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Produit du terroir : le guide gourmand des plus belles appellations

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Gastronomie
Vins-Alcools-Domaine
La Champagne : une diversité de microterroirs

Située à environ 150 km à l’est de Paris et s’étalant sur une superficie d’environ 34 000 hectares, la Champagne compte une mosaïque de microterroirs présentant des spécificités uniques. Aujourd’hui, près de 4 300 vignerons fédérés sous la bannière collective Champagne de Vignerons rivalisent de savoir-faire afin de tirer le meilleur de cette diversité. Focus sur cette appellat...

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Gastronomie
Evenements-actualites-gourmandes
Care Eat : valoriser les engagements antigaspillage alimentaire

En décembre 2017, deux entrepreneurs engagés décident de lancer une solution globale pour relever le défi du zéro déchet. Une aventure entrepreneuriale, mais surtout un projet écoresponsable qui vise à récompenser les efforts du commerce de bouche dans sa lutte contre le gaspillage alimentaire.

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Gastronomie
Produits-gourmands
Cueillette Urbaine: Des potagers productifs et écologiques en pleine ville

La mission de Cueillette Urbaine est simple : aider les entreprises et collectivités à installer des fermes urbaines sur les toits des immeubles.

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Gastronomie
Produits-gourmands
Nutreets : vers une agriculture efficiente et soucieuse de l’environnement

Face aux multiples enjeux auxquels l’agriculture est aujourd’hui confrontée, Nutreets propose des systèmes de production innovants qui s’inspirent de la nature.

Gastronomie
Produits-gourmands
Domaine Rouge des Prés : pour la défense d’une qualité de viande centenaire

En tournedos, pot-au-feu ou fondue, la note persillée de la Rouge des prés fait toute la différence. Cette race centenaire est apparue au XIXe siècle, lorsque l’« anglomanie » ambiante dans l’élevage français a occasionné l’arrivée de races d’outre-Manche.

Gastronomie AOC, AOP, Label Rouge : Spécial belles et bonnes choses

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Épernay
Champagne de Vignerons
La Champagne :
une diversité de microterroirs
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Chenillé-Changé
SICA Domaine Rouge des prés
Domaine Rouge des Prés : pour la défense d’une qualité de viande centenaire
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Uzès
Syndicat des Vignerons du Duché d'Uzès
Appellation Duché d’Uzès : de la passion à l’excellence viticole
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Prauthoy
Syndicat Interprofessionnel du Fromage de Langres
Fromage de Langres : le goût unique d’un fromage de terroir
Afidol : dans l’intimité des huiles d’olive du Midi de la France
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Chaource
Syndicat de Défense du Fromage de Chaource
Fromage de Chaource : un important patrimoine gastronomique
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Lempdes
Syndicat Interprofessionnel de la Fourme d’Ambert
La fourme d’Ambert : toute la douceur d’un fromage bleu
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Mazan
Muscat du Ventoux
Muscat du Ventoux : votre raisin de table depuis le XIXe siècle
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Monthelon
Champagne Dérouillat
Champagne Dérouillat : variété et originalité
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Limoges
Agneau du Limousin IGP
Agneau du Limousin IGP : une viande de qualité certifiée
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Selles-sur-Cher
Syndicat de défense et de promotion du fromage en AOP Selles-sur-Cher
AOP Selles-sur-Cher :
un fromage de chèvre au goût du terroir
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Besançon
Comité de Promotion des Produits Régionaux (CPPR)
Le culte de la qualité en région Bourgogne-Franche-Comté
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Syndicat AOC Oliu di Corsica
La filière oléicole de Corse : des hommes attachés à la sauvegarde de leur patrimoine et à la valorisation de l’Oliu di Corsica
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Limoges
Limousin Promotion
La qualité exceptionnelle du veau fermier du Limousin
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Limoges
Limousin Promotion
Bœuf Limousin : fleuron de l’élevage bovin
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Limoges
Limousin Promotion
Le porc du Limousin ou l’authenticité du goût
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Syndicat de l'AOP Oignon de Roscoff
Oignon de Roscoff :
douceur et qualités gustatives
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Saint-Brieuc
La baie à croquer
Baie de Saint‐Brieuc Paimpol ‐ Les Caps, la destination gourmande par excellence
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Puy-l'Évêque
Office de Tourisme Lot - Vignoble
Excursion dans la vallée du Lot et du Vignoble
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Saint-Laurent-Blangy
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Saveurs en’Or :
la gastronomie made in Nord-Pas de Calais

LES ARTICLES LES PLUS LUS

Brasserie Castelain : entre savoir-faire artisanal et esprit de tradition

Spécialiste de bières de garde, la Brasserie Castelain est une entreprise familiale à taille humaine qui a su conserver les nobles valeurs qui ont si bien animé et nourri l’entreprise tout au long de son existence. Située en région Nord-Pas-de-Calais-Picardie, où la culture de la bière est fortement ancrée, la brasserie partage une passionnante histoire d’amour avec une clientèle fidèle et florissante. Des produits au naturel Grâce à un réel savoir-faire, la Brasserie Castelain a su développer plusieurs gammes de bières qui ont bâti sa renommée. C’est une entreprise familiale qui se nourrit de la passion de toute une équipe. Toutes ses bières sont faites avec beaucoup d’amour et dans le strict respect d’une charte qualité « avec le plus de naturalité possible et un mode de fabrication qui va laisser le temps au temps avec une garde longue », nous précise Annick Castelain, l'actuelle dirigeante. Des bières qui  s’adaptent aux différents gouts des consommateurs et aussi à différents moments de consommation. Précurseur de la bière bio    Trente ans plus tôt, à l’époque où la notion de bio ou de développement durable n’existait pas encore, la Brasserie Castelain a été « la première entreprise à faire de la bière biologique en France ». Le marché a évolué rapidement en recherchant des « produits les plus naturels possibles ». La Jade sans gluten a été créée en 2015, après constatation du nombre croissant des personnes intolérantes ou sensibles au gluten. Au bout de 2 ans d’efforts laborieux autour d’un processus qui a pour principe de n’utiliser que des céréales de ses régions, l’établissement a réussi à trouver un mode de fabrication aboutissant à la fabrication d’« une bière qui ne contient pas de gluten mais ayant un vrai gout de bière ». Et c’est là toute la différence ! Des visites en écomusée La Brasserie Castelain est fortement engagée dans la promotion de la bière, devenue une tendance et un produit de mode. En dépit de cet engouement majeur, le produit suscite encore de nombreuses questions auprès des consommateurs, notamment en ce qui concerne son mode de fabrication ou  les ingrédients qui la composent. Toute l’équipe de la brasserie s’attache à apporter les réponses à ces questions, en mettant en place des circuits et des visites en écomusée. Au long du parcours d’exposition, des photos représentent les différentes périodes vécues par l’entreprise ainsi que les personnes qui se sont passionnées pour elle, avec un petit rappel du nombre de brasseries existant à cette époque dans la région. La Brasserie Castelain organise également de petites manifestations de façon à communiquer sur le produit et à partager la culture de la bière, en proposant, par exemple, des dégustations de produits associés. ...

Château de Livran : une histoire de cœur

Une équipe passionnée « L'acquisition de ce domaine est parti d’un coup de cœur, d’une histoire complexe et assez exceptionnelle. C’est vraiment une belle aventure que nous vivons avec cette propriété depuis trois ans » raconte Edwige Lurton-Michon, propriétaire du domaine avec son mari Olivier Michon. La propriété avait été achetée par un investisseur russe, qui malheureusement n’a pas réussi à mettre en valeur son terroir. Avec l’appui d’une équipe aussi professionnelle que passionnée, les époux Michon ont commencé à la remettre sur pied, petit à petit. Avec Patrick Turani, régisseur ,Sandra Desgroppes, assistance administrative, Evelyne, John, Loïc, Sylvie et Dominique qui se partagent entre vigne et chai, chacun apporte tout le soin nécessaire à l'épanouissement de ce patrimoine végétal et architectural. La propriété est suivie par les oenologues Eric Boissenot et Marco Balsimelli. Des ressources sous-estimées Depuis quelques décennies, le Château Livran avait quelque peu disparu des écrans radars de la place de Bordeaux. Cependant, grâce à l’importante restructuration menée par l’équipe actuelle, le domaine est en pleine renaissance. « La propriété était en sommeil, nous nous employons à la remettre dans son énergie. De nouveaux chais et cuvier innovants dans le respect de l’environnement (climatisation naturelle grâce aux puits canadiens, nettoyage des eaux usées par compostage des sarments...) sont en cours de construction au cœur du domaine» affirme Edwige. Le vignoble dispose pour le moment de 27 hectares de vignes. Toutefois, 10 autres hectares sont en train d’être replantés, en Merlot majoritairement. Ce cépage est en effet complémentaire avec le Cabernet Sauvignon, leur assemblage permet d’obtenir des vins fins et structurés. Concernant la politique culturale, le vignoble introduit doucement mais sûrement une agriculture en biodynamie « afin de préserver et faire fructifier de manière harmonieuse ce site naturel» précise la vigneronne. Plus aucun herbicide n’y est employé, et les doses de produits chimiques ont été réduites de façon drastique. Le domaine use à présent de tisanes et d’engrais organiques pour amender et protéger les vignes. Deux cuvées distinctes Aujourd’hui, le Château Livran produit 50 hectolitres à l’hectare de vins, soit 150 000 bouteilles réparties en parts égales de « Château Livran » cru bourgeois et « Les sources de Livran ». « Le terroir, composé de marnes et de calcaire qui se chevauchent, est assez atypique pour le Médoc et ressemble plus au Saint-Emilionnais » selon Edwige. Vinifiés à partir de méthodes traditionnelles en cuves béton, les raisins issus de ce terroir donnent des vins fins et fruités. ...

Le Stube :
Une histoire d'amour franco-allemande et gourmande

Il est rare de pouvoir manger allemand en plein cœur de Paris. Logé dans une boutique de la rue Richelieu si ce n’est dans l’enceinte même du Goethe-Institut, le centre culturel allemand situé avenue d’Iéna, Le Stube dispose ainsi de deux emplacements pour mieux servir sa clientèle. Un restaurant moderne à l’ambiance décontractée Le Stuberue de Richelieu baigne dans une ambiance décontractée et chaleureuse. Il se décline dans des tonalités rouges et grises autour d’une cuisine ouverte et d’une vitrine de présentation et de vente à emporter qui confèrent à l’ensemble un décor au cachet particulier. Fréquenté par des clients de tous âges et de toutes catégories, Le Stube est particulièrement apprécié pour son côté dynamique et sympathique. Proche de nombreux théâtres, c’est le lieu idéal pour un repas avant spectacle. Des spécialités revisitées par Gerhard Weber Fondé à l’origine autour du concept du snacking, Le Stube a très vite élargi ses activités à la restauration et à la pâtisserie. Il propose ainsi divers plats typiques d’Allemagne ou inspirés d’Europe Centrale ainsi que de nombreuses pâtisseries et gourmandises concoctées par Gerhard Weber, le maitre des lieux. Strudels salés ou sucrés, Currywurst, Choucroute, Koulibiac de saumon, Wienerschnitzel, Gâteau au fromage blanc, Forêt-Noire font partie des nombreuses spécialités. La diversité des mets proposés et le service continu sur place ou à emporter permet de découvrir toutes ses spécialités à toute heure de la journée pour un déjeuner, un gouter, une petite faim, un afterwork ou un diner. Tout est fait maison, à l’exception des charcuteries. Le tout est accompagné d’un assortiment de bières, de limonades biologiques et de sodas de très bonne qualité et typiques de la ville de Hambourg. ...

Le Château du Boisniard - La Table du Boisniard : de la gastronomie de luxe en Vendée

Au cours de ces dernières années, la Vendée est devenue la nouvelle destination de la gastronomie. Et pour cause, le département abrite les meilleurs restaurants en Pays de la Loire, dont la Table du Boisniard, le restaurant gastronomique du Château du Boisniard. Une référence en Vendée Depuis son ouverture en 2011, la Table de Boisniard est un restaurant gastronomique de référence en Vendée. Titré « Maître Restaurateur » depuis 2012, il est aussi reconnu comme étant une « Valeur sûre » par le Bottin Gourmand. Et à son actif, il dispose de trois fourchettes et un couvert au guide rouge Michelin. Actuellement, l’établissement convoite l’étoile ! Ce qui ne devrait plus tarder, puisque toutes les cartes sont entre ses mains : un endroit unique et idyllique, alliant l’élégance de ses origines du XVe siècle à la modernité de la décoration contemporaine ; un personnel aussi sympathique que réactif, orchestré par Emmanuelle Gautier ; et un moment d’épicurisme assuré par le jeune et talentueux chef, Valentin Morice. De la gastronomie maîtrisée Selon leurs envies, les convives pourront choisir entre le menu Découverte et le menu Dégustation. À 42 euros, le premier propose une entrée, un plat et un dessert. Quant à la dégustation, un même menu est servi à l’ensemble de la table pour 72 euros. Pour les plus pressés, un menu Affaires à 33 euros est disponible le midi du mercredi au vendredi. Par ailleurs, le chef propose aussi une carte qui évolue au gré des saisons et des produits disponibles sur le marché. Il est à noter que tous les plats et menus proposés par l’établissement sont labellisés « fait maison », y compris le pain. Quant à sa carte de vins, elle met à l’honneur ceux des Pays de la Loire, sans négliger les autres régions. ...

Le Revest au secours de l’arbre qui lui a lié son destin

Le châtaignier est « l’arbre à pains » qui a toujours veillé sur l’homme en lui apportant des fruits abondants et nutritifs, surtout en période de disette. Cet arbre humble et protecteur est cependant délaissé pendant les années 50, au risque de disparaître. Soucieux de sauvegarder leurs châtaigneraies, des agriculteurs revestois ont fondé l’Association pour la valorisation de la châtaigneraie de Revest du Bion et de sa région. Un pari réussi, puisque le Revest du Bion produit aujourd’hui annuellement 20 tonnes de châtaignes de haute qualité. Ce taux de production est encore modeste par rapport aux autres régions, mais la Haute-Provence peut être fière de la qualité de ses châtaignes. De plus, sa filière castanéicole est, à ce jour, épargnée par le Cynips, une micro-guêpe ravageuse originaire de Chine qui touche aussi l’Europe, y compris la France. Le futur est plutôt prometteur pour le pays de Jean Giono, la région unique où ces fruits d’avenir poussent au milieu des champs de lavande. Réhabiliter la châtaigneraie Depuis les années 50, le châtaignier est délaissé au fur et à mesure que la plaine offre de vastes étendues cultivables pour la lavande et les céréales. Le contexte socio-économique après la Seconde Guerre mondiale accélère, en outre, l’abandon des châtaigneraies françaises. Afin de sauver celle de Revest du Bion, un groupe d’agriculteurs a créé en 1985 une association loi 1901 l’Association pour la Valorisation de la châtaigneraie de Revest du Bion et de sa région. Présidée par Eric Quenin, cette entité a pour principal objectif de réhabiliter la châtaigneraie et pérenniser son entretien. Dans sa première démarche de sauvegarde, elle abat 600 arbres forestiers afin de laisser la place à 200 jeunes châtaigniers. Elle vise ensuite à motiver et sensibiliser d’autres castanéiculteurs de toute la Haute-Provence, ciblant en même temps le grand public français comme clientèle potentielle. Un évènement annuel voit alors le jour : la fameuse Fête de la Châtaigne. La fête de la Châtaigne Chaque année, en octobre, la Fête de la Châtaigne est célébrée à Revest du Bion depuis 2000. En 2016 a lieu la 17ème édition. Soutenu par la Mairie, cet évènement festif et culturel est organisé par l’Association pour la valorisation de la châtaigneraie de Revest du Bion, avec la collaboration de la Confrérie des amis de la ahâtaigne. Le but est de faire connaître l’existence de la châtaigneraie du plateau d’Albion, surtout celle de Revest sur Bion, au grand public et aux milliers d’amateurs de châtaignes. Plus de 10 000 visiteurs sont ainsi attendus chaque année pour célébrer le gout authentique de ce fruit ainsi que les produits du terroir. Chacun peut ramasser gratuitement les châtaignes dans les vergers, déguster les cornets de châtaignes grillées ou les consommer dans mille-et-une recettes : sous forme de soupe, de velouté, de confiture, de pâtisseries, etc. Le fromage de Banon AOC est inconditionnellement présent au rendez-vous, dans son écrin de feuilles de châtaigniers séchées. Dans cette ambiance festive et de bonne humeur, les gens profitent aussi de la beauté des vergers pour se promener et se détendre. En famille ou entre amis, le circuit pédestre s’avère un agréable moyen de découvrir la châtaigneraie ainsi que les paysages d’automne de la région. ...

Champagne Egrot et filles :
une terre et un savoir-faire, héritages des générations futures

« Faire plaisir tout en se faisant plaisir », c’est cet état d’esprit qui anime Elisabeth et Jean-Marie dans la fabrication de leurs champagnes. Ce couple issu de familles de viticulteurs mise sur sa passion et la complémentarité de ses expériences pour élaborer des cuvées d’exception issues d’ingénieux assemblages résolument affirmés, qui révèlent de belles qualités organoleptiques. Un terroir grand cru et premier cru Lancée en 2008, la maison Egrot et filles inspire l’innovation. Malgré sa jeunesse, elle compte bien s’imposer dans ce cercle très fermé qu’est la production de champagne. Exploitants chacun de leur côté dans le passé, Elisabeth et Jean-Marie ont décidé de mettre en commun leur savoir-faire pour créer cette marque « dédiée aux générations futures », affirme Elisabeth. Le fort attachement pour le terroir deviendra la ligne de conduite de ces deux vignerons. Le vignoble de six hectares implanté en grand cru et premier cru sur Ay et Louvois est cultivé de façon raisonnée, « dans l’ambition de décrocher la certification Haute valeur environnementale », confie notre interlocutrice. On y retrouve essentiellement du pinot noir, ainsi que quelques parcelles plantées en chardonnay, avec toutefois une petite précision : « on n’a pas de pinot Meunier. Ce n’est pas seulement par choix. Historiquement, nos vignes ont été déjà plantées comme ça. » Trois cuvées qui reflètent l’esprit de la maison Au rang des trésors qui font la fierté de la maison figure le millésime 2009, un champagne gastronomique, aromatique, sensuel et gourmand. Ses bulles fines, ses arômes classiques et sa belle rondeur font de ce vin un compagnon d’exception pour des accords salés et gourmands comme une viande tendre, un carpaccio de poisson et de viande, ou un fromage gras. La cave recèle aussi d’autres incontournables, comme la cuvée Brut, issue du terroir de Louvois. Scintillante par sa belle robe jaune, elle révèle fraîcheur, équilibre et harmonie, de quoi plaire aux œnophiles avertis. Un vin conseillé en apéro ou en accompagnement de produits de la mer (filets de poissons grillés, crustacés gratinés, etc.). Dernière, et non des moindres, la cuvée Extra-brut complète la trilogie, et se distingue par son nez intense et profond, suivi d’une bouche fraîche et large. Ce vin au style ambivalent constitue l’allié de tous vos grands moments de vie. ...

Champagne Klepka Sausse : l'exigence de la qualité, devise de la maison

C’est au cœur de la côte des Blancs, à Oger, que la maison Klepka Sausse, du nom des époux Klepka et Sausse, fondateurs de la marque en 1976, produit le meilleur du terroir. Les Grands crus de la marque sont issus d’un vignoble au sous-sol crayeux dédié exclusivement à la culture du Chardonnay. Laurent Klepka, héritier de cette marque prestigieuse, nous emmène dans un voyage au cœur de l’excellence champenoise. La qualité et l’excellence comme maîtres-mots Priorisant la bonne qualité des vignes et du raisin, la maison Klepka Sausse est le pionnier du champagne de haute gastronomie. La marque, maintes fois récompensée, perpétue l’art et la tradition champenoise dans le but de concevoir des cuvées de qualité. En étant « dans la mouvance de la viticulture durable », selon Laurent, elle privilégie la production de cuvées respectueuses de l’environnement, authentiques et exquises de par la conservation des arômes et des saveurs du terroir. À la découverte du métier La famille Klepka accueille ses hôtes dans un cadre enchanteur et authentique appelant au partage et à la découverte de leur riche héritage passionnant. En partenariat avec l’office de tourisme d’Épernay, la maison Klepka Sausse propose des « visites de cave, des visites parcellaires ainsi que des visites du vignoble », selon Laurent. Une immersion dans le métier est également proposée au travers d’activités diverses ayant pour but, toujours selon le vigneron, de faire « glisser les visiteurs dans la peau d’un vigneron champenois ». Les hôtes s’attèleront ainsi au travail viti-vinicole et pourront même parrainer un plant de vigne qu'ils mettront en terre eux-mêmes. À la suite des séances de dégustation, « un diplôme non officiel attestant de leur participation à cette Viti Vini Expérience » leur sera, par la suite, distribué par Laurent lui-même. Un reportage photo fera également partie des cadeaux offerts à l’issue de cette expérience authentique et inoubliable. ...

Rrraw Cacao Factory :
le chocolat cru au cœur de Paris

Actuellement installé à Montreuil, Frédéric Marr et son équipe vont investir de nouveaux locaux en plein centre de Paris, non loin de la rue Montorgueil, dès septembre prochain. Fabrique et boutique y seront installées. La façade vitrée acceptera les regards des passants pour contempler à l’envi le travail des meules en pierre ou celui des chocolatiers. Le plafond sera végétalisé pour rappeler les origines naturelles de tous les produits utilisés. Pour la préparation des chocolats Rrraw, toutes les fèves de cacao proviennent de cacaoyers semi-sauvages de l’Amazonie péruvienne, cultivés à 800 mètres d’altitude. Ce qui fait dire à Frédéric Marr que « le cœur de l’Amazonie va battre au centre de Paris ». Un nouveau process de fabrication La vraie saveur du chocolat, sa délicatesse et ses arômes subtils sont révélés grâce au process de fabrication élaboré par Frédéric Marr :  Bean to bar* (*de la fève à la tablette) à cru (sans torréfaction ni cuisson) Les fèves de cacao ne subissent aucune torréfaction ni de conchage. Elles sont fermentées puis sèchent au soleil.  Elles sont ensuite broyées finement à la meule de pierre. Tous les autres ingrédients entrant dans la composition des chocolats Rrraw sont végétaux et biologiques. Epices moulues, fruits ou plantes déshydratées, sucre de canne intégral, sucre de fleur de coco, miel ou sirop d’agave, tels sont tous les composants  soigneusement sélectionnés pour sublimer les produits Rrraw. Ne contenant aucun produit laitier, ni huile, ni œuf, ni lécithine, ni additif, ni arôme artificiel ni conservateur, les chocolats Rrraw peuvent être savourés par tous les consommateurs soucieux d’une alimentation saine et respectueuse de l’environnement. En effet, tous les produits sont certifiés bio, vegan, sans gluten et solidaire. Des chocolats pour un plaisir quotidien Pour vous faire plaisir au quotidien, vous pouvez choisir une des nombreuses truffes de cacao cru comme les truffes chanvre et cacao ou les truffes miel et pollen, une des tablettes de chocolat cru, nature ou aromatisées, des fèves de cacao cru, et encore du chocolat pâtissier, des pépites de chocolat cru ou poudre de cacao pour préparer de délicieux desserts. Chacun trouvera un chocolat qui lui ressemble, fondant ou croquant, doux ou fruité, brut ou enrobé. Tous feront frémir vos papilles grâce à leur excellence nutritionnelle et gustative. Vous pouvez acheter tous ces produits dans certaines épiceries fines, sur le site Internet et bientôt directement à la boutique sur Paris. ...

La Champagne :
une diversité de microterroirs

Le vignoble champenois est implanté sur des coteaux dont la plupart bénéficie d’une exposition idéale sud et sud-est. Le terroir de la Champagne présente un sous-sol à majorité calcaire. Sur ces terres fertiles soumises à un double climat (continental et océanique), trois cépages règnent en maitres : le pinot noir (38 %), le meunier (31 %) et le chardonnay (30 %). Par un jeu subtil d’assemblage, les vignerons champenois élaborent une grande variété de cuvées incluant le champagne millésimé, le blanc de noirs, la cuvée spéciale ou de prestige, le blanc de blancs, le rosé et le brut non millésimé ou brut sans année. Si l’appellation peut se vanter d’une telle variété, c’est surtout grâce à la diversité de ses terroirs. Le vignoble est en effet réparti dans quatre grandes régions, à savoir la montagne de Reims, la vallée de la Marne, la côte des Blancs et la Côte des Bar. La montagne de Reims Ici, il existe trois zones de terroirs. Au nord-ouest de Reims, une partie des vignes bénéficie des sols sableux tandis qu’une autre partie tire profit d’un sol à dominante argilo-calcaire. Au sud-ouest, on trouve un sol sablo-argileux sur lequel s’épanouissent les pinots noirs et les meuniers. Enfin, au sud-est, les vignes poussent sur des sols de craie très caillouteux. La montagne de Reims se distingue par deux types de champagne. Le premier, à dominante de pinot noir, est charpenté avec une minéralité crayeuse qui apporte de l’élégance et une résonance fruitée en fin de bouche. Idéal pour accompagner un jambon cru, un pigeonneau ou une perdrix. Le second, riche en chardonnay, dévoile des arômes d’agrumes, de fruits charnus ou de fleurs blanches. À déguster avec des fromages crémeux, des poissons et autres crustacés. La vallée de la Marne Ensuite, la vallée de la Marne possède des sols argileux, marneux et calcaires. Le cépage meunier, majoritaire dans la région, y trouve toutes les conditions idéales à son épanouissement. De leur côté, pinot noir et chardonnay affectionnent tout particulièrement les sols marneux et calcaires. Reflétant la typicité du terroir, les champagnes de la région dévoilent des odeurs gourmandes de fruits blancs à pépins, de fruits tropicaux et de fruits jaunes. On découvre également quelques notes d’épices douces. Risotto aux crevettes et au curry, salade de bœuf mariné, poulet en ratatouille, fromages à pâte molle, tiramisus aux fruits rouges… Ici, les champagnes peuvent accompagner idéalement toutes sortes de recettes estivales. La côte des Blancs Cette région est incontestablement dédiée au cépage chardonnay, qui occupe 95 % du vignoble. Ce dernier se délecte de nutritions minérales puisées dans les sols crayeux. La côte des Blancs produit un blanc de blancs se démarquant par des arômes d’agrumes, de fruits charnus à pépins associés à des notes de fleurs blanches et d’herbes aromatiques. En prenant de l’âge, ce vin exprime des notes de fruits secs, d’épices, de miel, de pêche tirant vers le curry ou encore de fruits secs grillés. Cette fois encore, de nombreux accords sont permis : volailles en sauce crémée aux champignons, fromages à pâte pressée et cuite, ris de veau, poissons en sauce… La Côte des Bar Le terroir de la Côte des Bar est marqué par une alternance de coteaux, de forêts et de cultures. Les reliefs escarpés dessinés par les rivières et cours d’eau façonnent également le paysage. Comptant 8 000 hectares de vignes, la Côte des Bar accapare un quart des surfaces en Champagne. Elle renferme des sols marneux, calcaires et argileux. Le vignoble de la région est dominé par le pinot noir suivi par le chardonnay et donne des champagnes dotés de finesse et d’une grande élégance. À souligner : sur les 62 communes classées implantées sur ce vignoble, celle des Riceys tire son épingle du jeu en disposant de trois appellations d’origine contrôlée : Champagne, Rosé des Riceys et Coteaux Champenois. ...

Le Refuge des Gourmets : un haut lieu gastronomique de la Haute-Savoie

S’inscrivant dans l’univers de la restauration française depuis vingt-neuf ans, Le Refuge des Gourmets est situé dans le petit village de Machilly, au pied du massif des Voirons, en campagne, à environ dix kilomètres d’Annemasse. Récemment primé d’une étoile par le Guide Michelin, cet établissement familial cossu collabore avec une équipe professionnelle et talentueuse. Un restaurant tout en convivialité Dans un souci de favoriser les relations humaines et le partage, Florence Chanove et son équipe de salle sont au petit soin pour leurs hôtes. Dans un cadre feutré et élégant, elles les accueillent chaleureusement et les invitent à se délecter d’une cuisine fine et surprenante. Avec ses deux salles séparées, dont l’une peut accueillir jusqu’à 30 personnes, le restaurant convient à toutes sortes d’occasions, du repas familial au déjeuner professionnel, en passant par un simple dîner occasionnel.  Ode à la cuisine gastronomique de région Dans les coulisses du restaurant, les chefs Jean-Marie Chanove et son fils Hubert, épaulés par leur brigade, combinent leurs compétences et créativité pour concocter des plats toujours savoureux, gourmands, mais surtout authentiques. La particularité de leur cuisine réside sur « l’utilisation de produits locaux, mais notre restaurant se distingue aussi sur nos cartes qui se renouvellent constamment en fonction des saisons », s’accordent à dire les chefs. Le restaurant travaille principalement avec des fournisseurs locaux : agriculteurs, éleveurs, pêcheurs et cueilleurs de champignons, de fruits, d’herbes sauvages, fleurs, etc. « À partir des produits régionaux et saisonniers comme la framboise, nous proposons une déclinaison de cuisine gastronomique et traditionnelle, tout en inventivité et mélange des saveurs. », spécifient-ils. Au programme : un menu à la carte et un menu carte blanche appelé « Partition gourmande »  qui se décline en sept ou huit partitions. Pour cette saison printanière par exemple, « nous travaillons sur des jeunes herbes mixées avec des infusions hivernales, que ce soit des infusions végétales, de légumes ou de plantes séchées », poursuivent nos interlocuteurs. Au déjeuner, l’omble chevalier est à l’honneur, qui, en cette saison, est un poisson très prisé à la fois par sa délicatesse et la justesse de ses accords. « La garniture, la sauce ou le mode de cuisson de l’omble vont surgir en fonction du temps présent, puisque nous travaillons dans un esprit de spontanéité du moment ». Pour accompagner ses plats, les chefs suggèrent des vins du terroir, notamment ceux de la Haute-Savoie et de la vallée du Rhône, sa région natale. ...

Le Clos Caché :
une parenthèse gourmande et de bien-être

Définir le Clos Caché comme un simple restaurant serait inapproprié. On n’y va pas uniquement pour se restaurer mais aussi pour profiter d’un moment de bien-être et de détente, le tout dans la plus grande intimité. Des célébrités en apprécient la discrétion. L’établissement sis dans le petit village d’Escamps dans le Lot se veut être une adresse élégante et traditionnelle où l’on cultive la convivialité. L’accueil ultra-personnalisé dès la réservation par téléphone dénote déjà du service qui vous attend ! Prêt ? C’est parti… Un havre privilégié à l’ambiance intimiste et raffiné A 20 km au Sud Est de Cahors, discrètement niché sur le causse de Lalbenque, haut lieu de la truffe tuber melanosporum, l’ancienne fermette s’est transformée en une table gourmande et raffinée. Dès l’arrivée sur place, Denis, le maître des lieux, vous accueille. Ici, vous ne serez pas traité comme un client mais bel et bien comme un convive. Votre hôte vous fera visiter la propriété, histoire de vous imprégner des lieux. L’espace paysager agrémenté des arbres typiques du Quercy ne laisse pas de marbre. L’étendue d’eau quant à elle vient sublimer ce décor bucolique et dépaysant. Selon les saisons, vous avez le choix entre vous délasser sur la terrasse ombragée afin de continuer à profiter de cet environnement verdoyant ou vous installer dans la salle, décorée avec beaucoup de goût. Car outre ses talents en cuisine, Mireille est aussi une ancienne architecte d’intérieur qui a su mettre en valeur avec subtilité, l’élégance et la rusticité des lieux. Tout est fait pour assurer confort dans une atmosphère sereine. Une cuisine généreuse et personnelle Au Clos Caché, les clients sont autant choyés à l’accueil que dans l’assiette. Mireille propose une cuisine traditionnelle alliant plaisir, équilibre et gourmandise. Elle puise son inspiration sur la mixité de ses vies passées ailleurs avec les richesses offertes par les terroirs. Autant que possible, elle s’approvisionne auprès des producteurs locaux afin de garantir fraîcheur et qualité. Ici, pas de carte. On sert un menu par jour, concocté selon l’humeur et l’inspiration de la chef. Attention, l’établissement ne reçoit que sur réservation. Dès cette prise de contact, vos hôtes vous mettent au parfum quant aux plats qui seront proposés. Au menu ce jour-là, nous avions dégusté un foie gras croustillant sur une crème de févettes en entrée, un filet de lotte rôtie nappée d’une émulsion aux olives noire en plat principal et un délicieux soufflé au citron vert répandu dans une crêpe en guise de bouquet final. Une belle expérience pour nos papilles. Pour les amateurs de truffe, la maison concocte des formules spéciales. Durant la saison, des repas autour de cet exceptionnel produit sont élaborés. Côté prix, cette expérience hors de toute réalité est tarifée au prix le plus juste. Il faudra compter entre 57 et 65 euros pour un repas incluant le menu, les boissons et le plateau de fromage. Pour les menus spéciaux « truffes », les tarifs oscillent entre 75 et 80 euros hors boisson. ...

Domaine Sergent : des vins conjugués au féminin

Le vin est-il meilleur au féminin ? Pour en savoir plus, il faudrait aller à la rencontre de Brigitte et Corinne Dousseau, quatrième génération de viticulteurs à la tête du Domaine Sergent. Une exploitation qui fait partie de la famille  depuis 1902, acquis par Hubert Dousseau, arrière-grand-père de Corinne et Brigitte. Des vins affichant une excellente qualité tannique Âgés en moyenne de 35 ans, les 19,5 hectares de vignes du Domaine Sergent s’étendent sur un coteau exposé plein sud, entre 100 et 150 mètres d’altitude au pied des Pyrénées. Le terroir bénéficie d'un climat océanique qui rend les hivers froids et les printemps humides et chauds. Les cépages qui s’adaptent à ces conditions sont le Cabernet Franc, le Cabernet Sauvignon, le Merlot, le Petit Manseng, le Gros Manseng et le Tannat. « Ce dernier est un cépage qu’on trouve essentiellement en Uruguay et en Madiran, c’est ce qui fait notre typicité », précise fièrement Corinne Dousseau. « C’est un cépage productif qui a besoin de la main de l’homme. On pratique l’ébourgeonnage au printemps pour limiter la production et en été, l’éclaircissage. On laisse sept ou huit grappes par pied pour ne produire que 50 à 55 litres par hectare », ajoute-t-elle. La vendange est effectuée lorsque le raisin est à maturité maximum, ce qui permet d’avoir une qualité tannique optimale. Les sœurs Dousseau priment l’agriculture raisonnée. Le terroir, le climat, les cépages et le savoir-faire des viticulteurs contribuent à l’élaboration de vins riches, concentrés, avec beaucoup de fraîcheur et de fruits. « On apporte très rarement des engrais. Quand les vignes sont en équilibre, elles se suffisent à elles-mêmes et produisent des raisins de bonne qualité », explique Corinne. Les vignes sont traitées seulement en cas de besoin et en fonction des risques de maladies. Les vins du Domaine Sergent La Cuvée Tradition se compose de 80 % de Tannat, 10 % de Cabernet Franc et 10 % de Cabernet Sauvignon. La cuvaison de ce vin dure trois semaines. Il est élevé en cuve pendant près de 24 mois, dont 14 mois obligatoires. Pour mettre le vin au propre, des soutirages sont effectués régulièrement. Ce vin de Madiran est souple, avec beaucoup de fruits. La Cuvée élevée en futs de chêne : le terroir du Madiran s’exprime par ce vin. Elle est essentiellement élaborée avec du Tannat. Sa cuvaison dure quatre à cinq semaines et la fermentation malolactique se fait en cuve. Comme son nom l’indique, il est élevé en futs de chêne pendant un an. Le vin est ensuite remis en cuve pour six mois pour que le tout s’harmonise. Le Pacherenc du Vic-Bilh-Sec rassemble 50 % de Petit Manseng et 50 % de Gros Manseng. Ces cépages sont récoltés en même temps que les rouges vers la fin septembre – début octobre. La fermentation se fait dans des futs de chêne, avant que le vin soit élevé sur lies en barrique pendant six mois. Le nez frais de ce vin présente des notes d’agrumes : pamplemousse, citron. Cela est suivi en bouche par des arômes de fruits frais tels que la pêche et l’abricot. Les deux cuvées Les Grains d’Elise et Tradition Pacherenc du Vic-Bilh-Doux se distinguent par leurs vendanges tardives. Côté assemblage, la première est composée d’une forte proportion de Petit Manseng avec une touche de Gros Manseng, tandis que la deuxième allie 80 % de Gros Manseng et 20 % de Petit Manseng. Les vins sont élevés pendant huit mois. ...

Une cuisine du monde avec des saveurs d'ici et d'ailleurs

Ce restaurant au décor chic, épuré et délicatement boisé dégage une ambiance conviviale et chaleureuse qui vous met d’emblée à l’aise, comme à la maison. Ayant gardé précieusement en mémoire les saveurs extrêmes des plats riches et variés préparés jadis par sa maman, le chef Raoul Coly se plaît à refaire le chemin à l’envers pour faire découvrir à son tour la cuisine africaine, et notamment sénégalaise. En composant de belles assiettes inventives aux épices d’ici et d’ailleurs, il nous embarque dans un festival de couleurs et de saveurs, où l’authenticité et le goût sont à l’honneur. À ses côtés, toute une équipe œuvre avec passion pour vous garantir de précieux moments en famille ou entre amis. Comme le dit l’un des proverbes africains préférés du restaurant, « seul on va plus vite, mais ensemble on va plus loin ». Un club d’amateurs de saveurs exotiques Dans un voyage culinaire qui suscite aussi bien l’envie que la curiosité, découvrez une cuisine qui allie fraîcheur et originalité. Sa rafraîchissante salade Diola, avec son aïoli et ses herbes de Casamance, ou son fameux tartare de bar à la mangue et parfumé au cumbawa sont autant de véritables découvertes culinaires insoupçonnées. Poursuivez avec son savoureux thiéboudienne, le plat national du Sénégal, à base de riz cassé au poisson et ses légumes. Terminez sur une note joyeuse avec son surprenant ananas rôti dans son jus… Un beau parcours en perspective ! ...

Restaurant Les Trois Maures :
une découverte culinaire au cœur du vignoble couchois

Dans un décor entièrement rénové où il fait bon se retrouver, cette charmante bâtisse historique au cadre chaleureux est située au carrefour de la route des grands vins, entre Beaune et Cluny. Avec son jardin, ses grandes salles au plafond à la française et son magnifique caveau, elle représente l’endroit parfait pour accueillir vos différents évènements tant privés que professionnels. Des plats traditionnels avec de bons vins À travers une cuisine du terroir, au gré du marché qui privilégie le cycle court pour la majorité des produits, Les Trois Maures est en mesure de proposer un menu de 2 à 5 services (qui change à 5 reprises dans l'année), allant de18 à 45 €. Ses plats à la portion généreuse et particulièrement savoureux n’attendent plus que vous. Ravissez vos papilles avec sa Fricassée d’escargots sauce Brillat et Morteau, son Tournedos de charolais avec son jus à l’huile de truffe ou sa Poire pochée à la dijonnaise avec sa crème glacée pain d’épices qui sont de véritables délices. Les Trois Maures, c’est aussi une très belle carte des vins issus essentiellement de l’ensemble des régions viticoles françaises, surtout de la Bourgogne, mais aussi avec quelques vins étrangers d’Italie et d’Autriche. Pour accompagner chacun de vos repas, son Sancerre « Côtes des Monts damnés » Domaine Brochard, son Mercurey 1er cru « Clos du roi » Domaine Tupinier-Bautista ou encore son Cornas « Arènes sauvages » Cave de Tain sont d’excellents choix et des références bien connues des habitués de l’établissement.   Dans un village à très fort terroir, où la romance est à l’honneur, avec un château du XIe et du XIIIe siècle, et aussi grâce à un bon partenariat avec les propriétaires du château, le restaurant a le privilège d’organiser des évènements dans un cadre d’exception. En effet, « à la demande des clients, nous organisons des diners de dégustation, des dégustations commentées ou à l’aveugle et des animations ludiques autour du vin », fait valoir le gérant Lucien Tolfo.   ...

PALM HOTEL & SPA : voyage au cœur des saveurs réunionnaises

Le PALM HOTEL & SPA dispose de trois restaurants qui, malgré leurs spécificités, présentent tous le même point commun : la promotion d’une cuisine authentique concoctée essentiellement à partir des produits locaux. Le MAKASSAR, table gastronomique Le restaurant MAKASSAR reçoit ses invités dans un décor empreint d’élégance et de convivialité. En cuisine, le chef  Claude Pothin met à l’honneur les produits locaux et encense par l’occasion le terroir réunionnais. D’ailleurs, par souci de qualité, l’établissement respecte la charte « locavore » qui consiste à utiliser des produits récoltés, péchés ou élevés dans un périmètre de 150 km autour de PALM HOTEL & SPA. Papayes de Petite-Île, pigeon des Avirons, foie gras de la Plaine des Palmistes, herbes issus du potager de l’hôtel… en sont quelques exemples qui illustrent parfaitement cette démarche. Combiné au talent et savoir-faire du chef Claude Pothin, tout cela donne lieu à des créations naturelles et subtiles aux saveurs surprenantes. Comme entrée,  la maison suggère des « Camarons black tiger & tomate arbuste » s’enchaînant sur une délicieuse « Langouste rouge et sa déclinaison de légumes bio ». Enfin, il convient d’achever la découverte avec une pointe d’exotisme en dégustant un « Tantinet soufflé à l’ananas ». Pour les amateurs de découverte gustative, le chef a pensé à eux en leur réservant un menu « surprise ». Depuis 2009, chaque année (au mois de mars), le lieu est devenu le point de ralliement d’un événement de grande envergure dénommé le MAKASSAR FESTIVAL. L’occasion pour l’établissement d’accueillir de grands noms de la cuisine française et des vignerons provenant de diverses régions viticoles de l’hexagone et d’Afrique du Sud. Dégustation de vins, concours d’œnologie, gastronomie figurent au programme de cet évènement d’exception. En matière de vins, la maison peut se vanter de bénéficier d’une carte à la fois riche et éclectique. Un véritable trésor œnologique où se côtoient quelques 300 références de grands crus et petits producteurs.   Le KAH et son concept original Dans un espace de 1200 m2, le KAH Beach & Restaurant associe détente et gourmandise. Cet espace repos faisant face à l’océan propose un hammam, un bain à remous, des transats et des lits à baldaquin. Un restaurant vient compléter ce concept unique de plage suspendue entre ciel et mer. Les pieds dans le sable, les convives peuvent déguster grillades, bagels avec des pains « faits maison », sandwichs et autres salades.  Pour de purs moments de gourmandises, glaces, pâtisseries et smoothies  les attendent l’après-midi. Le KOKOA, bar lounge Dans un style chic et décontracté, le KOKOA invite ses convives à déguster de délicieux cocktails. Chaque semaine, des animations sont proposées autour de la fabrication de rhum arrangé et des vins d’Afrique du Sud. Tous les dimanches soir, un rendez-vous lounge avec DJ et musique éléctro-jazz est au programme ! En hiver, le KOKOA offre un point d’observation idéal pour apprécier le passage des baleines dans la baie de Grand Anse. ...

La Vieille Forge

Ouvert en 1986, le restaurant est établi dans une petite maison traditionnelle de 34 couverts, entièrement refaite, où seules les poutres ont subsisté. L’extérieur rustique et convivial offre un intéressant contraste avec l’intérieur, qui présente un décor épuré et moderne. La salle affiche une prédominance de couleurs vives qui apportent énormément de dynamique. Les tonalités rouges des chaises et du comptoir des années 70 sont adoucies par les tons clairs des nappes et des pans de mur blancs. Tout comme dans les grands restaurants gastronomiques, la table élégante est dressée au millimètre près.  La passion d’une famille Mis à part Wilfried, le sommelier, et Laura, la serveuse, l’équipe du restaurant est composée des membres de la famille Gutleben. Marie est en salle et assure un accueil chaleureux à tous les convives. Ses enfants, Romain et sa sœur jumelle Laurine, quant à eux, s’occupent des fourneaux.  Après ses études en restauration, Laurine a fait ses armes dans le restaurant étoilé le Chambard mais également à Roanne chez les fréres Troisgros triplement étoilé au guide Michelin. Elle décide ensuite de revenir dans sa ville natale, pour y prendre les rênes avec son frére de la cuisine du restaurant familial. En 2010, elle est sacrée une des meilleures apprenties de France. Romain, quant à lui, brille aussi par son riche parcours : le Maximilien à Zellenberg, une étoile au Michelin où il fait ses armes. Tout comme sa soeur, ils décident de mettre en avant leurs talents et leurs savoir-faire au service de l’établissement La Vieille Forge : une histoire de famille...Cette équipe de choc ne serait pas ce qu’elle est sans Rémy, le père, qui a un œil sur tout, au service de ses convives. Des menus raffinés et savoureux À La Vieille Forge, quatre menus sont proposés. La formule « Découverte » flirte avec le haut de gamme et se compose essentiellement de produits nobles : œuf parfait, foie gras poêlé, homard fraicheur du moment, ris de veau… Les amateurs de surprise se laisseront guider par le talent de Laurine et de Romain au travers du menu « Épicure », décliné en 5 services, et élaboré selon l’inspiration des deux chefs en cuisine.  À midi, les choix oscilleront entre le menu à 28 €, composé d’une entrée, d’un plat et d’un fromage ou d’un dessert, et la formule à 31 €, offrant deux choix d’entrées, plats et desserts.  Quant à la carte, elle n’est jamais figée. Le restaurant a pour habitude de la changer régulièrement.  Toutefois, certains plats particulièrement appréciés des clients sont maintenus chaque saison, comme le foie gras de canard confiture choucroute servi en entrée. En résistance, place à l’incontournable ris de veau rôti à la saltimbocca, accompagné d’un mousseux de pomme de terre à la truffe, sauge et câpres. En guise de dessert, la sphère de chocolat crémeuse note exotique et pistache en éclats apporte la note de douceur qu’il faut pour clore en beauté ce repas. Ici, chaque assiette est présentée de manière soignée et élégante. Décidément, à La Vieille Forge, le plaisir des pupilles compte autant que celui des papilles. ...

Domaine du Màs Revaou : un vignoble écoresponsable

Plus que centenaire, le domaine du Revaou a été transmis de père en fils dans la famille Scarone, depuis Joseph Scarone, en 1898, jusqu’à Bernard Scarone, qui a pris la relève en 1994. L’exploitation tire son nom de la rivière qui passe à travers ses terres.   Une agriculture biologique Situé entre Hyères et la Londe-des-Maures, le domaine du Revaou, de seulement 30 hectares, est installé sur des terres rouges, riches en bauxite et en fer typiques de la région. À seulement 6 km de la mer, les vignes du domaine du Revaou profitent d’un ensoleillement et d’une chaleur idéale tout au long de l’année. En 1999, dans une volonté de préserver l’environnement et la nature, Bernard Scarone a opté pour l’agriculture biologique. Il applique à la lettre les normes drastiques imposées par cette forme d’agriculture naturelle, saine et sans artifice. L’ensemble de la production est désormais certifié par le label AB Agriculture biologique. Il a signé en 1999 l’Engagement au Respect du mode de production bio avec Qualité France. Dans les vignes, aucun pesticide ni désherbant sont utilisés. La vinification, quant à elle, est effectuée de façon naturelle, sans ajouts d’aucune sorte. Le domaine du Revaou produit des vins sur l’appellation sous-régionale Côtes-de-Provence La Londe sur les trois couleurs. Les cépages grenache, cinsault, syrah, mourvèdre et carignan participent à l’élaboration des vins rouges et rosés ; et l’ugni blanc, le rolle et la clairette à celui des blancs. Depuis un certain temps, une politique de renouvellement de cépages est menée au domaine, où, chaque année, de nouvelles parcelles entrent dans la production de ses millésimes.   Des vins d’exception Annuellement, le domaine produit près de 30 000 bouteilles. Trois cuvées exceptionnelles sortent du lot et méritent d’être mises à l’honneur. La « Cuvée Domaine du Revaou Blanc 2012 » se distingue par sa robe verte et argentée, avec des arômes de zeste de citron, de buis, de menthol et de vanille fraiche. Légère en bouche, elle révèle des notes d’agrumes frais et épicées, avec une finale iodée. Ce vin s’accorde harmonieusement avec les poissons de la Méditerranée en grillade et les fromages de chèvre frais. La « Cuvée Domaine du Revaou Rosé 2014 » est appréciée pour sa fraicheur, au nez citronné qui évolue sur des notes de pamplemousse, de rose sèche et de pêche mure qui s’affirment en rétro-olfaction. En bouche, sa maturité s’affiche avec un volume généreux, une finale acidulée et framboisée. Sur la table, cette cuvée peut être servie en apéritif avec des tomates séchées ou du jambon cru et accompagne bien les salades, la soupe au pistou ou la bourride. La plus prestigieuse de toutes les bouteilles est sans nul doute la « Londe Rosé 2015 », avec sa robe pâle aux reflets dorés. En nez, on remarque des arômes fumés qui évoluent en feuillage humide et agrume. En bouche, l’attaque est souple et on distingue des notes acidulées de groseilles, de carambole, de physalis et de pamplemousse rose. En finale, une senteur de zestes d’agrumes s’affirme. Ce magnifique rosé sera servi à 12°C avec des noix de Saint-Jacques et mousse de poivrons rouges, un dos lieu jaune à la plancha et sauce de seiche ou une cassolette de palourdes et de moules avec tombée d’anchois. ...

Restaurant Le Caribou, une cuisine montagnarde à son summum

Au cœur de la station de ski Serre Chevalier, Le Caribou accueille en hiver comme en été les vacanciers affectionnant les bons petits plats. La maîtresse des lieux, Liane Cunin, et sa petite équipe, composée notamment du chef Louis Blain du Poète, proposent des menus complètement différents selon les saisons. En effet, les repas servis ici sont plutôt montagnards durant la période hivernale, alors qu’ils sont entièrement improvisés lors de l’arrivée des beaux jours. Des saveurs authentiques à découvrir Le « fait maison » occupe une place importante au sein du Caribou. La plupart de ses plats phares sont essentiellement préparés avec grand soin à l’aide d’ingrédients frais et de saison. C’est le cas de son foie gras maison ou de sa truite fumée maison de Châteauroux, qui sont servis en entrée. Les réjouissances continuent avec du gibier, à l’instar du chevreuil aux airelles avec légumes anciens ou du dos de cabillaud aux deux citrons pour les amateurs de poisson. Le repas s’achève sur un entremets au chocolat, une tarte au citron meringuée ou des crèmes brûlées sous toutes leurs formes.   Les vins originaires des Hautes-Alpes accompagnent dignement le festin. La trentaine de références parmi les plus sollicitées en rouge et en blanc comprend le Domaine Allemand, par exemple. La clientèle est également très friande des Côtes-de-Provence et des Côtes-du-Rhône. De la convivialité au menu Dans le restaurant Le Caribou, on se délecte de la vue imprenable donnant sur les Hautes-Alpes. La beauté de l’établissement est encore plus saisissante une fois à l’intérieur. Il est en fait implanté dans une ancienne bergerie datée du XVIIe siècle. Il a su garder son charme d’antan grâce à sa pièce voûtée en pierre apparente, qui lui confère une ambiance assez chaleureuse. ...

Nicolas : rendre l'univers du vin toujours plus accessible

Une histoire de vins Créée en 1822 par Louis NICOLAS, la petite boutique de vins du 53 rue Sainte-Anne à Paris ne connaît son véritable essor que quelques années plus tard, quand le gérant a l’idée, saugrenue pour l’époque, de commencer à livrer ses vins au domicile des particuliers. NICOLAS avait déjà surpris le monde parisien quand il s’était lancé dans la commercialisation de vins en bouteilles, alors que ses contemporains n’achetaient et ne vendaient que leurs produits en barriques ou tonneaux. L’idée fonctionne et la Maison NICOLAS multiplie les ouvertures d’établissements, jusqu’à compter 42 enseignes partout en France au tournant du XXe siècle et près de 140, une vingtaine d’années plus tard. Aujourd’hui, le numéro un et plus ancien distributeur de vins en France est présent sur tout le territoire avec près de 500 boutiques (dont 10 dans les départements d’outre-mer) et à l’étranger grâce à un réseau d’établissements et de franchises. Le groupe confirme son ambition internationale en ouvrant régulièrement des succursales en Belgique et en Suisse et des franchises au Maroc, au Royaume-Uni et même à Beyrouth au Liban. Plusieurs innovations et idées nouvelles ont accompagné le développement de l’enseigne et continuent aujourd’hui à contribuer à la notoriété populaire de la marque. Car non content d’avoir démocratisé un nouveau format de bouteille auprès des particuliers, la Maison NICOLAS a utilisé a son bénéfice l’essor d’un nouveau média de communication, la publicité, en créant, en 1922 un personnage attachant et directement reconnaissable : Nectar, le livreur moustachu aux bras chargés de bouteilles. Plus tard, la Maison NICOLAS sera encore précurseur en proposant le beaujolais nouveau à grande échelle, puis en mettant les vins de pays de France à l’honneur de sa carte et à des prix abordables. Une qualité constante sur chaque bouteille Une équipe d’une demi-douzaine de personnes est dédiée à la qualité des vins dont trois d’œnologues qui œuvrent constamment en coulisse pour sélectionner chaque année les meilleurs nectars des différents terroirs français et des autres régions du monde où NICOLAS choisit ses vins. Tous les vins sont goûtés, même quand il s’agit d’un changement de millésime, par cette petite équipe (8591 dégustations d'agréage effectuées en 2017). Le chiffre est variable selon la période de l’année, mais ce sont près de 1 200 références qui sont disponibles sur Internet et dans les différentes boutiques de l’enseigne à chaque instant, et dont il faut s’assurer de la qualité constante sur chaque bouteille. Ce contrôle de qualité permet de retirer immédiatement de la vente une référence si elle n'affiche pas toutes les qualités qu'elle avait préenté lorsqu'elle a été agréée. De même, chaque bouteille qui revient en magasin, si par exemple le client estime que ses qualités gustatives sont altérées, est directement envoyée au laboratoire du Groupe pour vérification. Ce qui permet des échanges constructifs avec chaque fournisseur que la Maison préfère nommer " partenaire ". Cette qualité dans la sélection des bouteilles se retrouve tout naturellement dans les cuvées spécifiques de la Maison. Même s’il reste essentiellement un revendeur de vin, NICOLAS propose quelques « cuvées Nicolas » spécialement assemblées pour l’enseigne par sa propre équipe d'oenologues. Les gammes couvrent les trois couleurs classiques avec des propositions à des prix abordables. On retrouve dans la gamme Cub. Collection NICOLAS quelques merveilles dont un AOC côtes-du-rhône, composé principalement de syrah, qui s’avère surprenant. Proposé dans un format cubique à l’emballage moderne, il trouve facilement sa place sur un coin de table. Les Vinissimes, le nouveau salon haut de gamme Le premier caviste de France organise aussi chaque année un salon haut de gamme pour présenter quelques-unes de ses plus pres...

Cap d’Agde Méditerranée : immersion
au cœur des trésors œnotouristiques

Des plages de sable fin aux villages circulaires millénaires, des espaces naturels aux pinèdes exhalant les senteurs de garrigue, le cadre est enchanteur. Molière, Boby LAPOINTE et Pierre-Paul RIQUET, le constructeur du Canal du Midi, y ont laissé des marques indélébiles. Mais ce qui constitue avant tout l’âme de ce pays, c’est la vigne. L’histoire, les paysages, l’architecture, l’archéologie, la géologie, la sociologie et même la gastronomie ne sont que les reflets du travail et des fruits de la vigne depuis si longtemps qu’il n’est pas possible de trouver une pierre qui n’ait servi à construire un mazet ou un muret, un homme qui n’ait taillé, vendangé ou vinifié, une maison, un château ou une cave qui n’ait servi à cette activité. Des vues imprenables mêlant étang, mer et vigne sont visibles vers Pinet, la capitale du Picpoul, non loin de l’ancienne voie romaine ; plus surprenantes, les terres rouges près de Montagnac et Castelnau-de-Guers, composant l’étendoir des fées ! Pinèdes, garrigues, statues monumentales entrent dans cette mosaïque singulière de sols et de paysages ô combien attachante. Saviez-vous que la bauxite, le basalte, les cailloutis villafranchiens se rencontrent au gré des parcelles et donnent au vigneron une palette de vins peu commune ? Pour le promeneur, ce sont les couleurs de la terre qui surprennent le plus : rouge, ocres… Un tableau de Cézanne ! Des domaines prestigieux dressent leurs silhouettes majestueuses en haut de collines ou au cœur de bois et de parcs. Des murailles moyenâgeuses de Vias aux seigneuries et châteaux de Pézenas, l’amateur trouvera des écrins à la hauteur des vins produits. Si l’envie vous prend, vous pourrez convoler en justes noces dans l’une des chapelles médiévales de ces demeures. L’architecture contemporaine a su trouver sa place dans le traditionnel Languedoc : des bâtiments basse consommation, des caveaux ultra-modernes en béton ciré ou un concept intégrant restaurant, caveau, hébergement, le tout décoré d’œuvres contemporaines et d’objets de designers et artisans d’art locaux. Longtemps le vin a été l’apanage des hommes, vignerons de père en fils. Aujourd’hui, de plus en plus de femmes sont à la tête d’exploitations viticoles et les dirigent avec bonheur : Cécile, Christine, Sabine, Anaïs, Sophie, Gersende, Anne, Fabienne, Cathy sont la nouvelle génération de vigneronnes, engagées et passionnées tout autant que leurs prédécesseurs. Dans ce Languedoc qui demeure le plus grand vignoble de France, vous êtes au cœur de trésors bien gardés. Là c’est tout un terroir viticole puissant qui s’investit logiquement dans la bonification de ses produits et le respect de l’environnement, l’embellissement et la restauration de son patrimoine et pour votre plus grand plaisir l’organisation de séjours œnotouristiques.  Des expériences de plus en plus immersives ! Un terroir diversifié et riche d’AOP et d’IGP Situé plein sud, le terroir Hérault Méditerranée repose sur une variété de sols composés en grande partie de schiste, d’argile et de silice. Bercés par des influences maritimes, les vignobles du littoral, font la part belle aux cépages locaux tels que le picpoul et le marselan. Au fur et à mesure que l’on s’éloigne de la mer, les cépages plus familiers du Languedoc, comme le mourvèdre, le grenache et la syrah, font leur apparition dans le paysage viticole. « Nous avons une belle complémentarité au niveau de nos terroirs », nous rapporte-t-on. En effet, tandis que les vins du littoral sont plus déclinés en rosé et en blanc, ceux de l’arrière-pays sont plutôt sur du rouge. En tout, le terroir compte 3 appellations d’origine protégée (AOP Picpoul-de-Pinet, AOP Languedoc et AOP Clairette) et 5 indications géographiques protégées (IGP Côtes-de-Thau, IGP Côtes de Thongue, IGP Coteaux du Libron, IGP Vicomté d’Aumelas et IGP Pays d’Hérault). Parmi les vins les plus emblématiques figurent le Languedoc-Pézenas, les Coteaux-de-Béziers, la Clairette d’Adissan, le Picpoul-de-Pinet, le...

Le Gavrinis : un havre de paix à la cuisine audacieuse

Dans un environnement fascinant, le Restaurant Hôtel Gavrinis se présente comme un lieu de repos incontournable où l’on peut se ressourcer tout en dégustant les succulents plats concoctés par Christopher Le Coq en collaboration avec le maître des lieux Serge Lignières. Un esprit maison de famille  Après sa reprise par Serge et Quyen Lignières en 2004, le Gavrinis affiche un décor allégé. Il se trouve au cœur d’un environnement calme et harmonieux qui vous invite à la détente après une partie de golf dans un des 4 parcours à proximité ou des activités nautiques. Le cadre cosy et raffiné ne fera qu’accentuer le charme de sa cuisine gastronomique.  Le décor intérieur de la maison s’inspire de l’environnement du golfe du Morbihan. La grande salle à manger baigne dans la lumière grâce à une ouverture sur la terrasse. La décoration reste dans un style naturel et épuré qui rappelle l’atmosphère bord de mer : galets, corde, raphia… Décidément, un air de vacances plane dans ce joli établissement. Une gastronomie audacieuse Issu de la gastronomie de luxe, Serge Lignières apporte innovation et raffinement à la cuisine traditionnelle bretonne. En cuisine Christopher Le Coq et son équipe misent davantage sur les poissons et fruits de mer. Pour l’étonnement et le plaisir de vos papilles, des saveurs exotiques et mélanges audacieux sont associées pour relever l’authenticité des saveurs locales. Le Chef adapte ses plats aux saisons, les poissons et crustacés sont choisis en fonction de la pêche et la majorité des légumes sont cultivés biologiquement sur Baden. Les saisons, les inspirations et les rencontres orientent l’évolution de la carte du restaurant Gavrinis. La cuisine est « fait-maison », même le pain. Vos papilles se délecteront des plats proposés dans les menus « saison de la truffe », « inspiration terroir », ou encore « esprit d’équipe ». La « Noix de coquille saint jacques tièdes farcie de truffes noir mélanosporum Salade maraichère et heliantis à l’huile de truffe », ou le « FOIE GRAS DE CANARD en terrine fait maison, servi avec un chutney du moment » raviront les gourmets. Ces succulentes suggestions se dégustent dans une ambiance de douceur et de bien-être. En travaillant avec des viticulteurs indépendants et majoritairement bios, la maison offre une sélection de vins de qualité qui s’accordent harmonieusement aux mets. Petit bonus : il vous convie également à choisir un thé issu de la gamme subtile de la Maison des Trois Thés, « le plus grand cave à thés au monde », créé par le maitre Tseng dans le respect ancestrale de la tradition chinoise.    Un service attentif et rigoureux En quête permanente de satisfaction pour lui et pour ses convives, Serge Lignières s’est fixé des objectifs de qualité et de rigueur. Cette exigence l’a poussé à confier les fourneaux à Christopher Le Coq pour garantir, finesse, saveurs et régularité des mets servis. Le Chef aime particulièrement approcher ses clients en toute discrétion et convivialité pour leur faire part de sa passion des associations mets et vins étonnantes où le thé peut y trouver sa place très élégamment. Cette rigueur de service est étalée à l’ensemble de l’établissement. Ayant une forte expérience en tant que gouvernante générale auprès de nombreux hôtels de luxe à Paris, la maîtresse des lieux Quyen Lignières utilise aujourd’hui ses compétences pour rendre le Gavrinis accueillant, chaleureux et convivial. Elle s’occupe personnellement de l’accueil et de la gestion de l’hôtel. ...

A Bout de Soufre à Genève !

Vins de plaisir ! Une large sélection de vins natures et vivants, issue de viticulture biologique et biodynamique. Sans ajout de soufre, ces cuvées n’ont que la prétention d’être le reflet d’un terroir, d’un climat, d’un millésime et surtout le savoir-faire du vigneron se mettant en danger sans l’utilisation de produits chimiques pour devenir véritablement un artisan soucieux de délivrer de véritables « pur jus » sans artifices ni maquillages. Franck le sommelier et Yves le cuisinier partagent des moments conviviaux en dressage quatre mains. La fervente passion de ce duo depuis le premier mai 2017 où ce concept d’amitié est en vigueur, créatif, haut en couleur et aux saveurs surprenantes. Une carte courte bien maîtrisée, quatre entrées, cinq à six plats principaux, et trois à quatre desserts, qui varie selon l’humeur des deux compères, et surtout le réceptif de la clientèle.  Elle fait honneur à une cuisine de fusion influencée par des notes terre-mer, asiatique ou méditerranéenne, et revisitée avec ingéniosité avec beaucoup de fantaisies. A bout de soufre remplace le concept   « Chat Gourmand » où des Burgers artisanaux de première qualité étaient servis sur ardoise par le même exploitant Yves Jordan. Cette nouvelle enseigne à Plainpalais forme un duo avec Franck Heydens à la rue jean-violette 14 sur une cuisine raffinée et légère, aux saveurs affirmées, et dont le végétal se substitue dignement aux hydrates de carbone. Une ambiance conviviale et décontractée, associée à une très belle sélection de vins naturels sont les ingrédients indispensables pour passer d’agréables moments de partage, sur le thème de la gourmandise et du plaisir. ...

Filou :
une bière à la hauteur d’une lignée brassicole belge de renom

Quand Luc Van Honsebrouck a repris la direction de la brasserie Kasteel dans les années 60, il a décidé de ne plus se consacrer uniquement aux pils, mais de produire désormais des bières spéciales. « Mon père était visionnaire », dit Xavier Van Honsebrouck, la septième génération de la brasserie familiale belge. « Dans les années 60, notre brasserie était avant-gardiste, et nous en récoltons encore les fruits aujourd’hui. » Bière spéciale blonde Filou : la dernière création belge de la brasserie Kasteel... Plus de 20 bières spéciales sont produites à la brasserie aujourd’hui. La dernière née est la « Filou », une bière blonde forte titrant à 8,5 %. C’est une bière qui oscille entre une triple et une Strong Golden Ale, brassée avec 100 % de malt de pils et du houblon de type Golding, Saphir et Saaz. « En tant que propriétaire de brasserie familiale, on se doit de créer une nouvelle bière fantastique », dit Xavier. « Je crois que la "Filou" est ma deuxième grande réalisation, après le lancement réussi de la Kasteel Rouge. » Sa recette a nécessité plus de huit mois pour être parfaitement aux goûts de Xavier Van Honsebrouck et du maître brasseur Hans Mehuys. La Filou se boit avec une facilité déconcertante, tout en étant suffisamment complexe pour tomber dans les bonnes grâces des amateurs de bières spéciales. Cette robuste blonde est un cas à part, dont le nom et le style rencontrent les faveurs d’un large public, en Belgique comme à l’étranger. Son nom est un clin d’œil, aussi bien à la bière elle-même qu’à celui qui la déguste. « Pratiquement personne ne peut en rester à un seul verre », affirme le brasseur en riant sous cape. « Mais qui est le plus grand filou dans cette histoire ? », demande Xavier Van Honsebrouck. « Le breuvage qui séduit le buveur, ou le buveur qui ne peut résister à en redemander un deuxième verre ? » Il y a de quoi s’interroger.  ...

Restaurant La Gazette : votre bistrot chic parisien

À La Gazette, les mets se dégustent dans un endroit bourré de charme, délicieusement mis en scène par les architectes Delphine Sauvaget et Pauline d’Hoop de Synghem. Le mobilier de style vintage, le motif à feuilles de bananier de la moquette, la couleur des accessoires et les lumières tamisées ont été choisis avec gout pour baigner les convives dans une ambiance branchée et raffinée, d'inspiration exotique.  Des délices au rythme des saisons Une fois que l’on est installé confortablement dans l’un des fauteuils des années 1950 de la maison, les choses sérieuses peuvent commencer. Les saveurs fraiches que proposent les marchés de Paris seront suggérées sur une carte qui change toutes les deux semaines selon les ingrédients existants. En entrée, le Tempura de gambas au sésame a depuis longtemps gagné ses lettres de noblesse  auprès des clients de La Gazette. Y gouter est presque impératif dans ce restaurant. Vient ensuite le moment de se régaler avec les fameuses Pâtes langue d’oiseau au jambon truffé. Enfin, le Cheese cake à la mangue et passion ou le Moelleux au chocolat et glace vanille sont là pour achever ce mélodieux repas. «Tout cela à un prix qui montre qu’il ne faut pas forcément se ruiner pour profiter d’une cuisine digne de ce nom dans le 16e arrondissement », se félicite Hugo Hussein Salami, propriétaire et associé. Dénicher le vin qui accompagnera le repas à la perfection ne sera pas une affaire délicate au restaurant La Gazette, étant donné la richesse et l’éclectisme de sa carte des vins. Celle-ci est très « ouverte à plusieurs régions », dixit Hugo Hussein Salami. Une promesse d’aller à la rencontre des meilleurs accords. ...