Lancée en août 2016 par Marine Bernard et Laurine Meilleur, Blendeas, contraction de blender et ideas, soit un mixeur d’idées, est une agence évènementielle exclusivement en ligne. Grace à ce pure player, organiser un évènement n’a jamais été aussi facile et toute personne ou entreprise peut désormais planifier son évènement à partir d’un ordinateur ou d’un mobile.
Un concept particulier et inédit
On retrouve sur la plateforme un large choix de prestataires dans le domaine de la restauration et de l’animation notamment, ainsi que la tarification. Il est donc possible de faire un devis instantané en ligne.
Mais la principale particularité de Blendeas réside dans le fait que cette agence propose des lieux de particuliers. Ce qui engendre forcément des évènements d’exception. En effet, le site offre la possibilité de louer un loft, une villa, un studio de photographe, un garage automobile, un hangar, une galerie d’art ou encore un atelier de menuiserie.
Un service complet, adapté et personnalisé
Blendeas organise des mariages, des séminaires, des soirées d’anniversaire et des dîners, entre autres. Et l’agence propose un service complet et soigné. Un coordinateur accompagne le client durant toutes les étapes de la création à la conception de l’évènement. L’occasion de bénéficier d’un interlocuteur unique sachant vous conseiller et d’un lien permanent avec les différents prestataires.
Pour l’occupation de ces lieux d’exception une assurance spécifique a été contractée afin de couvrir d’éventuels incidents. Le ménage est également pris en charge par l’agence au début et à la fin de l’évènement. Enfin, il faut souligner que les couts de l’assurance et du ménage sont compris dans le prix de la location du lieu. Et si le client possède déjà le lieu, il peut ajouter une option ménage à son pack.
Profitez de vos invités Blendeas s’occupe de tout.
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Accompagner les personnes et les organisations dans leur développement
Véritables pionniers du coaching en France, voilà maintenant plus de dix ans que Michel Moral et Florence Lamy accompagnent leurs clients. « Avec Michel, nous sommes un peu des dinosaures » avoue malicieusement Florence Lamy. S’ils aident les personnes qui font appel à eux à trouver en elles-mêmes les ressources nécessaires pour développer leur potentiel, reprendre confiance, gérer leurs émotions ou encore surmonter les obstacles qui leur barrent la route, Florence et Michel interviennent surtout auprès des organisations : entreprises, collectivités, associations, etc. « Notre approche s’articule autour de la notion d’intelligence collective » précise Florence. « L’idée, dans le cas d’une transformation d’entreprise (restructuration, croissance, fusion), par exemple, c’est de parvenir à (re)créer un équilibre entre le bien-être et la créativité des salariés, d’un côté et la recherche de la performance, de l’autre. De réussir à donner du sens et à préserver les liens entre les salariés ». Pour accompagner leurs clients tout au long de la transformation culturelle de leur entreprise et les aider à gérer le stress pouvant en résulter, Florence et Michel utilisent un outil spécifique, le « cultural transformation tool ». Cet outil permet d’identifier les valeurs positives et celles qu'il faudrait modifier au sein d’une équipe. « Le coaching est un outil d’accompagnement au changement » précise Florence. Entre les mains d’un coach compétent, une équipe pourra ainsi reconsidérer les interactions entre ses membres et en tirer les enseignements nécessaires. De même, un salarié pourra revoir sa manière de collaborer. Voire démarrer une nouvelle carrière !
Des spécialistes de la supervision des coachs
De même que l’on se s’improvise pas coach professionnel du jour au lendemain, on ne s’autoproclame pas non plus superviseur. Pour être en mesure d’accompagner efficacement ses clients et de les aider à atteindre leurs objectifs, un coach doit avoir reçu une formation reconnue et s’appuyer sur des règles déontologiques strictes. Mais il est tout aussi important que ce coach ait recours à la supervision. « Michel et moi sommes très axés sur la supervision » précise Florence. « Nous avons même développé un savoir-faire spécifique dans ce domaine. Très tôt, il nous a paru important d’avoir une vision professionnelle de la supervision. Nous avons d’ailleurs été les premiers en France à mettre en place une formation de superviseur ». Définir quelle doit être la posture du superviseur, en établir les principes fondamentaux, mettre en place un référentiel de compétences spécifiques… Autant d’éléments qui sont les garants d’une supervision de qualité. « L’impact bénéfique de la supervision est doublement intéressant car il va cascader non seulement sur les accompagnants mais aussi sur leurs clients » indique Florence. Gage de qualité s’il en est, le programme de formation qu’ont élaboré Florence et Michel s’est vu décerner l’ESQA (European Supervision Quality Award). Ce label, délivré par l’EMCC (European Mentoring and Coaching Council, Conseil Européen du Coaching, du Mentorat et de la Supervision en VF) atteste de la qualité de l’enseignement dispensé par une école de formation à la supervision du coaching.
Une démarche exigeante fondée sur la complémentarité
Tels le Yin et le Yang, Florence et Michel se complètent mutuellement. « Ingénieur de formation, Michel est très cartésien. Son esprit d’analyse et de synthèse est remarquable » indique Florence. « Moi, j’ai une approche plus synergétique, davantage tournée vers l’artistique. L’écriture, le théâtre, la musique ou encore les arts plastiques font partie des outils que j’utilise pour accompagner mes clients. J’ai également été formée à la médecine ...
Ils sont de plus en plus nombreux à emprunter le fameux pont reliant l’île au continent pour venir implanter leur entreprise et y vivre. Avec plus de 21 800 habitants à l’année (plus de 200 000 en haute saison) et 2 600 entreprises, la deuxième île de France métropolitaine, la plus méridionale de l’arc atlantique, concilie durablement qualité de vie et dynamique économique. C’est le fruit d’une politique conduite de longue date par la Communauté de communes conjuguant actions liées à la préservation de son patrimoine naturel et à l’attractivité économique, avec comme ambition, aujourd’hui, de faire émerger de nouveaux projets liés aux téléactivités et favoriser la création d’entreprises issues de l’économie numérique.
Une île où il fait bon vivre et travailler à l’année
Une île 100% nature, dont 84% de sa surface est classée, qui décline une large palette de loisirs tournés vers la mer et offre un cadre de vie confortable pour la vie quotidienne des familles. Un territoire tout aussi soucieux de préserver la richesse des savoir-faire et la diversité de son tissu économique, soutenant ses filières phares, à l’instar de son industrie nautique présente depuis plus de 60 ans et aujourd’hui considérée comme l’une des meilleures références françaises voire européennes sur le segment de marché «pêche et croisière 5 à 10 m ».
Une île fière de ses activités traditionnelles
Ostréiculture, pêche et agriculture portent haut et fort la notoriété des productions de l’île d’Oléron. Marennes-Oléron, 1er bassin ostréicole d’Europe, a obtenu pour ses huîtres une IGP et deux Label Rouge. Le port de La Cotinière se classe au 8e rang des ports de pêche français avec un CA de 26 M€ en 2014. Sans oublier l’agriculture et le groupement de producteurs locaux « Marennes-Oléron Produits Saveurs » qui œuvrent pour la qualité des produits agricoles ou encore, le « Vignoble de l’île d’Oléron » qui a obtenu le label oenotouristique national Vignobles & Découvertes.
Une île durable par excellence
Dès 2010, la CdC s’est dotée d’un Agenda 21 plaçant, dès lors, l’île comme site pilote en termes de développement durable. Récemment lauréate de l’appel à projets «Territoires à énergie positive pour la croissance verte» du ministère de l’Ecologie, du Développement durable et de l’Energie, Oléron s’impose comme un territoire de l’excellence environnementale doté d’un programme d’actions global : réduction de la consommation d’énergie dans les bâtiments, gestion durable des déchets, développement des énergies renouvelables, préservation de la biodiversité…
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Chasseur d’appartement : la différence avec l’agent immobilier
Le chasseur d’appartement travaille dans le cadre d’un mandat de recherche pour le compte d’un client. Il recherche donc à sa place un appartement à acheter ou à louer.
L’agent immobilier possède un mandat de vente ou de mise en location de la part d’un propriétaire. Son but est de vendre ou de louer les biens qu’il entre dans son portefeuille.
Ainsi, il n’est pas exclu que le chasseur d’appartement ait recours à un agent immobilier… Car il va effectuer sa recherche sur tous les canaux disponibles : agences, annonces de particulier à particulier, démarchage.
- En revanche, chasseurs et agents sont soumis aux mêmes dispositions réglementaires :
- Être titulaire d’une carte professionnelle
- Disposer d’une assurance responsabilité civile professionnelle (RCP)
- Disposer d’une garantie financière immobilière
Processus de recherche
Une recherche effectuée par un chasseur d’appartement suit généralement le processus suivant :
- Établissement d’un cahier des charges précis de la demande du client
- Proposition d’un mandat de recherche exclusif à valider
- Signature du mandat par le client
- Sélection des annonces correspondant au besoin
- Visite des biens à la place du client
- Élaboration d’un rapport détaillé
- Visite de la dernière sélection avec le client
- Négociation avec le propriétaire
- Accompagnement administratif
Le paiement du chasseur immobilier ne s’effectue que si une affaire est conclue (signature des actes notariés ou du bail). Le prix est fixé d’avance lors de la signature du mandat. Les honoraires varient inversement au prix du bien recherché. Plus le logement est cher, plus le taux d’honoraires est bas. Il oscille entre 1 et 5%.
Pourquoi le mandat est-il exclusif ?
L’exclusivité du mandat garantit la rémunération du chasseur, pour ne pas qu’il travaille pour rien.
Si le bien est trouvé par le biais d’une agence ?
Dans ce cas, le chasseur négocie avec l’agence le montant de la commission de celle-ci. Parfois, certains chasseurs baissent leurs propres honoraires pour compenser les coûts de l’agence.
Quand faire appel à l’un ou l’autre ?
Le chasseur d’appartement s’occupe de tout à votre la place. Il effectue pour vous la recherche et la sélection. Ainsi, cela représente un gain de temps important parce que vous n’avez pas besoin de démarcher plusieurs agences, de passer des heures sur le Web à éplucher les annonces. De plus, connaissant bien le marché, il ne sélectionne que ce qui correspond à votre demande.
L’agent immobilier est à privilégier lorsque vous disposez de plus de temps. Car même si l’agent vous prévient lorsqu’il rentre un bien qu’il pense correspondre à votre besoin, vous devez toujours chercher par vous-même dans son catalogue. Par ailleurs, il faudra sûrement contacter plusieurs agences pour maximiser la recherche.
Tout comme l’agent, le chasseur immobilier peut s’occuper de différentes recherches : achat de la résidence principale, achat d’un résidence secondaire, investissement locatif, location, local commercial.
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« Le développement économique est un axe prioritaire des Coëvrons. Le territoire met en place un panel de dispositifs financiers et d’accompagnement facilitant l’implantation des entreprises. Aujourd’hui, toutes les ressources sont optimisées pour offrir des réponses rapides et efficaces aux porteurs de projets et entrepreneurs. » explique Joël Balandraud, Président de la Communauté de communes. Au rang des mesures prises s’inscrit l’ouverture de la zone économique à Vaiges. Ce parc d’activités s’étend sur 40 hectares et bénéficie d’une position géographique stratégique. En effet, il est situé à proximité immédiate de la sortie n°2 de l’autoroute A81 et se trouve sur l’axe routier Rennes-Le Mans avec la D57.
Des terrains modulables entièrement viabilisés sont disponibles à des prix attractifs comme l’affirme Jean-Noël Ravé, Vice-Président en charge de l’économie : « Les entreprises peuvent faire l’acquisition d’une parcelle à partir de 4,60 €HT le m². A tout juste deux heures de Paris, c’est une affaire à saisir. »
Outre cette excellente localisation, les Coëvrons se situent dans une Zone de Revitalisation Rurale. Ce qui signifie que les entreprises profitent de nombreux avantages fiscaux comme une exonération de cotisations sociales.
Des aides financières pour s’installer
1,5 millions d’euros ont été versés aux porteurs de projets exerçant entre autres dans les secteurs de l’industrie, l’artisanat ou le commerce. La Communauté des communes travaille en partenariat avec Initiative Mayenne depuis maintenant une quinzaine d’années. Ce réseau associatif de financement des créateurs d’entreprises intervient dans l’accueil et l’accompagnement des projets de création-reprises. « Au sein de cette plateforme, nous avons des interlocuteurs identifiés, privilégiés pour accompagner le développement des entreprises sur notre territoire. Notre atout est que nous sommes à une échelle nous permettant de répondre rapidement à la demande des entrepreneurs. Les décisions sont rapides et les discussions se font en direct avec les élus en responsabilité. Cette relation de proximité facilite les échanges et la mise en place des projets » précise Jean-Noël Ravé.
Beaucoup de projets soutenus par Initiative Mayenne se sont fortement développés. Il existe des entreprises positionnées sur des métiers de niches qui rayonnent désormais à l’international : à l’exemple de la société Néolix, une entreprise innovante dans le domaine des instruments de chirurgie dentaire. Fondée en 2009, l’entreprise détient déjà 9 brevets d’invention et a reçu plusieurs distinctions nationales pour son activité innovante.
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Un espace de vie doté d’infrastructures neuves :
Situé à 60 kilomètres de Bordeaux, le Bassin d’Arcachon et le Val de L’Eyre forment un territoire dynamique et accueillant, très facilement accessible par l’autoroute A660. Notre espace de vie privilégié, situé entre océan et forêt, dispose de nombreuses infrastructures flambant neuves : crèches, écoles, collèges, lycées, équipements sportifs et culturels dont pourra bénéficier l’ensemble de la famille.
Un territoire tourné vers les entrepreneurs :
Notre agence de développement économique dispose d’un site internet qui recense les disponibilités foncières et immobilières du territoire, à la vente ou à la location. www.ba2e.com Un vrai plus qui fait gagner un temps précieux. En quelques clics, vous cochez vos critères de recherche et vous obtenez instantanément un dossier présentant les terrains et/ou locaux qui peuvent potentiellement correspondre à votre besoin. A la suite de cette recherche, un conseiller entreprise de notre agence de Développement Economique prend contact avec vous et devient votre interlocuteur dédié. Il vous écoute et vous conseille autant que de besoin.
D’autres outils sont également à la disposition des jeunes entreprises : pépinières, espaces de coworking, hôtels d’entreprises. De plus, plusieurs clubs d’entreprises créent du lien et contribuent à l’animation économique locale.
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Le DAP a pour rôle d’attirer et d’accélérer la création des jeunes pousses afin de dynamiser l’écosystème du Pays d’Aix. La plate-forme s’intéresse plus particulièrement aux projets technologiques et innovants, et finance la phase d’amorçage liée aux études techniques, études de marché, brevets, finalisation de prototype et présérie. Les porteurs peuvent intégrer une pépinière d’entreprises ou l’un des espaces économiques du territoire, tout en bénéficiant d’un accompagnement professionnalisé.
Un prêt d’honneur à taux zéro
Le DAP est géré par Pays d’Aix Développement (PAD) et cofinancé par l’État, la métropole Aix-Marseille-Provence-Territoire du Pays d’Aix et quelques entreprises privées. Le dispositif est une solution de financement de la R&D avant la création de l’entreprise. Un dispositif d’autant plus intéressant que ce type de financement constitue l’un des blocages majeurs rencontrés par les entrepreneurs. Le prêt d’honneur est donc proposé à un taux 0 %, remboursable avec différé sur une période de cinq ans à compter du premier exercice positif de l’entreprise ou de ses trois ans d’existence.
Afin de bénéficier de ce prêt d’honneur, les candidats porteurs de projets doivent remplir trois critères déterminants. D’abord, ils doivent démontrer le caractère technologique et innovant du projet, en s’appuyant sur la potentialité de croissance et la valeur ajoutée que celui-ci peut apporter sur le long terme à la communauté. Le choix de l’emplacement géographique est également une condition d’éligibilité. La future start-up devra s’installer en Pays d’Aix ou sur le bassin minier de Provence, une fois son activité lancée. Enfin, le prêt d’honneur est octroyé uniquement en amont de la création de l’entreprise, pour répondre au concept de base du dispositif.
L’étape de la sélection
Un comité de sélection intervient une fois que tous les critères sont réunis. En plus de Pays d’Aix Développement (PAD), des représentants des banques partenaires, des investisseurs, des incubateurs ainsi que des pôles de compétitivité composent le jury. Ils ont pour rôle notamment de vérifier le respect des conditions d’éligibilité et d’évaluer la faisabilité de chaque projet. Les dossiers retenus passeront par la suite en comité d’engagement, qui va examiner et valider les moyens et les modalités stratégiques du financement accordé. Un autre comité, celui de pilotage, prend le relais et assure le suivi, la cohérence et l’exécution des dispositions prises.
Une belle collection de lauréats
Le DAP entend par domaine d’innovation tous les champs possibles, que ce soit en électronique, numérique, biotechnologie, aéronautique, santé… Cette grande ouverture a permis au dispositif de lancer des projets tout aussi originaux qu’ambitieux, dont certains ne nous sont pas inconnus. Novadem, par exemple, une entreprise experte dans la robotique aérienne à destination des marchés civils et militaires. Le projet a fait partie des premiers bénéficiaires du prêt d’honneur en 2006, et voit aujourd’hui sa notoriété croître au niveau international. On cite aussi Axyn robotique, spécialisé dans la conception de solutions robotiques au service des personnes handicapées ou en manque d’autonomie. Côté numérique, Editag via sa solution Moontag, a conquis les industriels et les entreprises grâce à un système intégré pour connecter objets et processus. L’innovation médicale n’est pas en reste, comme en témoigne le succès du service CardioNexion conçu par @-Health. Et pour finir, le DAP tient son 100e champion, Adéquabio, qui développe des systèmes biologiques de dépollution, notamment par le traitement des effluents phytosanitaires.
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Padlock, terme anglais pour désigner le cadenas, est aussi l’appellation adoptée par Laura Larie et son mari pour baptiser leur salle d’escape game, première du genre à Montrouge. En trois scénarios, le concept développé par ce couple d’entrepreneurs se décline pour les entreprises souhaitant développer des moyens originaux pour améliorer leur process. Au moment de sélectionner le candidat qui fera la différence à un poste ou dans le but de développer les compétences, les activités de la maison présentent des potentiels variés.
Recruter, consolider, récompenser
Que ce soit pour travailler la cohésion d’une équipe déjà constituée ou pour marquer la reconnaissance aux efforts des collaborateurs, les idées d’activités Padlock se révèlent adéquates. En outre, la salle Recto Verso pourrait constituer une expérience hors des sentiers battus mais pertinente lors des nouveaux recrutements. Le scénario permet effectivement d’évaluer, dans des conditions réelles, des compétences comme la communication, l’esprit d’analyse et de logique. Dans cette salle de jeu d’évasion pour le moins atypique, les participants glissent dans la peau d’experts immobiliers ayant en charge de remettre en vente un appartement. Le but du jeu est de découvrir comment ouvrir le mur qui constitue un certain handicap dans le profil du bien à céder. Une grande capacité de coopération et un sens pointu de l’observation sont également sollicités dans ce volet de jeu. Le taux de réussite estimé à 45 % sous-entend le sérieux des enjeux.
Des scénarios adaptés pour les team building
Les deux autres salles de Padlock présentent autant d’atouts pour les organisations envisageant des activités de team building. La cohésion est une condition sine qua non pour la réussite des missions lorsque les participants intègrent le cercle d’À la baguette. Il s’agit de sauver l’intégrité d’une école de magie très convoitée pour justement pouvoir encore y suivre des cours. Mise en commun des compétences, résistance à la pression, capacité à fournir des solutions innovantes et à résoudre des problèmes en un temps imparti sont autant de maîtrises à mettre en œuvre dans cette partie. Une belle occasion de travailler profondément ces aspects en quittant la routine des lieux de travail pour une meilleure distanciation.
À travers Butterfly, l’on aborde sous couvert du jeu comment les équipes se positionnent dans la défense d’une valeur commune. Ici, les participants sont d’abord séparés dans des pièces différentes, deux d’entre eux étant attachés. Pour commencer la résolution de l’énigme, ils doivent déjà se retrouver tous ensemble.
Padlock, formules pour entreprises
« L’escape game favorise énormément la coopération, l’écoute et la communication », rappelle Laura Larie, pour évoquer les réels intérêts du concept pour les groupes d’entreprises. Cette approche développe ainsi des dispositions aussi variées que l’attention aux autres ou la recherche de formes de communication alternatives, capacités indispensables pour prévenir ou dépasser des situations de conflit.
Pour faciliter l’organisation des rencontres effectuées dans son QG, Padlock dispose, en plus des salles de jeu, d’une salle de réunion pouvant accueillir jusqu’à 40 personnes. Ce qui donne la possibilité d’optimiser la gestion du temps sur une journée avec « des gens qui jouent, des gens qui travaillent en atelier, des gens qui travaillent sur la réunion ». L’enseigne travaille, par ailleurs, avec un traiteur pour organiser des packs avec petit-déjeuner, dîner ou cocktail dînatoire.
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Qu’il s’agisse d’extension ou de création, installer une entreprise sur le Parc économique Gironde Synergies équivaut à la faire bénéficier d’un certain nombre d’avantages non négligeables. Pour commencer, les entreprises peuvent venir s’installer sur des lots entièrement viabilisés reposant sur une superficie totale de 30 hectares. Il est important de souligner que la capacité du parc peut être doublée compte tenu de l’importante réserve foncière dont il dispose. Un aménagement de l’extension du Parc économique est d’ores et déjà programmé. Afin d’offrir un cadre de vie privilégié, le parc s’inscrit dans une démarche de haute qualité environnementale. Celle-ci se traduit notamment à travers le strict maintien d’espaces verts et des zones boisées. De par sa situation géographique, le Parc économique Gironde Synergies profite d’un emplacement stratégique. En effet, il se situe au carrefour de trois départements à savoir la Gironde (au Nord), la Charente et la Charente-Maritime (au Sud). Le site bénéficie ainsi de nombreux dispositifs de desserte : il est seulement à 35 mn de Bordeaux (Autoroute A10- Sortie 38) mais aussi à 20 mn de l’A89 en direction de Périgueux et Lyon. « Nous proposons un coût relativement bas à 13 €HT le m², pour une zone d’activité située aux portes de Bordeaux » souligne Madame Magali Bodeï, directrice de la Pépinière Hôtel d'entreprises. Par ailleurs, les entreprises qui décident de s’implanter sur le site verront certainement d’un très bon œil les avantages financiers qui leur sont offerts. « Le Parc économique se situe en Zone de Revitalisation Rurale avec un nombre d’exonérations fiscales relativement important ». Ces exonérations peuvent concerner aussi bien la création que l’implantation et se portent sur les charges sociales, la contribution économique territoriale (CET) ainsi que les impôts sur les bénéfices. « Nous étudions au cas par cas et cela permet d’apprécier le bénéfice de l’implantation sur le territoire par rapport à d’autres territoires qui ne sont pas ZRR » poursuit la directrice.
De nombreuses ressources à disposition
Aujourd’hui pour les entreprises, un accès internet de qualité représente un levier important au niveau de leur performance. Sur ce point, Gironde Synergies profite d’un raccordement à la fibre optique, ce qui permet notamment aux entreprises de bénéficier d’un débit internet très fiable et conséquent.
En outre, d’autres ressources ont également été mises en place pour tout ce qui concerne l’accompagnement et la formation. « Nous disposons d’une maison de l’économie au sein du parc, ce qui nous permet d’offrir tous les services de proximité nécessaires au développement de l’entreprise » renchérit la responsable. Quant à la formation, la montée en compétence des salariés sera assurée par le Centre de Formation Multimétiers de Reignac situé à proximité du site.
Le CFM, en collaboration avec la pépinière d’entreprises et ses partenaires, organise des formations pour les chefs d’entreprises et leurs salariés en fonction de leurs besoins et attentes spécifiques.
Une dynamique portée par une économie « spécialisée »
Gironde Synergies a spécialisé son économie autour de deux activités porteuses : l’énergie et la construction. À ce sujet, la directrice de la Pépinière dévoile fièrement : « Aujourd’hui, nous avons attiré de grands noms grâce à cette spécialisation établie sur deux champs ». En effet, la présence sur le site d’ONET Technologies à travers sa filiale Techman Industries confirme bel et bien cette « attractivité ». ONET Technologies figure parmi les « grosses pointures » dans le domaine du nucléaire travaillant sur l’ingénierie et la maintenance des réacteurs, le démantèlement et le traitemen...
Le doyen du coworking en France
Historiquement, La Bo[a]te est le premier espace de coworking à avoir ouvert ses portes en France. Excusez du peu. Ce doyen dans la location d’espaces de travail partagés est né de l’initiative de Martine Sousse et Marin Garrigues. Une dizaine d’années plus tôt, les deux complices animaient ensemble un espace de mécénat pour une grande marque internationale de soda. Ils mettaient alors à la disposition des jeunes du quartier un lieu, des ordinateurs, une connexion Internet et un savoir-faire pour leur enseigner à se servir des nouveaux outils numériques et les accompagner dans leur découverte du tout jeune réseau Internet. Capitalisant sur leur expérience, ils rachètent l‘endroit en 2007 et ouvrent cet espace de coworking, avant le nom donc, qu’ils nomment La Bo[a]te, en hommage aux ferrys qui traversent quotidiennement le Vieux-Port.
Un lieu, plusieurs activités
Au départ, il y a un lieu atypique du centre-ville de Marseille. Le sol est fait d’un vieux parquet en bois. Sur les murs, on remarque des affiches vintages, comme les meubles et les canapés qui trônent dans la pièce principale. On n’est pas du tout dans l’idée des espaces de coworking que l’on peut voir ailleurs. Il y règne une ambiance cosy et artistique. Plusieurs formules de coworking sont proposées aux start-up et aux petites entreprises. À partir de 50 euros (TTC) par mois, on y vient travailler bien sûr, mais aussi échanger et partager. « un espace de coworking sans animations et sans une communauté des coworkers qui collaborent entre eux, ce n’est que de la location de bureau, explique Marin Garrigues. Dans notre idée du coworking, il y a toute une partie de l’activité qui est consacrée à créer des synergies pour qu'ils développents leur activité et leurs projets grâce à l’organisation par exemple, de rencontres informelles, de MeetUp, de réunions autour de thématiques nouvelles, Machine learning, Design thinking, Veille autour d'appels a projets, Open data, ateliers du code (pour les enfants) »
On vient à La Bo[a]te principalement pour travailler, mais on y discute aussi avec d’autres porteurs de projets innovants afin de grandir ensemble. Car au-dela du coworking, c'est aujourd'hui de "co-growing" qu'il faut parler. Le lieu, qui a gardé à cœur son esprit « mécénat », accueille régulierement des associations et collectifs autour de problématiques entrepreuneuriales, citoyennes et créatives.
En 2018 la Boate va dupliquer le modèle avec un partenaire important de la Métropole Aix-Marseille. Une manière de consolider son offre au jeunes entreprises et aux porteurs de projets
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Fondé en 2015, Algofly est un pure player, un service exclusivement en ligne et entièrement gratuit dont le rôle est de trouver les meilleurs tarifs malgré la fluctuation incessante des prix. Grâce à la création d’alerte, il est capable d’indiquer où et quand acheter afin d’aider ses utilisateurs à accéder aux meilleurs prix.
Un moteur de recherche rapide et efficace
En un clic, Algofly parvient à comparer l’offre de plusieurs centaines de voyagistes et de compagnies aériennes. Son moteur de recherche rassemble tous les tarifs de la totalité des acteurs du secteur du voyage, ce qui lui permet de trouver un prix à un moment précis. En outre, chaque réponse, à la demande d’information émanant d’un visiteur, s’accompagne d’un conseil d’achat personnalisé permettant à l’internaute de connaitre l’évolution future du prix en question. Par exemple, si l’utilisateur trouve un billet d’avion coutant 500 euros, Algofly le prévient aussi que ce tarif durera 3 semaines avant d’augmenter.
La création d’alerte : Une solution novatrice
Algofly se distingue des autres comparateurs grâce à son système d’alerte unique en son genre. En effet, le moteur de recherche remplace l’utilisateur dans sa quête en respectant ses critères de recherches et le prévient à l’instant où le billet d’avion atteint le prix demandé. De plus, l’outil crée et met à disposition un graphique de suivi quotidien afin d’analyser les évolutions de prix en temps réel. Enfin, et ce, grâce à son algorithme, le programme intelligent calcule le moment idoine pour acheter les billets et envoie un email afin de prévenir l’acheteur lorsque le prix est statistiquement au plus bas.
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De l’ingénierie au coaching professionnel
Après avoir exercé le métier d’ingénieur pendant plus de 15 ans, Céline Poloce suit une formation de coach pour créer sa structure et lancer son activité professionnelle. « Je suis quelqu’un de rationnel » précise-t-elle. « Par mon parcours scientifique, mon approche des choses est très analytique. J’ai une vision très systémique et globale des interactions qui existent entre mes clients et leur environnement professionnel ». Pour autant, Céline n’hésite pas à combiner des outils très pragmatiques avec d’autres, moins rationnels. « Ma capacité à actionner une large palette de leviers, très concrets pour certains, plus métaphoriques pour d’autres, me permet de m’adapter rapidement à mes interlocuteurs. Je peux ainsi les aider à répondre efficacement aux questions qu’ils se posent ».
Se garder de proposer des réponses à ses clients
À la différence d’un consultant, un coach ne conseille pas son client mais permet plutôt à celui-ci de mobiliser les ressources nécessaires pour surmonter les obstacles qui lui barrent la route. En clair, un coach ne saurait se substituer à son client. Céline a donc appris à neutraliser les réflexes qu’elle avait hérités de son ancienne activité professionnelle. « L’une des missions de l’ingénieur consiste à résoudre les problèmes des autres à leur place. On recherche son expertise et son analyse » indique-t-elle. « Au contraire, un coach doit faire en sorte que ce soit son client qui trouve lui-même les réponses les plus adaptées pour atteindre ses objectifs. À moi de l’aider à voir la situation qu’il est en train de vivre d’un autre oeil. Tout n’est bien souvent qu’une question de point de vue. ».
Sortir de sa zone de confort
Basée sur la confiance et le respect, la relation qui se noue entre le coach et son client vise à obtenir des résultats concrets et mesurables. Pour y arriver, il peut s’avérer nécessaire de « bousculer » le coaché et de le faire sortir de sa zone de confort. « L’idée » explique Céline, « c’est d’emmener le client là où il n’est jamais allé, hors des sentiers balisés ». En le poussant à oser s’aventurer en « terre inconnue » plutôt qu’en « terrain connu », le coach amènera ainsi son client à l’autonomie. Prendre conscience de son potentiel et comprendre son propre mode de fonctionnement permettra au coaché d’être mieux armé pour affronter les difficultés de son travail quotidien. « Qu’il s’agisse pour un dirigeant de prioriser les actions à mener dans son entreprise, de modifier son leadership, ou encore de s’impliquer différemment en osant lâcher du lest et en confiant davantage d’autonomie à ses équipes ».
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À 45 km de Nantes et de Rennes, à 20 min du futur aéroport international de Notre-Dame-des-Landes, à 45 min du port autonome de Nantes-Saint-Nazaire, à 3 h de route du port du Havre ! Pas de doute, la position géographique de la communauté de communes du secteur de Derval est idéale pour y développer une activité économique.
C’est en partant de ce constat que les élus communautaires ont créé une zone d’activité, dite route des Estuaires, le long de la quatre-voies RN 137 qui relie Nantes à Rennes et de la transversale Vitré-Vannes.
Trente ans plus tard, 50 hectares sont déjà occupés par deux types d’entreprises. Dans l’espace des Échos, on trouve des TPE-PME et des activités artisanales. Dans l’espace du Mortier, ce sont les activités industrielles et logistiques qui ont la cote, avec, par exemple, les Pâtisseries Gourmandes (groupe Roullier), Eiffage Génie Civil, Hervé TP ou encore STAC Ouest (groupe Saint-Gobain), qui en a fait une base logistique sur 33 000 m² et proposera à terme plus de 200 emplois !
Des emplois durables
La logistique, un secteur d’avenir pour Jean Louër, président de la communauté de communes, pour développer le territoire : « Nous avons aujourd’hui quatre bases logistiques et entendons continuer à les développer. La logistique permet à notre population locale de trouver de l’emploi ou de relocaliser son emploi ici, ce qui aurait été moins possible avec de la chimie par exemple, où les entreprises seraient venues avec du personnel extérieur. » L’effet a d’ailleurs été probant sur la communauté de communes du secteur de Derval. Rien que pour la commune centre, on compte aujourd’hui 1 600 foyers fiscaux et 4 000 habitants contre 1 200 foyers fiscaux et 2 500 habitants il y a 15 ans ! « Nous nous sommes aussi adaptés avec des services structurants comme un réseau de médiathèques, un multi-accueil/relais assistantes maternelles, un pôle social et emploi et, d’ici à la fin de l’année, un espace aquatique et de loisirs. »
Début 2016, il reste 100 hectares de foncier et la communauté de communes ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. « Aujourd’hui, le parc d’activité, qui va bénéficier d’un accès direct au très haut débit, occupe 400 personnes, le but est d’atteindre les 1 200 emplois. Nous sommes en discussion avec des entreprises intéressées par notre positionnement géographique. » La communauté de communes ne vise pas d’ailleurs que les grandes entreprises, préférant diversifier le tissu économique pour que l’emploi soit durable. Au cœur du Grand Ouest, le parc des Estuaires, nouvelle destination à la mode ?
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Plus qu'une simple location d’adresse
L’expérience dans la domiciliation d’entreprise de Domaparis remonte au milieu des années 90, quand Yveline Crépeau, fondatrice de la société, effectuait encore ce service de manière épisodique pour quelques rares clients. De fil en aiguille, cette activité annexe est devenue le cœur du métier de Mme Crépeau.
« La domiciliation d’entreprise est nécessaire aux créateurs de sociétés qui n’ont pas forcément beaucoup de moyens pour démarrer, ou qui n’ont pas besoin de bureau car beaucoup d’activités se font maintenant par Internet », explique Yveline Crépeau. « Nous répondons aussi aux besoins des personnes qui travaillent de chez elles mais qui, d’un point de vue fiscal, ne veulent pas avoir leur adresse professionnelle assimilée à leur adresse personnelle », continue-t-elle. Plusieurs clients ayant leurs activités en province ou à l’étranger ont aussi décidé de profiter de la prestigieuse adresse pour être visibles sur Paris. Une partie importante de la clientèle de la société est formée de grandes holdings internationales qui cherchent une domiciliation au cœur de la capitale française, gage de crédibilité quand elles se développent dans l’hexagone. C’est d’autant plus d’actualité depuis le Brexit qui oblige de nombreuses sociétés anglaises à implanter leurs sociétés en France pour poursuivre leurs activités dans de bonnes conditions et être visible pour capter la clientèle française.
"Créer, c'est vivre deux fois " Albert Camus
En effet, la domiciliation d’entreprise, pour Domaparis, ce n’est pas simplement la mise à disposition d’une adresse, aussi remarquable soit-elle. En plus de la location de l’adresse du 55 boulevard Pereire, boulevard qui en passant doit son nom à deux frères, brillants hommes d’affaires du milieu du XIXe siècle, Domaparis propose aux chefs d’entreprise un accompagnement sur mesure dans les différentes étapes de la vie de leur société. Du dépôt des statuts jusqu’au développement de leur structure, en passant par le traitement du courrier entrant et même la permanence téléphonique, Yveline Crépeau et son équipe dynamique font en plus profiter les entrepreneurs d’un suivi précis de l’actualité légale concernant le monde des affaires et de conseils avisés permettant aux entrepreneurs de prendre toujours les meilleures décisions pour l’avenir de leur firme. Tous ces petits plus font la différence quand il faut être réactif dans un marché toujours plus mouvant. Le gain de temps est indéniable et les bénéfices se font rapidement ressentir. Aujourd’hui, les entreprises modernes sont amenées à régulièrement changer physiquement de locaux au fur et à mesure de leur croissance ; domicilier son siège social chez Domaparis, c’est l’assurance d’avoir une seule et unique adresse tout au long de la vie de son entreprise et ainsi éviter de modifier les statuts d’une entreprise et économiser les coûts de formalités correspondants.
Par ailleurs, Domaparis offre des tarifs très attractifs : une remise de 50 % la première année sur le prix de la domiciliation simple, une façon concrète d’être solidaire et d’aider les nouveaux chefs d’entreprise dans la mise en place de leur projet professionnel.
Le club Domaparis, un réseau professionnel de qualité
Domaparis privilégie la relation de proximité avec ses clients. Certaines sociétés sont même hébergées grâce aux services d’Yveline Crépeau depuis plus de vingt ans. Essentielle Interlocutrice, forte d’une expérience variée, elle a créé une relation particulière avec chacun(e) des femmes et des hommes au-delà de ces projets entrepreneuriaux. Pour renforcer les liens entre les différentes entreprises qu’elle accompagne et faciliter les synergies, elle a initié un club, le club Domaparis. Une fois par an, toutes les sociétés hébergées sont invitées à se réunir lors d’un cocktail organisé chez...
Depuis plus de 30 ans, le World Trade Center Marseille Provence s’est positionné comme le leader incontournable du tourisme d’affaires sur l’accès méditerranéen. Au fil des années, il s’est doté de locaux modernes et d’équipements technologiques récents pour répondre aux attentes des entreprises.
L’offre de service du World Trade Center s’appuie sur 3 lieux : le City Center et le Sky Center à Marseille, l’Espace George à Paris.
Le City Center Vieux-Port
Le City Center bénéficie d’une situation exceptionnelle au cœur de Marseille, facilement accessible en avion, en train ou en voiture. Au sein de ce nouveau bâtiment, 4 espaces distincts pour des offres spécifiques.
Tout d’abord l’Event-Center avec des espaces lumineux et modulables où vous pourrez disposer suivant vos besoins d’une des 11 salles de réunion, de l’agora de 400 m² idéale pour des expositions ou des buffets, de la terrasse jardin de 250 m² pour vos soirées d’entreprise ou encore de la grande salle plénière de 390 m² avec régie audiovisuelle intégrée et captation vidéo.
Le Marseille City-Lab offre un espace dédié à la dynamique collective avec des surfaces évolutives et modulables pour favoriser la créativité et la cocréation.
Quant au Business-Center, il propose des solutions sur mesure pour les entrepreneurs : location de bureaux, de salles de réunion ou domiciliation d’entreprises.
Pour le Cowork’in Vieux Port, ce sont des espaces de travail et des services technologiques mis à la disposition des jeunes entrepreneurs, des travailleurs indépendants ou des start-ups.
L’Espace George à Paris
Situé entre Tour Eiffel et Champs-Elysées, l’Espace George est ouvert depuis janvier 2014 et propose des location de bureaux et de salles de réunion et aussi domiciliation, bureau virtuel et organisation événementielle.
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Eludice se veut être le pionnier de la conception et de la réalisation d’un Escape Game sur mesure s’adaptant aux besoins des preneurs. Allant de la scénarisation à l’installation complète, en passant par les séances de formation, une équipe pluridisciplinaire composée de spécialistes chevronnés s’attelle à donner vie à vos idées et à vos rêves les plus fous. Destiné aux professionnels, aux personnes en changement d’activités ainsi qu’aux centres de loisirs, ce service de conception s'appuie sur des prestations exclusives fondées sur l’inédit. Les salles conçues démontables ou fixes sont uniques et peuvent accueillir plusieurs joueurs et assurent une immersion parfaite à ces derniers. Eludice, c’est la promesse d’une expérience hors du commun qui viendra apporter l’originalité qui fera votre différence.
Un service de conception inédit
Dans le cadre de l’élaboration de votre propre Escape Game, l’entreprise Eludice sera l’interlocuteur unique chargé de vous accompagner, de vous conseiller et de vous éclairer. En effet, vous aurez la possibilité d’élaborer vous-même votre propre scénario, l’agencement de la salle ainsi que votre décor. Si une salle, au sein de votre établissement ou de votre espace, est déjà disponible pour accueillir le jeu et que des détails ou des mécanismes venaient à manquer, l’équipe d’Eludice pourra apporter l’expertise, l’ingéniosité et la technologie nécessaires à sa finition et à son lancement sur le marché. Si, au contraire, rien n’est encore prévu, mais qu’un cahier des charges a d’ores et déjà été élaboré, les spécialistes de l’entreprise viendront préparer entièrement l’Escape Game, ceci incluant le scénario, en se basant sur les besoins des clients, la conception du décor, l’élaboration des énigmes, la mise en place des mécanismes divers ainsi que l’insertion d’autres détails indispensables à l’Escape Game. Allant de la fameuse machine à voyager dans le temps aux labyrinthes mythologiques, en passant par les messages codés, tout sera conçu et réalisé suivant vos envies, dans le cadre de cette formule clés en main.
Des scénarios empreints de mystère et d’aventure
Vous avez longuement réfléchi à votre histoire, mais vous peinez à la scénariser ? L’équipe pluridisciplinaire d’Eludice (composée d’architectes, de menuisiers, de développeurs, d’accessoiristes, de graphistes, de décorateurs…) est capable de conceptualiser des scénarios, de créer des énigmes, ainsi que des décors de salle pour garantir l’immersion totale des joueurs dans un monde purement imaginaire frôlant le réel. Les meubles, l’agencement de la salle, les couleurs, les jeux de lumière, et même les objets les plus improbables sont autant de détails pensés afin de créer un univers corroborant avec le but du jeu et étant parfaitement conforme au scénario de départ. Parmi une multitude de scénarios, les joueurs seront chargés de désamorcer une bombe ou de démontrer leur vaillance dans un univers futuriste, où la famine et la criminalité règnent en maîtres. Dans un décor plus vrai que nature, ils pourront, entre autres, dépasser leurs limites dans le but d’élucider des crimes, de s’extirper d’un monde virtuel les tenant captifs, d’espérer gagner le trésor d’un sage de l’Antiquité ou d’échapper à une mort certaine en utilisant uniquement l’ouïe… Autant d’histoires et d’aventures auxquelles seuls les plus courageux et les plus soudés pourront faire face.
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Trois espaces, mille univers
Mozaik, c’est trois sites uniques et authentiques dans un cadre pro, une ambiance familiale, et surtout une grande diversité de métiers.
Free-lances, start-up ou petites entreprises, graphistes, humoristes ou consultants, tout le monde y trouve sa place, de la formule nomade (temps partiel en open space) aux bureaux fermés.
Le concept a vu le jour en 2012 : Charles et Lucas se lancent dans l’aventure Mozaik, et ça marche ! L’ambiance et les formules adaptées aux réalités du quotidien de chaque professionnel ont séduit, puis Mozaik s’est agrandi.
Aujourd’hui, plus d'une centaine de coworkers se partagent les trois adresses. Une vraie réussite !
Le plus ? La flexibilité !
« Ici, nos coworkers ont une belle adresse, de beaux locaux design et lumineux pour accueillir leur clientèle et une ambiance agréable et communautaire. Mais la vraie différence, c’est notre système hyper-flexible : la satisfaction du réel besoin de chacun », explique Jeanne, qui s’occupe de la gestion des trois sites.
S’il est fréquent de se voir refuser l’accès à son coworking pour avoir oublié son badge ou pour quelques heures de trop effectuées la semaine précédente, ce n’est pas le cas ici. Nous ne facturons pas à la volée, nous trouvons des arrangements. « Il y a des règles de communauté claires, le reste est négociable. S’il nous est possible d’être aussi flexible, c’est parce que nos clients nous le permettent. C’est donnant donnant, nous nous arrangeons mutuellement », ajoute notre interlocutrice.
De plus, les locaux sont accessibles 7j/7, 24h/24 : les clients sont totalement libres de la gestion de leur temps de travail…
Une tendance colocation
Plus qu’un simple espace de travail, les coworkers partagent une vie communautaire. Qu’ils soient organisés par Mozaik ou spontanés, des événements leur permettent de se rencontrer, de discuter et de partager. Petits déjeuners hebdomadaires, co-lunchs réguliers, pots dans notre bar au pied de l’immeuble, les initiatives sont nombreuses pour apporter cet esprit si particulier, et rien n’est obligatoire…
Cela génère des synergies, business et amitiés se développent naturellement.
L’espace d’un jour, changer d’atmosphère
Mozaik propose quatre salles de réunion (7-8 personnes) et une salle de conférences ouvertes aux externes.
Équipées, confortables, design et corporates, les salles s’adaptent à tout type de réunion.
Nous avons pu découvrir notamment la salle de conférences, qui offre un véritable atout pour des journées brainstorming, workshop, formations, présentations : aérée, lumineuse, spacieuse, atypique et cosy, équipée de fatboys super-confortables, une surface de 40 m2 pour accueillir une bonne dizaine de personnes en formation réunion et une trentaine en formation théâtre.
Petit déjeuner ou goûter maison en supplément, un partenaire restauration pour vos lunchs et vos cocktails, Mozaik s’adapte à vos événements.
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La supervision, garantie d’un coaching de qualité
Si la formation que reçoit un coach professionnel est importante, la supervision dont il fera l’objet tout au long de sa carrière l’est tout autant. « L’idée, c’est de favoriser un travail sur soi mais aussi en soi du professionnel (coach, formateur, consultant, éducateur, etc.) qui accompagne son client » explique Martine Volle, fondatrice de Present Consulting, sa société qui propose, depuis plus de 20 ans, des prestations de coaching et de supervision. « Par le biais d’un dialogue réflexif mais aussi d’un apprentissage collaboratif, la supervision permet ainsi de réfléchir sur soi-même et de prendre du recul, tout en restant dans un cadre professionnel ». Car pour être en mesure de dispenser un accompagnement efficace, un coach doit pouvoir évoquer, lors de ses séances de supervision, les éventuelles difficultés qu’il rencontre. Il doit également s’efforcer d’analyser son ressenti et de questionner son geste professionnel. « Dans le cadre de mon activité de supervision » précise Martine Volle, « j’interviens à différents stades. Au niveau du geste professionnel de l’accompagnant, c’est à dire de sa façon de faire, qu’il s’agisse des outils qu’il utilise, des compétences qu’il met en oeuvre ou encore des règles éthiques qu’il doit respecter. Mais j’aide également l’accompagnant à être en parité tout en gardant une juste distance avec son client, à ne pas trop s’impliquer et garder conscience des risques de ‘’transferts’’, de projections ou de reflets sur lui. Un coach n’est pas une machine mais un être d’émotions. Et s’il se fait happer par la situation de son client, un coach risquera de perdre son discernement. Et son accompagnement perdra en efficacité… ». En veillant sur la sécurité morale de l’accompagnant et en vérifiant que son geste est correctement effectué, le superviseur s’assure donc que le coach est toujours apte à accompagner ses clients.
De plus en plus d’accompagnants veulent se former à la supervision
Conscients du rôle capital que joue la supervision dans tout processus d’accompagnement, un nombre croissant de professionnels franchissent désormais la porte de l’école IDSUP, l'Institut du Développement de la Supervision que Martine Volle a ouverte, il y a quatre ans de cela. « Les motivations des accompagnants qui décident de suivre la formation que je propose sont diverses » explique Martine Volle. « Certains jouissent d’une certaine séniorité dans leur métier et sont régulièrement sollicités pour du mentoring. Ils décident alors de se professionnaliser et de développer des compétences spécifiques de supervision. D’autres ne souhaitent pas nécessairement devenir superviseurs lorsqu’ils s’inscrivent à ma formation. Mais ils estiment à juste titre, d’ailleurs - que cette démarche les aidera à prendre du recul par rapport à leur propre pratique professionnelle. Enfin, parmi les participants, je compte des personnes qui, sans être coachs, accompagnent tout de même des processus de changement dans des entreprises et veulent réfléchir à ces processus ». À l'issue de leur formation, les alumni, devenus superviseurs certifiés, peuvent entrer dans la Community IDSUP qui favorise la R&D sur la supervision.
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Haut lieu historique et culturel, telle est l’image marquante de Rouen et de sa région. C’est pourtant d’abord avant tout une zone économique de plus de 800 000 habitants, un centre urbain innovant et créatif et un très solide écosystème industriel de portée internationale.
Du 6 au 19 juin 2019, le territoire se mobilise pour faire découvrir, au détour de l’Armada, grande fête fluviale, les atouts économiques et résidentiels de Rouen et de sa région. L’enjeu : révéler ses atouts clés : le marché, l’écosystème, les compétences humaines, et la qualité de vie. Rouen va vous surprendre, on vous le garantit !
Une localisation incomparable, entre terre et mer, au cœur des grands bassins d’affaires
La performance économique de Rouen est soutenue par une position géographique stratégique : à une heure de Paris, proche des grandes capitales européennes, Rouen donne accès à des marchés dynamiques et variés.
Au cœur de la vallée de la Seine, Rouen participe à l’économie fluviale et portuaire : les trois ports de Paris, de Rouen et du Havre constituent le premier ensemble portuaire français, pour les conteneurs, le commerce extérieur, l’approvisionnement énergétique, et Rouen est le premier port fluvial européen pour le vrac et l’export de céréales.
Des filières industrielles performantes : l’industrie du futur, à Rouen, c’est maintenant
C’est à Rouen que se sont écrites depuis quatre siècles toutes les révolutions industrielles, c’est aujourd’hui que s’y déploie la puissance de l’industrie 4.0 : un système pleinement connecté, où collaborateurs et partenaires construisent une chaîne de valeur en constante transformation, pour mieux s’adapter aux besoins du client.
Travaillant en synergie, toutes les grandes filières industrielles sont concentrées sur ce territoire : automobile, aéronautique, chimie, pharmacie, santé, agroalimentaire, technologies vertes, construction, activités portuaires. L’innovation dans les services à l’industrie est portée par la puissance de ces fleurons, en particulier dans la logistique et le développement des technologies numériques.
Renault, Thales, Sanofi, Lubrizol, Novacel, Ferrero, Ethypharm, Nutriset, Aspen, Ressorts Masselin, Aptar, Hermes Parfums, Janssen, Bolloré Logistics, Glaxo, Acticall, Cargill Cacao, PGS Group, Nexira, autant de noms qui font référence dans leur domaine et qui écrivent, chacun, des pages de leur histoire à Rouen.
Innovation technologique mais aussi innovation par les services : si les secteurs bancaires, assurantiels, et relations client comptent dans l’économie locale, Rouen et sa région investissent aujourd’hui avec succès des secteurs tels que l’artisanat, le commerce de proximité, le tourisme, qui contribuent aussi à sa valorisation urbaine.
Des compétences disponibles et formées pour les besoins locaux
Les jeunes ne s’y trompent pas : avec une population étudiante des plus dynamiques de France, Rouen fait le plein dans ses onze écoles d’enseignement supérieur, à l’université et 4 000 chercheurs forment les talents de demain. Une offre adaptée aux besoins industriels, mais également aux services et au commerce : INSA Rouen Normandie, ESIGELEC, NEOMA Business School, Institut national de la boulangerie-pâtisserie, Uni LaSalle, 6 UFR, et bien d’autres, couvrent l’ensemble des besoins des secteurs économiques.
Au-delà de la formation initiale, la Région Normandie croit en la formation professionnelle. En lien étroit avec les entreprises, la Région finance des actions de qualification, de reconversion et facilite ainsi l’embauche ou la mobilité professionnelle.
Vivre à Rouen, un plaisir ?
La qualité de vie d’une métropole à taille humaine est particulièrement appréciée à Rouen : juste la bonne échelle pour une vie professionnelle intense, où le choix des postes passionnants permet en toute quiétude de s’installer en famille, sans souci de logement, de garde d’enfants ou d’ennui mortel de province ! La ville est curieuse, sportive, culturelle, et offre alentour des espaces naturels in...
A la suite à la fusion de la Bourgogne et de la Franche-Comté, la nouvelle région a voulu rassembler les forces du territoire en unifiant les deux Agences économiques historiques à savoir l’ARD (Franche-Comté) et l’ARDIE (Bourgogne) en une seule entité.
De cette initiative est née en 2017, l’Agence Économique Régionale de Bourgogne-Franche-Comté (AER BFC). L’AER BFC est une Société Publique Locale (SPL) chargée d’une double mission : favoriser les créations économiques et d’emplois et assurer le développement économique régional en intervenant auprès des entreprises et des territoires.
Accroître les activités économiques du territoire
Société Publique Locale, l’AER BFC est composée d’actionnaires publics dont la Région Bourgogne-Franche-Comté qui en est majoritaire. L’actionnariat est également détenu par les EPCI (Établissement Public de Coopération Intercommunale) régionaux : plus d’une cinquantaine sont entrés au capital de l’Agence. Ainsi, avec près de la moitié des EPCI régionaux, la gouvernance de l'Agence assure la représentation de 73% de la population.
« Nous œuvrons pour le compte de nos actionnaires notamment de la Région qui assure l’essentiel de notre chiffre d’affaires. Le pilotage régional est organisé à partir des orientations du schéma régional de développement économique, d’innovation et d’internationalisation (SRDEII) qui a été adopté par la Région et qui définit clairement les missions de l’agence économique », nous explique Arnaud Marthey, Président de l’AER BFC.
Ce SRDEII détermine les priorités régionales et a été imposé par la loi NOTRe qui selon les précisions de notre interlocuteur « donne désormais des compétences fortes à la Région, le chef de file du développement économique local mais également aux intercommunalités ». Lesdites orientations incluent entre autres des plans d’actions visant à apporter un soutien aux TPE et PME.
Accompagner les entreprises existantes dans leur croissance constitue justement l’une des priorités de l’AER BFC. Pour booster le développement des filières et des entreprises, l’Agence mise sur des méthodes finement pensées. A titre d’exemple, elle est actionnaire dans près de 57 entreprises cotées en bourse basées en Bourgogne-Franche-Comté lui permettant de se placer au cœur des décisions stratégiques prises au sein de celles-ci. La gouvernance de l'AER BFC est aussi en train d’évoluer pour y associer des chefs d’entreprises et des représentants du monde entrepreneurial, au sein d’une instance spéciale, pour bénéficier de leur expertise de terrain.
Dans tout cet élan, l’AER BFC contribue aussi au développement de l’innovation et de l’éco-innovation. « Nous avons à cœur de favoriser la compétitivité de nos entreprises, leur permettre d’évoluer dans leurs pratiques, dans les nouvelles technologies et dans plusieurs domaines innovants », fait savoir Arnaud Marthey. Le territoire compte notamment 5 pôles de compétitivité : Nuclear Valley, Plastipolis, Pôle des MicroTechniques, Pôle Véhicule du Futur et Vitagora. Il abrite trois villes labellisées French Tech : Besançon, avec la labellisation HealthTech ; Chalon-sur-Saône, avec la labellisation IOT Manufacturing ; et Dijon, avec la labellisation FoodTech.
Une de ses filières phares est l’énergie avec l’Hydrogène. La région a la chance d'être détentrice d’une labellisation « Territoire Hydrogène » qui lui permet d’être un vrai laboratoire pour cette énergie d’avenir. Cette filière profite notamment de la forte dynamique en matière de recherche. Il faut dire que la région possède des atouts considérables. « Nous avons près de 6000 chercheurs avec un ratio de chercheurs privés parmi les plus importants, nous disposons de 14 centres d'excellence mondial et 51 unités de recherche en Région &...
Située dans la région des Hauts-de-France, dans l’Aisne, l’Agglomération du Saint-Quentinois bénéficie de plusieurs atouts majeurs en faveur des entreprises souhaitant s’implanter. À commencer par sa situation géographique avantageuse à proximité des autoroutes et les axes ferroviaires avec notamment la présence de la gare TGV Haute-Picardie qui facilite l’accessibilité. Au-delà, l’agglomération propose un cadre de vie exceptionnel. Riche d’un patrimoine culturel et naturel unique, le Saint-Quentinois abrite une ville art-déco mondialement réputée qui n’est autre que Saint-Quentin. Il comprend également le Parc d’Isle, la plus grande réserve naturelle en milieu urbain drainant annuellement près de 500 000 visiteurs. Les nombreux équipements sportifs et de loisirs à l’instar de la BUL (Base urbaine de loisirs) ou encore le pôle mécanique la Clef des Champs illustrent entre autres cet environnement attractif.
Un « Territoire Robonumérique® d’Excellence »
« Nous avons une responsabilité, relever ce défi national qui est celui de l’innovation, de l’avenir et de l’emploi. » Telle est l’ambition exprimée par Xavier BERTRAND, Président de l’Agglo du Saint-Quentinois et Président du Conseil Régional Hauts-de-France. Pour ce faire, l'Agglo du Saint-Quentinois s’est engagée comme territoire-pilote de la Robonumérique® (contraction robotique + digital). La démarche initiée en 2012 a pour objectif d’intégrer dans un véritable écosystème cette notion englobant l’ensemble des innovations technologiques de rupture.
« Dans les écoles, des actions de sensibilisation permettant aux jeunes de découvrir ce domaine sont organisées. Idem dans l’enseignement supérieur où des formations, ateliers et animations sur ce thème sont mis en place pour éveiller les vocations dans les métiers du numérique et des nouvelles technologies », rapporte Jean-Pierre Ciesielski, directeur du Développement Économique de l’Agglo du Saint-Quentinois.
Des leaders mondiaux présents sur le territoire
Et si le territoire a développé une sensibilité autour de la Robonumérique®, c’est surtout qu’elle a la chance d’abriter de belles industries dont MBK Yamaha, L’Oréal, Le Creuset ou encore Nestlé.
Autant d’entreprises dynamiques que l’agglomération fédère autour d’évènements, de projets ou structures spécifiques : Club Robonumérique, Robonumériques Days, incubateurs et pépinières d’entreprise (Euratechnologie et Créatis)…
Au sein de la pépinière d’entreprises de l’espace Créatis, Euratechnologies avec son nouvel incubateur et accélérateur de startups sur 180 m², accueille les talents d’aujourd’hui et de demain afin de les accompagner dans leur démarche d’innovation.
Le territoire va encore plus loin dans sa démarche. « Nous ambitionnons d’organiser la Robonumérique® autour d’un cluster et ainsi de développer des entreprises et start-ups autour de ce thème », fait savoir Jean-Pierre Ciesielski.
L’on ne peut nier que l'économie, les activités, l’industrie, l’emploi et les métiers sont en totale mutation avec la révolution technologique, c'est pourquoi « dans le Saint-Quentinois, nous voulons faire de ces grands changements une opportunité », fait savoir Frédérique Macarez, Vice-président en charge de l’économie, de la stratégie robonumérique et smart territoire, et de l’enseignement supérieur. « Il faut que cela devienne une chance pour nos habitants et nos secteurs d’activité et que cela constitue des perspectives pour notre jeunesse », rajoute-t-elle. Force est de constater que le territoire n'y va pas de mains mortes dans la concrétisation de cette ambition puisqu'« une politique très volontariste est mise en pratique pour réussir la transition " robonumérique " dans une logique de gagnant-gagnant », souligne encore madame Macarez.
Une vision « Smart Territory »
« Pour renforcer l’attrait éco...
Depuis quelques années, la Nouvelle-Aquitaine s’est particulièrement intéressée au sort des start-up qui affluent ou se créent dans la région. Cet intérêt s’est notamment manifesté pour les aider à franchir la phase de scale-up (changement d’échelle arrivant généralement après 10 à 20 salariés). Lorsque la demande s’accélère, que l’activité prend de l’ampleur, les entrepreneurs doivent faire face à de multiples questions et problématiques d’ordre stratégique, humain, financier, juridique, ou technique auxquels ils ne sont pas toujours préparés.
Objectifs et missions
Up Grade Nouvelle-Aquitaine a pour mission d’accompagner les start-up à fort potentiel, en situation d’hypercroissance, ayant pour ambition de se développer à l’international. Pour ce faire, Up Grade NA se dote d’une équipe de conseillers très expérimentés appuyés par différents experts et chefs d’entreprises pour évaluer, conseiller et accompagner les entreprises sélectionnées pour le programme. « Dans cette phase de changement d’échelle, nous faisons en sorte que les entreprises ne tombent pas dans les pièges juridiques, stratégiques ou financiers, et qu’elles puissent définir les stratégies adéquates pour se déployer à grande échelle »,explique Perrine Laquèche, directrice d’Up Grade NA. C’est pourquoi les axes de travail sont orientés autour de trois dimensions majeures : les aspects marketing et commerciaux, la structuration de l’entreprise (talents et RH, qualité, production, juridique etc.), le pilotage et le financement des activités.
Un accompagnement en deux volets
Le programme d’accompagnement s’étend sur 12 mois. Pendant cette période, chaque dirigeant d’entreprise sera amené à échanger avec un start-up manager expérimenté qui se positionnera en tant que sparring-partner. Cet accompagnement individuel intensif va inciter l’entrepreneur à prendre du recul pour réfléchir sur ses réelles ambitions et effectuer un diagnostic sur la situation de son entreprise. Les rencontres entre les deux parties s’effectuent 3 à 4 fois par mois dans le but d’établir les programmes d’actions prioritaires basés sur les besoins de l’entreprise.« L’accompagnement récurrent et régulier permet de rompre notre solitude de créateur d’entreprise : partager nos préoccupations et questionnements, les difficultés, et croiser nos expériences avec d’autres entrepreneurs , explique Jean-François Létard, dirigeant d’OLIKROM, une des start-up accompagnée, de 14 salariés, dont 50% du business se fait à l’international.
L’accompagnement d’Up Grade NA inclut également des séances d’ateliers collectifs avec des experts et des échanges entre les dirigeants d’entreprise. « Une réunion collective s’effectue une fois par mois dans l’objectif de croiser les expériences et de favoriser les échanges entre entrepreneurs autour de thématiques clés. C’est une approche très opérationnelle et stratégique », fait savoir la directrice.
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Choisir de s’implanter à Rouen, c’est bénéficier de son environnement économique propice : sa position stratégique incomparable (à seulement 1h de Paris, au cœur de l’axe Seine, proche des capitales nord-européennes Londres - Bruxelles), son vivier de compétences et de savoir-faire, son industrie puissante où se concentrent les grandes filières et ses nombreux clusters (automobile, santé, aéronautique…).
Du portuaire à l’assurance
Au centre du 1er hub logistique portuaire français, Rouen est un port particulièrement spécialisé dans les marchandises diverses et l’agroalimentaire (1er port céréalier Ouest-Européen, trafic total - maritime et fluvial - de 24,5 Mt) ; s’y note aussi une activité forte dans le secteur de la chimie (1er port français pour la quotation des engrais).
Historiquement lié à l’activité portuaire, le secteur de l’assurance a connu un essor considérable à tel point qu’il est devenu un marqueur de la vie économique et tertiaire du territoire. Des acteurs majeurs comme la Matmut, AXA ou MAE sont des moteurs d’emplois et d’investissements immobiliers. Cet écosystème assurantiel a également servi d’élément déclencheur au déploiement de plateformes de relation client. « Ce sont les leaders de l’assurance à Rouen, notamment AXA, qui ont expérimenté en premier la relation client à distance », nous explique Dominique Lemoine, Responsable du Développement Tertiaire & Numérique au sein de Rouen Normandy Invest.
Ce secteur économique, en constante évolution, a mis l’accent sur la formation et les dispositifs de recrutement. Aujourd’hui, le territoire rouennais accueille 30 centres de relation client (SITEL France, Matmut, Voxens, CTRA Dalkia, …) représentant 3 000 emplois, dont 2 000 directement liés à l’implication de RNI.
Territoire d’industrie 4.0
Le territoire abrite des fleurons de l’industrie nationale et internationale dans les secteurs automobile (Renault, pôle de compétitivité Mov’éo), aéronautique (Thales), pharmacie (Aspen, Sanofi), agroalimentaire (Ferrero, Nutriset, Touflet, Cargill), chimie (Lubrizol)… Dans un contexte international concurrentiel, ces industries sont engagées dans la transformation digitale de leurs activités pour répondre aux grandes mutations techniques et environnementales. Le territoire fournit les ressources digitales permettant aux différents acteurs de l’industrie d’opérer cette transformation. Des écosystèmes inter-filières accompagnent ces mutations et confortent l’avenir pour accueillir de nouvelles industries sur le territoire. Les usines Renault et Schneider (labellisée « Usine du futur ») sont des exemples de cette industrie 4.0.
Territoire d’innovation
Le consortium associant Renault, Transdev, la Matmut et la Métropole Rouen Normandie témoigne de cet élan d’innovation. Ici, en 1ère européenne s’expérimente la mobilité autonome et partagée (Mobility as a Service) avec le transport à la demande via des véhicules électriques, sans intervention humaine, sur routes ouvertes. (https://www.rouennormandyautonomouslab.com/)
Côté numérique, Rouen Seine-Eure facilite son développement grâce à un réseau d’acteurs solidaires et réactifs, une gamme de lieux dédiés comme Seine Innopolis ou Le Hub/La Filature attirent aujourd’hui des startups installées à Paris (Qwant) et des pépites locales (Saagie, YesWe Hack, Paygreen…). « Le numérique enrichit notre tissu tertiaire. Et il prend part également à la transformation digitale de nos entreprises », rapporte toujours Dominique Lemoine.
Rouen, un des 1ers campus de France
ESIGELEC, INSA Rouen Normandie, CESI, NEOMA Business School, CNAM, ENSA Normandie, UniLaSalle, ERFPS sont, avec l’UFR, quelques-unes des grandes écoles qui forment les talents de demain. 44 000 étudiants, des laboratoires de pointe (CORIA, GPM, SGS Multilab…) constituent un véritable vivier de compétences et de savoir-faire sur mesure.
Des signatures immobilières
Avec un parc tertiaire de 1 100 000 m², Rouen poursuit son développement en matière de tertiaire supérieur : «...
« Situé au cœur de l’Axe Seine qui relie Le Havre à Paris, à 120 kilomètres de la mer, Rouen réalise un trafic maritime de 23,5 millions de tonnes par an et 5 millions de tonnes par an pour le trafic fluvial », aime rappeler Pascal Gabet, président du Directoire et directeur général de Haropa – Port de Rouen (Haropa est la structure qui rassemble les ports du Havre, Rouen et Paris). Entre cinq et six heures d’une navigation aussi technique que splendide sont nécessaires pour remonter le fleuve et ses méandres sillonnant la Normandie.
« Afin d'exploiter pleinement cette situation géographique exceptionnelle et nous positionner plus encore comme Hub logistique, nous avons mené d’importants travaux d’amélioration des accès maritimes entre 2012 et 2019 pour un coût de 200 millions d’euros. Désormais, des navires de grande capacité sont accueillis, pouvant dépasser les 11 mètres de tirant d’eau pour 290 mètres de long et 35 mètres de large ». Très concrètement, l’amélioration des accès maritimes permet au Port de Rouen d’accueillir des navires vraquiers de nouvelle génération, avec un tirant d’eau plus important dans des conditions de sécurité nautique optimales. Ce projet répond pleinement aux enjeux environnementaux en favorisant le développement du transport maritime.
Les différentes infrastructures portuaires sont par ailleurs directement connectées aux nœuds ferroviaires et routiers qui irriguent le territoire français et le nord de l’Europe. Leur multimodalité est bien entendu renforcée par le fait que la Seine assure une desserte fluviale performante des terminaux rouennais.
L’un des 1 ers viviers économiques de France desservi par 32 terminaux portuaires
Les quais du Port de Rouen fourmillent d’une activité alimentée par l’économie industrielle et agricole de son territoire étendu. « C’est l’un de nos 1ers atouts différenciant : nous sommes au plus près des zones de production et de consommation. Un port, c’est de l’import-export : cela veut dire que l’on fait venir de la marchandise pour la consommer (en 2019, 8,54 Millions de tonnes importées, essentiellement des vracs liquides), mais également que l’on exporte les productions locales (en 2019, 14,91 millions de tonnes exportées, dont 8,26 Millions de tonnes de céréales). L’intérêt d’un port maritime en fond d’estuaire, à l’intérieur des terres, est là : offrir une chaine logistique compétitive en réduisant le coût du premier (export) ou du dernier (import) kilomètre. Haropa – Port de Rouen, avec ses 32 terminaux portuaires répartis le long de la Seine, est au plus près de son hinterland et des activités économiques : terminaux de Honfleur, terminaux de Port Jérôme et de Radicatel, proches du complexe pétro-chimique d’ExxonMobil à Port Jérôme sur Seine, terminaux de Saint Wandrille et du Trait (utilisé par le groupe TechnipFMC) et bien entendu les terminaux situés sur le territoire de la Métropole Rouen Normandie.
Grenier à blé et Chocolate Valley
« Le point fort de Rouen, c’est le trafic de céréales. 50 % des céréales exportées françaises transitent ici, environ 7,5 millions de tonnes par an. Nous sommes idéalement situés près de deux zones de production céréalière très importantes : la Normandie et l’Île de France ». Cette production française de céréales navigue vers différents endroits de la planète, participant de l’approvisionnement alimentaire de ces pays : notamment les pays du Maghreb ou du Moyen-Orient. De façon complémentaire, la présence agro-industrielle locale est également très forte, avec la présence de grands noms. « Qui sait par exemple que nous sommes la Chocolate Valley ? » Chaque année 125 000 tonnes de fèves de cacao arrivent à Rouen et sont transformées par les deux leaders mondiaux dans la fabrication du chocolat : Cargill et Barry Callebaut. Les productions des usines normandes de Ferrero (unique site Europe pour le Nutella et Kinderbueno) transitent depuis Rouen vers le port de Gennevilliers.
3éme région...