés – « là où  les gens ont l’habitude de faire leurs courses », les Cafés Missègue revendiquent un caractère très particulier. Ils sont torréfiés dans une entreprise familiale au cœur du Périgord. À la clé, une extraction traditionnelle et lente des arômes qui permet de les sublimer et de conserver toute leur subtilité. Une multitude de variétés pures Chacun son café. Brésil, Costa Rica, Mexique, les Cafés Missègue travaillent une quinzaine d’origines différentes. Chaque variété fait l’objet d’une attention particulière lors de la torréfaction, histoire de conserver sa personnalité et ses spécificités gustatives. « Même quand on fait des mélanges, des assemblages de cafés, on le fait toujours après torréfaction », rassure Patrick Andreu. Si l’enseigne propose ses produits moulus et en grains, notre interlocuteur évoque d’ailleurs une préférence des consommateurs pour les derniers. Une tendance qui s’est installée avec l’évolution du marché des machines à café en grains. Différents conditionnements allant de 250 g à 5 kg sont disponibles via le site de la marque qui entretient une affinité particulière avec l’arabica. La clientèle s’est particulièrement attachée aux mélanges concoctés par la maison. Dans la gamme bio, la « Sélection du torréfacteur » rafle de nombreux suffrages. Il s’agit d’un assemblage de trio de cafés, tous bio, où l’équilibre est établi entre le fleuri de l’un, le corps de l’autre et la douceur d’un troisième. Au rayon des cafés plus conventionnels, ce sont les Premium qui enregistrent le plus de préférence, avec les cafés spécialement conçus pour les machines à grains. ...

Le Château de Larroque dans le Gers :
entre tradition et modernité

Cette demeure au cadre champêtre et à l’ambiance romantique est un lieu chargé d’histoire qui laisse transparaitre en toile de fonds, les secrets de la Gascogne pour un spectacle de toute beauté, composé de vallons parsemés d’abbayes cisterciennes et de villages typiques aux marchés animés. Un cadre historique couplé à une cuisine de tradition Dans un cadre verdoyant qui domine à perte de vue la campagne gersoise, le château de Larroque se trouve à proximité immédiate de Gimont, fameuse bastide à la gastronomie authentique et au marché au gras typique de la région. Les lieux se prêtent merveilleusement aux célébrations familiales et privées mais pas seulement… weekends détente, anniversaires  et séminaires d’entreprise y trouvent tout aussi bien leur place ainsi que plusieurs activités extérieures.  Au château de Larroque, 17 chambres dont une suite sont mises à disposition des convives où confort et bien-être sont au rendez-vous. Ouvert du mardi matin au dimanche midi inclus, son restaurant reçoit plutôt une clientèle d’affaire que de touristes avec une carte à 3 menus incluant un menu express le midi. Si la carte est assez stable en hiver, « elle est beaucoup plus changeante pendant la saison » nous précise Rosemary Rodriguez, propriétaire. Adepte de la cuisine bio et du fait maison, l’enseigne travaille prioritairement les produits frais cuisinés sur place et met à l’honneur les meilleurs des produits gersois. En marge de travailler avec un réseau régulier d’agriculteurs et de producteurs gimontois, elle peut se permettre le luxe de  produire elle-même ses légumes dans les serres et potager du château.   ...

L’Explorateur du Goût : le spécialiste des spiritueux artisanaux et naturels.

L’Explorateur du Goût a été fondé en 2016 sous l’impulsion de François Sommer. L’objectif : proposer aux cavistes, CHR et professionnels un large choix de spiritueux naturels sélectionnés avec soin pour leur goût et leur histoire. L’Explorateur du Goût : une histoire de passion avant tout L’équipe est animée par la détermination toujours plus forte à surprendre ses plus de 2000 clients, toujours plus nombreux à leur faire confiance. L’Explorateur du Goût répond à la quête insatiable des amateurs de spiritueux pour la découverte et pour le goût ! La philosophie de L’Explorateur du Goût repose sur 4 grandes valeurs : - LA QUALITÉ : des produits choisis pour leurs saveurs et le plaisir gustatif qu’ils offrent aux amateurs de spiritueux et de cocktails. - L’ORIGINALITÉ : des marques pour la plupart inédites en France. Des histoires originales et authentiques autour de producteurs engagés et passionnés. - L’ENGAGEMENT : une approche et une politique sociale et environnementale engagée, du sourcing à la logistique. - LA SINCÉRITÉ : des produits naturels, certains certifiés bio, élaborés sans artifice dans le respect des savoir-faire traditionnels et des hommes. Le spécialiste des rhums naturels et de qualité En consultant le catalogue de produits L’Explorateur du Goût, on remarque que l’entreprise dispose d’un large choix de références, toutes naturelles, et certaines bio allant du whisky à la vodka en passant par le rhum, le gin ou encore la téquila. L’origine, la transparence et l’éthique des produits distribués est un critère primordial pour le distributeur, comme le prouve par exemple la création du label Pur Rhum et son site dédié www.purrhum.com. On peut retrouver sur ce site toutes les analyse des rhums adhérant au label, ainsi qu’ un point sur la réglementation européenne en matière de rhum. Le but est d’apporter plus de transparence sur l’univers opaque des rhums. Vous voulez en savoir plus sur le concept et sur les marques de ce challenger en pleine ascension ? Rendez-vous sur leur site. ...

Domaine de la Brunely : le meilleur
du terroir, le respect de la vigne

Situées sur un plateau de garrigues argilo-calcaires dans le Vaucluse, les vignes du domaine de la Brunely plongent leurs racines loin dans la terre pour puiser l’eau. « Cette particularité du sol nous donne des vins qui sont assez puissants et assez riches », souligne Edouard Carichon, responsable commercial et fils de Charles Carichon, propriétaire. Le domaine s’étend sur 80 hectares, dont 35 en appellation Vacqueyras. Concernant les cépages, les plus typiques de la vallée du Rhône sont privilégiés comme le grenache, la syrah, le mourvèdre ou encore le carignan. La vinification, une philosophie « On fait tout nous-mêmes. On s’attache à suivre tous les processus. C’est notre philosophie depuis le début pour offrir le meilleur du terroir et respecter la vigne et son environnement », explique Mr Carichon. Car, à défaut d’adopter une viticulture raisonnée, le domaine de la Brunely applique la méthode dite raisonnable. Pour preuve, il n’utilise aucun désherbant et va jusqu’à embaucher des saisonniers pour piocher les mauvaises herbes dans les cas extrêmes. La vinification, quant à elle, se fait main dans la main avec un œnologue-conseil, selon les techniques traditionnelles : vendange à maturité optimale, utilisation de levure naturelle, etc. Modernité oblige, les vins sont élevés dans des cuves en inox et en béton. Une cuvée, une appellation Le domaine de la Brunely propose une gamme très variée des grands crus de la vallée du Rhône : Vacqueyras, Gigondas, Châteauneuf-du-Pape, Côtes-du-Rhône et Ventoux. Cependant, ici, on ne produit qu’une seule cuvée par appellation. Régulièrement récompensée lors de divers concours, comme le Gigondas « Les Rocassières 2009 » coup de cœur du Guide Hachette 2012, la cuvée Châteauneuf-du-Pape est de celle qui fait la fierté du domaine : « C’est le seul vin qu’on élève en barriques. Il est très structuré, avec des tannins assez fins mais puissants. » ...

Château Panigon, Château Amour : le meilleur de l’AOC Médoc

Depuis 2006, ce domaine familial de quatre-vingt-dix hectares dont cinquante plantés est géré par les époux Georges et Corinne Leveilley Dadda dont la passion pour les vignes se reflète à travers la qualité de leurs vins. Un terroir favorable au développement des vignes Si les vins de Bordeaux connaissent un succès si spectaculaire dans le monde entier, c’est avant tout grâce à la combinaison de plusieurs facteurs plus que favorables à la viticulture. Installé à Civrac-en-Médoc, le Château de Panigon est en plein cœur de ce territoire et profite des largesses de Mère Nature pour obtenir des vins de grande qualité. En effet, le terroir argilo-calcaire recouvert de graves et de cailloux charriés par la Garonne est plus que propice au bon développement des vignes. « Le climat tempéré de la région permet aussi d’obtenir une maturité constante des raisins au fil des années et ainsi avoir des vins quasiment immuables en qualité » précise Georges Dadda. L’encépagement est composé de Merlot à 50%, de Cabernet Sauvignon à 45% et le reste en Petit Verdot. L’âge moyen des vignes quant à lui est de vingt-cinq ans. Entre tradition et modernité Toutefois, avoir des conditions aussi favorables soient-elles ne suffit pas pour autant à garantir au final la qualité des vins. Il est également important d’appliquer les bonnes techniques de vinification. Et c’est justement ce que Georges et Corinne s’évertuent à faire depuis qu’ils sont à la tête de l’exploitation. « À ce niveau, nous adoptons des méthodes modernes tout en respectant les traditions médocaines » note Georges. Les traitements sont menés toujours selon l’état sanitaire des parcelles, la fertilisation n’est jamais systématique et le désherbage est mécanique. Toutes les cuvées y sont élevées douze à dix-huit mois en barriques de chêne français avant d’être embouteillées. L’élégance pour le Château Panigon Cette cuvée, issue de l’assemblage des trois cépages du domaine et fermentée en cuves inox thermo-régulées, est produite à cent-soixante-seize-mille bouteilles en moyenne par an. D’une robe rouge grenat, elle marie harmonieusement des arômes de fruits rouges (mûres et cassis) et des fines nuances toastées au nez. En bouche, elle dévoile du gras et des tanins mûrs avec une longue finale donnant sur du fruité. Viandes rouges grillées, carré d’agneau et magret de canard sont les plats parfaits pour dévoiler tout son potentiel. La passion pour le Château Amour Vin d’assemblage entre le Merlot et le Cabernet Sauvignon en parts égales, le Château Amour présente une robe pourpre qui laisse présager de sa qualité. Au nez, il est délicatement parfumé aux olives noires de par la présence du Cabernet Sauvignon. Le vin est doux, aérien et juteux aux notes de pâtisserie en bouche. Cette cuvée s’accorde avec des fromages puissants, une poularde aux cèpes ou un carré d’agneau tout simplement grillé. En moyenne, le domaine en produit dans les cent-quatre-vingt-mille bouteilles par an. ...

La Maison du Fromage et des Produits locaux, une adresse à ne pas manquer  

La Maison du Fromage et des Produits locaux a été initiée par la municipalité de Pouligny-Saint-Pierre à laquelle se sont ralliés la Communauté de communes Brenne Val de Creuse et le Parc naturel régional de la Brenne (PNRB). Première étape d’un projet ambitieux, l’enseigne précède la création future d’un espace destiné à la dégustation. Collaborant avec l’office du tourisme qui lui ramène régulièrement des groupes, elle compte parmi sa clientèle des particuliers et des associations notamment.  Une vaste sélection de produits « Bien que nous commercialisions 5 autres fromages de la région Centre, le Pouligny-Saint-Pierre reste encore l’un des produits phares que les touristes, gens de passages, associations et particuliers​ viennent chercher dans notre boutique », raconte Jean-Pierre Darreau, président de l'association. La promotion des fromages fermiers n'est pourtant pas l'unique crédo de la boutique. Elle est une vitrine vivante pour les produits de la laiterie Eurial, mais aussi une belle représentation pour les produits locaux de la région tels que le miel, le jus de pomme, les gâteaux artisanaux, sans oublier les produits transformés de poissons d’eau douce de la société Fish Brenne ainsi que les confitures de la région et les vins de Reuilly. ...

Château de Salles : le domaine de d’Artagnan

Le Château de Salles est la propriété de la famille De Batz depuis le XVIIIe siècle. L’ancêtre  de cette famille gasconne de pure souche est aussi illustre en France que dans le monde entier : Charles de Batz, plus connu sous le nom de d’Artagnan. Lorsqu’il a hérité du domaine en 1989, Henry de Batz a décidé de reprendre totalement les choses en main, après des générations successives de métayer et de fermiers. Au four et au moulin, il s’occupe à la fois de la partie plantation, vinification et commercialisation. Un vignoble idéal « Pour avoir du bon vin, il faut avoir un bon terroir » aime à dire Henry de Batz. Or, celui du Château de Salles est plus que privilégié. Il est composé de cinq hectares de vignes situées en plein cœur de l’appellation Buzet, avec une terre argilo-calcaire, graveleuse et peu profonde. Les vignes sont installées sur des coteaux, propices au développement de la vigne de par sa luminosité et son irrigation. L’encépagement est composé de Merlot, qui confère au vin finesse, souplesse et fruité, de Cabernet Franc qui charpente le vin et lui donne une note animale et de Cabernet Sauvignon, à l’origine d’une note épicée et poivrée. Une agriculture respectueuse de l’environnement Henry de Batz mène au sein de ses terres une politique d’agriculture raisonnée. Il est adhérent à l’organisme Terra Vitis, gage de la bonne marche de cette agriculture. L’épamprage des vignes est effectué manuellement et mécaniquement pour éviter l’utilisation d’herbicides. Des pièges ont été installés dans les vignes afin de comptabiliser les prédateurs et les parasites. Les données recueillies grâce à cette technique permettent ainsi de réduire drastiquement (- 30% en deux ans) l’utilisation des intrants chimiques. Une vinification classique Henry de Batz, vigneron depuis 1989, est un homme qui connait son travail sur le bout des doigts et l’effectue avec une rigueur infaillible. Il s’occupe lui-même de la vinification de sa production depuis 1994. L’intégralité de la vendange est effectuée manuellement. La fermentation des vins se fait dans des cuves en inox. Concernant l’élevage, une partie de la production s’effectue dans des barriques durant 18 mois, notamment celui de la Cuvée d’Artagnan. La maison étant membre des Vignerons Indépendants, l’embouteillement  est réalisé au sein même du château. Des vins à la hauteur de ses ancêtres Chaque année, le Château Henry de Batz produit environ 35 000 bouteilles de vins en appellation Buzet AOP. En hommage à son illustre ancêtre, une cuvée intime d’exception a été nommée « Cuvée d’Artagnan ». Elle est issue de vignes de 30 ans d’âge et élevée 18 mois dans des barriques neuves, premier et deuxième vin. Ce vin à la robe rouge profond avec des reflets bruns offre des arômes de fruits mûrs, de café, de chocolat noir et de cachou au nez. En bouche, il est riche et puissant, très soyeux avec beaucoup de matières. Il s’agit d’un excellent vin de garde qui peut se conserver jusqu’à 8 ans. Pour 2016, son millésime 2012 a été récompensé d’une médaille d’or au Concours des Grands Vins Gilbert et Gaillard et d’une médaille d’argent au Concours des Vins des Vignerons Indépendants. Le reste de la production du domaine est décliné sous le nom de « Château de Salles – Buzet ». Son millésime 2010 est un vin à la robe rouge grenat. Au nez, il propose des notes de café, de réglisse, de chocolat noir et de fruits mûrs. Il est très charpenté et riche en bouche avec une très belle longueur, aux arômes de fruits mûrs, vanille, café et chocolat noir. A table, cette cuvée accompagne un jambon de Bayonne, une côtelette d’agneau ou une omelette aux cèpes. Sa grande qualité lui a valu une Médaille d'Or au Concours International des Vins de Lyon en 2014. ...

Oi Sushi : le meilleur des spécialités nippones au cœur de Paris

Oi Sushi est un établissement familial où les membres de l’équipe sont également des membres de la famille. Unis par la même passion du métier et l’art de composer de belles assiettes avec, en plus, le sens de l’accueil et du service au client, le personnel travaille en phase et dans la même direction… De quoi ravir tous les clients qui se sentent bien accueillis et prêts à une découverte culinaire hors du commun. Quand on parle de cuisine japonaise, le sushi est toujours en tête d’affiche. Plat tout autant incontournable qu’intemporel, c’est une spécialité typique du Japon qu’on aime déguster dans un plaisir toujours renouvelé. D’une grande fraicheur et quasi sans gras ajouté (hormis celui naturel du poisson), ces fameuses boules de riz japonaises vinaigrées sont des spécialités qui conservent tout leur luxe au Japon. Saines et faciles à digérer, elles se déclinent sous plusieurs formes au restaurant Oi Sushi. Généralement présenté sous forme de riz roulé en ovale, une pointe de wasabi et par-dessus une fine tranche de poisson, le choix est large entre le saumon, le thon, l’anguille, le poulpe ou l’omelette japonaise… Manger sainement à la japonaise Le restaurant Oi Sushi est une adresse à recommander à celles et à ceux et qui se soucient réellement de leur ligne. Dans « une ambiance chaleureuse et conviviale », l’enseigne figure parmi les lieux qu’on aime particulièrement découvrir ou fréquenter en famille ou entre amis. En fonction des gouts (poisson, viande ou végétarien) des clients, « le restaurant propose du sushi maki, des brochettes de poisson ou des menus végétariens maki et brochette », nous explique Xia, gérant de l’établissement. Selon lui, « les menus midi Sushi, California et Maki » sont les plus appréciés des clients, d’autant plus qu’ils sont copieux et pas chers avec un bon rapport qualité-prix.    ...