Cette œuvre est le 52e titre du catalogue de François Righi, artiste du livre basé près de Bourges, en Berry, et dont la renommée dépasse les frontières.
Ce plasticien conçoit et crée des livres à exemplaire unique ou à tirage très limité. Ainsi son œuvre la plus récente, Heures dispersées, est-elle conçue dans la continuité de son travail de création qui tente d’inscrire l’un dans l’autre l’espace d’un lieu et celui d’un livre. La « matière travaillée du corps de ce livre » se trouve à Bourges, à l’hôtel Lallemant, une demeure de la Renaissance qui donne les références iconographiques du livre. Un texte en diptyque de Marie Grégoire encadre l’ouvrage. Quelle aventure impossible que celle de la conjonction du texte et de l’image !
William Blake, l’inspirateur
Depuis son jeune âge, François Righi, qui a aussi parcouru le Mexique sur les traces d’Antonin Artaud, est fasciné par le livre, cette « machine à produire à la fois du sens et du mystère », et par ceux qui le fabriquent, typographes, imprimeurs en taille douce, sérigraphes, lithographes. Il aime, comme James Lee Byars, « les meubles pour livres, les coussins pour livres, les tables pour livres ».
Formé auprès de grands graveurs parisiens, François Righi imprime ses livres sur ses propres presses depuis plus de 40 ans. On trouve, parmi ses inspirateurs, la vie et l’œuvre du poète anglais William Blake, mais il cite également Clemens-Tobias Lange, Jean-Claude Mattrat, Veronika Schäpers…
La disparition des grandes imprimeries qui assuraient l’édition des livres d’artistes et l’apparition des nouvelles techniques ont remis à l’honneur ces derniers. Ainsi, l’artiste-imprimeur est-il revalorisé dans sa fonction et son rôle. François Righi assure lui-même la commercialisation de ses œuvres auprès de collectionneurs particuliers, lors de salons et de rencontres avec des bibliothécaires.
Selon lui, un livre d’artiste ne révèle ses richesses que quand il est consulté, feuilleté, manipulé. Une relation avec son lecteur beaucoup plus profonde qu’une simple exposition dans la vitrine d’un musée.
François Righi : la vidéo
Depuis plus de quarante ans, François Righi fait du livre le lieu central de son travail plastique. Tout ce qui se passe à l’atelier vient du livre ou l’y reconduit. La place du texte est primordiale : jamais le livre n’est pensé dans l’ignorance ou l’oubli de son texte. Ce que ne contredit pas la réalisation parallèle d’installations, en écho aux lieux dans lesquels le projet d’un livre se constitue, ni la production d’estampes indépendantes.
François Righi participe à de nombreux salons et foires internationaux et ses œuvres sont présentes dans des collections publiques et privées importantes, en France et à l’étranger.Il résume son parcours en quelques mots : « Danse classique espagnole avec José Torres à la fin des années soixante. Trois mille kilomètres à pieds dans la Sierra Madre, au Mexique, en 1974. Et pour l’heure, quarante ans de germinations berrichonnes dans le reflet du jardin de Blake à Felpham. Promeneur, paonologue, tailleur d’images… Né à Lyon, patrie de Maurice Scève, en 1496-1946. »
François Righi : La boutique
Heures dispersées
26 x 24,5 cm, 32 pages. 3 gravures, 19 lithographies. 31 exemplaires numérotés et signés.
«Ce livre est le cinquante-deuxième titre du catalogue de François Righi. Il est conçu dans la continuité de l’une des inflexions principales de son travail de création, qui tente d’inscrire l’un dans l’autre l’espace d’un lieu et celui d’un livre. La « matière travaillée du corps de ce livre » se trouve à Bourges, à l’hôtel Lallemant. Le plafond à caissons, alternant emblèmes et putti, qui coiffe l'oratoire de cette demeure de la Renaissance, constitue la référence iconographique des dessins. Ceux des cernes du temps suivent les quatorze caissons décorés de putti. Le frontispice rappelle les seize caissons emblématiques qui firent l'objet du livre Le miroir volatil, de Robert Marteau, gravé, imprimé et publié par François Righi en 2004 […] » Marie-Jeanne Boistard, conservateur, directeur des biliothèques de Blois-Agglopolys.
Les livres, 2013
51 notices et descriptifs, 72 illustrations couleurs.
« À bien considérer les livres de François Righi, il apparaît qu’ils retiennent du livre […] qu’il est un dispositif, une machine à produire à la fois du sens et du mystère, et qu’il est une mise en forme de l’espace indissociable d’un rapport au temps (historique) et à la durée (subjective) […] » M.-J. Boistard.
Copia
Impression numérique. 80 exemplaires, numérotés et signés.
« Ce petit livre, fac-similé d’un carnet de notes sur papier d’écolier mêle informations à l’encre rouge ou noire, notes d’atelier, dessins minutieux à la mine de plomb. Graphies minuscules et lettres au pochoir alternent. Collages d’images ou de mots découpés succèdent à des citations et textes poétiques. S’ajoute au cahier d’origine un frontispice peint et un appendice avec traductions, en allemand par Johannes Strugalla et en anglais par Jim Dening, ainsi qu’un colophon. » J. Barral.
Ra(ge)
Dessins originaux. Exemplaire unique, daté et signé.
Toutes les pages d’un cahier d’écolier du milieu du XXesiècle sont couvertes de dessins à la mine de plomb surchargés de peinture noire. Un croquis anonyme a été conservé, qui prééxistait à l’appropriation du support.
Petit jour
14 gravures, 1 carte postale avec cachet.
40 exemplaires numérotés et signés.
« Le portrait d’une jeune femme par Petrus Christus, au milieu du XVe siècle, est le point de départ de ce livre, qui superpose et fait se croiser plusieurs trames de lecture. Un détail de la coiffure conduitau processus de sa transformation au fil des pages. La métaphore principale est celle d’un voile descendant par degrés sur la forme du visage et les mots qui s’y inscrivent, ainsi que la lumière et l’ombre parcourent l’espace et engendrent le jour et la nuit.Les termes inscrits sur ce visage, et ceux qui de page en page progressent en regard de cette image, sont issus de la collection de mots liée à la mythologie personnelle du paon, que François Righi explore inlassablement dans son travail, souvent en les disposant plastiquement en forme de diagrammes qui invitent à circuler dans leurs significations. » M.-J Boistard.
Le Désir interrompu
Exemplaire unique, daté et signé.
Les monotypes sont établis sur des empreintes de pétales de rose, rehaussés de dessins au carbone ; montage, sous Japon Tengujo au verso de chacune des pages, de fragments de textes de journal ; retouche des fonds à la gouache. Coffret marouflé de Fabriano Roma
Under the Volcano, vol. 4
Exemplaire de tête, avec 1 plaque gravée : 660 € I ci, l’image occupe l’espace des marges sur huit des seize pages. Pas d’illustration à la place attendue, qui ménage huit fois un carré blanc. Les quatre carrés gravés, tirés à part sur une feuille dépliante, donnent en complément la clef de l’image.
Promenade dans un enclos
Brochure offset rehaussée d’une empreinte gravée en couverture. 72 ex. numérotés et signés. Catalogue d’une exposition de François Righi à Grignan, à l’Espace François-Auguste Ducros.
Under the Volcano, vol. 3, chap. 2
10 gravures, 1 encart dépliant. 29 exemplaires numérotés et signés. Continuation de la « lecture » de l’œuvre monumentale de Malcolm Lowry. Dans cette édition, la numérotation est particulière.
En référence à un passage du texte – « […] la vieille femme au poussin et aux dominos était un mauvais présage qui lui glaçait le cœur » –, elle s’appuie sur la succession d’un double jeu de dominos.
Onze Lacs pour dix-sept soleil
12 dessins à l’encre rouge. Exemplaire unique, daté et signé. Un fil, préalablement enduit d’encre typographique, est coupé à l’aplomb du papier Japon, puis imprimé en un monotype aléatoire. Le repérage de l’une des intersections des entrelacs ainsi obtenus, reporté page à page, induit l’ordre de succession des images, qui doit plus à l’ancien usage de la réclame qu’à celui d’une foliotation ordinaire.
Onze Lacs pour dix-sept soleil,2005
12 dessins à l’encre rouge. Exemplaire unique, daté et signé.
Un fil, préalablement enduit d’encre typographique, est coupé à l’aplomb du papier Japon, puis imprimé en un monotype aléatoire. Le repérage de l’une des intersections des entrelacs ainsi obtenus, reporté page à page, induit l’ordre de succession des images, qui doit plus à l’ancien usage de la réclame qu’à celui d’une foliotation ordinaire.
RENÉ DAUMAL (1908-1944)
44 dessins à la mine de plomb et à l’encre rouge ou verte. Exemplaires uniques copiés à la demande sur cahier d’écolier, datés et signés. Le protocole est établi d'un geste répété quarante-quatre fois pour chaque cahier.Ce geste est celui d'un tracé suivant l'entrelacs que dessine une ligne unique orientée dans un seul sens, se recoupant elle-même huit fois dans le même plan.Les quarante-quatre tracés sont effectués à l'aveuglette, de la main droite, le regard fixé sur le geste de la main gauche qui suit du doigt le tracé préétabli.Certains des points d'intersection sont alors sélectionnés puis joints l'un à l'autre par des lignes droites, construisant un polygone aussi irrégulier qu’aléatoire, qui se superpose à la figure précédente.Le fragment de texte, cité ici pour célébrer le soixantième anniversaire de la mort de René Daumal, est un extrait de Clavicules d'un grand jeu poétique (1929).
Les XII phylactères muets du plafond alchimique de l'hôtel Jean Lallemant à Bourges 2004
113 dessins au crayon, textes manuscrits. Exemplaire unique, daté et signé. À l’hôtel Lallemant, sur les trente caissons ou compartiments sculptés du plafond du studiolo, douze seulement comportent des phylactères qui, tous, sont dépourvus d’inscriptions. Or, ces rouleaux, constitutifs de la « devise » qui est dite « corps », sont d’ordinaire porteurs du « mot », ou « âme », l’ensemble concourant à faire sens au regard de l’emblème représenté. Cette particularité est ici mise en exergue, déroulant de la pointe du crayon le geste des lacs de pierre. Dessin-filtre, dessin filtrant, filant.
Le Miroir volatil, 2003
12 gravures, 10 empreintes, 1 pointe sèche et 1 planche dépliante en sérigraphie. 66 exemplaires, numérotés et signés. Extrait du colophon : Les emblèmes que l’on trouve au plafond de l’oratoire de l’hôtel Lallemant à Bourges, transcrits par François Righi à l’aide d’un miroir rotulien dû à Jean Laborde, fondent la séquence des images gravées ici, pour lesquelles chaque devise est l’œuvre de Robert Marteau.Extrait du prière d’insérer : Tout le travail a été de prendre la distance convenable devant l’extraordinaire charge symbolique de ces images. D’ailleurs, ces images sont d’un autre temps – et les sentences de Robert Marteau pourraient être peintes comme des signes sur leur chair silencieuse. Elles disent ce qui s’est absenté. Les phylactères, muets, parlent dorénavant comme des livres. « Ils sont muets ; ils parlent ET ils sont muets, c'est là le miracle ! » – autre formule empruntée, celle-ci, à Elias Canetti.
Un livre, 2005
Un livre est un autre livre comme un autre et pas seulement, mais pour tous les autres. Il peut faire l’objet d’une lecture publique, à deux voix. L’épigraphe, imprimée en typographie et dorée à chaud, est une citation tirée du Spicilège de Montesquieu (n° 269) : « Sous le règne de Basile, la bibliothèque de la Basilique brûla. Elle était de cent mille volumes. Il y avait aussi un intestin de dragon, de cent vingt pieds de long sur lequel l’Iliade et l’Odyssée d’Homère étaient écrits en lettres d’or. Les auteurs de ce temps-là déplorèrent cette grande perte(De topographia Constantinopolitana, libro II, page 117). »
Aretino dead or alive, 1993
8 eaux fortes. 30 exemplaires numérotés et signés. 380 €. Exemplaires de tête avec 2 cuivres gravés : 1 500 €. 169 exemplaires brochés sans les gravures : 44 € Edition originale publiée à l’occasion de la célébration du cinquième centenaire de la naissance de l’Arétin (Pietro Aretino, 1492-1556).« Ce long poème, qui compte 1 452 vers burlesques anglais et français (couplets rimés dits « héroïques ») présente des transpositions bilingues de six sonnets entiers et des extraits de deux autres sonnets de l’Arétin, quelques passages des Six journées, un extrait du Capitolo della Quartana et une rencontre posthume avec l’Arétin. Une postface réunit des citations concernant l’Arétin et ses œuvres par des auteurs français et anglais du XVIe au XVIIIe siècle. (W. A. Caswell, extrait du prière d’insérer).
L'Adieu au château fermé de V.,1991
1 eau forte à pleine page et 1 photographie en simili retouchée. 47 exemplaires, numérotés et signés. Extraits du prière d’insérer : Ce livre […] corrobore l’achèvement du cycle, […] il achève le cercle et boucle la boucle. Le texte […] est l’œuvre d’un jeune homme […] qui, à sa lettre d’ ”adieu au château de Villegenon”, ajoute une citation tirée d’un roman de D. H. Lawrence : ”Pas les paons, ni les princesses, mais des choses de plus d’importance”. Le titre du livre – tout comme l’épigraphe, qui est une citation de la préface de Jacques Dieu pour l’Abrégé de paonalogie (Righi, 1987) – se réfère au grimoire d’Eyrénée Philalèthe, L’Entrée ouverte au Palais fermé du Roi (1669) […] Par ailleurs […] (l’insertion) du soûtra du Roi de Sagesse, le Grand Paon Doré (Mahamayurividyarajni) fait ici fonction d’exorcisme. ”Sa formule magique imitait, disait-on, le cri du paon […] et le mantra – ma yu kitsu ra tei sha ka – signifiait accomplissement du Paon.
Livres, 1975-1988, 1988
Catalogue imprimé en lithographie. 280 exemplaires. Premier catalogue publié des livres de François Righi, illustré de 33 dessins, qui recense 21 titres. Préface de Ramon Tio Bellido.
Abrégé de paonalogie, 1987
1 photographie en frontispice et 22 dessins reproduits en offset. 300 exemplaires. Edition publiée à l’occasion de l’exposition de François Righi, Danger/Paon, à la galerie Philippe Casini, Paris (novembre 1987). « […] Le paon ? Une rencontre, décisive au point de penser qu’elle répondait à une nécessité. Des paons en liberté rencontrés dans le parc du château de Villegenon provoquent un saisissement initial qui fera long feu. La riche symbolique du paon, séculaire, quasi universelle s’y fond. Une mythologie personnelle en résulte, érigée en système de lecture de l’univers dans l’esprit des métaphysiques instaurant des correspondances entre micro et macrocosme, mais à l’aune,subjective, de notre époque. » Marie-Jeanne Boistard, Art absolument n° 25, juin 2008.
Quatre-vingt-une lettres à Victor Segalen, 1981
Pas un mot dans ces « lettres » muettes, simplement numérotées, d’une correspondance imaginaire : 81 dessins vivement colorés dans un espace de « haute concentration ». « Pour composer une suite de lettres à un mort, il faut avoir pris de singulières distances avec l’actualité. Une telle distance relève soit de la pathologie, soit d’une puissance peu commune. Rien de pathologique chez Righi, il avait le pied bien planté dans le réel, et il avançait d’une manière consciente. Il n’avait pas dessiné 12 lettres à Segalen, ni 37, mais 81. Or, 81 (9 x 9), c’est, l’on s’en souvient, la formule fondamentale du Ciel et de la Terre : à Pékin, l’escalier qui mène au Temple du Ciel a 81 marches. C’est la raison pour laquelle Segalen lui-même limita ( faisant de cette limite le symbole d’une immense ambition) la première édition des Stèles à 81 exemplaires. » Kenneth White, extrait de la préface.
L'Ombre des pas, 1980
1 eau forte et 47 vignettes gravées. 71 exemplaires numérotés et signés.« […] la neige un après-midi n’est pas froidepuis elle pèse en plussa couleur fait voir les autrescomme dans la tente à plumes blanches de poules pluméesle matin elle éclabousse aux yeuxle vent la souffle en poudre très hautepour la scintillance dans les rayonsj’ai chaud à la peauje ne regarde pas le soleil en face […]» Anne Delep, extrait.
Magma, 1980
(1 feuillet enroulé autour d’une baguette d’ébène), 7 eaux fortes enluminées. 35 exemplaires, numérotés et signés. Les 7 premiers exemplaires, épuisés, de ce livre-objet, étaient présentés dans un cylindre d’étain gravé, façonné en dinanderie par Jean-Marie Soler. La châsse fut ainsi constituée à partir de la feuille d’étain initialement gravée, coupée en 7 morceaux après l’impression. Les exemplaires suivants (8-35) sont conservés dans un tube en verre. Mini-thorama extra biblique : « RETRO VADETE Ô SATANAE ! La verge fouette jour et nuit. Au secours ! C’est le diable. » Patros, texte intégral.
XXIe Similitude
50 exemplaires, impression en sérigraphie sur papier Lana royal 400 g
Pradaksina II-III
12 exemplaires, impression en sérigraphie sur papier Lana royal 400 g
Trouvez Hortense
50 exemplaires, impression en sérigraphie sur papier Lana royal 400 g
Finis Gloriæ Mundi
12 exemplaires, impression en sérigraphie sur papier Lana royal 400 g
Nouvelle Tauride
Affiche de tauromachie ancienne, peinte et rehaussée à la pierre noire, calligraphie à l’encre blanche
Les doigts de rose
28 exemplaires, gravure en taille d’épargne sur cuivreimprimée sur Japon 21 g ; rehaut d’une impression monotype
Ariane disparue
28 exemplaires, gravure en taille d’épargne sur cuivre imprimée sur Japon 21 g ; rehaut d’une impression monotype
Le troisième théâtre de la mémoire du paon
Istanbul,Sainte-Irène, Palais du Topkapi, 1993.
208 yeux en pâte de verre, inscriptions à la craie.
L’univers à l’aune Lallemant
Bourges, hôtel Lallemant, 2004-2005.
Dans l’oratoire de l’hôtel Lallemant, le miroir tripode utilisé pour la gravure des vignettes du livre « Le Miroir volatil ».
Loin des âmes à cause du brouillard
Tours, 2007
Cape de torero et 208 étiquettes entomologiques.
Georg Trakl, II-154, III-155
Henrichemont, 2007.
Bois, fer, velours, papier liturgique. Gravure d’un poème de Georg Trakl.
Le spectre d’une exposition impossible
médiathèque de Roanne, 2007.
Dédicace à James Lee Byars. Les livres de François Righi et son choix dans le fonds de la bibliothèque de Roanne d’une vingtaine de livres anciens pour figurer « la bibliothèque voilée de J. L. Byars ».
Vestibules
Grignan, 2009.
30 caissons métalliques, volumes suspendus, dessins sous verre.
Toutes les couleurs
Grignan, 2009.
Paon naturalisé, aiguilles entomologiques et étiquettes de papier doré.
Maquinal infernal
Grignan, 2009
Miroir tripode monté sur une rotule de bois semi sphérique.
Nigredo
La Borne, 2011
Céramique, papier coréen circulaire, perforé. Diamètre 130 cm.