Aménagé pour votre confort, le restaurant La Fonderie offre un cadre agréable et convivial avec, le soir, le spectacle d’« un très beau coucher de soleil », comme le décrit si bien Laura Lesne, la propriétaire de l’établissement. Le nombre de places dans la salle a été volontairement limité pour mettre l’accent sur un décor aéré où la notion d’espace prend tout son sens. On aime s’y rendre pour un repas intimiste et chaleureux où une cuisine originale et raffinée vous met l’eau à la bouche et vous met de bonne humeur.
Une belle mosaïque de saveurs
Privilégiant la cuisine faite maison, le restaurant La Fonderie met les petits plats dans les grands pour vous faire découvrir des plats innovants et savoureux préparés à base de produits frais et de saison rigoureusement sélectionnés et issus de producteurs locaux. À travers des formules gourmandes ou un choix à la carte, les entrées, plats et desserts se conjuguent au présent et promettent gourmandise et satisfaction. À ne rater sous aucun prétexte : le fameux menu A Fundaria qui associe les meilleures spécialités corses à savoir le Miagliacci, différentes déclinaisons de charcuteries, le cannelloni au brocciu, fromage et le fiadone.
Et grâce à un parfait accord mets/vins qui met à l’honneur des vins corses du Domaine de Coste Caserone dont la plupart sont médaillés, chaque bouchée offre une belle explosion de saveurs en bouche.
La bonne cuisine combinée à un accueil chaleureux font de la Fonderie un lieu incontournable des gourmands et de gourmets qui y trouvent leur bonheur et prennent plaisir à recommander le restaurant à leurs amis et à leur entourage.
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Vantant des origines anciennes et transmise par les familles paysannes de génération en génération, la cuisine italienne est une cuisine ensoleillée et naturelle offrant une vraie farandole d’arômes, de couleurs et de saveurs. Elio Bombace fait partie de ceux qui ont réussi à préserver toute l’authenticité des traditions culinaires italiennes. Dans son restaurant Crudus, il propose à ses convives de faire une halte gourmande sur la péninsule pour découvrir tout ce qu’elle a à offrir en termes de bons produits.
Une cuisine italienne et bio
Elio Bombace et son équipe misent sur l’utilisation de produits de grande qualité pour séduire les gourmands qui poussent les portes de leur établissement. La saisonnalité y est bien entendu privilégiée. Beaucoup de produits sont également importés directement d’Italie afin d’offrir aux clients un aperçu des saveurs qui font les particularités de la gastronomie transalpine. Les fournisseurs sont minutieusement sélectionnés dans un souci de maintenir cette charte qualité. Certains d’entre eux travaillent même depuis longtemps avec Elio.
Autre particularité : le chef aime travailler le bio. Dans la mesure du possible, ses recettes seront agrémentées de ces produits sains et résolument gourmands.
À travers ce choix rigoureux des matières premières, la maison est en mesure de proposer une carte très attrayante.
Celle-ci suggère par exemple une salade puntarelle qui fait commencer les réjouissances. Cette entrée fraîche et délicieuse se compose ainsi de cette chicorée typiquement catalogne.
Pour continuer sur cette lancée, un grand classique : fettucine aux champignons du marché et artichauts, qui seront servies en guise de plat de résistance. Ici, ces produits vernaculaires se travaillent de façon simple pour ne pas dénaturer son goût. Les amateurs de poissons pourront quant à eux se laisser tenter par les pâtes aux poissons à base de bar, de tomates et de câpres et les carnivores, opteront pour des rigatonis au ragoût de veau comme un dimanche à Naples.
Pour clôturer en beauté le repas, rien de tel qu’un bon gâteau au chocolat.
Ce festival de saveurs est sublimé par une carte de vins riche et éclectique. Dans sa cave, la maison propose une large gamme de vins italiens issus des régions vinicoles de la Campanie, du Fiano ou de la Toscane. Les convives se laisseront séduire par le goût subtil des vins transalpins réputés pour leur élégance.
Un cadre chic propice à la détente
Le restaurant Crudus veut mettre à l’aise ses convives en leur proposant un cadre convivial et chaleureux, où ils pourront déguster les spécialités italiennes en famille, entre amis ou entre collègues. Le décor épuré et élégant fait tout le charme de cet établissement. Le mobilier et certains objets décoratifs rappellent le style Art déco. Loin de toute ostentation, cette salle plaît pour son ambiance feutrée et cosy, qui donne l’impression qu’on est chez soi.
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Après une rénovation salutaire, le restaurant La Casserole s’est taillé une place en or dans le cœur des gourmets d’Alsace. En parfait maitre d’hôtel, Cédric Kuster est aux petits soins avec ses convives pendant que Jean Roc, son chef, officie aux fourneaux.
L’authentique qui ravit les yeux
À La Casserole, le ton beige se marie harmonieusement avec les articles décoratifs qui ornent l’endroit pour former un écrin authentique, raffiné, contemporain et lumineux. Sublimée par des objets uniques signés par de talentueux artistes, la salle du restaurant est une véritable œuvre d’art à elle toute seule. Les murs sont estampillés par des créations de la Londonienne Helen Amy Murray. On aperçoit aussi de beaux services en cristal Baccarat, de l’argenterie Saint Louis, des tissus de la manufacture italienne Rubelli… Bref, un décor de haute voltige qui forme une heureuse harmonie avec une cuisine aussi raffinée que savoureuse.
Une cuisine classique empreinte d’inspiration
À vrai dire, Cédric Kuster ne se contente pas de recevoir dans un lieu à couper le souffle. De succulents mets qui en disent long sur les talents du chef Jean Roc sont également au rendez-vous dans son restaurant (avec le service qui va avec, bien sûr !). « On essaie de former une belle unité entre la cuisine que l’on propose et le décor », raconte Cédric. Les ingrédients, rythmés par les saisons et fournis en majeure partie par les producteurs locaux, sont retravaillés et combinés afin d’en faire des plats classiques teintés d’originalité.
Plusieurs formules sont donc proposées : menus Déjeuner, Découverte, Bruits de casserole et Saveurs iodées (un menu qui prône uniquement les produits de la mer). En entrée, savourez le foie gras de canard de la ferme Schmidt avec son confit de chou rouge, panais mariné aux noisettes. Ensuite, le homard décliné en deux services témoigne de toute l’inventivité du chef. Le homard sera préparé de deux manières bien distinctes et servi en deux temps. Le croustillant au chocolat de Madagascar accompagné d’une glace au sésame noir garantira une fin gourmande à ce repas.
Une cave à vins riche et variée
En matière de vins, La Casserole dispose d’une carte digne des plus grands restaurants. Riche de 1 200 références, sa cave saura garantir un bel accord mets et vins. Grandes appellations et producteurs issus de toutes les régions de France sont à l’honneur : le Muscat Les 3 Demoiselles de Mélanie Pfister représente l’Alsace, le Chassagne-Montrachet « Grandes Ruchottes » de Bernard Moreau transporte en Bourgogne, les Châteaux L’Angelus 1983 pour la région bordelaise…
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Au Touquet, à Wimereux ou en plein cœur du Marais parisien, vous trouvez une adresse atypique et pleine de surprises : Le Burger Fermier des Enfants Rouges.
Un Burger délicieux qui ne ressemble à aucun autre
Malheureusement pour le burger, ce plat n’a pas toujours eu bonne réputation en France. Toutefois, certains restaurateurs ont décidé de redonner à ce sandwich mythique ses lettres de noblesse. Parmi eux, Le Burger Fermier des Enfants Rouge. Grâce à sa recette simple et sans artifice, l’entreprise répond aux attentes de sa (vaste) clientèle. Il suffit de consulter les avis des consommateurs sur leurs différentes pages Facebook pour s’en rendre compte. En effet, les clients sont unanimes : ce burger est un véritable délice. Mais comment font-ils ? Tout simplement en utilisant des produits locaux (Buns maison avec une farine du pas de calais, viande de race Angus, fromage, frites fraiches…) et en offrant la possibilité de choisir la cuisson et le fromage (assez rare pour le souligner). Même les boissons sont locales. Il n’en faut pas plus pour offrir des saveurs incomparables.
Un Burger Fermier issu du monde paysan
L’histoire du Burger Fermier remonte à une dizaine d’années et est liée, en partie, à celle du Marché des Enfants Rouges en plein cœur du Marais à Paris. À cette époque, Christine Muller, la gérante, décide de proposer un produit simple et gourmand avec un seul objectif : celui de faire travailler les entreprises locales. Elle ouvre alors, au fil du temps, 3 enseignes à Paris, au Touquet et Wimereux. Fille de paysan et propriétaire terrienne elle-même, elle explique que cette idée lui est venue après avoir observé qu’elle avait trop de bêtes. Ainsi, en utilisant son réseau et en se fournissant chez des producteurs locaux, elle commence à cuisiner des burgers. Le succès est immédiat et les restaurants ne désemplissent pas. A savoir : les boutiques sont ouvertes tous les jours sauf lundi pour le Touquet, mardi pour Wimereux et lundi et mardi pour Paris. Ainsi, si vous êtes de passage dans l’un de ces trois coins de France, n’hésitez pas à vous arrêter un moment. Vous ne serez pas déçu de l’expérience. Petite anecdote sympathique : Christine Muller nous explique qu’elle conserve les restes pour les donner à ses bêtes de retour dans sa ferme. Il paraitrait même que les vaches adorent les frites précuites tandis que les veaux seraient plus amateurs de pain.
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L’établissement des Laffarge était, jusqu’aux années 50, un restaurant ayant notamment pour habitué un certain Lénine. Mais la maladie du propriétaire poussa sa femme à transformer le lieu en boutique de thés et de produits naturels et diététiques. Une belle innovation à l’époque.
Depuis 2006, Abdelhamid Saida a repris le magasin, après avoir connu la maison en tant que client alors qu’il étudiait l’histoire et l’archéologie et résidait à la Cité Universitaire internationale. Soucieux de conserver l’esprit des lieux, il en perpétue le charme et garde la même exigence dans la sélection des produits.
Plus de 250 thés minutieusement sélectionnés
Avec plus de 250 variétés de thés testés et sélectionnés, La Maison Laffarge est un comptoir de thé, voire l’un des plus anciens de Paris et l’un des plus savamment fournis.
Cette grande sélection toujours d’une fraîcheur remarquable, rigoureusement choisie chez Damman, Orientis Gourmet, Georges Cannon, Alveus… vaut à l’établissement de la rue Sarrette le prix de la tradition dans le Guide du thé à Paris.
Des produits biologiques et naturels venant du monde entier
Monsieur Saida a également développé d’autres produits biologiques et naturels. En premier lieu, l’huile d’olive extra vierge Cercina qu’il importe de son pays natal, la Tunisie. Certifiée par Ecocert, mono variétale, douce et fruitée avec un taux d’acidité remarquablement bas, elle est distribuée dans 160 points de vente en France.
Dans son magasin, d’autres huiles sont présentes comme celles de pistache, d’Argan, de pépin de courge, de lin, de cameline, de germe de blé et de chanvre…Les produits de la ruche restent l’un des produits phares de la maison. En effet, la gelée royale biologique française certifiée par le GPGR (Groupement de Producteurs de Gelé Royale) ainsi qu’une sélection remarquable de miel d’apiculteurs français font la réputation de l’enseigne.
Des sardines millésimées Rödel, des fruits confits de fabrication artisanale (citron, angélique, gingembre, cerise, ananas, cédrat, …), des paniers de fruits et de légumes, fruits secs et séchés, des épices en vrac ainsi que des vins sans sulfite, tous issus de l’agriculture biologique / biodynamique forgent la singularité de l’enseigne et son ouverture sur les bons produits du monde entier.
La Maison Laffarge, comme préfère la nommer certains observateurs, est une Institution dans le monde du bio.
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Allant du quinoa d’Inde au coco des Philippines, en passant par le baobab du Sénégal, chaque filière est ici gérée suivant une politique humaniste veillant à assurer une juste répartition des bénéfices des activités commerciales. Dans cette gamme bio, la poudre de baobab fait figure de fleuron de par son caractère emblématique et ses nombreux bienfaits. Consommée quotidiennement, cette poudre garantit force et vitalité de par les nombreux éléments nutritifs qu’elle contient.
La poudre de baobab : un pré-biotique naturel
Symbole majestueux d’Afrique, le baobab dans son intégralité est, depuis des siècles, utilisé au Sénégal à des fins alimentaires ou médicinales. Le fruit de baobab, duquel est tirée ladite poudre, contient, par exemple, du potassium, du manganèse, du calcium, de la vitamine C ainsi que des antioxydants. « Également riche en fibres solubles, cette poudre est un probiotique permettant de nourrir la flore bactérienne intestinale », nous explique Pierre-Alexandre Huber, fondateur de la marque. Ce dernier de rajouter : « Le transit intestinal et le système digestif dans son ensemble sont ainsi améliorés. »
Le baobab : une filière équitable
Grâce à un partenariat durable avec un fournisseur sénégalais, Ecoidées figure parmi les précurseurs du commerce équitable et durable. La filière éthique du baobab au Sénégal trouve sa raison d’être dans une action inscrite dans le développement social et économique des populations locales, notamment des familles impliquées dans le processus de production de la poudre de baobab. Les hommes et les femmes impliqués dans la collecte et la transformation du baobab et qui travaillent dans différents villages au Sénégal bénéficient des actions sociales sur le terrain et des retombées du commerce de cette ressource naturelle.
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À l’angle de la rue de la Ville-en-Bois et de la rue Nicolas-Appert, à quelques pas de la place Canclaux, La Table de Yo séduit par son décor unique et humble. À l’extérieur, l’enseigne grise et la grande ardoise verte attirent spontanément le regard des passants. Une fois à l’intérieur, la salle dégage une délicatesse qui fait que l’on s’y sent immédiatement bien. La décoration de la salle reflète une harmonie parfaite entre le moderne et le vintage. Les murs en pierres apparentes et les meubles en formica apportent une petite touche rétro tandis que le zinc, qui recouvre le bar, fait ressortir le côté cosy et chic du lieu. Les luminaires subtilement disposés à travers la salle créent une ambiance chaleureuse et conviviale. Et la petite touche musicale en fond sonore apporte un sentiment d’apaisement, de détente et de joie.
Cuisine savoureuse et respect des produits
Lieu de retrouvailles des habitués du quartier, La Table de Yo propose une cuisine à la fois simple et inventive pour séduire les palais nantais. Affichés à l’ardoise, les plats se déclinent en plusieurs choix pour satisfaire tous les gouts. Ainsi, les convives pourront opter entre 4 entrées, 4 plats et 3 desserts sans oublier les fromages fournis par le fromager du quartier.
Pour débuter ce voyage culinaire, le gloire à l’œuf ou le millefeuille d’asperges à la coppa attendent d’être dégustés. En plat de résistance : le risotto, l’entrecôte du chef ou le poisson du marché accompagné par des betteraves et des petits pois primeurs donne l’eau à la bouche. Et en dessert : le fameux yodélice, la mousse d’avocat tartare de kiwi et le cœur coulant, légo croquant. Le tout à savourer sur la terrasse, en salle ou sur le comptoir.
Yolaine Briec, la propriétaire, veille particulièrement à ce que les produits utilisés soient frais et issus au maximum des producteurs locaux. Fièrement, elle affiche le « fait maison », y compris pour le pain. Raison pour laquelle l’ardoise change quotidiennement et évolue au gré des saisons et des inspirations de Frédéric Legal. La cuisine de ce chef passionné conjugue alors la tradition avec une pointe de créativité. Il réussit à interpréter les grands classiques en y ajoutant quelques notes plus modernes rendant sa cuisine savoureuse, authentique, sans dévier de la belle simplicité qui fait la réputation de la maison. Fidèle à la philosophie de l’établissement, le chef Legal travaille le produit pour qu’il puisse révéler sa plus belle expression.
Yolaine : artiste à multiples facettes
À part la qualité de sa cuisine, La Table de Yo se démarque par la qualité de son accueil. Il s’agit là de la première marque d’attention qu’un restaurant doit accorder à ses convives. Grâce à ses nombreuses années d’expérience dans la restauration, Yolaine Briec l’a bien compris et le maitrise à la perfection. Ainsi, avec aisance et simplicité, elle prend en main ses convives, habitués ou non, de façon à ce qu’ils se sentent comme chez eux.
Douée avec les mots, Yolaine Briec est aussi dotée d’un esprit créatif. Pour preuve : elle s’est occupée elle-même de la décoration de son restaurant. Ce qui n’a rien d’étonnant puisque la propriétaire a envisagé, à un certain moment de sa vie, de se lancer dans la décoration. En outre, elle ne reste pas seulement spectatrice en cuisine. Elle est toujours là pour apporter son petit grain de sel au menu et veille au respect de la qualité des plats.
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Créée en 2003, l’exploitation a été reprise en 2011 par Gilles Pedini, niçois de longue famille, amoureux de sa région Provençale et passionné par le monde du vin. Le Clos Gautier produit aujourd’hui trois cuvées en Côtes-de-Provence et le Campé d’Enroch en IGP Var Argens. Le domaine propose aussi de l’huile d’olive issues des oliviers multi centenaires de la propriété.
Terroir et cépages typiques du Var
Le vignoble du Clos Gautier s’étend sur une superficie totale de 33 hectares, au sein d’un terroir typique de la région, se distinguant par une terre argilo-caillouteuse avec un sous-sol argileux. Une partie des parcelles du domaine est située sur le terroir prestigieux de Mouton-Gautier. Grâce, notamment, à ce sous-sol en argile qui retient l’eau en profondeur, les pieds de vigne ne sont pas touchés par la sécheresse, ce qui garantit une maturation continue et linéaire des raisins pour des vins équilibrés. Sur les 33 hectares du Clos Gautier, 80 % des vignes sont dans l’appellation Côtes-de-Provence AOP et le reste en Vin de Pays du Var d’Argens IGP. L’exploitation possède aussi quelques parcelles exceptionnelles de vieilles vignes plantées en 1941 sur 2 hectares et en 1949 sur 6 hectares. Ces deux parcelles sont particulièrement soignées, et exclusivement vendangées à la main, car destinées à l’élaboration de cuvées haut de gamme. En outre, une replantation a été effectuée sur 5 hectares de vignes, en 2011, dans une démarche qualitative et de marche vers le bio. Quant aux cépages, ils sont représentés par la syrah, le grenache, le cinsault, le carignan, le rolle et l’ugni blanc. Quelques pieds de cabernet-sauvignon et de mourvèdre sont également présents
Agriculture raisonnée
Le Clos Gautier applique une agriculture raisonnée dans toutes ses démarches de production. Pour ce faire, les produits phytosanitaires sont employés de manière très limitée et sont remplacés dans la mesure du possible par des produits naturels tels que le soufre, le cuivre ou l’huile essentielle d’orange. Un îlot de 8,5 hectares autour de la cave est en cours de conversion en bio. La vendange ne s’effectue qu’à maturité optimale des raisins, avec des rendements inférieurs à la législation afin de garantir des jus plus riches. À la cave, les matériels de vinification sont à la pointe de la technologie : cuves en inox thermorégulées, pressoir pneumatique et cuves en béton unimoulées -sans joints- avec contrôle de la température.
Les coups de cœur du domaine
Parmi toutes les cuvées du domaine, la plus prestigieuse et la plus noble est sans aucun doute le Clos du Château AOP Côtes-de-Provence. Issue des vieilles vignes du vignoble, elle est élevée en barrique bordelaise de chêne durant 11 mois avant d’être embouteillée. Le millésime 2013 a été médaillé d’or lors du Concours des vignerons indépendants 2015 de Paris et médaillé d’argent au Decanter World Wine Awards de Londres. En 2014, la cuvée s’est étoffée d’une gamme de blancs élevée avec bâtonnage des lies fines dans des fûts de 400 litres et dotée de bouchons en liège naturel extra. Cette dernière a déjà remporté une médaille d’argent au Concours général agricole de Paris en 2015. La cuvée Oser, issue de vignes de 40 ans, n’est pas en reste. En bouche, ce vin a une agréable rondeur avec des notes de fruits rouges. Il peut être servi en apéritif et accompagne savoureusement des plats en sauce. Au dernier Decanter World Wine Awards de Londres, le millésime 2014 a été couronné de la médaille d’or.
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Que ce soit pour un dîner en amoureux, un repas en famille ou des retrouvailles entre amis, les lieux se prêtent merveilleusement à toutes les occasions de vie. Véritable invitation au voyage, Le Caroubier propose une cuisine gastronomique marocaine particulièrement ensoleillée, avec d’authentiques saveurs d’ailleurs.
Ambiance orientale dans les assiettes comme dans la salle
Difficile de résister à son savoureux pigeon sucré-salé aux amandes et au miel, servi dans des feuilles de brick au four, ou à son tajine d’agneau aux amandes, pruneaux, cannelle et quatre épices à tomber par terre ! Terminez avec une douceur andalouse aux figues, dattes et écorces d’oranges confites, qui constitue un véritable délice pour les papilles !
Le Caroubier, c’est aussi l’hospitalité et le service réunis, des qualités si chères aux Marocains, et qui règnent en permanence au sein du restaurant. Le personnel est accueillant et disponible, afin de vous faire vous sentir comme à la maison.
Le restaurant est privatisable pour accueillir des soirées à thèmes, selon vos préférences. Il suffit d’en formuler la demande. Pour accompagner chacun de vos repas, la maison vous invite à goûter à son excellent vin rouge marocain, le Riad Jamil de la région de Meknès, qui est élevé dans des vieux fûts en chêne… une très belle découverte.
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Fondée par Roger RAVOIRE en 1987, la maison familiale Ravoire et Fils n’a eu de cesse de se développer. Aujourd’hui, elle est présente sur deux vignobles français phares et emploie une quarantaine de salariés.
Un rayonnement en France et à l’international
Ravoire et Fils ne profite pas seulement de deux sites d’exception (Châteauneuf-du-Pape et Salon-de-Provence). L’entreprise a, en effet, basé ses valeurs sur l’humain et sur une modernisation continuelle de ses outils. Cette dynamique lui permet ainsi de créer des produits aux personnalités propres présents en France et dans le monde.
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C’est dans un nouveau décor sobre, mais chaleureux que s’inscrit la nouvelle destinée de l’hôtel-restaurant. Derrière la façade de pierres apparentes ancestrales émerge un intérieur cosy et contemporain. Entièrement rénovés, les lieux révèlent une décoration épurée et un brin vintage, teintée d’une inspiration italienne. Cet ancien refuge pour cavaliers et conducteurs d’attelage est maintenant un endroit incontournable pour une pause gourmande dans une atmosphère détendue. Bienvenue dans la Maison Zugno !
La cuisine de terroir avant tout
La cuisine bistronomique du nouveau restaurant s’avère être un régal pour les yeux et les papilles. Une particularité qui a permis à la maison d’être classée parmi les meilleurs restaurants de sa région par certains guides comme Tripadvisor. Le chef Emmanuel Bouclans travaille uniquement des produits de saison et des produits frais 100% français dont certains sont récoltés directement chez les agriculteurs locaux. Grâce à son savoir-faire, il choisit avec minutie les ingrédients qui composeront ses prochaines créations culinaires et qui seront destinés à ravir les palais de ses convives. Les saveurs subtiles et maîtrisées émanant de chaque assiette sont sa seule priorité « bien qu’il porte aussi une attention accrue à la présentation à la fois soignée et très moderne », nous fait savoir Nicolas Zugno, propriétaire des lieux.
Un mariage réussi des mets et des vins
Au gré des saisons et suivant l’instinct créatif du chef, la carte est renouvelée tous les mois. Cependant, il existe quelques incontournables dont le plat signature est une poitrine de cochon laquée aux épices douces accompagnée d'un écrasé de pommes de terre maison et ses petits légumes. Quant aux desserts ceux-ci seront mis en valeur grâce au nouveau pâtisser de la Maison Zugno, Quentin Defert. En résumé, « La cuisson bien exécutée, autant que l’équilibre parfait des ingrédients, constituent nos signatures », déclare Nicolas.
Côté vin, une liste éclectique qui vous fait balader dans les plus grandes régions viticoles du pays. Parmi les références qui fonctionnent le mieux figurent les vins de la Maison Bouchard ou ceux du Domaine Chapoutier.
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Le châtaignier est « l’arbre à pains » qui a toujours veillé sur l’homme en lui apportant des fruits abondants et nutritifs, surtout en période de disette. Cet arbre humble et protecteur est cependant délaissé pendant les années 50, au risque de disparaître. Soucieux de sauvegarder leurs châtaigneraies, des agriculteurs revestois ont fondé l’Association pour la valorisation de la châtaigneraie de Revest du Bion et de sa région. Un pari réussi, puisque le Revest du Bion produit aujourd’hui annuellement 20 tonnes de châtaignes de haute qualité. Ce taux de production est encore modeste par rapport aux autres régions, mais la Haute-Provence peut être fière de la qualité de ses châtaignes. De plus, sa filière castanéicole est, à ce jour, épargnée par le Cynips, une micro-guêpe ravageuse originaire de Chine qui touche aussi l’Europe, y compris la France. Le futur est plutôt prometteur pour le pays de Jean Giono, la région unique où ces fruits d’avenir poussent au milieu des champs de lavande.
Réhabiliter la châtaigneraie
Depuis les années 50, le châtaignier est délaissé au fur et à mesure que la plaine offre de vastes étendues cultivables pour la lavande et les céréales. Le contexte socio-économique après la Seconde Guerre mondiale accélère, en outre, l’abandon des châtaigneraies françaises. Afin de sauver celle de Revest du Bion, un groupe d’agriculteurs a créé en 1985 une association loi 1901 l’Association pour la Valorisation de la châtaigneraie de Revest du Bion et de sa région. Présidée par Eric Quenin, cette entité a pour principal objectif de réhabiliter la châtaigneraie et pérenniser son entretien. Dans sa première démarche de sauvegarde, elle abat 600 arbres forestiers afin de laisser la place à 200 jeunes châtaigniers. Elle vise ensuite à motiver et sensibiliser d’autres castanéiculteurs de toute la Haute-Provence, ciblant en même temps le grand public français comme clientèle potentielle. Un évènement annuel voit alors le jour : la fameuse Fête de la Châtaigne.
La fête de la Châtaigne
Chaque année, en octobre, la Fête de la Châtaigne est célébrée à Revest du Bion depuis 2000. En 2016 a lieu la 17ème édition. Soutenu par la Mairie, cet évènement festif et culturel est organisé par l’Association pour la valorisation de la châtaigneraie de Revest du Bion, avec la collaboration de la Confrérie des amis de la ahâtaigne. Le but est de faire connaître l’existence de la châtaigneraie du plateau d’Albion, surtout celle de Revest sur Bion, au grand public et aux milliers d’amateurs de châtaignes. Plus de 10 000 visiteurs sont ainsi attendus chaque année pour célébrer le gout authentique de ce fruit ainsi que les produits du terroir. Chacun peut ramasser gratuitement les châtaignes dans les vergers, déguster les cornets de châtaignes grillées ou les consommer dans mille-et-une recettes : sous forme de soupe, de velouté, de confiture, de pâtisseries, etc. Le fromage de Banon AOC est inconditionnellement présent au rendez-vous, dans son écrin de feuilles de châtaigniers séchées. Dans cette ambiance festive et de bonne humeur, les gens profitent aussi de la beauté des vergers pour se promener et se détendre. En famille ou entre amis, le circuit pédestre s’avère un agréable moyen de découvrir la châtaigneraie ainsi que les paysages d’automne de la région.
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Menthe poivrée, bergamote, violette, les rayons de la boutique que Mauricette Clech a fait tourner pendant plus de 60 ans n’ont pas fini de dévoiler les secrets bienfaisants de ces plantes. Et de tant d’autres que le numéro 35 de la place du Marché déploie sous diverses déclinaisons dans son intrigant « tisane & tea bar ». Quid d’une nouvelle tendance pour tirer des plantes leurs vertus millénaires.
Une enseigne modernisée, un mode de consommation remastérisé
Entre les plantes et Millymenthe, l’histoire était partie pour durer. Ouverte en 1934 et tenue par le dernier herboriste de France, l’adresse a traversé les décennies sans cesser, un seul jour, de vanter leurs bienfaits. Victoria Renaud-Foughali nous raconte avec enthousiasme l'historique des lieux : « C'est en novembre 2010 que Mauricette Clech, icône de notre herboristerie pendant 63 ans, cède sa place à ma famille. Pendant cinq ans, ma tante Sabine Foughali, diplômée d'un DU en phytothérapie et passionnée par les plantes médicinales, tiendra la boutique avant de m'en laisser les rênes début 2016. C'est elle qui m'a transmis ce savoir ancestral autour des plantes et de leurs bienfaits, ayant elle-même reçu de nombreux secrets botaniques de la part de notre prédécesseur. C'est un héritage immense qui perdure de famille en famille sur plusieurs générations et qui fait la renommée de l'herboristerie Millymenthe depuis tant d'années. »
Reliftée par la nouvelle propriétaire, l'adresse est désormais connue de ses adeptes pour son bar à tisane et bar à thé. Un concept bonus pour goûter, façon XXIe siècle, à toutes les vertus de ces boissons. Les spécialités aromatiques sous forme de sirops, de préparations à infuser et de bonbons qui ont fait la renommée de la maison sont toujours commercialisées. Avec en tête d’affiche, l’illustre menthe poivrée – « la plus médicinale des menthes », selon la dirigeante – et ses déclinaisons. Huiles essentielles, gélules et autres préparations phytothérapiques enrichissent les offres auxquelles les habitués et les néophytes accèdent en poussant la porte de cet antre du « bien-être, des plantes et du naturel ».
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Lancée en 1981, La Roumanière est un Établissement et Service d’Aide par le Travail (ESAT) implanté dans le département du Vaucluse. Elle fait partie des établissements fondés par l’Association Vauclusienne d’Entraide aux Personnes Handicapées (www.aveph-asso.com).
Un établissement en plein essor
Établie sur le village de Robion, une localité située au cœur du verger provençal, La Roumanière se spécialise dès son origine dans la fabrication de confitures, qu’elle complète par celles de biscuits et de miels. Ses activités se sont tournées principalement vers les marchés du domaine de l’agroalimentaire. « On a continué à développer l’activité avec une biscuiterie en 2009 et, depuis 2012, nous avons développé un site de production à Avignon », précise Norbert Guillarme, le directeur de l’établissement. L’enseigne compte actuellement plus de 600 clients actifs. Ces fidèles consommateurs sont composés de maisons d’hôte, de commerces de proximité « et même de compagnies aériennes », nous souffle-t-on.
Insertion sociale et professionnelle
Fidèle à ses valeurs et à ses engagements, La Roumanière favorise l’insertion professionnelle des personnes en situation de handicap. Son personnel est constitué de quatre-vingt-trois personnes « extraordinaires ». « J’ai trente-huit personnes sur le site originel de production situé à Robion, cinq autres personnes assurent la logistique et la préparation des commandes en expédition dans le monde entier, et quarante personnes sur le site de production d’Avignon », précise notre interlocuteur. «Ces personnes bénéficient d’un accompagnement socio-professionnel permanent. »
Des produits prestigieux
Grâce à leur saveur exquise, les confitures sont des douceurs indétrônables de la gastronomie française. Afin d’être à la hauteur des besoins des consommateurs, La Roumanière propose une quarantaine de variétés de confitures avec des conditionnements variés, allant du pot en verre de 25 g à 1 kg. « Les best-sellers, ce sont les confitures très classiques à base d’abricots, de fraises ou de figues. Nous avons aussi une dizaine de variétés qu’on appelle "la confiture de prestige" », fait savoir Norbert. Catégorisées dans les produits haut de gamme, les confitures de prestige sont confectionnées à partir d’un cocktail de fruits et d’alcool. Conçu à partir d’une recette traditionnelle, le confit de figue au nougat est un autre incontournable qui fait des ravages surtout en période de fin d’année. Ce produit gourmand au goût authentique accompagne parfaitement un plat de foie gras.
Attestant de la qualité des produits, ces derniers sont référencés dans les meilleurs guides comme Le Guide du Routard ou Le Petit Futé et cela, depuis plus d'une dizaine d'années.
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Ville culturelle au riche patrimoine viticole, Aix-en-Provence est devenue, au fil du temps, une terre de la haute gastronomie française. Chaleur et convivialité se ressentent dans le moindre recoin de la ville, qui laisse penser qu’elle est bénie des dieux. C’est dans cet environnement véhiculant l’art de vivre à la provençale et immortalisé à jamais dans les œuvres du célèbre peintre Cézanne qu’Olivier Scola a entamé son projet de vie : l’ouverture de son restaurant Ze Bistro.
Manger simple mais bien…
Ze Bistro fait dans la cuisine de marché, travaillant qu’avec des produits frais mais aussi du terroir. Chaque jour, le chef bénéficiant du titre de maître restaurateur propose une nouvelle carte, suivant les saisons et les envies de la clientèle. Rien n’est laissé au hasard chez Olivier Scola, tout est préparé pour que chaque personne s’y sente bien et reparte avec le sourire après un bon repas. Un menu parfait ? Un Foie gras de la mer, asperge verte et orange, suivi d’un pavé d’agneau au citron confit et au jus de géranium qui finit sur un sablé breton aux fraises des bois, un blanc-manger au basilic. La carte des vins, elle, ne demande qu’à être découverte, créée par Olivier Scola en personne, avec l’aide de restaurateurs et de vignerons.
Le vin, une passion
Outre la cuisine, le chef est aussi un grand amateur de vins. Une passion qu’il partage avec sa compagne, originaire d’Alsace qui d’ailleurs fait partie de ses régions viticoles préférées. Enfant du terroir, il a un respect profond pour les artisans producteurs avec qui il collabore et n’hésite pas à leur rendre un vibrant hommage sur son site. Homme au grand cœur, professionnel, charmant, Olivier Scola est avant tout un artiste dans l’âme, reconnu pour ses talents de cuisinier avec dix huit années passées derrière les fourneaux.
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Le château Maïme est une exploitation familiale de 36 hectares établie sur plusieurs terroirs. Le savoir-faire ainsi que les investissements de la famille Sibran-Garcia additionnés au climat avantageux de la Côte d’Azur ont fait de ce domaine le haut lieu de la fabrication des meilleurs vins de Provence.
Le vignoble
Véritable vestige archéologique, le domaine doit son nom à la chapelle construite sur la propriété vers le milieu du Moyen Âge. La situation géographique du Château Maïme est un atout majeur. Le domaine est au pied du massif des Maures. Le vignoble, quant à lui, est réparti en plusieurs parcelles suivant les types de terroir. La partie haute est composée en grande partie par les micaschistes, et celle plus basse par les sols argilo-sablonneux. Près de 16 hectares de terre proposent quant à eux un sol de grès sablonneux.
La singularité et la typicité du Château Maïme viennent sûrement de ce sol spécifique de la Provence. En effet, la présence de nombreux galets permet d'accumuler la chaleur durant la journée et de la répartir durant la nuit.
La technique de vendange
Celle utilisée est de type mécanique. Cette méthode a été choisie dans le but d’optimiser la qualité des produits. En effet, le domaine a investi énormément dans l’acquisition de cuves dernière génération dites thermo-régulées. Celles-ci permettent de conserver la fraicheur des vins et de leur conférer de façon plus saine une robe claire. La technique consiste à faire descendre rapidement la température du raisin à réception de la vendange pour atteindre 5° C.
Les palmarès du Château Maïme
Les efforts et le savoir-faire de Jean-Louis Sibran ont contribué à la réputation du domaine. Pour faire connaître ses produits il est souvent présent aux concours nationaux. Les trophées vont de l’année 2000 à 2016 avec par exemple la médaille d’or et les deux médailles d’argent gagnées par le Rosé 2015 AOP Côte de Provence durant le 27e Concours National des Vins vinifiés par le vigneron indépendant en 2016. Il a aussi remporté la médaille d’argent lors du Concours des Grands Vins France à Mâcon.
Le Blanc 2015 AOP Côte de Provence a également été récompensé d’une médaille d’or durant le Concours Général Agricole de Paris en 2016. Des prix qui ne peuvent qu’attester de la qualité des produits du Château Maïme !
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Un jardin fleuri et une grande piscine qui ajoute une note de convivialité tout en invitant à la détente. Bienvenue à La Ferme aux vins. Bourguignons ou voyageurs de passage sont accueillis par une équipe dynamique, souriante et chaleureuse, placée sous la houlette de Marie-Pierre Bêche, la directrice des lieux.
Quand le temps le permet, les parasols s’ouvrent à l’extérieur pour recevoir les clients avides de soleil et d’air frais. L’intérieur est tout aussi propice à la convivialité. Le décor propose un doux et ingénieux mélange entre confort et modernité. C’est dans cette ambiance de charme qu’évolue le chef Xavier Bitarelle, un spécialiste de la cuisine traditionnelle qui maitrise son art à la perfection.
Capital confiance
La Coupole à Paris, Dalloyau, l’Hostellerie de Levernois : Xavier Bitarelle fait ses armes dans les établissements les plus prestigieux. Cette longue et riche expérience lui vaut toute la confiance de la famille Jacquier, qui lui confie les rênes du restaurant La Ferme aux vins en 2008. Rappelons que, depuis 4 générations, l’existence du groupe Hôtels Bourgogne Qualité est fondée sur les valeurs portées par la famille Jacquier, profondément attachée à la Bourgogne, et passionnée par les métiers de l’hôtellerie et de la restauration. Aujourd'hui, Hotels Bourgogne Qualité, ce sont 11 hôtels en Bourgogne, de l’économique au 5 étoiles, ainsi que 7 restaurants gourmets et gastronomiques.
Xavier Bitarelle, un maestro de la cuisine bourguignonne
Prêt à redynamiser La Ferme aux vins, ce chef efficace et fignoleur y sculpte les parfums, les goûts et les harmonies pour au final proposer une cuisine de terroir relevée par une pointe d’innovation. Ainsi, au fil des saisons, les clients sont sûrs de trouver une carte évolutive qui s’approprie les beaux produits qu’offre la Bourgogne. Car le chef reste des plus exigeants quant à la qualité et à la fraicheur de ses ingrédients commandés auprès de fournisseurs locaux.
Toute cette rigueur et ce perfectionnisme se découvrent aisément au travers des plats proposés : magret de canard aux baies de cassis, volaille de Bresse à l’époisse...
La carte affiche aussi ses spécialités, les fondues bourguignonnes, vigneronnes ou bressanes, pour faire honneur au concept de « cuisine conviviale ». On n’oubliera pas de mentionner les menus, dont celui qui est intitulé « Bourgogne » qui offre de jolis clins d'œil à la région. Sur l’ensemble, le prix moyen par convive de 35 € reste des plus raisonnables.
Une belle carte des vins
La carte des vins met en scène la Bourgogne. Elle est élaborée sur des coups de cœur et au fil des rencontres et des dégustations faites avec les viticulteurs. Pour que vous soyez au fait des meilleurs accords mets-vins, l'équipe de serveurs vous guide dans votre choix, qui peut vite devenir cornélien compte tenu de la richesse de la cave constituée de plus de 200 références.
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Sis dans un ancien hôtel particulier du 15e siècle, le restaurant La Closerie a été entièrement pensé pour répondre aux besoins des clients. Il se décline en effet en deux salles différentes, avec deux ambiances spécifiques. La première salle, côté jardin, propose un cadre élégant et intimiste marqué par la présence d’un beau plafond à la française et d’une cheminée en pierres de Bourgogne.
Envie de prendre un verre entre amis ? La seconde salle, côté cour, est l’endroit idéal. Ce bar à vin dont l’animation est assurée par un sommelier distille une ambiance lounge et décontractée, où règne également la convivialité.
Une cuisine authentique dans un cadre de charme
La Closerie propose une cuisine raffinée et surtout faite maison, comme l'exigent les critères d'affiliation au titre de Maître Restaurateur, où les recettes traditionnelles se mêlent à l’inventivité et à l’imagination du chef Emeric Buisson. La réputation de ce chef s’est construite à travers ses menus élaborés avec des produits frais et de premier choix qui évoluent au gré des saisons. Dans la gamme des plats phares qui font sa renommée figure le jambon persillé assorti de crème fouettée à la moutarde, une entrée très appréciée de la clientèle. En ce qui concerne les plats, la joue de bœuf confite au vin rouge, fricassée de légumes se distingue du lot. Les fins gourmets apprécieront la tendreté et l’onctuosité de la viande, laquelle a fait l’objet d’une concoction de vin rouge durant un minimum de huit heures. Enfin, dans le registre des desserts, la maison se fait un réel plaisir de proposer le vacherin au cassis et pain d’épices. Sa particularité réside dans la combinaison parfaite de deux produits du terroir. Le chef a également utilisé du pain d’épices issu de la fameuse maison « Mulot & Petitjean » pour sublimer ce dessert très particulier.
Les vins de Bourgogne à l’honneur
La carte des vins de La Closerie fait la part belle aux vins de Bourgogne, lesquels sont certainement les mieux indiqués pour accompagner les plats concoctés dans cet établissement dijonnais. Dans la liste de ses meilleures références figurent les vins de la Côte de Nuits, de la Côte de Beaune ou encore de Gevrey-Chambertin.
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Le Chai Saint-Sauveur se veut être un grand restaurant néanmoins accessible à tous les budgets. Le Chef Jérôme Verrière revisite les plats traditionnels tels que le ris de veau. « C’est le plat phare du restaurant » déclare Elodie Trassard, la maitresse de maison. Ici, la fraicheur des ingrédients est privilégiée, avec une préférence particulière pour les produits locaux.
Une cuisine française traditionnelle
Plusieurs menus sont proposés le midi, allant d’un simple plat du jour à une Entrecôte et Frites Maison, en passant par les formules incluant entrée, plat et dessert. Le soir, les menus laissent place à la carte. L’Œuf en meurette et ses petits croûtons se fait remarqué parmi les entrées. Du côté des plats, il serait tout à fait normal d’hésiter entre le Risotto poêlé aux gambas accompagné de sauce crustacé et la Souris d’Agneau à la purée au beurre. Et en dessert, les tartes au citron, caramel au beurre salé et tartelette framboise et sa crème légère raviront les gourmets. Tout est fait-maison, sauf la glace qui accompagne le Coulant chocolat au jus passion.
Les vins du Chai
Que serait un Chai sans vins ? Pour accompagner le repas, le Chai Saint-Sauveur suggère des crus issus du Sud-Ouest, Languedoc, Vallée du Rhône, Bordeaux, Pyrénées orientales et Bourgogne. Avec ses 22 références en rouge, 7 en blanc et 3 en rosé, chacun trouvera sa préférence en accord met-vin. La maison organise aussi quelques fois des dégustations de vins en compagnie des producteurs. Et grâce à sa licence de caveau, elle peut vendre les bouteilles à emporter.
Un cadre agréable dans la salle
Les couleurs chaudes comme le rouge et la prédominance du bois donnent à cet endroit une ambiance chaleureuse. Les étiquettes illustrant différents domaines viticoles qui couvrent les murs plongent la salle dans l’univers du vin.
Eclairée par la grande baie vitrée, la salle révèle un esprit bistro-chic avec la présence de tables hautes confortables disposées de manière à offrir des espaces personnels parfaitement raisonnables. Eloignée du comptoir, la partie du restaurant constituée de tables basses quant à elle est propice au calme, idéale donc pour les dîners romantiques en amoureux.
Un espace extérieur à l’ambiance sereine
Installé sur une place aux allures de village, le restaurant le Chai Saint-Sauveur a le privilège de bénéficier d’une terrasse blottie au cœur d’un environnement verdoyant. Ce haut-lieu de rendez-vous des toulousains est équipé de fauteuils, de canapés et de tables basses. Un cadre sympathique parfait pour l’apéro. Le quartier est calme et la circulation est rarement dérangeante.
Privatisable, la véranda peut recevoir en exclusivité jusqu’à 40 personnes assises pour un instant repas, 55 si les convives restent debout. A noter que le restaurant offre aussi des repas de groupe adaptés aux différents budgets. Des tapas se déclinant en de multiples variétés peuvent être concoctés sur demande.
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L’Auberge L’École, au cœur des Monts du Lyonnais, est installée dans une ancienne école du hameau de Bouchala et gérée par un sympathique couple : Denis et Christine Peralta. Denis est aux fourneaux tandis que Christine, en salle, est aux petits soins pour les clients.
Un décor au charme incontestable
C’est en 2010 que le couple reprend l’école, qui avait été fermée en 1983 puis mise en location à des particuliers pendant plusieurs années. Il la transforme en restaurant, tout en gardant des éléments de décor de l’école, une façon de revivre la chaleur conviviale et d’évoquer les instants de l’enfance.
Sur une énorme ardoise sont écrits les bons petits plats au choix. Équerres et crayons de couleur disposés un peu partout renforcent le style de la salle. Les photos de classe de 1930 à 1983, tels des tableaux de souvenir, racontent l’historique des lieux. Dans la cour de récréation transformée en agréable terrasse, les convives retrouvent la bonne et vieille marelle ainsi qu’un beau jardin doté de plantes aromatiques.
Aujourd’hui, l’Auberge L’École est labellisée « Qualité tourisme ». Elle dispose d’une quarantaine de places en intérieur et d’une trentaine en extérieur. La salle est également privatisable, notamment les weekends, pour recevoir les groupes dans la limite d’une trentaine de personnes.
De bons plats faits maison
Denis Peralta a auparavant exercé dans le milieu de l’hôtellerie, plus précisément dans la gestion d’une chambre d’hôtes. Plus tard, il entame sa reconversion et s’intéresse à l’univers de la cuisine. Après l’acquisition de son auberge, il effectue une formation et sera encadré par de grands chefs.
Aujourd’hui, il se plaît à sublimer à sa manière les produits du terroir. À l’Auberge L’Ecole, tout est frais et fait maison, de quoi amplifier les saveurs des délicieuses propositions culinaires concoctées par ce chef passionné.
Les papilles se délecteront de la charcuterie faite maison, de la volaille fermière, des escargots, des tripes bio... Il n’y a pas véritablement de menus mais, à la place, une formule libre composée d’une entrée, d’un plat et d’un dessert, à seulement 25 €, est proposée. On pourra se laisser tenter par un délicieux fondant aux herbes avant de continuer sur un duo de poissons à l’Américaine et finir avec un crumble pomme-noix.
Les vins répondent aussi à l’appel au travers de la sélection proposée par les maîtres des lieux pour rehausser le goût des différents plats. Côtes-du-Rhône, Côtes-de-Provence, Saint-Joseph, Mâcon… il y en a pour tous les palais.
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Héritage familial depuis quatre générations, la Bonne Etape est un célèbre restaurant gastronomique étoilé Michelin depuis 1964. La maison reste fidèle au goût authentique de la Provence, à l’accueil amical du personnel et la convivialité des lieux. A l’intérieur comme à l’extérieur, le cadre envoûte les visiteurs. Ils prennent alors le temps de s’asseoir pour savourer une cuisine d’auteur raffinée qu’inspire le jardin biologique de la maison. L’émotion est au rendezvous, le goût du bonheur faisant toujours effet dans les plats amoureusement préparés par le chef Jany Gleize.
Le parcours prédestiné d’un passionné
Le propriétaire des lieux n’est autre que le chef étoilé Jany Gleize, Maître cuisinier de France. Né un jour du SaintValentin 1957 à Château Arnoux, il grandit au sein d’une famille de restaurateurs. Très jeune, il observe déjà son père orchestrer le restaurant et partage la passion de sa grandmère Gabrielle pour la cuisine. Son choix est fait. Dès qu’il a décroché son baccalauréat, Jany part débuter sa carrière chez « La Bonne Auberge » de Jo Rostang, à Antibes, loin du cocon familial. Il travaille ensuite pour Pierre et Jean Troisgros à Roanne, en 1976. De 1977 et 1978 il est apprenti chez Alain Chapel à Mionnay puis en 1979 chez Michel Guérard. Après son apprentissage bien peaufiné à travers la France, il devient serveur de restaurant pendant six mois au « Connaught Hotel », à Londres, en 1980. Il finit par revenir dans sa chère Provence, en 1981 et prenden main le restaurant familial. Les talents du chef se font vite remarquer si bien que sa renommée parvient même jusqu’au Palais de l’Elysée. Il est alors choisi par le Président François Mitterrand pour préparer le repas du soir du bicentenaire de la Révolution Française, le 14 juillet 1989, en l’honneur de tous les Chefs d’Etat invités. Le Maître, cependant, ne réserve pas la noblesse de son art qu’aux grands de ce monde: il lepartage avec tous ceux qui aiment la cuisine française. Il vient ainsi de publier son premier ouvrage intitulé « La Bonne Etape », sorti le 07 mars dernier. Ce beau livre, aux éditions Brigitte Eveno, contient 50 recettes où le chef dévoile ses secrets.
Des plats aux saveurs authentiques de la Provence
A la Bonne Etape, la cuisine est rythmée au fil des saisons. Elle est riche de saveurs mais légère au corps : un équilibre harmonieux savamment recherché. La maison propose trois menus, à savoir le menu Mer ou Garrigue, le menu Jarlandin dans lequel le dessert est une surprise du chef, ou encore le menu Jeunes Convives pour les moins de douze ans. Il est également possible de commander à la carte et essayer à l’entrée le fameux Foie gras de canard en trio en lobe ivre de vin rouge épicé, à 32€. Ce plat figureen saison au menu Jarlandin, tout comme l’Agneau de Sisteron rôti à feu d’enfer, servi avec du risotto. Le dessert à la carte va sûrement satisfaire les gourmets avec sixvariétés de délices sucrées, proposées avant le fromage sur une autre carte séparée. Le chef et son équipe sont heureux de conseiller leurs hôtes sur leurs choix et les vins qui s’y accordent. La cave de la maison, reconnue comme l’une des plus belles de France, laisse l’embarras du choix avec ses 600 références.
Le secret est dans le potager
La Bonne étape dispose d’un jardin potager baptisé « Jean Rey », en l’honneur du grand père qui était agriculteur. Le chef Jany Gleize a donné une nouvelle esthétique au jardin avec la collaboration de François Tessari, un jardinier ethnobotaniste de renom. Ils ont ainsi créé un jardin à l’anglaise où l’harmonie des couleurs est une véritable peinture vivante. La culture biologique y est privilégiée. Le désherbage se fait à la main, la terre est travaillée à l’aide d’une grelinette. Pour gérer les insectes nuisibles, le chef favorise les systèmes de « friches » où les larves des insectes ravageurs sont exposées aux prédateurs. C’est dans ce champ de légumes, d&rs...
Le Vignoble des 2 lunes est un domaine familial qui existe depuis 7 générations. Amélie et Cécile Buecher y ont passé leur enfance.
Passionnées par le travail de leurs prédécesseurs, elles ont opté pour des études en œnologie. Amélie, l’ainée, a fait un bachelor en viticulture œnologie suivi d’un master en commerce international des vins et spiritueux. Quant à Cécile, elle a fait des études de commercialisation et de management en vin pour finir avec le même master.
Le Vignoble des 2 lunes fait partie du vignoble d’Alsace couvrant une superficie de plus de 15 500 hectares de terrains plantés, entre autres, de riesling, de gewurztraminer, de sylvaner, de pinot et de muscat. Son terroir est composé de calcaire, de granite, de schistes, de gneiss et de grès.
L’appellation Alsace produit des vins bio, des vins effervescents d’appellation Crémant d’Alsace, des vins blancs d’appellation Alsace et Alsace grand cru, des vins rouges et rosés d’appellation Alsace. Ce sont vins puissants, intenses et fruités.
Agriculture bio et biodynamique
Le Vignoble des 2 lunes comprend des vignes de coteaux très rares en Alsace. Celles-ci se trouvent sur des sols marno-calcaires, argilo-calcaires, granitiques et encépagés de riesling, de gewurztraminer, de muscat de pinot blanc et noir.
Le domaine est certifié en agriculture bio et biodynamique. Amélie et Cécile Buecher sont de ferventes défenseuses des méthodes de culture artisanale. « On travaille avec les mouvements de la lune, on n’utilise pas de pesticides, on fait notre propre compost maison », nous explique Amélie Buecher.
Le désherbage se fait à la main, mécaniquement ou avec des chevaux. Les vendanges, la vinification et l’élevage sont faits traditionnellement.
Le Vignoble des 2 lunes, ce sont 25 références de vins élaborés, dont 4 crémants en brut nature zéro dosage, des cuvées tradition, des vins de terroir produits sur des parcelles situées à des endroits spécifiques, des vendanges tardives, des sélections de grains nobles, une liqueur élaborée à base de jus de raisin gewurztraminer, des schnaps, les grands crus Hengst et Hatschbourg.
Le Crémant Clair de lune, un savoureux effervescent
Le Crémant Clair de lune est un vin effervescent produit exclusivement avec du pinot noir, mais vinifié en blanc. Il a une belle couleur jaune dorée. En apéritif, il peut accompagner un tapas saumons crevettes, à table avec des Saint-Jacques aux agrumes, une dorade au four et un sorbet aux fruits rouges.
Le Pinot gris Sélénite, une belle rondeur
Le Pinot gris Sélénite est un vin de terroir élaboré avec du Pinot gris. Sa couleur est jaune pâle. Au nez, on sent du pain grillé ou des notes exotiques fumées. En bouche, il a une belle rondeur et un bel équilibre. Il va bien avec la charcuterie, la volaille, les tajines, les poissons gras en sauce, le porc et tous les mets à base de champignons.
Le Crémant Clair de lune, un savoureux effervescent
Le Crémant Clair de lune est un vin effervescent produit exclusivement avec du pinot noir, mais vinifié en blanc. Il a une belle couleur jaune dorée. En apéritif, il peut accompagner un tapas saumons crevettes, à table avec des Saint-Jacques aux agrumes, une dorade au four et un sorbet aux fruits rouges.
Le Pinot gris Sélénite, une belle rondeur
Le Pinot gris Sélénite est un vin de terroir élaboré avec du pinot gris. Sa couleur est jaune pâle. Au nez, on sent du pain grillé ou des notes exotiques fumées. En bouche, il a une belle rondeur et un bel équilibre. Il va bien avec la charcuterie, la volaille, les tajines, les poissons gras en sauce, le porc et tous les mets à base de champignons.
Le Gewurztraminer Hengst, un vin puissant et concentré
Le Gewurztraminer Hengst est un grand cru de couleur jaune or. Au nez, il a des notes de fruits exotiques, de pétales de rose et de litchi. En bouche, il est puissant et concentré avec un bel équilibre. En apéritif, Le Gewurztraminer Hengst s’accorde avec du foie gras, des mets exotiques, des fromages forts et des desserts chocolatés.
On a aussi la Vendange tardive Riesling, un vin complexe en bouche pour l’apéritif et le spiritueux Schnaps (eau de vie de Marc Gewurztraminer), avec sa robe blanche cristalline et sa texture d’épice.
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Équipé d’un espace intérieur de 1 500 m2 et d’un espace extérieur de même superficie, le Nouveau Chalet du lac est un lieu d’émotion qui permet de recevoir jusqu’à 2 000 personnes en cocktails et 900 couverts en repas assis et doté de trois terrasses, un parking gratuit ainsi qu'un fumoir.
Rendez-vous sur la piste après diner
Conçu et pensé pour le confort et la convivialité, l’établissement s’assimile à une grande maison d’hôtes de campagne, propice aux invitations festives et gourmandes, où décor rétro et décor contemporain sont en parfait accord.
Offrant un mélange minutieux d'Italie et de tradition française, ce lieu emblématique comble les fins palais qui, après un bon dîner, peuvent enchaîner sur une pure soirée dansante sur fond de musique généraliste jusqu'au petit matin.
Brunch dominical : un incontournable
Le Nouveau Chalet du Lac est une adresse bien connue pour les brunchs dominicaux dans le Bois de Vincennes. Au programme : crêpes, mini-viennoiseries, jus de fruits frais, fromage blanc, thé, café, chocolat et yaourts. Le buffet est également composé de plusieurs plats salés pour ne citer que les œufs brouillés à la truffe, antipasti, fromage, saucisse, thon mariné ou les incontournables burgers. Au dessert, les cheesecakes, gâteaux au chocolat, salades de fruits, verrines de panna cotta ou de tiramisu apportent une touche de douceur. Comme le restaurant ne désemplit jamais, une réservation par téléphone est conseillée.
Lieux privatisables à souhait
Le Nouveau Chalet du lac est un lieu idéal pour les réceptions en extérieur. Situé en plein cœur du bois de Vincennes et à faible distance du lac, vous avez le choix entre la terrasse Clémentine pour une immersion dans l’écrin de verdure de l’entrée du bois, où parasols et bar de terrasse se prêtent volontiers à un éventuel cocktail privatif ou à un diner d’esprit guinguette, et le terrain attenant au Chalet qui offre un espace totalement modulable.
Un moment d’immersion en pleine nature, ouvert sur un espace accueillant d’inventives scénographies en perspective. Figurant parmi les espaces privatisables du Chalet, la véranda d’une capacité d’accueil de 150 personnes en cocktail et de 80 repas assis est idéale pour accueillir une réception conviviale avec vue sur le lac. Faisant office de salle de commission attenante aux deux autres salons, l’espace Véranda s’adapte à la demande à différentes configurations, en journée comme en soirée.
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Au nord-ouest de Saint-Émilion, le château Croque-Michotte et ses treize hectares de vignes dominent les vallées de la Dordogne et de L’Isle. C’est sur ce terroir d’exception, tout près de Pomerol, entre Cheval-Blanc et Petrus, que la famille GEOFFRION s’est installée en 1906. Depuis, sur cette petite exploitation, ils cultivent majoritairement du merlot, mais aussi du cabernet franc et du cabernet sauvignon. Afin de tirer le meilleur de ces cépages, Pierre Carle, le gérant du domaine et maître de chai depuis 1996, mène chaque aspect de la récolte et de la vinification. La taille courte des vignes se fait dès l’hiver pour maîtriser les rendements et ainsi obtenir un jus de raisin plus concentré qui sera la quintessence du Croque-Michotte. La vendange manuelle se fait sur plusieurs jours en fonction de la maturation des cépages pour cueillir les raisins exactement au bon moment. Il faut apprendre à jouer avec le temps pour profiter de la noblesse de la nature. Chaque grappe et chaque raisin seront triés par une table optique. Seuls les meilleurs seront sélectionnés pour aller dans les cuves. Le vin sera ensuite rapidement mis en barrique de chêne français à grain fin. Il y restera entre quinze mois et deux ans pour lui permettre de révéler tous ses arômes.
Un regard nouveau sur le vin
Avant d’être vigneron, Pierre Carle était ingénieur à Paris où il a travaillé pendant de longues années. Mais, dans les années 1990, il décide de retrouver son terroir et le domaine familial. Son expérience lui aura permis d’avoir un regard nouveau sur l’exploitation. À son retour, il se demande comment utiliser moins de produits chimiques sur les vignes. Puisqu’après tout, si le vin était bon en 1906 sans pesticides, il n’y a pas de raison qu’il le soit moins quelques années plus tard. Dès 1996, il défend une agriculture d’abord dite « raisonnée » afin de préserver ce terroir d'exception, et de protéger les artisans qui y travaillent. Cette démarche a permis au Château Croque-Michotte d’obtenir en 1999 la certification biologique. Aujourd’hui encore, Pierre Carle cherche sans cesse de nouvelles techniques pour améliorer sa production. Récemment, il a décidé d’utiliser des bactéries biologiques qui sont ajoutées au remplissage des cuves pour annihiler certaines bactéries néfastes. Ainsi les fermentations sont menées sans sulfites et les vins obtenus ont encore gagné en pureté.
L’humain et le savoir-faire
Choisir le bio, c’est aussi accepter de faire avec les caprices de la nature et des éléments. Et pour ça, il faut maîtriser un véritable savoir-faire. C’est tout le travail de Claudie et Éric, les deux ouvriers agricoles de l’exploitation. Bien plus que de simples exécutants, ce sont de véritables artisans vignerons. Ils connaissent les curiosités de chaque pied de vigne, leurs qualités, leurs caractères et chaque geste pour y répondre. Et parce qu’ils appréhendent les humeurs du domaine mieux que personne, leur avis est primordial quand il s’agit de prendre une décision. Claudie travaille plus particulièrement dans les chais où elle va prendre soin du vin dans les cuves et les barriques.
Mais ils ne sont pas la seule composante humaine du domaine. Lucile Carle, la fille du gérant, donne aussi beaucoup de son temps à la propriété. Elle aide son père dans la gestion et fait visiter le domaine sur rendez-vous. Un bon et beau moyen de découvrir ce grand vin dégusté sur des tables étoilées. Et exporté en Belgique, en Australie, en Allemagne et dans beaucoup d’autres pays.
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