La Junior Entreprise Hepia : un tremplin professionnel pour les étudiants qui en font partie
Sauf à ce que vous ayez passé les deux dernières années reclus sur une île déserte (et encore…), ça n’a pas pu vous échapper : les Junior-Entreprises ont le vent en poupe ! Implantées au sein de grandes écoles ou d’universités, ces associations à but non lucratif permettent à des étudiants de passer de la théorie de la pratique en intervenant auprès de « vrais » clients. Basée à Genève, en Suisse, la Junior Entreprise Hepia permet ainsi aux étudiants de l’école du même nom, spécialisée dans le paysage, l’ingénierie et l’architecture, de mettre un pied à l’étrier et de rentrer dans monde du travail en adoptant une posture professionnelle. « Parce qu’elle est calquée sur les filières de l’école, notre offre de compétences est très large » précise Maxime Chapellier, le président de la Junior Entreprise Hepia. « Nos consultants sont capables d’intervenir dans des domaines tels que l’agronomie, l’architecture du paysage, le génie mécanique, la micro-technique, l’architecture, l’informatique, la micro-technique et le génie civil. Et bien que la communication et le design ne fassent pas partie des matières enseignée à l’Hepia, certains de nos étudiants n’hésitent pas à faire valoir des compétences qu’ils ont acquises en dehors de l’école ». Parmi les mandats qui ont déjà été confiés à cette Junior-Entreprise figurent, par exemple, le développement d'un instrument biomédical permettant de mesurer les différents paramètres de l'oeil ou encore la conception d’un rasoir révolutionnaire. « Il s’agit d’un rasoir qui sera aussi efficace qu’un coupe-chou de barbier mais plus simple d’utilisation ».
La Junior-Entreprise, un système « gagnant-gagnant »
Le principal atout de la Junior Entreprise tient au fait qu’en permettant à ses membres de perfectionner leurs compétences, d’accumuler de l’expérience et d’enrichir leur réseau professionnel, elle optimise considérablement leurs chances de trouver un emploi correspondant à leur formation. Véritable incubateur de talents, la Junior-Entreprise Hepia n’échappe pas à la règle. Mais ses clients y trouvent eux aussi leur avantage. « Nous n’avons pas encore été formatés par le monde du travail. C’est pourquoi nous portons un regard neuf sur les problématiques qui nous sont soumises par nos clients » explique Maxime Chapellier. « Pour cette raison, les solutions que nous leur proposons sont résolument innovantes. Quant à nos tarifs, ils sont plus avantageux que ceux d’une entreprise lambda. En revanche, il peut arriver que nos délais de réalisation soient un peu plus longs. En effet, nos consultants étant des étudiants, lorsqu’ils réalisent des missions, c’est en marge de leurs cours ».
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Pour rappel, l’édition 2017 s’est déroulée à Brest au Quartz. Avec un bilan plus que positif : 95 entreprises et structures de formation participantes, plus de 1250 offres d’emploi proposées et environ 1700 visiteurs, témoignant de la notoriété grandissante de l’évènement auprès du grand public. Cette année le Salon Pro&Mer prend une nouvelle dimension avec plus de partenaires et d’exposants et un programme attractif. Embarquez-vous !
S’ouvrir et se professionnaliser
« Notre vocation est de faire connaitre nos entreprises et faire aimer nos métiers auprès du public » explique Anne-Marie Cuesta, déléguée générale de Bretagne Pôle Naval (BPN) pilote du salon. Bien plus qu’une rencontre entre les offres et les demandes d’emploi, le salon veut surtout promouvoir et dynamiser les métiers de la mer. Seront donc représentés les filières navales, énergies marines renouvelables, marines marchandes, oil and gas, rejointes en 2018 par la filière pêche et le nautisme. L’évènement tourne autour de trois pôles complémentaires : le rayon Industriel-Employeur, l’espace attractivité des métiers, et l’axe formation/organisme. Cette année, le Salon Pro&Mer est co-organisé par BPN avec ses partenaires de toujours à savoir La région Bretagne, La Touline, l’UIMM Bretagne, le GICAN, renforcés par de nouveaux partenaires investis pour lesquels l’emploi est une priorité : l’agglomération de Lorient, la CCI du Morbihan, Naval Group, le Nautisme, Lorient Grand large, la mission locale. « Pour la première fois, PRO&MER est un évènement phare de la semaine de l’emploi maritime en Bretagne et bénéficie ainsi du support majeur de Pôle Emploi Maritime » reprend notre interlocutrice pour souligner la nouvelle dimension de cette 5ème édition.
« Un parcours vers l’emploi »
Atypique, c’est bien le qualificatif qui distingue PRO&MER, car les visiteurs pourront voyager dans le temps et découvrir l’évolution de la filière « Mer ». PRO&MER, c’est également le futur et les métiers d’avenir à découvrir au moyen des toutes dernières technologies dont la réalité virtuelle augmentée. En outre, deux conférences organisées sous forme d’atelier vont aussi enrichir le programme en plaçant PRO&MER au cœur de l’Europe du Maritime avec la participation du Projet Consortex. Mais avant tout, le Salon Pro&Mer c’est l’accompagnement des personnes à la recherche d’un emploi, d’une formation, ou en reconversion professionnelle vers les métiers de la mer. Une offre unique « tout en 1 », atelier CV avec des responsables RH, des chefs d’entreprises et des formateurs, service de traduction de CV en langue anglaise, conseils d’orientation et job dating sont à disposition de ceux qui souhaitent rejoindre la grande famille de la filière maritime et navale. « Nous souhaitons déployer tous les moyens possibles pour attirer les talents, et ainsi concrétiser le projet professionnel d’hommes et de femmes passionnés pour renforcer nos entreprises » termine la déléguée générale de BPN.
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Un réseau wifi privé, sécurisé et accessible partout
Que ce soit pour faire fonctionner ses applications, regarder ses séries préférées sur son smartphone, son portable ou sa tablette tactile, lire et envoyer des e-mails, surfer sur le Web, ou encore communiquer sur les réseaux sociaux, avoir la garantie que l’on pourra se connecter à Internet sur son lieu de vacances est devenu une préoccupation essentielle lorsque l’on voyage. Force est pourtant de constater que trouver une connexion wifi peut se révéler un parcours semé d’embûches : bornes wifi en libre accès dont la sécurité laisse à désirer, qualité inégale du réseau… Et si les frais d’itinérance ont été supprimés au sein de l’Union européenne, dans le reste du monde, ils peuvent gonfler considérablement votre facture ! No stress, la solution à tous ces problèmes se présente sous la forme d’un petit boîtier. Travel Wifi, une start-up fondée en 2014 propose, en effet, à ses clients de louer – à partir de 3 € par jour – un modem XXL (il tient dans la poche) capable de capter la 4G environnante pour la convertir en un réseau wifi privé, totalement sécurisé et accessible dans 120 pays, 24 heures sur 24. Quasiment illimitée, la connexion peut même être partagée simultanément entre dix utilisateurs.
Une solution nomade, facile d’utilisation et modulable
Chacun voyageant différemment, c’est à vous d’opter pour l’offre la mieux adaptée à vos besoins. Lire et envoyer des e-mails consomment, par exemple, moins de data que de regarder des vidéos en streaming ou de télécharger des applications sur votre smartphone. Travel Wifi propose ainsi une enveloppe "data" allant de 500 Mb à 3 Gb par jour. Après avoir effectué votre réservation en ligne, vous pouvez récupérer votre box de poche directement chez Travel Wifi, dans le IIIe arrondissement, à Paris (même qu’ils vous offriront le café !). Mais vous avez également la possibilité de vous faire livrer (hôtels, locations de vacances, points "Information Tourisme" des aéroports parisiens, points de retrait, etc.). À l’expiration de la location, vous n’aurez qu’à retourner le boîtier en le plaçant dans l’enveloppe prépayée que l’on vous aura remise.
Une clientèle en pleine évolution
La majorité des clients de Travel Wifi sont des touristes (souvent américains ou asiatiques) qui passent leurs vacances en France. Pour autant, Léopold Goraguer, l’un des cofondateurs (aux côtés de Jonathan Justman, Benoît Marie et Vincent Rebus) constate que « de plus en plus d’Européens font désormais appel à leurs services et souscrivent l’offre ‘’monde’’ pour rester connectés lorsqu’ils voyagent hors des frontières de l’Union européenne ».
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Lancé il y a deux ans par Éric Galula Perez, le concept a depuis cartonné et rencontre aujourd’hui un succès incontestable auprès des particuliers, des entreprises, mais aussi des stars du showbiz. Que du beau monde !
Un style décalé mis au goût du jour
Ayant pris ses quartiers dans un endroit à la fois chic et discret, Loft Champs-Élysées dispose d’un espace de 85 m2 pour une capacité d’accueil d’environ 95 personnes. À l’intérieur, une association atypique entre style baroque et moderne attire d’emblée le regard. Une décoration inspirée de la fusion de deux époques. Plutôt plaisants, ces tableaux du XVIIe siècle au milieu des meubles design et contemporains ! De grandes baies vitrées pour laisser entrer plus de lumière, de petits espaces communicants non cloisonnés… on est bien dans l’esprit loft. L’espace dispose en plus de deux balcons pour jouir d’une vue imprenable sur la plus belle avenue du monde, un véritable must en son genre !
Le rendez-vous des stars
En seulement quelques années, Loft Champs-Élysées s’est taillé une très bonne réputation auprès des stars et autres personnalités en vue. Cet espace unique en son genre a déjà accueilli du beau monde. Acteurs, chanteurs, personnalités de la télévision ! Autant de célébrités qui sont passées par le loft Champs-Élysées. Très récemment, l’univers de la haute couture a investi les lieux. Ainsi le temps d’une soirée, des créateurs de mode ont pu disposer du loft à leur guise.
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Présent depuis 2006 dans le secteur fortement concurrentiel du déménagement, Djameldine Belgharbi ancien déménageur qui avait repris l'entreprise de son père, propose désormais une solution super économique pour déménager.
En créant le site https://Louez-demenagez.fr, un réseau de location de camion avec chauffeur, le gérant propose à ses clients une formule dans le but d’alléger le prix des déménagements.
Le concept de la location d’utilitaires avec conducteur apporte un gage de sureté et de qualité, puisque l'ensemble des transporteurs partenaires sont professionnels et exclusivement immatriculés en France.
Déménagement participatif ou transport à la carte, Louez-demenagez.fr donne la possibilité de réserver directement en ligne, selon quatre étapes : le calcul du trajet, le choix du véhicule, la sélection des options complémentaires et la validation dont découlera automatiquement un devis, payable sur le site sécurisé.
Une belle innovation dans ce domaine qui regorge de déménageurs souvent trop couteux.
Une offre innovante et adaptée
Les véhicules utilitaires, avec chauffeur, proposés par Louez-demenagez.fr ont une capacité de 3m3 à 110m3. Chaque camion est équipé d'un GPS, le carburant et les frais de route sont aussi inclus dans le prix tout comme l’assurance et le chauffeur.
Et si le client n'a pas de main d'oeuvre ou de matériel de déménagement, louez-demenagez.fr propose des options qui permettent, entre autres, de faire appel à un manutentionnaire, commander du matériel de protection et d’emballage (carton standard, carton livre, housse matelas, plateau à roulettes...) voire louer un monte-meuble.
Un réseau important sur toute la France
Le gérant du site louez-demenagez.fr, dont le siège social est situé à Créteil dans le Val de Marne à 12 kms de Paris, dispose d’un grand et solide réseau de partenaires professionnels comportant 84 entreprises immatriculées dans l’hexagone, proposant des tarifs faibles, présents dans chaque département de France.
Ainsi, les clients se trouvant en France desservent toutes les destinations françaises mais également la Belgique, la Hollande, l’Espagne, l'Italie et la Suisse.
Certains partenaires possédant des parcs de plus de 70 camions permettent de proposer les meilleurs prix pour déménager.
Le réseau de location de véhicules utilitaires avec conducteur est présent et opérationnel 7 jours sur 7, via son site hyper sécurisé ; https://louez-demenagez.fr.
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Promouvoir efficacement les vins spiritueux français hors de nos frontières
Cocorico ! À l’international, force est de constater que les vins et spiritueux français ont la cote ! Jugez plutôt, pour l’année 2017, ce sont plus de 2 milliards (2 388 000 000, pour être précis !) de bouteilles de vins et spiritueux français qui ont été exportées. De l’avis des professionnels du secteur, les 12,9 milliards d’euros que toutes ces ventes auront générés constitue un record « historique ». Et quelque chose nous dit que Business France qui organise régulièrement des dégustations professionnelles de vins et spiritueux français hors de nos frontières n’est pas étranger aux excellents résultats enregistrés par la filière viti-vinicole. Car voilà, lorsque l’on est un producteur ou un négociant en vins et spiritueux, il peut se révéler difficile de commercialiser efficacement sa production en Europe et au-delà : comment s’y prendre pour communiquer sur ses produits ? Qui contacter ? Autant d’obstacles à surmonter… Et c’est là que Business France intervient. En organisant régulièrement des dégustations professionnelles Tastin’France auprès d’acteurs locaux (distributeurs, cavistes, importateurs, restaurateurs, négociants, etc.) triés sur le volet, Business France permet, en effet, aux producteurs, agents et négociants français de faire connaître leurs vins et spiritueux dans les meilleures conditions qui soient. « L’idée, c’est vraiment de leur donner les moyens d’aller à la rencontre des professionnels locaux et d’aider nos producteurs, agents et négociants à répondre à leurs besoins en termes de développement à l’international » explique Fabienne Le Goc, Responsable du Pôle Rencontres BtoB - Service Vins et Spiritueux chez Business France.
Tout mettre en oeuvre pour déclencher les commandes à l’export
Pour faire découvrir les vins et spiritueux français et mettre en relation les producteurs et les négociants français avec les décideurs étrangers, Business France dispose de tout un arsenal. Tout d’abord, cette société dispose d’un solide savoir-faire. « Nous faisons profiter nos clients de notre expertise en leur fournissant des prestations de conseil pour améliorer leur démarche d’exportation » précise Fabienne Le Goc. Business France peut également s’appuyer sur son réseau : répartis dans 93 bureaux, 60 experts aident les producteurs et négociants français à exporter dans 73 pays du globe. Car sa parfaite connaissance des marchés locaux et de leurs spécificités constitue indéniablement l’un ses principaux atouts. De plus, la logistique que Business France est capable de déployer (organisation de dégustations ciblées, envois d’échantillons, organisation de voyages, rédaction de communiqués de presse, édition d’un catalogue de produits, réalisation d’études de marché, prêt de matériel de dégustation , etc.) pour accompagner les professionnels hexagonaux dans leur projet d’internationalisation participe clairement au succès de son action. Bref, autant de leviers que Business France ne manque pas d’actionner pour booster les commandes à l’export des acteurs du marché des vins et spiritueux qui font appel à leurs services. « Nous sommes un activateur d’affaires » indique Fabienne Le Goc. Pour l’année 2018, ce sont ainsi 57 dégustations qui ont été programmées : 19 d’entre elles auront pour cadre les principaux marchés européens (Belgique, Pays-Bas, Europe de l’Est, Scandinavie, etc. ). Et 38 porteront les couleurs de nos vins et spiritueux ailleurs dans le monde ! « En tout, cela représente une trentaine de ‘’tours’’ qui seront organisés dans plus de 50 pays ».
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Un cabinet de conseil en technologie à échelle étudiante
Les Junior-Entreprises ont le vent en poupe ! Implantées dans des établissements d’enseignement supérieur (écoles de commerce, d’ingénierie, etc.), ces associations permettent aux étudiants qui les rejoignent de mettre leurs connaissances en pratique. « Par le biais de notre Junior-Entreprise, les étudiants de l’Estaca (École Supérieure des Techniques Aéronautiques et de la Construction Automobile) peuvent répondre aux besoins des clients » explique Daniel Braïk, président de la Junior-Entreprise de l’établissement du même nom. « Ils interviennent principalement sur des problématiques d’ingénierie dans les domaines de compétences de l’Estaca que sont l’aéronautique, l’automobile, les transports ferroviaires et l’industrie spatiale. Mais à terme, nous envisageons de diversifier notre offre en proposant de l’information mais aussi du conseil ».
Une large palette de clients
Parmi les clients auxquels Junior Estaca fournit des solutions aussi novatrices qu’efficaces figurent essentiellement des grands groupes mais aussi des entrepreneurs. « Nous travaillons avec Airbus pour l’aéronautique, avec PSA et Jaguar, notamment, pour l’automobile et avec la SNCF pour tout ce qui touche au ferroviaire » précise Daniel Braïk. « Pour autant, notre clientèle compte de plus en plus de startupers qui souhaitent que nous les aidions à créer puis à développer des projets technologiques ». Si un nombre grandissant de clients font désormais appel aux Junior-Entreprises, en général, et à Junior Estaca, en particulier, c’est parce que ces structures ne manquent pas d’atouts.
Faire rimer flexibilité, qualité, créativité et réactivité
En choisissant de faire appel à ses services, les clients de Junior Estaca savent qu’ils pourront profiter de nombreux avantages. « Tout d’abord, nous faisons preuve d’une grande souplesse d’organisation » précise Daniel Braïk. « Nous pouvons faire intervenir des équipes d’étudiants sur des domaines variés et pour des durées flexibles. Nos missions durent généralement entre deux et dix mois. De plus, le fait que nous puissions nous appuyer sur le vivier de jeunes talents que forment les étudiants de l’Estaca nous permet de proposer des solutions à la fois innovantes et créatives ». L’aspect financier joue également en faveur de Junior-Estaca. En effet, s’agissant d’une association à but non lucratif, les tarifs pratiqués par les Junior-Entreprises sont généralement intéressants. « Notre statut associatif nous permet d’être économiquement compétitifs » indique Daniel Braïk. « C’est une combinaison de tout ça (créativité, flexibilité, compétitivité) qui fait que nos clients nous choisissent ». Enfin, parce que les Junior-Entreprises sont rigoureusement encadrées - au sein de la Confédération Nationale des Junior-Entreprises, notamment - et régulièrement contrôlées, les entreprises qui font appel à elles ont la garantie de bénéficier de prestations de qualité.
La Junior-Entreprise : un système « gagnant-gagnant »
S’ils choisissent de faire confiance à Junior Estaca pour les accompagner dans leurs projets, grands groupes, TPE/PME et startupers pourront bénéficier, nous l’avons vu, de tout un arsenal d’avantages comme des solutions innovantes, des tarifs attractifs, une organisation d’une grande souplesse, des prestations de qualité et une réactivité importante. Mais il est intéressant de souligner que les avantages sont également du côté des étudiants eux-mêmes. Car si les Junior-Entreprises sont des associations à but non lucratif, elles sont aussi à vocation pédagogique. En rejoignant Junior Estaca, un étudiant pourra ainsi profiter d’une passerelle vers la vie active. Il mettra en pratique ses connaissances, affinera ses compétences, en développera de nouvelles, valorisera son expérience et prendra contact avec de futurs clients/employeurs potentiels. Pour toutes ces rais...
Le coaching pour accompagner les dirigeants dans leur évolution
Coach certifiée ICF-PCC (Profesionnal Coach Certified), facilitatrice, formatrice mais aussi créatrice de modules de formation « sur mesure », Marina André-Khvatova, la fondatrice d’Alest, prodigue un accompagnement (individuel ou collectif) adapté aux besoins exprimés par ses clients. Dans le cadre de sa prestation de l’accompagnement humain personnalisé, elle intervient auprès de ses clients - des directeurs généraux, des directeurs des divisions et des services, des directeurs ressources humaines de groupes internationaux dans une large majorité - pour les aider à grandir et à construire ou à progresser dans leurs projets professionnels. « Je leur propose des outils personnalisés et leur permet de mieux se connaître » explique-t-elle. À ce titre, Marina André-Khvatova considère que son métier consiste aussi à « accompagner les dirigeants en ressources humaines ». Mais comme tout bon coach, Marina se garde bien de se substituer à ceux qu’elle accompagne. « Mon rôle auprès d’eux consiste à leur permettre de développer tout leur potentiel et de trouver en eux la force d’oser relever des défis qu’ils croyaient hors de leur portée ». À la façon d’une photographie argentique dont l’image va apparaître sous l’action d’un révélateur chimique, les talents de ses clients vont ainsi se faire jour grâce à l’intervention de Marina. « La relation coach-coaché doit s’inscrire dans la confiance et le respect mutuels » précise-t-elle. « Le succès du coaching repose en grande partie sur la qualité de cette relation ».
Le coaching interculturel pour tirer parti des différences culturelles et améliorer son leadership
Si Marina André-Khvatova propose des prestations de coaching « classique », elle a également mis en place une offre de coaching interculturel. « Qu’il s’agisse d’aider le coaché à appréhender des cultures différentes de la sienne ou encore d’accompagner une équipe multiculturelle, le coaching interculturel aura le plus souvent pour objectif de résoudre les éventuelles problématiques interculturelles. En effet, les habitudes et les méthodes de travail peuvent considérablement varier d’un pays à un autre. Sans faire de généralités, des Anglais ne travailleront pas de la même façon que des Français ou que des Américains. Ils fonctionneront différemment » explique Marina André-Khvatova. « Notre offre de coaching interculturel permet justement de mettre en place des stratégies pour gérer efficacement les différences culturelles inhérentes aux équipes internationales ». Si un manager français est amené à devoir encadrer des salariés anglais, allemands ou chinois, Marina André-Khvatova et ses équipes l’aideront à décrypter efficacement les comportements de ses collaborateurs et à tisser avec eux des liens professionnels solides. Pas question ici de tenter de gommer des différences culturelles mais plutôt de « les optimiser et de les harmoniser afin d’opérer un réel rapprochement ». S'il est sensibilisé à leurs cultures et connait leurs codes, un manager saura gérer ses équipes interculturelles sans craindre qu’un incident diplomatique - causé par un malentendu culturel - ne survienne. « Étant moi-même originaire de Russie - je suis arrivée en France il y a 25 ans -, être expatriée ne m’a pas empêchée de bâtir mon projet professionnel » précise Marina. « Mon vécu contribue d'ailleurs à rassurer mes clients. Étant franco-russe, je sais de quoi je parle. Ce qu’ils vivent, moi aussi, je l’ai vécu ».
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Fonctionnant sur le modèle des cabinets de conseil, les Junior-Entreprises permettent aux étudiants de réaliser des prestations rémunérées pour le compte de professionnels. Bien qu’ils soient largement polyvalents et peuvent mener des études transversales, ils n’agissent que dans le secteur d’activité qui leur est propre. Dans l’optique de dépasser cette limite, Physique-Chimie Avenir (PCA) et Dauphine Junior Conseil (DJC) ont décidé de travailler ensemble pour satisfaire le niveau d’exigence fixé par les entreprises.
Physique-Chimie Avenir (PCA), une Junior-Entreprise à haute valeur scientifique
Fondée en 1978, PCA est la Junior-Entreprise de l’École supérieure de physique et de chimie industrielles (ESPCI) de la ville de Paris. Véritablement portée sur le secteur de la recherche, la structure propose des études couvrant plus d’une trentaine de domaines d’expertise scientifique qui peuvent concerner la physique, la chimie et la biologie.
Grâce aux nombreux laboratoires hébergés par l’ESPCI qui opèrent dans des domaines variés ainsi que des équipements technologiques de pointe dont elle dispose, PCA réalise des études de haute qualité scientifique. Cette expertise est aujourd’hui reconnue, puisque la structure fait partie des 30 premières Junior-Entreprises françaises (2013-2017).
Dauphine Junior Conseil (DJC), spécialiste en conseil en stratégie, marketing et finance
Junior-Entreprise de l’université Paris-Dauphine, DJC a vu le jour en 1983. Leader dans son domaine, cette structure accompagne efficacement les entreprises en réalisant plus d’une trentaine d’études portant sur 6 domaines de compétences : marketing et stratégie, finance et création d’entreprise, systèmes d’information, communication, traduction technique et conseil en RSE.
Forte de ses 35 ans d’expérience, DJC a su gagner la confiance de grands groupes mondialement connus dans leur domaine. Par ailleurs, cette Junior-Entreprise s'inscrit aussi dans les 30 meilleures Junior-Entreprises de France.
Réunir deux Junior-Entreprises de grande renommée
PCA et DJC, deux structures qui excellent chacune dans leur domaine respectif, vont désormais pouvoir travailler ensemble sur des sujets qui peuvent les concerner tous les deux. Cette coopération va permettre aux deux entités de proposer des études plus complètes, couvrant différents aspects aussi bien du point de vue économique qu’en ingénierie.
Un projet de création d’une startup constitue l’exemple parfait pour illustrer cette complémentarité. PCA apporte son savoir-faire dans l’exécution du prototypage technologique tandis que DJC se charge de l’aspect économique à travers la réalisation d’un business plan, du positionnement du produit, etc.
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Aider le coaché à mobiliser des ressources sous-exploitées
Contrairement à la formation ou encore au conseil, le coaching implique que le professionnel s’abstienne de proposer des réponses à son client pour l’aider à résoudre son problème ou à atteindre un objectif. Et pour cause, un bon coach ne doit en aucun cas se substituer à la personne qu’il accompagne. Comme le précise le fondateur d’Intelligence Coaching, « dans le cadre d’une prestation de coaching, je pars systématiquement du principe que c'est le coaché qui sait ce qu'il faut faire et non le coach. Mon rôle, c’est de tout mettre en œuvre pour que cette personne (re)devienne autonome. Qu’elle puise en elle-même les ressources dont elle croyait manquer et qu’elle les développe. Un coach n’est pas là pour conseiller, orienter ni même influencer son client mais pour faire en sorte que celui-ci trouve ses propres solutions ». À la question de savoir quelle serait la finalité du coaching, l'équipe d'Intelligence Coaching répond qu’il s’agit d’une démarche visant à « révéler chez quelqu’un des talents et des capacités. Que ceux-ci aient été oubliés, que le coaché les ait sous-exploités ou encore qu’ils aient fait leur apparition ». Un (bon) coach ne serait donc non ni plus ni moins qu’un révélateur. Et il agirait sur son client à la façon d’un produit contrastant, cette substance utilisée en imagerie médicale et qui, une fois administrée au patient, permet de visualiser une structure organique qu’en temps normal, on ne saurait distinguer des tissus voisins…
Un coaching de qualité pour se démarquer dans un contexte très concurrentiel
« Le coaching ne s’improvise pas. Il est essentiel de se former et d’adopter une posture professionnelle ». Pour marquer sa différence avec les autres coachs (« c’est devenu une véritable jungle où tout le monde s’auto-proclame coach »), l'équipe d'Intelligence Coaching a choisi de miser sur la qualité et l'excellence. « Nous nous positionnons sur une très haute qualité d’accompagnement. C’est un réel engagement que nous prenons envers nos clients, celui de les accompagner de la meilleure manière qui soit. Et de les amener à atteindre leurs objectifs. Pour un manager, cela pourra consister à surmonter les conflits qu’il pourrait éventuellement rencontrer ou à mieux encadrer ses équipes. Nos collaborateurs sont qualifiés au plus haut niveau de compétence. Nous nous appuyons sur une formation et une expérience solides. De plus, nous obéissons à des règles déontologiques strictes ». En effet, un coach compétent se doit d’être attentif aux techniques qu’il utilise. « Notre job, c’est de faire prendre conscience à nos clients de certaines choses qu’ils pourraient refuser de voir. De leur dire des vérités parfois "chocs" mais qui les feront avancer ». Toute nécessaire qu’elle soit, la bienveillance dont le coach doit faire preuve ne doit donc pas virer à la complaisance. Une autre spécificité d’Intelligence Coaching consiste à proposer un coaching spécialement adapté aux personnes qui préparent concours, examens et autres entretiens. Au menu de cette préparation spécifique, des techniques permettant de gérer son stress et de rester motivé(e) tout au long des révisions, des exercices de prise de parole en public, des mises en situation et des simulations.
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Des résultats (plus que) prometteurs !
Implantée au sein du Pôle Léonard DeVinci, DeVinci Junior se compose à 100 % d’étudiants issus de l’École d’Ingénieurs (ESILV), de l’École de Management (EMLV) et de l’Institut de l’Internet et du Multimédia (IIM). Depuis son lancement, il y a deux ans, cette Junior qui compte parmi ses clients aussi bien des grand groupes que des PME et des start-ups, contribue à la réussite des nombreux projets qui lui sont confiés. « En 2017, DeVinci Junior a réalisé un chiffre d'affaires chiffre d’affaires qui luiu permet de se hisser parmi la tranche haute des chiffres d'affaires engendrés en unior-Entreprises » explique Nathan Gouët. « Et depuis le début de l’année, nous avons d’ores et déjà franchi le cap des 60 000 € de chiffre d’affaires signé ». Bref, vous l’aurez compris, le succès est au rendez-vous. Mais si les fées se sont clairement penchées sur le berceau de DeVinci Junior, ces Junior-Entrepreneurs « made in DeVinci » ne doivent leur réussite qu’à leurs idées (résolument créatives et novatrices), à leur esprit d’équipe (pour gagner, ils jouent « collectif ») et à l’enthousiasme dont ils font preuve.
Associer la théorie et la pratique, une plus-value appréciable
Parce qu’elles donnent l’occasion à des étudiants de mettre en application l’enseignement qu’ils ont reçu et de développer leur potentiel, les Juniors-Entreprises constituent un excellent moyen d’acquérir une expérience professionnelle dans son domaine de compétences. « C’est d’ailleurs dans cette optique qu’on été créées les toutes premières Juniors-Entreprises. L’idée, c’est d’apporter la pratique à des étudiants qui, jusque-là, devaient se contenter de la théorie. De les professionnaliser » précise Nathan Gouët. « Une fois que l’on est un ‘’Junior-Entrepreneur’’, on n’est plus seulement un étudiant. On rentre véritablement dans le monde du travail ». Et pour cause, ce sont les Junior-Entrepreneurs qui gèrent, de A à Z, les projets qu’ils décrochent. Les Junior-Entreprises auraient ainsi sur les étudiants qui ont la chance d’en faire partie, l’effet d’un accélérateur de maturation professionnelle.
L’innovation et l’adaptabilité comme maîtres-mots
DeVinci Junior ne manque pas d’atouts pour attirer de nouveaux clients. En effet, la structure même de DeVinci Junior lui garantit une grande réactivité. Il lui est, par exemple, possible de mobiliser rapidement de nombreux intervenants et de les faire travailler de manière transversale. « Nous disposons d’un riche vivier de talents et de compétences (ingénierie, design digital, business, marketing, commerce, finance, nouvelles énergies, etc.) dans lequel puiser » indique Nathan Gouët. « Les quelque 4 600 étudiants du pôle DeVinci sont autant de consultants potentiels ». Enfin, le fait que les étudiants soient « à la pointe des toutes dernières tendances » et proposent à leurs clients « des solutions résolument innovantes » finit de compenser - largement - les heures de vol dont certains esprits chagrins pourraient reprocher aux Junior-Entrepreneurs de manquer…
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La souplesse d’une association combinée à l’efficacité professionnelle
En intégrant la Junior-Entreprise Dièse à son cursus, l’ENSIIE permet à ses élèves de réaliser missions, études et autres projets mettant en oeuvre les connaissances qu’ils auront acquises au cours de leur scolarité. « Nos clients nous sollicitent le plus souvent pour du développement web, de la création de logiciels, de la production de supports multimédia ainsi que du conseil informatique et digital. Ces derniers temps, la plupart de nos missions consistent à créer des sites web, notamment des boutiques en ligne ou encore des applications web » explique Noah Delophont, membre du pôle communication de la Junior-Entreprise Dièse. « Notre souplesse d’intervention ainsi que le vivier de talents dans lequel nous pouvons puiser constituent indéniablement deux de nos atouts. Et parce que nous nous adaptons rapidement aux besoins de nos clients, nous sommes capables de leur proposer un accompagnement qui soit véritablement ‘sur-mesure’. C’est pourquoi nous intervenons aussi bien auprès de start-ups que de TPE/PME ou encore de grands groupes comme GRDF. Et le fait que notre génération ait grandi dans un univers digital nous permet de proposer à nos clients des solutions innovantes auxquelles ils n’auraient pas forcément songé ». Si l’on devait décrypter l’ADN de la Junior-Entreprise Dièse, nul doute que l’innovation et l’enthousiasme y figureraient en bonnes places.
Une réelle plus-value pédagogique
Par le biais des missions qu’ils réalisent auprès de leurs clients, les membres de la Junior-Entreprise Dièse ont non seulement l’opportunité de mettre en pratique ce qu’ils ont appris mais aussi d’acquérir et de développer de nouvelles compétences. Autant de critères que ne manqueront pas de valoriser les recruteurs. « Pour certains élèves, ce sera la première fois qu’ils conduiront une véritable mission de A à Z et devront respecter des délais, tenir un budget, surmonter des contraintes techniques, etc. » précise Noah Delophont. « Mais nous ne sommes pas livrés à nous-même pour autant. Des filets de sécurité sont prévus. En cas de problème, nous pouvons demander conseil à nos professeurs, aux élèves-ingénieurs de dernière année ou encore aux anciens élèves. Parce que nous disposons de tout un réseau sur lequel nous appuyer, en cas de besoin, c’est d’une immersion progressive et en douceur dans le monde du travail dont Dièse nous permet de profiter ». En plus de les auditer annuellement afin de s’assurer qu’elles respectent bien la loi et ne mettent pas en danger le mouvement, la Confédération Nationale Junior-Entreprises (CNJE) propose d’ailleurs régulièrement des formations aux Junior-Entreprises.
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Julien Favre, porteur du projet, est parti du constat que trouver une formule d’assurance pour sa maison, sa voiture ou son voyage relève d’une démarche complexe et fastidieuse. Il a su exploiter efficacement l’émergence des leviers numériques pour centraliser et trier toutes les solutions d’assurance et les mettre à disposition des internautes. Optimiser la recherche d’un service d’assurance en la réduisant à quelques clics est ainsi au cœur de l’innovation d’Assur.com.
Un concept à dimension technologique
« Notre technologie permet d’accompagner les internautes dans leur recherche d’assurance qui convient le mieux à leurs besoins » introduit Mona Saidi, marketing manager du projet. Cette technologie prend forme via un moteur de recherche interne, une interface intuitive et un système de QCM simple. Derrière, un algorithme performant identifie, sélectionne et centralise toutes les réponses qui correspondent au mot-clé parmi les produits référencés sur la plateforme. Ceux-ci sont regroupés par catégorie : santé, habitation, voyage, véhicule, prévoyance, assurance professionnelle et divers pour les demandes plus spécifiques. Contrairement aux autres portails, Assur.com oriente sa démarche vers une approche centrée client en proposant un service beaucoup plus instantané, simplifié et impartial. En effet, la recherche ne requiert ni remplissage de formulaires ni données personnelles et les résultats affichés redirigent directement vers le site de l’assureur sans qu’il y ait transaction directe sur la plateforme. « Le service est résolument à caractère informatif que commercial, nous ne souhaitons pas influencer la décision d’achat des utilisateurs » précise l’équipe.
Améliorer l’expérience client
Le site est conçu de façon à donner un confort de navigation optimale : user-friendly, fluide et sans intrusion. Sur ce même principe, les assureurs sont encouragés à proposer un site web attractif et ergonomique qui offre la possibilité d’une souscription online en quelques secondes. Dans son axe de développement, Assur.com cherche à affiner son algorithme, de sorte qu’il devienne une technologie autonome, capable de prendre en charge automatiquement les mises à jour. Pour cela, Julien Favre et son équipe envisagent d’intégrer d’autres framework d’intelligence artificielle comme Scrapping ou Semantic Analysis. En parallèle, ils travaillent également sur de nouveaux partenariats afin de couvrir tous les segments d’assurance sur le marché français. À plus long terme, le projet aspire à percer le marché européen et américain.
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« La société a été créée sur la base de plusieurs années d’observation sur le terrain lors de mes différents voyages à travers les nombreux pays d’Afrique », nous raconte Dieudonné Okalas Ossami, le fondateur du projet. Il a constaté que les petits producteurs installés dans des zones éloignées n’ont pas accès à des informations pertinentes sur la meilleure façon de conduire leur plantation. Ou encore, que les rares informations qu’ils obtiennent ne sont pas du tout adaptées aux conditions agro-environnementales et climatiques propres à leur région. Ainsi, Dieudonné Okalas Ossami a combiné son expérience avec les expertises de ses partenaires industriels pour développer de nouvelles solutions, entièrement axées sur la réalité du terrain et les besoins particuliers de chaque producteur.
L’efficience informationnelle pour une meilleure production
La plate-forme est un outil performant d’aide à la décision au service de l’agriculture et à destination de tous les acteurs agricoles. « Notre objectif est d’améliorer les rendements des producteurs, tant au niveau qualitatif que quantitatif, et les aider à agir de façon intelligente. » Pour arriver à ce résultat, un algorithme avancé génère des informations pertinentes et opportunes, à partir de données de sources multiples (télédétection, pratiques paysannes, saisies et des capteurs terrains, etc.), sur l’état de chaque parcelle. Ces paramètres enregistrés sont automatiquement analysés et traités afin de pouvoir simuler le développement des cultures, calculer les indicateurs de stress (eau, nutriments.) et prédire les rendements. À partir de ces prévisions, l’agriculteur peut ajuster son objectif de rendement tout en bénéficiant d’une série de conseils agronomiques personnalisés que recommande la plate-forme. « Le producteur peut alors maîtriser et raisonner l’apport d’engrais, d’eau et d’autres intrants de la manière la plus optimisée possible. » E-tumba, sacrée Jeune Entreprise innovante, veut aider les agriculteurs à mieux comprendre leur terrain en leur fournissant les bonnes informations au bon moment.
Multifonctionnalités
La start-up, lauréate du concours Challenge Africa 2017, a développé sa solution de manière à ce qu’elle puisse offrir le maximum de services, même depuis un simple téléphone sans connexion Internet. En mode offline, le technicien utilisateur conserve toutes les fonctionnalités essentielles pour accompagner les producteurs sur le terrain à l’absence d’une connexion internet, grâce à des mécanismes de synchronisation transparents entre l’application tablette cliente et la Plateforme SaaS. Les producteurs, continuent de recevoir des informations et des conseils personnalisés, grâce à une banque de modèles intégrés dans la Plate-forme qui offre une disponibilité de service 24h/24, 7j/7. En mode online, son interface simple et ergonomique assure une navigation optimale sur tout support : tablette, PC ou smartphone. Les capteurs terrains intégrés à l’application génèrent des données en temps réel et peuvent être couplés à la fonctionnalité cloud, en fonction de la performance de la connectivité. En outre, cette solution multiservice se pare aussi d’un dashboard modulable pour gérer le calendrier cultural, les statistiques et les itinéraires techniques. « C’est vraiment un outil de pilotage et d’aide à la décision efficace qui permet aux producteurs et aux industriels d’affiner leur pratique et leur stratégie en suivant les indicateurs et l’accompagnement sur mesure déployés par la plate-forme. »
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Création de salles, formation des maitres du jeu, accompagnement en communication… The Great Escape Game Location fournit un service complet à destination des professionnels qui souhaitent se lancer sans risques sur le marché très prometteur de l’escape game.
Des expériences de jeu différentes
Basé à Montpellier, The Great Escape Game a ouvert ses portes en 2006 à l’initiative d’Hélène Henry et de sa sœur Marie. « Nous avons commencé avec deux salles et nous avons récemment ouvert la quatrième », déclare Hélène Henry pour expliquer le plein essor de son activité. Depuis la création de leur espace game, les deux sœurs ont fait en sorte que les offres proposées puissent convenir à un large public et notamment les familles.
Pari réussi. Grâce à des scénarios bien ficelés et des décors réalistes, The Great Escape Game a vite acquis une notoriété auprès d’un public varié. Les quatre salles de jeu (the Ring, l’Abattoir, le Cachot et les Recrues) proposent des expériences différentes. Dans chacune d’elles, les joueurs y trouvent leur bonheur, qu’ils soient amateurs ou aguerris, parents ou enfants ou bien encore salariés d’entreprise. Sur ce point, notre interlocutrice précise : « Une de nos spécificités est que nous disposons d’un format inédit de 2 ou 3 joueurs dans la salle “le cachot”. Mais comme nous avons quatre salles, on peut aussi recevoir jusqu’à une vingtaine de personnes pour des team-building. »
Un concept unique dédié aux professionnels
Aujourd’hui, monter une salle d’escape game peut s’avérer très couteux en termes de temps mais aussi d’argent. The Great Escape Game Location est actuellement la seule structure qui propose des locations de salles d’escape game dédiées aux professionnels.
Véritable pionnier en la matière, The Great Escape Game Location propose des services clé en main incluant la création d’un scénario adapté, la mise en place de la salle et de toutes les installations (ambiance sonore, décoration, énigmes, etc.), la formation complète des maitres du jeu, la gestion du stock des consommables et l’accompagnement en communication.
« Pour les professionnels, nous allons jusqu’à mettre en place leur site Internet, en leur proposant notre expérience en graphisme à travers des visuels et des textes accrocheurs pour mieux promouvoir leurs activités », souligne la cofondatrice. Grâce à cette offre innovante, les professionnels peuvent être rassurés sur la rentabilité de leur escape game. D’autant plus que les salles ont été testées et approuvées plusieurs fois au préalable.
Deuxième avantage, la formule peut s’adapter à toutes sortes d’activités. « Un hôtel peut, par exemple, ouvrir une salle d’escape game. Ce sera un service complémentaire pour sa clientèle », suggère Hélène Henry. « Cela peut concerner également des stations de ski, des clubs de vacances, des centres commerciaux et même des municipalités. »
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Créé en 2016 par cinq collègues de promotion décidés à se lancer dans l’aventure entrepreneuriale, Ergo Motri Santé (EMS) est un cabinet implanté dans le Centre-Val de Loire qui déploie son expertise pluridisciplinaire sur tout le territoire français.
Dès l’année de sa création, EMS a été sacré « jeune entreprise exemplaire » lors du concours lancé par la Jeune Chambre économique d’Orléans puis, en 2017, EMS remporte le concours Talent BGE Centre Val de Loire catégorie Services. Depuis, EMS trace sa route en s’appuyant sur des partenaires de confiance, à l’instar de Nekoé, d’Harmonie Mutuelle, d’Activa Formation ou encore du CRESITT Industrie.
Mesurer l’enjeu de l’ergonomie
Le cœur de métier d’EMS s’articule autour de l’optimisation du bien-être, de la santé et de la qualité de vie au travail. Ainsi, l’équipe intervient dans plusieurs champs d’applications, à savoir l’évaluation et la prévention des risques professionnels, l’accompagnement des personnes en situation de handicap, la formation et la sensibilisation, la conception et l’aménagement de postes de travail ou encore l’ergonomie de conception avec l’expérience utilisateur (UX).
« Réduire l’ergonomie à une norme ou à un standard est illogique parce que chaque individu, chaque structure, perçoit différemment ses besoins. Dans notre métier, il n’existe pas de solution toute faite », souligne Benoit Corret, ergonome au sein d’Ergo Motri Santé. Les prestations étant réalisées sur mesure, le cabinet peut s’adresser à différents types de structures : grands groupes, organismes du secteur public, entreprises à taille humaine...
À la suite d’une demande d’intervention, l’ergonome va d’abord s’imprégner du contexte et du fonctionnement de son lieu d’intervention à partir des documents, des observations in situ et des entretiens qu’il effectue avec les hommes et femmes concernés par la problématique de l’entreprise. Puis, dans le cadre d’une EValuation des Risques Professionnels (EVRP) par exemple, l’objectif sera de proposer des préconisations pour réduire les risques de développement de maladies professionnelles ou d’accidents du travail. En appliquant une approche située, l’ergonome va pouvoir saisir le décalage entre la manière dont une personne est chargée de réaliser une tâche et la manière dont elle l’accomplit. « Nous allons justement fonder notre étude sur cette action réelle, sur ce qui se passe vraiment, car elle met en lumière la véritable problématique dans l’entreprise », explique Yves Denis, ergonome.
Ensemble, investir dans une meilleure performance
EMS mise sur une démarche participative en mobilisant toutes les personnes concernées par le changement. Cette notion de co-construction permet aux salariés de se sentir impliqués dans le processus, tout en favorisant la cohésion sociale dans l’organisation et en intégrant les contraintes des fonctions supports (maintenance, qualité…).
Entretiens individuels ou groupes de réflexion font partie des techniques participatives déployées par le cabinet. « Ensuite, notre rôle sera de traiter toutes ces informations et d’essayer de trouver la cohérence avec les objectifs stratégiques de la structure en termes d’investissement et de productivité », soutient Xavier Prieur, ergonome.
L’ergonomie collaborative est également une façon de pérenniser le changement grâce à un apprentissage mutuel pendant l’accompagnement. En effet, chaque intervention réalisée vise à offrir aux différents acteurs l’autonomie nécessaire pour qu’ils puissent prendre leurs propres décisions en ergonomie et être responsables de leur santé au travail. « Nous avons notre expertise et notre propre méthodologie pour recueillir et traiter les données, mais finalement, souvent, ce sont eux qui détiennent la solution. »
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Ce choix leur permet de sélectionner des associés qui ont envie d’investir leur épargne dans des projets viticoles collaboratifs et solidaires.
Les associés sont pour la grande majorité des amateurs de vin, sensibles aux valeurs de partage, de plaisir, et qui souhaitent préserver la terre et la diversité de ses terroirs.
Devenir associé sur un vignoble Terra Hominis, c’est pouvoir participer pleinement à la vie du vignoble. C’est également faire partie de clubs dédiés qui permettent de profiter d’événements gourmands et conviviaux : dégustation privée, séjours épicuriens, balade en mer…
Laissez-vous tenter par cette aventure humaine unique où partage, transmission, entraide et respect sont les valeurs essentielles.
4 questions à Ludovic Aventin, fondateur de Terra Hominis
Pourquoi avoir créé Terra Hominis ?
Cette activité innovante part de plusieurs constats :
- Une génération importante de jeunes vignerons sont formés,
- Les deux tiers des vignerons ont plus de 55 ans, et ne souhaitent pas céder leur vignoble à de grosses structures viticoles,
- Les jeunes qui souhaitent s’installer en viticulture ne sont pas soutenus par les banques,
- Et enfin, la période est morose, les Français disposent d’épargne et cherchent à lui donner du sens. Terra Hominis a donc été créé pour faire le lien entre la Terre et les Hommes. Et ainsi permettre la préservation de nos terroirs et du savoir-faire viticole. Nous avons déjà racheté 16 domaines représentant 90 hectares de vignes, détenus par plus de 1600 associés.
En quoi cela n’est-il pas du simple crowdfunding ?
Le but des actionnaires n’est pas de faire fortune. D’ailleurs, on parle d’associés plutôt que d’actionnaires anonymes ; nous tissons vraiment ensemble des relations humaines fortes, notamment par le biais de nos différents clubs, et ce système de financement participatif permet de sélectionner nos associés, pour qu’ils partagent vraiment nos valeurs. Le domaine qu’ils possèdent en copropriété est mis en fermage auprès d’un jeune vigneron qui n’aurait pas eu les moyens d‘acheter ses vignes pour exprimer tout son talent. Nous permettons donc à la fois à de jeunes vignerons de s’installer et à des passionnés de vin d’avoir un bout de vigne et des bouteilles pour ancrer leur passion.
Qu’est-ce-qui rassemble l’ensemble de vos associés ?
L’objet de la participation repose avant tout dans le soutien aux vignerons et dans la préservation de notre terroir et de notre patrimoine culturel. Le loyer perçu en vin n’est pas et ne doit pas être l’élément fondateur de la motivation mais la conséquence.
Tisser des relations humaines entre vignerons et associés et entre associés, est pour nous essentiel pour apporter une âme à nos vignobles.
Tout le monde y gagne. L’associé s’initie à la vie du vin et du domaine ; et le vigneron, en créant des liens profonds avec les associés, trouve en eux de fabuleux ambassadeurs.
Comment s'articule le montage ?
L’achat d’un domaine coûte plusieurs centaines de milliers d’euros. Pour Mas Angel, le premier domaine, les 6.4 hectares ont été divisés en parts de 1 300 €, propriété d’une centaine d’associés. Le rendement de ces parts est de 4.5 % par an et il est payé en bouteilles de vin. Les cuvées du Mas Angel varient entre 11 à 32 € en prix public mais les associés les payent, à tarif privilégié (40% de remise), ce qui rend très attractif le principe. Du coup, une bonne partie de la production leur est vendue à eux et leurs relations, avant même la mise en bouteilles du vin. De plus, les associés peuvent commander les vins de l’ensemble des vignobles Terra Hominis à tarif préférentiel (entre 15 à 40% de remise en fonction des cuvées et des vignobles). Et je rappelle que c’est un placement sécurisé puisque le vigneron a seul la responsabilité financière et juridique de l'exploitation. Il est donc seul à en assumer les risques liés aux investissements de l’exploitation.
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Le sang, la vie. Les règles constituent pourtant un véritable calvaire pour de nombreuses femmes. En plus de subir cet écoulement sanguin mensuel, elles doivent mobiliser un budget important pour se procurer des protections périodiques.
On parle de plus en plus de « précarité menstruelle ». C'est le fait de ne pas toujours avoir les moyens d'acheter des protections périodiques. On savait que c'était un problèmes dans les pays en développement, mais de plus en plus de femmes en Europe se trouvent dans cette situation. Elles sont alors obligées d’arrêter momentanément leurs activités le temps que cessent leurs règles. Un phénomène préjudiciable au développement économique puisque des études font état de jeunes filles qui manqueraient jusqu'à 20% de leur scolarité à cause de leurs règles, et la plupart du temps, ne pouvant pas se permettre de se procurer des protections trop coûteuses. Mais ce n’est pas tout. Les serviettes hygiéniques jetables sont sources de pollution car elles ne sont ni recyclables ni biodégradables.
En lançant BeautyWaps, la société A Global Vision entend apporter des solutions à toutes ces problématiques.
Une solution de protection pratique et écolo
Les serviettes hygiéniques BeautyWaps sont nées d’une vraie réflexion sur la manière de faciliter la vie des femmes durant leurs règles, sans que cela ait des impacts sur leur santé, sur leur portefeuille et sur l’écologie. Leur histoire est étroitement liée à celle d’une femme entrepreneure, également écologiste dans l’âme.
Pour Marie Aichagui, fondatrice et CEO de l’entreprise A Global Vision, les déchets qu’elle-même générait chaque mois au moment de ses règles la peinaient. Elle a donc eu l’idée de créer ces protections féminines lavables et réutilisables jusqu’à 200 fois. « Leur utilisation permet de réduire les déchets jusqu’à 99 % ! Un gain énorme en termes de protection de l’environnement », déclare-t-elle d’emblée.
Disponibles en plusieurs tailles adaptées à chaque type de flux (small, medium, large, super), ces serviettes sont nées d’un concept suédois performant, tout en relevant d’un esprit couture parisien. Elles sont élaborées selon une conception unique de textiles certifiés OekoTex (label international garantissant les qualités dermatologiques et écologiques des tissus).
Côté peau, du coton absorbant et de la laine polaire, des tissus respectueux du corps, à la fois étanches et respirants, sont assemblés en strates pour une protection optimale. « Après l’accouchement de mes jumelles, mes BeautyWaps m’ont permis d'avoir des protections sûres et douces pour mes suites de couche », témoigne notre interlocutrice pour illustrer la performance de son produit. Côté lingerie, des tissus tendances antidérapants, disponibles en des motifs modernes et originaux, sont ajoutés.
Par ailleurs, le système de bouton pression et les coutures structurantes permettent de rassurer les femmes actives. Après usage, il suffit de refermer la serviette et de la ranger jusqu'à la prochaine lessive, et cela sans qu'elle émette des odeurs.
Empêchant l’apparition d’affection dermatologique, les BeautyWaps sont exempts de parfum, de chlore et autres produits chimiques. Un argument de taille quand on connait les derniers scandales sanitaires autour des protections périodiques, dont certaines ont révélé la présence de pesticides. « BeautyWaps est en effet une alternative saine et sûre pour les femmes qui cherchent plus de bien-être pendant leurs règles », conclut la fondatrice Marie Aichagui.
Un fort engagement social
Outre l’aspect sanitaire, les règles peuvent avoir un impact social néfaste, notamment dans les pays en voie de développement. Marie Aichagui s’en est rendu compte au moment d’un voyage au Kenya. Les jeunes filles rataient systématiquement l’école durant leurs menstruations, faute de disposer de protections adaptées. Leurs prix étant élevés, jusqu’à 60 % des Kenyanes ne peuvent se permettre l’achat de serviettes.
Bouleversée...
La formation par l'apprentissage constitue une voie d'accès à la qualification encore peu répandue dans le secteur sanitaire. Elle répond pourtant à un problème de précarité grandissante des stagiaires et étudiants, tout en contribuant à la fidélisation du personnel dans les établissements de santé. C'est une voie d'excellence ouverte à toutes et à tous jusqu'à l'âge de 29 ans révolus, sans limite d'âge pour les personnes reconnues travailleurs handicapés.
Aide-soignante : rôles et missions
L'aide-soignant(e) intervient en milieu hospitalier ou extra-hospitalier, le plus souvent dans une équipe pluri-professionnelle, sous la responsabilité de l'infirmier(ère), en réalisant des soins préventifs, curatifs ou palliatifs. Son rôle s'inscrit dans une approche globale de la personne soignée et prend en compte la dimension relationnelle des soins, qui ont pour objet de promouvoir, protéger, maintenir et restaurer la santé des personnes, dans le respect de leurs droits et de leur dignité.
Devenir Aide-soignant(e) par l'apprentissage
Pour suivre les études conduisant au diplôme d'État d'aide-soignant (DEAS, niveau V), les candidats doivent être âgés au moins de 17 ans au moment de leur entrée en formation, et réussir des épreuves d'admission écrites (avec possibilité de dispense) et orales. La signature d'un contrat d'apprentissage nécessite d'être recruté par un établissement du secteur sanitaire, au sein duquel s'effectuera la formation pratique. Le CFA SMS accompagne les candidat(e)s à réfléchir sur leur projet professionnel, à prospecter pour trouver un employeur et finaliser un contrat d'apprentissage. La durée de la formation est de 16 mois, partagée entre 595 heures à l'UFA et 1 645 heures sur le lieu d'emploi.
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Son cœur de métier est la gestion de biens immobiliers permettant l’accueil industriel et tertiaire de ces entreprises. Elle répond aux besoins spécifiques liés à leurs activités : salles blanches ultra propres, laboratoires équipés, aménagement logistique et autres prestations sur site telles que des espaces collaboratifs et de co-working, des salles de réunion, un accès très haut débit fibré, une restauration de proximité, etc…
Des parcs d’activités dédiés
La SEML Route des Lasers assure l’aménagement, la construction, l’exploitation et la maintenance de 4 parcs d’activités dont un acquis récemment.
Sur la commune du Barp, près du Bassin d’Arcachon, les parcs technologiques et scientifiques LASeRIS 1 & 2 s’étendent sur une surface totale de 40ha. Accueillant à l’origine les entreprises primo-contractantes du Laser Mégajoule exploité par le CEA-CESTA, ils offrent aujourd’hui un espace de développement privilégié aux sociétés souhaitant s’implanter en Gironde et bénéficier de l’émulation créée par le LMJ. Aujourd’hui, 35 entreprises, soit environ 300 personnes, travaillent quotidiennement sur Laseris.
A Pessac, à proximité des grands laboratoires et centres de recherche de l’université de Bordeaux, la Cité de la Photonique accueille 32 entreprises, ce qui représente environ 470 emplois. Elle compte 7 bâtiments pour une surface totale de 23 000 m².
La SEML Route des Lasers a fait l’acquisition d’un nouveau parc de 11ha en 2017, nommé AMPeRIS. Cet ancien site industriel situé à Pessac est réaménagé pour y accueillir notamment des plateformes technologiques, des start-up, des ETI et des services. SERMA Technologies est la première société à s’y implanter.
Un accompagnement personnalisé pour l’implantation de votre entreprise
La SEML Route des Lasers accompagne les entreprises souhaitant s’implanter en Gironde ou étendre leurs activités sur nos sites. Elle met à leur disposition son savoir-faire en tant qu’aménageur-constructeur, gestionnaire et mainteneur. Elle définit leurs besoins architecturaux, énergétiques et étudie avec elles les faisabilités techniques et financières de leur projet. Un écosystème environnant les aide dans leur développement technologique ou financier autour du centre de ressources Unitec, du pôle de compétitivité ALPHA-RLH, du centre technologique optiques et lasers, ALPHANOV, du CEA Tech et des nombreux laboratoires universitaires.
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Codataschool a été créé en 2017 à l’initiative de Laure Bourgois, docteure en Intelligence Artificielle (IA Symbolique et simulations). Cet organisme propose plus de 50 formations axées sur le Big Data, l’Intelligence Artificielle et le développement Web. L’offre s’adresse aussi bien aux professionnels, à l’instar des développeurs, qu’aux chefs d’entreprise.
C’est après son parcours d’enseignante à l’université dès l’âge de 23 ans et ses 18 ans d’expérience en recherche et développement (France Telecom R&D, IFSTTAR et autres organismes publics et privés) que Laure Bourgois, 42 ans, a créé Codataschool.
« Nous élaborons nos formations selon les besoins du marché des entreprises. Nous permettons aux ingénieurs et aux décideurs d’intégrer l’IA dans leurs applications afin de créer des services innovants à forte valeur ajoutée », déclare d’entrée de jeu la fondatrice pour souligner les particularités de son offre. Elle constate : « La formation est non plus un stock (auparavant un ingénieur était titulaire d’un bac + 5 et ce diplôme constituait une assise pour la vie entière) mais un flux : il faut se former en permanence. Le but de ces formations est d’améliorer votre compétitivité grâce aux nouvelles technologies. L’or de demain, c’est la donnée à extraire et à structurer. »
Modulables, ces formations peuvent s’adapter également à tous types de profils, débutant comme expert.
Plus de pratique
Chacun des 3 domaines (big data, IA, développement Web) intègre différentes thématiques de formation. En développement Web, l’apprenant est formé, par exemple, au développement Front End et Back End, deux outils essentiels et complémentaires. Autre exemple, dans le domaine du Big Data, l’étude des concepts et outils issus du Machine Learning occupe une part assez importante, étant donné la corrélation existante entre ces deux technologies. Codataschool propose des formations appliquées en IA Symbolique, Traitement Automatique des Langues Naturelles, Outils de simulations et Internet des Objets (IOT).
Chez Codataschool, les formations se déclinent sous différents formats, en fonction des besoins des apprenants. Mis à part le format séminaire dédié aux chefs d’entreprise, tous les autres formats (module, projet, accompagnement) privilégient la pratique. Petite nouveauté : l’organisme suggère un format challenge dans lequel les concepts et les technologies sont assimilés via des sprints.
Trois valeurs
Codataschool s’est construit autour de trois valeurs que sont l’égalité des chances, l’intégrité et le bien commun. En considérant le numérique comme étant un vecteur d’ascension sociale, l’organisme s’attelle à promouvoir l’égalité femmes-hommes. « Il y a des femmes qui excellent dans le domaine de l’Intelligence Artificielle. Malheureusement, elles sont trop peu nombreuses, autour de 15 % dans la technique selon différents instituts », déplore notre interlocutrice.
En ce qui concerne l’intégrité, celle-ci se rapporte aux données. Conscient de l’enjeu que ces dernières représentent, Codataschool met tout en œuvre pour garantir leur sécurité et leur fiabilité. De plus, Codataschool propose des formations et outils pour l'aide à la détection des fake news, qui se propagent insidieusement sur la Toile.
Enfin, l’organisme affiche son attachement à la question de l’éthique, en veillant à ce que les solutions développées puissent améliorer la vie des personnes concernées.
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Créé en décembre 2005, Quantum Genomics est une société de biotechnologie cotée en Bourse et 100 % française. L’entreprise se spécialise dans le développement de médicaments pour le traitement de l’hypertension artérielle résistante et l’insuffisance cardiaque. Deux maladies qui constituent les premières causes de mortalité dans le monde.
L’enjeu est donc de taille puisque, aujourd’hui, 1 personne sur 3 est atteinte d’hypertension artérielle, tandis que 23 millions d’individus sont touchés chaque année d’insuffisance cardiaque. « 50 % des patients diagnostiqués insuffisants cardiaques décèdent dans les 5 ans », explique Anaïs Dulord, responsable de la communication. Sauver la vie de ces millions de personnes, telle est la vocation première de Quantum Genomics.
Le firibastat, un médicament très prometteur
Issu de 20 années de recherche, le firibastat est le tout premier médicament qui agit au niveau du cerveau afin de traiter l’insuffisance cardiaque et l’hypertension artérielle. « Nous sommes les seuls à avoir développé une nouvelle classe de molécule appelée BAPAI ou Brain Aminopeptidase A Inhibitor, un inhibiteur de l’aminopeptidase A. »
Une fois absorbée, cette molécule libère le principe actif qui inhibe de manière sélective l’aminopeptidase A, empêchant ainsi la transformation de l’angiotensine II en angiotensine III. La normalisation de l’activité de l’aminopeptidase A va entrainer une normalisation de la pression artérielle et une amélioration de la fonction cardiaque. Une des innovations apportées par le BAPAI réside dans son triple mécanisme d’action permettant d’agir en monothérapie simultanément sur les reins, le cœur et les vaisseaux.
Des études en cours
Au niveau de l’hypertension artérielle, l’étude de phase IIb NEW-HOPE a été une réussite. En effet, les résultats obtenus ont été excellents en termes d’efficacité aussi bien qu’en termes de tolérance. Forte de ce succès, la société va maintenant initier une étude de phase III et prévoit le recrutement de 600 patients. En ce qui concerne l’insuffisance cardiaque, Quantum Genomics a débuté une étude de phase IIb appelée QUORUM et destinée à établir une véritable preuve de concept.
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La musique, la danse, le théâtre, la photographie ou la peinture deviennent avec elle des médiateurs, invitant à l’expression libre de soi. Jamais définie à l’avance, la discipline artistique se révèle au cours de l’échange, selon les affinités, les énergies et les besoins de la personne.
L’art pour se révéler à soi-même
Travail de respiration, gestes relaxants, écoute pleine, Christalline Christalle communique ses énergies bienveillantes puis invite l’autre à vivre un moment complice avec lui-même. En prenant contact avec sa vie intérieure via le matériel artistique, la personne est amenée doucement à exprimer les choses et à les modifier au gré de son imagination. Ces séances révèlent des facettes parfois inexplorées et participent à l’estime de soi, au lâcher prise et à l’ancrage dans l’instant présent. Parmi leurs vertus, la gestion du stress, la responsabilisation, le rapport aux autres s’en trouvent unifiés, fortifiés.
En ligne ou à domicile, ces moments dédiés au bien-être durent 1h30. Des forfaits de 5 à 10 séances permettent d’approfondir la démarche. Pas de performance artistique ni de thérapie médicale ici. Christalline Christalle vous accompagne sur les chemins de l’harmonie, de la créativité et de l’optimisme.
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Au TOP des villes idéales pour « changer de vie »
A la 4ème place du classement Météojob et Meilleurtaux.com, Rouen se distingue par ses opportunités professionnelles traduites par le nombre d’offres en CDI et son pouvoir d’achat immobilier (rapport prix/logement et salaire médian). A l’heure où les modes de travail évoluent, qualité et accessibilité des logements, bureaux, coworking sont des atouts majeurs. Idem pour l’A/R à Paris, facile dans la journée. Située entre Paris et Le Havre, l’activité économique est multifilières : 1er port céréalier ouest européen, 2ème région en chimie médicinale et 3ème productrice de médicaments. Les grandes majors de l’assurance attirent les métiers de la fintech, assurtech… Territoire pionnier aussi dans la mobilité qui expérimente en 1ère européenne des véhicules autonomes sur routes ouvertes. Logistique, santé, agro-alimentaire, tertiaire à haute valeur ajoutée, écotechnologies ne sont pas en reste. Nombre de collèges et lycées posent les jalons d’une bonne formation des enfants. 11 écoles d’enseignement supérieur, 1 université réputée, 1 CHU à la pointe et Neoma Business School (Top 5 des écoles françaises et 28ème place Européenne pour le Financial Times) forment les talents de demain. Performance, expériences et transformations des secteurs économiques, cette vitalité séduit les entrepreneurs et investisseurs intéressés par la créativité et un cadre de vie propice à l’épanouissement personnel.
Historique et décontractée
Le temps libre, celui des week-end, des vacances se vit pleinement. Partout, les enfants ont la part belle : les activités sont riches et multiples. Un moment en terrasse, à l’Opéra de Rouen Normandie, un concert en bord de Seine, un temps aux musées avec les merveilleuses collections. Flaubert, Monet, Jeanne d’Arc résonnent mondialement. Chaque année, 4 millions de touristes découvrent l’histoire de la ville et ses alentours où la gastronomie est une signature : restauration et hôtellerie de haut niveau complètent cette offre très qualitative. Œuvres classiques, œuvres éphémères : toute l’âme de Rouen se retrouve dans sa candidature Capitale européenne de la culture pour 2028.
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